Les vacances 13: Après une longue discussion avec mon cousin, on passe enfin de 3 à 2
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les vacances 13: Après une longue discussion avec mon cousin, on passe enfin de 3 à 2
Je viens encore une fois de partager mon infirmière avec mon cousin Stéphane, avec quelques petits moment uniquement entre hommes. Bien que nous venions tout deux de jouir j’arrive enfin à le faire réagir qu’à deux pendant que Marie Anne se rince avant de partir rejoindre son compagnon. Nous sommes toujours complètement nus et en sueur de ce moment intense.
Je m’assieds sur les cuisses de mon cousin de telle façon que mon gland se pose contre son corps. Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse langoureusement, Stéphane est loin d’être inactif dans cet échange salivaire. Nous sommes brièvement interrompus par mon infirmière qui nous salue avant de partir, nous descellons à peine nos lèvres pour lui dire « au revoir ».
Je glisse une main entre nos deux corps pour attraper sa queue, alors que j’ai commencé à regonfler, lui est toujours flasque. J’ai beau le titiller avec mes doigts et la paume de main, je n’arrive pas à provoquer d’autre réaction. Pourtant ses mains continuent de parcourir mon corps mais en y réfléchissant à posteriori c’est vrai qu’il ne caressait que mon dos et ma tête.
Je lui laisse le bénéfice du tout et surtout j’espère que son manque d’énergie est seulement dû au fait qu’il ne « recharge » pas aussi vite que moi. Nos lèvres se décollent lentement, je reste encore un peu assis sur lui en faisant du peau à peau. Puis je me lève me décale sur le canapé mais ne le quitte pas du regard alors que le sien est fixé sur l’écran noir de la télé.
Sa gêne est palpable et j’espère que ça ne va pas encore une fois mettre un blocage entre nous. Je ne sais pas trop comment redétendre l’atmosphère, en sentant l’odeur de transpiration j’ai l’idée d’une douche. Je lui propose de la partager mais il préfère se détendre encore un peu avant de préparer à manger. Je reste à côté de lui mais au bout de quelques minutes il me dit:« Mais vas y toi! »
J’arrive à marcher de mieux en mieux avec mes béquilles mais j’aurai bien aimé un coup de main ou même un coup de bite sous la douche. Comme j’ai l’impression qu’il veut rester, je finis par me lever et avant de m’asseoir dans mon fauteuil je me penche vers lui pour tenter un tendre baiser. Mais il se lève et m’esquive en filant dans sa chambre.
Me retrouvant seul dans le salon, je vais prendre ma douche en solo. Pendant que je suis sous l’eau je repense à ma discussion avec mon infirmière concernant mon cousin et ses parents. Il faut quand même que je l’aide à passer ce blocage mais comment??? Bien que je reste un long moment sous la douche je ne vois pas d’autres moyens que la discussion.
Quand je retourne dans le salon, je reste nu sur mon fauteuil par contre Stéphane porte un jogging mais en short et un t-shirt manches courtes. Quand il me voit à poil il me demande si j’ai besoin d’aide pour m’habiller, je lui réponds:« Non je suis plus à l’aise comme ça, en plus le spectacle est plutôt agréable, non? »
J’espère une réponse mais j’ai l’impression qu’il fait tout pour m’ignorer et s’affaire en cuisine. Après un long silence pesant, je lui demande:« On prend pas d’apéritif aujourd’hui? »Il me dit qu’il n’a pas soif mais que je peux me servir. J’espérais que l’alcool allé un peu le détendre mais il ne cede pas.
Au moment de passer à table il sort quand même une bouteille de rouge avec deux verres. Nous n’échangeons pas beaucoup pendant le repas, d’ailleurs Stéphane passe plus de temps à boire qu’à manger. Je me réjouis en espérant qu’il se désinhibe rapidement mais ses lèvres s’ouvrent pour surtout avaler des gorgées de vin ou et quelques unes de viande. Par contre je mange très lentement pour l’obliger à rester à table avec moi et boire.
Une fois que la première bouteille est finie, il va en chercher une autre, quand il revient s’asseoir je le branche sur ses parents. D’abord juste pour demander des nouvelles de mon oncle et ma tante. J’enchaîne sur ses relations de travail avec son père puis ses relations avec lui tout court. Il se met à parler de plus en plus, je commence à comprendre ce que ressent un psy pendant les séances.
Il faut que je recentre le sujet, mais comment? A lui tout seul il a au moins bu une bonne bouteille de vin alors je met les pieds dans le plat:« Je payerai pour voir sa tête le jour ou il apprendra que tu aimes de faire enculer! »Stéphane se fige et devient blanc comme un mort, je suis peut être allé un peu trop loin. Je prends la bouteille pour le resservir et j’essaye de la rassurer en lui disant:« En tout cas ça ne viendra de moi! »
Apparement ce n’est pas ça qui le stress, alors je commence un long monologue même si je ne suis pas sur qu’il m’écoute. En gros je lui dit, comme on me l’a dit dans le passé, qu’il doit vivre sa vie pour lui. Qu’il faut qu’il arrête de se bloquer à cause de ce que les autres pourraient penser, la vie est courte et il faut en profiter. Ensuite je lui parle de mes peurs et mes craintes que j’ai réussi à surmonter.
La partie « donneur de leçons » ne lui a pas plus mais maintenant que je lui parle de mes ressentis, mon cousin semble être plus attentif. Du coup je continue sur le sujet et il me pose même des questions, elles sont un peu trop personnel pour que je l’ai développé ici. En tout cas ça a fait avancer le shmilblik, il se remet à parler de lui. Effectivement son blocage se trouve au niveau de ses parents alors je l’interrompt.
« Personne ne sait ce qu’il se passe derrière une porte fermée après c’est à toi de décider pour qui tu l’ouvres et pour qui tu la laisses fermée. »Vu son débit de parole sur ce sujet je lui demande s’il en déjà parlé avec quelqu’un de professionnel ou non. Il me répond un franc:« Ca va pas la tête! »Du coup je lui parle d’associations où il pourrait aller au moins écouter les expériences d’autres mecs qui sont passés par le même chemin que lui.
Il me demande si j’ai fait ses démarches alors je lui explique qu’à l’époque où je voyais une psy, je lui avait parlé de ma bisexualité. Mais pas en tant que problème surtout pour qu’elle sache réellement qui je suis. Par contre j’en parle avec mes vrais amis, ça semble le choquer. J’ose enfin lui demander comment il en est arrivé à sa première fois avec un mec.
En fait il m’explique que ça fait longtemps qu’il envisage les hommes mais que les premiers contacts on était lors d’un plan à trois. Comme il ne rentre pas plus dans les détails je précise ma question:« Mais ta première fois 100% entre hommes? »Je le sens très mal à l’aise mais il lâche enfin quelque chose:« Je m’autorise à ça, que lorsque je suis en voyage loin de tout ceux que je connais. »
Je lui explique que d’en parler peut faire du bien, en plus échanger permet de mieux comprendre ce que l’on vit. Je me mets à lui parler de HDS et du bien que ça me fait d’écrire, sans compter les relations que ça permet de créer et j’ajoute même:« Cerise sur la gâteau, ça m’a aussi permis de faire quelques rencontres! »
Il croit que je me fous de sa gueule alors je pars chercher mon ordinateur. Quand je rentre mes identifiant sur le site, il me demande d’arrêter en m’expliquant qu’il ne veut pas tout savoir sur moi.
« Ne t’inquiète pas je suis et resterai le seul à tout savoir sur moi. »Mais je referme quand même mon écran.
Assez de bavardage, il commence à se faire tard et je dois trouver une idée parce que j’ai envie d’action uniquement entre hommes. Il faut que je l’attire près de moi, en plus avec les émotions dû à notre discussion, sans même parler de l’alcool, à sa place je me laisserai aller pour me défouler.
J’ouvre de nouveau l’écran de mon ordi et immédiatement il s’exclame:« Je te dis que je ne voulais pas lire. »Je lui explique que ce n’est pas ça mais que je veux profiter de son savoir en informatique parce que je trouve mon ordi très lent ces derniers temps. Il me demande si je vide régulièrement la poubelle? Si la mémoire de mon ordinateur n’est pas saturée?…
Je lui que non, du coup il vient s’installer à ma place alors que je me tiens presque debout derrière lui et toujours à poil. J’approche mon corps du sien pour l’effleurer furtivement, il ne réagit pas. Je passe la vitesse au dessus en me mettant à côté de lui et posant ma queue à demi molle contre son bras. Il tourne sa tête, fixe longuement mon sexe mais ne fait rien.
Je retourne derrière lui, je pose ma main sur la sienne pour manipuler la souris et lui montrer que:« Pourtant j’ai encore plein de giga de libre… à utiliser… »Au lieu dans profiter il reprend le contrôle de la souris va dans des dossiers de mon ordinateur totalement inconnu pour moi et se met à taper à toute vitesse sur le clavier.
J’en profite pour continuer à le caresser avec mes mains, ma bite et mes fesses. Plus j’insiste plus ses yeux s’attardent sur mon corps et je sens qu’il n’est plus très loin de vouloir activement participer. Alors que je suis pencher sur lui, l’écran s’éteint d’un coup puis mon ordi se rallume. Quand il se rallume enfin le dossier avec des photos très privées s’ouvrent, c’est assez petit mais je les reconnais. Il y a en de moi en érection mais aussi en action avec un autre mec.
La main de mon cousin dirige la flèche de la souris vers la photo où je suis en plein 69 endiablé avec un ex. Je vois que son doigt hésite à appuyer par contre les miens n’hésitent pas à passer devant, sous son t-shirt. J’attrape ses tétons qui pointent déjà et je les pince tendrement. Je me penche un peu et je vois qu’il bande sérieusement dans son jogging, j’adore les tissus souples.
Après un bref gémissement, il fait mine de se dégager mais sans grande conviction. Du coup je démarre un diaporama de mes photos, je recule sa chaise et me mets entres ses jambes, en faisant bien attention de ne pas me faire mal. Je commence par caresser sa queue tendue à travers son short molletonné, je sens son prépuce commençait à se replier sur lui même.
Je descends mes mains sur ses couilles et les remonte sur toute la longueur de sa bite de plus en plus longue, grosse et dure. Je lève la tête et vois que ses yeux sont rivées sur mon écran, Je tourne la tête pour les regarder avec lui tout en le branlant à travers son pantalon. Quand on voit mon sexe perforer un cul poilu j’ai l’impression de le sentir encore plus grossir entre mes doigts.
Je n’en peux plus, j’espère que Stéphane aussi, je baisse son short et sa bite sort comme un ressort. Je me penche et finit de le décalotter avec mes lèvres avant de l’enfoncer totalement dans ma bouche. Je remonte lentement, en passant ma langue partout jusqu’à garder uniquement son gland. Je l’aspire pendant que je fais tournoyer ma langue.
Mon cousin réagit tout de suite en gémissement plus régulièrement mais aussi en attrapant ma tête pour me motiver encore plus. Je relâche mon étreinte et fais coulisser mes lèvres le long de sa tige. Je fais exprès d’y aller tout doucement même si je sens qu’il en veut plus. Je lève les yeux et je vois qu’il continue de mater mes photos.
Je masse ses couilles à deux mains alors que lui remue les siennes pour que j’aille plus vite sur sa tige. Il prend enfin des initiatives alors je lui fais plaisir. Avec gourmandise, à chaque fois que je l’enfonce en moi je le fais aller plus loin jusqu’à le faire rentrer dans ma gorge. Je reste un moment ainsi à remuer ma langue et torturer ses couilles.
Je continue de le sucer pour essayer de lui faire la meilleure pipe de sa vie mais je m’arrête avant qu’il vienne dans ma bouche. Quand je le recrache, je m’installe dans mon fauteuil et je le tire par les couilles jusqu’à l’amener dans ma chambre. Je m’assoie sur mon lit et finit de le déshabiller complètement avant de lui dire de s’allonger à côté de moi mais à l’envers.
Je reprends sa bite en bouche alors que lui ne bouge pas, j’aurai peut être du prendre mon ordi avec moi pour qu’il continue de regarder mes photos. Je me tords pour attraper sa main et la pose sur ma tige bien raide elle aussi. Il se met à me branler plus au moins au même rythme que je le suce. Bientôt ses lèvres viennent rejoindre sa main mais il est encore timide. Je me déplace pour m’enfoncer entre ses lèvres.
Ca y est il se déchaîne enfin sur mon sexe, je le sens saliver sur moi. Toute sa cavité y participe: sa langue, ses lèvres, ses dents… et même sa glotte. Je me penche un peu plus sur son entrejambe et j’attaque son petit trou. Il est déjà bien ouvert, c’est pas possible, il passe ces journées avec un plug dans le cul ou quoi???
Je me décale un peu plus pour que ma bouche et mes doigts s’occupent de sa rondelle. Du coup il n’a plus beaucoup plus que mon gland entre ses lèvres, sa langue s’occupe de mon frein. Je ne sais pas s’il trouve la position désagréable mais il se dégage et se met sur le ventre. Il attrape un coussin qu’il glisse sous son ventre pour être bien cambré.
Il ne m’en faut pas plus pour venir m’installer entre ses cuisses et bien écarter ses fesses à deux mains. Il est tellement ouvert que je darde directement ma langue dans ses entrailles mais je le sens se contracter. Je retire doucement ma langue et recommence de le laper pour qu’il se détende. Mon index vient aussi le titiller et rentre en lui sans crier garde.
Je le lime lentement alors que ma langue continue de lécher le tour de sa rondelle ou descend sur ses couilles. J’introduis facilement mon majeur pour ne pas que le premier doigt se sente seul. Ils glissent facilement en lui, j’ai l’impression qu’il mouille bien du cul, ça doit être de famille! Il m’excite tellement que je résiste pas à lui donner une petite fessées.
Il gémit et se met même à faire onduler son bassin pour accompagner mes mouvements. Je me lâche jusqu’à lui dire:« C’est bon de te voir faire la salope. »Il retourne son visage me sourit et me répond:« Alors bouges toi, j’ai trop envie de sentir ta queue en moi. »
Je me soulève et place mes jambes au milieu des siennes. Avec une main j’écarte ses fesses et de l’autre je pose mon gland sur sa rondelle que je masse un peu. Entre son ouverture naturelle et mes doigts je n’ai aucun problème à m’enfoncer doucement en lui. Je ne m’arrête qu’une fois mon pubis contre ses fesses. Je reste un moment immobile en lui et je prends appuie sur le matelas pour commencer à le ramoner doucement.
J’accélère progressivement le rythme et lui me suis dans ses cris de plaisir. Il se cambre même encore plus pour que je puisse encore mieux rentrer en lui. Evidement régulièrement je fais claquer ses fesses qui se mettent à rougir. Au bout d’un moment je décule complètement et je prends mon temps pour le posséder à nouveau.
Quand mon gland passe il gémit tellement que je ne m’enfonce pas complètement et ressort. Je lui titille la rondelle et fait passer mon champignon un peu plus ardemment. Malgré une petite douleur il adore ça alors je recommence avec encore plus de vigueur. Je joue ainsi pendant un moment mais la position acrobatique, à cause de ma jambe blessée, est de plus en plus inconfortable.
Je roule sur le côté pour m‘allonger sur le dos avec ma bite dressée qui sert de mat et lui dit avec une voix essoufflée:« Je n’en peux plus, à toi de travailler un peu. »Il se soulève et m’enjambe, sans dire un mot, il empoigne ma queue et se sodomise tout seul. Une fois qu’il est bien assis sur moi, Stéphane fait passer ses jambes devant pour prendre une vraie position assis.
Il lance ses jambes derrière et commence à monter avant de se laisser redescendre. Mes yeux passent de cette jolie pénétration à son visage détendu et radieux. Ses vas et viens sont de plus en plus rapide en plus le coquin se met à contracter ses sphincters autour de ma tige. Quand il s’assoit sur moi, par moment, il remue du bassin, il est tellement penché vers l’arrière qu’il me masse les couilles.
Au bout de dix bonnes minutes, il change de positions. Ses jambes repartent derrière alors qu’il pose ses mains sur mon torse et s’attrape à mes poils (j’aurai préfère mes tétons). Il reprend ses mouvements de vas et viens mais directement à un rythme bien soutenu. Comme je n’ai plus une vue plongeante sur ses entrailles et mon sexe, j’empoigne le sien pour le branler vigoureusement.
Très rapidement je sens ses veines gonfler dans ma main alors je le serre fermement entre mes doigts et je concentre mon pouce sur son frein. Bien qu’il se morde la lèvre supérieure, je l’entends nettement gémir. J’accentue la pression quand je sens encore plus ses entrailles brouillait ma tige. Mes couilles se crispent, je vais moi aussi jouir.
Mon cousin lâche une première giclée qui s’écrase sur son torse tout comme la suite. Quand je sens la troisième contraction de ses entrailles, je ne me retiens plus et commence à me vider en lui. Pendant ce temps, Stéphane finit de se rependre sur moi tout en continuant à monter et descendre mais de plus en plus lentement. Pendant que j’envoie mon dernier jet, je vois son sperme couler de son torse au mien ce qui me donne un dernier frisson.
Je prends appuie sur le matelas pour me soulever et l’embrasser langoureusement alors que ma bite, qui ramollie, est toujours en lui. Quand nos bouches se dessoudent, je regarde la marre sur mon ventre et lui dit en rigolant:« Il va falloir prendre une nouvelle douche! »Il me fait lentement déculer dans un gros bruit et se met à me lécher pour récupère ton son jus.
Je lui dit de ne pas avaler et une fois que je suis propre, je passe mes mains sous ses cuisses et agrippe ses fesses. Je le fais remonter sur moi jusqu’à ce que ses fesses soient au dessus de mon visage. Je n’ai pas besoin de le lécher pour déjà sentir mon jus couler dans ma bouche. La petit salope, tout à l’heure il faisait sa vierge effarouchée et maintenant il pousse avec ses sphincters pour évacuer la preuve de ma jouissance.
Je récupère, avec ma langue, les dernières gouttes en allant les chercher le plus profondément possible. Une fois que j’ai moi aussi la bouche bien pleine, il redescend le long de mon corps en me caressant avec ses fesses et nous partageons nos spermes respectifs dans une bonne pelle.
Epuisé, il s’allonge à côté de moi. Je le fait rouler sur le côté et me mets en cuillère derrière lui. Nous sommes tous les deux épuisés mais avant de fermer les yeux je lui dis:« La prochaine fois c’est toi qui me prends. »Il trouve la force de me répondre:« Ok »Et nous nous endormons tous les deux…
Je m’assieds sur les cuisses de mon cousin de telle façon que mon gland se pose contre son corps. Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse langoureusement, Stéphane est loin d’être inactif dans cet échange salivaire. Nous sommes brièvement interrompus par mon infirmière qui nous salue avant de partir, nous descellons à peine nos lèvres pour lui dire « au revoir ».
Je glisse une main entre nos deux corps pour attraper sa queue, alors que j’ai commencé à regonfler, lui est toujours flasque. J’ai beau le titiller avec mes doigts et la paume de main, je n’arrive pas à provoquer d’autre réaction. Pourtant ses mains continuent de parcourir mon corps mais en y réfléchissant à posteriori c’est vrai qu’il ne caressait que mon dos et ma tête.
Je lui laisse le bénéfice du tout et surtout j’espère que son manque d’énergie est seulement dû au fait qu’il ne « recharge » pas aussi vite que moi. Nos lèvres se décollent lentement, je reste encore un peu assis sur lui en faisant du peau à peau. Puis je me lève me décale sur le canapé mais ne le quitte pas du regard alors que le sien est fixé sur l’écran noir de la télé.
Sa gêne est palpable et j’espère que ça ne va pas encore une fois mettre un blocage entre nous. Je ne sais pas trop comment redétendre l’atmosphère, en sentant l’odeur de transpiration j’ai l’idée d’une douche. Je lui propose de la partager mais il préfère se détendre encore un peu avant de préparer à manger. Je reste à côté de lui mais au bout de quelques minutes il me dit:« Mais vas y toi! »
J’arrive à marcher de mieux en mieux avec mes béquilles mais j’aurai bien aimé un coup de main ou même un coup de bite sous la douche. Comme j’ai l’impression qu’il veut rester, je finis par me lever et avant de m’asseoir dans mon fauteuil je me penche vers lui pour tenter un tendre baiser. Mais il se lève et m’esquive en filant dans sa chambre.
Me retrouvant seul dans le salon, je vais prendre ma douche en solo. Pendant que je suis sous l’eau je repense à ma discussion avec mon infirmière concernant mon cousin et ses parents. Il faut quand même que je l’aide à passer ce blocage mais comment??? Bien que je reste un long moment sous la douche je ne vois pas d’autres moyens que la discussion.
Quand je retourne dans le salon, je reste nu sur mon fauteuil par contre Stéphane porte un jogging mais en short et un t-shirt manches courtes. Quand il me voit à poil il me demande si j’ai besoin d’aide pour m’habiller, je lui réponds:« Non je suis plus à l’aise comme ça, en plus le spectacle est plutôt agréable, non? »
J’espère une réponse mais j’ai l’impression qu’il fait tout pour m’ignorer et s’affaire en cuisine. Après un long silence pesant, je lui demande:« On prend pas d’apéritif aujourd’hui? »Il me dit qu’il n’a pas soif mais que je peux me servir. J’espérais que l’alcool allé un peu le détendre mais il ne cede pas.
Au moment de passer à table il sort quand même une bouteille de rouge avec deux verres. Nous n’échangeons pas beaucoup pendant le repas, d’ailleurs Stéphane passe plus de temps à boire qu’à manger. Je me réjouis en espérant qu’il se désinhibe rapidement mais ses lèvres s’ouvrent pour surtout avaler des gorgées de vin ou et quelques unes de viande. Par contre je mange très lentement pour l’obliger à rester à table avec moi et boire.
Une fois que la première bouteille est finie, il va en chercher une autre, quand il revient s’asseoir je le branche sur ses parents. D’abord juste pour demander des nouvelles de mon oncle et ma tante. J’enchaîne sur ses relations de travail avec son père puis ses relations avec lui tout court. Il se met à parler de plus en plus, je commence à comprendre ce que ressent un psy pendant les séances.
Il faut que je recentre le sujet, mais comment? A lui tout seul il a au moins bu une bonne bouteille de vin alors je met les pieds dans le plat:« Je payerai pour voir sa tête le jour ou il apprendra que tu aimes de faire enculer! »Stéphane se fige et devient blanc comme un mort, je suis peut être allé un peu trop loin. Je prends la bouteille pour le resservir et j’essaye de la rassurer en lui disant:« En tout cas ça ne viendra de moi! »
Apparement ce n’est pas ça qui le stress, alors je commence un long monologue même si je ne suis pas sur qu’il m’écoute. En gros je lui dit, comme on me l’a dit dans le passé, qu’il doit vivre sa vie pour lui. Qu’il faut qu’il arrête de se bloquer à cause de ce que les autres pourraient penser, la vie est courte et il faut en profiter. Ensuite je lui parle de mes peurs et mes craintes que j’ai réussi à surmonter.
La partie « donneur de leçons » ne lui a pas plus mais maintenant que je lui parle de mes ressentis, mon cousin semble être plus attentif. Du coup je continue sur le sujet et il me pose même des questions, elles sont un peu trop personnel pour que je l’ai développé ici. En tout cas ça a fait avancer le shmilblik, il se remet à parler de lui. Effectivement son blocage se trouve au niveau de ses parents alors je l’interrompt.
« Personne ne sait ce qu’il se passe derrière une porte fermée après c’est à toi de décider pour qui tu l’ouvres et pour qui tu la laisses fermée. »Vu son débit de parole sur ce sujet je lui demande s’il en déjà parlé avec quelqu’un de professionnel ou non. Il me répond un franc:« Ca va pas la tête! »Du coup je lui parle d’associations où il pourrait aller au moins écouter les expériences d’autres mecs qui sont passés par le même chemin que lui.
Il me demande si j’ai fait ses démarches alors je lui explique qu’à l’époque où je voyais une psy, je lui avait parlé de ma bisexualité. Mais pas en tant que problème surtout pour qu’elle sache réellement qui je suis. Par contre j’en parle avec mes vrais amis, ça semble le choquer. J’ose enfin lui demander comment il en est arrivé à sa première fois avec un mec.
En fait il m’explique que ça fait longtemps qu’il envisage les hommes mais que les premiers contacts on était lors d’un plan à trois. Comme il ne rentre pas plus dans les détails je précise ma question:« Mais ta première fois 100% entre hommes? »Je le sens très mal à l’aise mais il lâche enfin quelque chose:« Je m’autorise à ça, que lorsque je suis en voyage loin de tout ceux que je connais. »
Je lui explique que d’en parler peut faire du bien, en plus échanger permet de mieux comprendre ce que l’on vit. Je me mets à lui parler de HDS et du bien que ça me fait d’écrire, sans compter les relations que ça permet de créer et j’ajoute même:« Cerise sur la gâteau, ça m’a aussi permis de faire quelques rencontres! »
Il croit que je me fous de sa gueule alors je pars chercher mon ordinateur. Quand je rentre mes identifiant sur le site, il me demande d’arrêter en m’expliquant qu’il ne veut pas tout savoir sur moi.
« Ne t’inquiète pas je suis et resterai le seul à tout savoir sur moi. »Mais je referme quand même mon écran.
Assez de bavardage, il commence à se faire tard et je dois trouver une idée parce que j’ai envie d’action uniquement entre hommes. Il faut que je l’attire près de moi, en plus avec les émotions dû à notre discussion, sans même parler de l’alcool, à sa place je me laisserai aller pour me défouler.
J’ouvre de nouveau l’écran de mon ordi et immédiatement il s’exclame:« Je te dis que je ne voulais pas lire. »Je lui explique que ce n’est pas ça mais que je veux profiter de son savoir en informatique parce que je trouve mon ordi très lent ces derniers temps. Il me demande si je vide régulièrement la poubelle? Si la mémoire de mon ordinateur n’est pas saturée?…
Je lui que non, du coup il vient s’installer à ma place alors que je me tiens presque debout derrière lui et toujours à poil. J’approche mon corps du sien pour l’effleurer furtivement, il ne réagit pas. Je passe la vitesse au dessus en me mettant à côté de lui et posant ma queue à demi molle contre son bras. Il tourne sa tête, fixe longuement mon sexe mais ne fait rien.
Je retourne derrière lui, je pose ma main sur la sienne pour manipuler la souris et lui montrer que:« Pourtant j’ai encore plein de giga de libre… à utiliser… »Au lieu dans profiter il reprend le contrôle de la souris va dans des dossiers de mon ordinateur totalement inconnu pour moi et se met à taper à toute vitesse sur le clavier.
J’en profite pour continuer à le caresser avec mes mains, ma bite et mes fesses. Plus j’insiste plus ses yeux s’attardent sur mon corps et je sens qu’il n’est plus très loin de vouloir activement participer. Alors que je suis pencher sur lui, l’écran s’éteint d’un coup puis mon ordi se rallume. Quand il se rallume enfin le dossier avec des photos très privées s’ouvrent, c’est assez petit mais je les reconnais. Il y a en de moi en érection mais aussi en action avec un autre mec.
La main de mon cousin dirige la flèche de la souris vers la photo où je suis en plein 69 endiablé avec un ex. Je vois que son doigt hésite à appuyer par contre les miens n’hésitent pas à passer devant, sous son t-shirt. J’attrape ses tétons qui pointent déjà et je les pince tendrement. Je me penche un peu et je vois qu’il bande sérieusement dans son jogging, j’adore les tissus souples.
Après un bref gémissement, il fait mine de se dégager mais sans grande conviction. Du coup je démarre un diaporama de mes photos, je recule sa chaise et me mets entres ses jambes, en faisant bien attention de ne pas me faire mal. Je commence par caresser sa queue tendue à travers son short molletonné, je sens son prépuce commençait à se replier sur lui même.
Je descends mes mains sur ses couilles et les remonte sur toute la longueur de sa bite de plus en plus longue, grosse et dure. Je lève la tête et vois que ses yeux sont rivées sur mon écran, Je tourne la tête pour les regarder avec lui tout en le branlant à travers son pantalon. Quand on voit mon sexe perforer un cul poilu j’ai l’impression de le sentir encore plus grossir entre mes doigts.
Je n’en peux plus, j’espère que Stéphane aussi, je baisse son short et sa bite sort comme un ressort. Je me penche et finit de le décalotter avec mes lèvres avant de l’enfoncer totalement dans ma bouche. Je remonte lentement, en passant ma langue partout jusqu’à garder uniquement son gland. Je l’aspire pendant que je fais tournoyer ma langue.
Mon cousin réagit tout de suite en gémissement plus régulièrement mais aussi en attrapant ma tête pour me motiver encore plus. Je relâche mon étreinte et fais coulisser mes lèvres le long de sa tige. Je fais exprès d’y aller tout doucement même si je sens qu’il en veut plus. Je lève les yeux et je vois qu’il continue de mater mes photos.
Je masse ses couilles à deux mains alors que lui remue les siennes pour que j’aille plus vite sur sa tige. Il prend enfin des initiatives alors je lui fais plaisir. Avec gourmandise, à chaque fois que je l’enfonce en moi je le fais aller plus loin jusqu’à le faire rentrer dans ma gorge. Je reste un moment ainsi à remuer ma langue et torturer ses couilles.
Je continue de le sucer pour essayer de lui faire la meilleure pipe de sa vie mais je m’arrête avant qu’il vienne dans ma bouche. Quand je le recrache, je m’installe dans mon fauteuil et je le tire par les couilles jusqu’à l’amener dans ma chambre. Je m’assoie sur mon lit et finit de le déshabiller complètement avant de lui dire de s’allonger à côté de moi mais à l’envers.
Je reprends sa bite en bouche alors que lui ne bouge pas, j’aurai peut être du prendre mon ordi avec moi pour qu’il continue de regarder mes photos. Je me tords pour attraper sa main et la pose sur ma tige bien raide elle aussi. Il se met à me branler plus au moins au même rythme que je le suce. Bientôt ses lèvres viennent rejoindre sa main mais il est encore timide. Je me déplace pour m’enfoncer entre ses lèvres.
Ca y est il se déchaîne enfin sur mon sexe, je le sens saliver sur moi. Toute sa cavité y participe: sa langue, ses lèvres, ses dents… et même sa glotte. Je me penche un peu plus sur son entrejambe et j’attaque son petit trou. Il est déjà bien ouvert, c’est pas possible, il passe ces journées avec un plug dans le cul ou quoi???
Je me décale un peu plus pour que ma bouche et mes doigts s’occupent de sa rondelle. Du coup il n’a plus beaucoup plus que mon gland entre ses lèvres, sa langue s’occupe de mon frein. Je ne sais pas s’il trouve la position désagréable mais il se dégage et se met sur le ventre. Il attrape un coussin qu’il glisse sous son ventre pour être bien cambré.
Il ne m’en faut pas plus pour venir m’installer entre ses cuisses et bien écarter ses fesses à deux mains. Il est tellement ouvert que je darde directement ma langue dans ses entrailles mais je le sens se contracter. Je retire doucement ma langue et recommence de le laper pour qu’il se détende. Mon index vient aussi le titiller et rentre en lui sans crier garde.
Je le lime lentement alors que ma langue continue de lécher le tour de sa rondelle ou descend sur ses couilles. J’introduis facilement mon majeur pour ne pas que le premier doigt se sente seul. Ils glissent facilement en lui, j’ai l’impression qu’il mouille bien du cul, ça doit être de famille! Il m’excite tellement que je résiste pas à lui donner une petite fessées.
Il gémit et se met même à faire onduler son bassin pour accompagner mes mouvements. Je me lâche jusqu’à lui dire:« C’est bon de te voir faire la salope. »Il retourne son visage me sourit et me répond:« Alors bouges toi, j’ai trop envie de sentir ta queue en moi. »
Je me soulève et place mes jambes au milieu des siennes. Avec une main j’écarte ses fesses et de l’autre je pose mon gland sur sa rondelle que je masse un peu. Entre son ouverture naturelle et mes doigts je n’ai aucun problème à m’enfoncer doucement en lui. Je ne m’arrête qu’une fois mon pubis contre ses fesses. Je reste un moment immobile en lui et je prends appuie sur le matelas pour commencer à le ramoner doucement.
J’accélère progressivement le rythme et lui me suis dans ses cris de plaisir. Il se cambre même encore plus pour que je puisse encore mieux rentrer en lui. Evidement régulièrement je fais claquer ses fesses qui se mettent à rougir. Au bout d’un moment je décule complètement et je prends mon temps pour le posséder à nouveau.
Quand mon gland passe il gémit tellement que je ne m’enfonce pas complètement et ressort. Je lui titille la rondelle et fait passer mon champignon un peu plus ardemment. Malgré une petite douleur il adore ça alors je recommence avec encore plus de vigueur. Je joue ainsi pendant un moment mais la position acrobatique, à cause de ma jambe blessée, est de plus en plus inconfortable.
Je roule sur le côté pour m‘allonger sur le dos avec ma bite dressée qui sert de mat et lui dit avec une voix essoufflée:« Je n’en peux plus, à toi de travailler un peu. »Il se soulève et m’enjambe, sans dire un mot, il empoigne ma queue et se sodomise tout seul. Une fois qu’il est bien assis sur moi, Stéphane fait passer ses jambes devant pour prendre une vraie position assis.
Il lance ses jambes derrière et commence à monter avant de se laisser redescendre. Mes yeux passent de cette jolie pénétration à son visage détendu et radieux. Ses vas et viens sont de plus en plus rapide en plus le coquin se met à contracter ses sphincters autour de ma tige. Quand il s’assoit sur moi, par moment, il remue du bassin, il est tellement penché vers l’arrière qu’il me masse les couilles.
Au bout de dix bonnes minutes, il change de positions. Ses jambes repartent derrière alors qu’il pose ses mains sur mon torse et s’attrape à mes poils (j’aurai préfère mes tétons). Il reprend ses mouvements de vas et viens mais directement à un rythme bien soutenu. Comme je n’ai plus une vue plongeante sur ses entrailles et mon sexe, j’empoigne le sien pour le branler vigoureusement.
Très rapidement je sens ses veines gonfler dans ma main alors je le serre fermement entre mes doigts et je concentre mon pouce sur son frein. Bien qu’il se morde la lèvre supérieure, je l’entends nettement gémir. J’accentue la pression quand je sens encore plus ses entrailles brouillait ma tige. Mes couilles se crispent, je vais moi aussi jouir.
Mon cousin lâche une première giclée qui s’écrase sur son torse tout comme la suite. Quand je sens la troisième contraction de ses entrailles, je ne me retiens plus et commence à me vider en lui. Pendant ce temps, Stéphane finit de se rependre sur moi tout en continuant à monter et descendre mais de plus en plus lentement. Pendant que j’envoie mon dernier jet, je vois son sperme couler de son torse au mien ce qui me donne un dernier frisson.
Je prends appuie sur le matelas pour me soulever et l’embrasser langoureusement alors que ma bite, qui ramollie, est toujours en lui. Quand nos bouches se dessoudent, je regarde la marre sur mon ventre et lui dit en rigolant:« Il va falloir prendre une nouvelle douche! »Il me fait lentement déculer dans un gros bruit et se met à me lécher pour récupère ton son jus.
Je lui dit de ne pas avaler et une fois que je suis propre, je passe mes mains sous ses cuisses et agrippe ses fesses. Je le fais remonter sur moi jusqu’à ce que ses fesses soient au dessus de mon visage. Je n’ai pas besoin de le lécher pour déjà sentir mon jus couler dans ma bouche. La petit salope, tout à l’heure il faisait sa vierge effarouchée et maintenant il pousse avec ses sphincters pour évacuer la preuve de ma jouissance.
Je récupère, avec ma langue, les dernières gouttes en allant les chercher le plus profondément possible. Une fois que j’ai moi aussi la bouche bien pleine, il redescend le long de mon corps en me caressant avec ses fesses et nous partageons nos spermes respectifs dans une bonne pelle.
Epuisé, il s’allonge à côté de moi. Je le fait rouler sur le côté et me mets en cuillère derrière lui. Nous sommes tous les deux épuisés mais avant de fermer les yeux je lui dis:« La prochaine fois c’est toi qui me prends. »Il trouve la force de me répondre:« Ok »Et nous nous endormons tous les deux…
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