Les vacances bisexuelles - histoire érotique

Après une journée de balades, nous avons décidé d’aller au restaurant sur le port et nous avons passé une bonne soirée.
Nous sommes rentrés à pied, car la nuit était très belle et les filles étaient très joyeuses.
Arrivé dans la maison, Christophe et moi, nous nous sommes installés dans les canapés et nous reparlons de la journée.
Ma femme me murmure qu’elle a chaud et qu’elle aimerait bien faire un strip-tease pour exciter Laurence et Peggy.
- Et moi j’aurai le droit de regarder ?
Valérie "Bien sûr, mais avec Christophe vous ne touchez pas et pour cela je vais vous attacher les mains."
Juste après nous avoir bridé complètement elle se dirige vers les filles pour les provoquer.
Elle est bizarre mais je commence à m’habituer à ses réactions spontanées.
Elle va directement vers Laurence pour l’embrasser.
Les trois filles sont faces à nous.
Peggy en profite pour passer sa main sous sa jupe et se caresse d’une main et caresse les cheveux de Laurence de l’autre.
Valérie embrasse Peggy puis Laurence pour les stimuler.
Laurence porte une main derrière la nuque de Valérie pour l’empêcher de se retirer et lui aspire la langue comme si elle faisait une pipe à un sexe d’homme.
Valérie se laisse faire en poussant des petits gémissements.
Peggy se lève et se positionne derrière Valérie pour lui relever sa jupe et lui caresser les fesses puis la raie.
Valérie est toujours bloquée par l’aspiration de sa langue par Laurence qui en profite pour retrousser le chemisier et dégrafer le soutien gorges.
Ma femme est courbée et laisse apparaitre sa croupe magnifique et les deux filles s’occupent d’elle.
Il n’en faudra pas plus pour que Christophe et moi nous nous mettions à bander.
Peggy se lève et nous demande de jouer à un jeu.
Elle nous demande de mettre les mains derrière la nuque et nous devrons nous exciter jusqu’à l’éjaculation mais nous ne devrons en aucun cas porter nos mains sur nos bites.
Il nous a fallu qu’un seul regard avec Christophe, pour accepter.
Je propose qu’elle nous libère pour retirer nos vêtements, mais Peggy refuse et dit qu’elles vont s’en occuper pendant le jeu.
Ma Valérie est délurée et elle est déjà en train de fouiller de ses doigts la vulve de Laurence qui gémie.
Peggy les arrête. Elles se chuchotent sans doute une stratégie mais les sourires et les regards tournés vers nous me laisse penser qu’elles préparent quelque chose qui va nous plaire.
Elles se lèvent toutes les trois et commencent une danse et se déshabillent tout en se caressant.
Elles sont belles et elles jouent bien les coquines pour nous exciter.
Laurence part dans la cuisine mais je l’entends téléphoner puis elle revient avec un bac à glaçons.
Peggy prend un des glaçons et vient le placer sur la pointe des seins de Valérie, cela lui fait un effet direct. Elle gémie et la pointe des seins se mettent à sortir. Laurence quant à elle, se place derrière Peggy et lui place un glaçon à l’entrée de la vulve.
Avec Christophe on se regarde et nous détaillons les envies que nous avons de voir les filles se donner du plaisir mais surtout qu’est-ce que l’on aimerait bien les voir faire des actions plus cochonnes.
Peggy attrape une poignée de glaçons et les place à l’entrée de la vulve de Valérie. Elle sursaute directement avec un crie.
Peggy lui ordonne de se taire et lui met l’autre main sur la bouche.
Peggy me regarde dans les yeux en même temps pour voir ma réaction.
Valérie attrape les épaules de Peggy pour se retenir et éviter de tomber à la renverse.
Valérie se tord et porte une de ses mains à la vulve pour retirer les glaçons.
Peggy lui retire la main et lui ordonne à nouveau de conserver les glaçons.
Je sens que Peggy veut dominer ma femme et Laurence. Visiblement Laurence est initiée à la sous-mission. Christophe me confirme qu’elle aime être commandée par Peggy et qu’à chaque vacance, elle en profite pour être soumise.
Christophe m’explique que Peggy aime pratiquer le jeu de maîtresse et que les autres soient ses esclaves. Je pense que cela ne va pas forcément plaire à Valérie, mais je me trompe car depuis quelques temps elle cherche de nouvelles expériences.
Peggy a un grand sourire et oblige Valérie à se mettre à genoux, elle relève une jambe et lui offre sa vulve avec plusieurs doigts pour bien écarter ses lèvres.
Peggy « Allé, sort ta langue et lèche moi jusqu’à temps que je t’inonde le visage avec ma cyprine ».
Hypnotisée, Laurence se place aux côtés de Valérie comme pour partager le bonheur.
Peggy lui demande d’aller s’équiper pour dresser Valérie, pendant qu’elle va lui faire bouffer sa chatte.
Je comprends que Peggy est devenue complètement différente dès que nous avons été attachés.
Laurence va dans la pièce dont nous n’avons pas le droit d’accès et referme la porte derrière elle.
Je regarde Peggy qui attrape les cheveux de ma femme pour lui faire coller la bouche sur sa vulve et lui dit : mais vas y lèche mieux que ça, si tu veux que je te remplisse la bouche !!
Ma femme pousse des grognements en même temps que sa langue essaye de rentrer dans la vulve de Peggy mais visiblement cela ne suffit pas alors Peggy commence à l’insulter
« Allez salope, lèche mieux que ça, bouffe-moi la chatte avec tes dents. »
Valérie lui répond : « Oui maîtresse, je vais m’appliquer »
Peggy : Fait pas semblant, tu dois m’exciter mieux que ça, les deux mâles te regardent et ils attendent que tu me fasses jouir. Mais je vois que tu fais semblant, peut être avec une grosse bite dans la chatte ça va te motiver ?
Valérie : Oui maitresse, tu as raison, je veux que tu me motive à m’appliquer à te lécher, je suis ta servante.
Peggy appel Laurence en criant « magne toi Laurence, Valérie désobéi »
J’entends quelques secondes après la porte de la pièce « Interdite »
Peggy s’adresse à Valérie : Maintenant je veux que tu m’aspire le clito jusqu’à se que je t’ordonne d’arrêter. Vas-y pompe ….
Peggy regarde Christophe et remarque qu’il bande comme un taureau, elle lui dit : ça t’excite mon salaud de voir la femme de ton pote, être soumise par une autre femme ?
Laurence arrive dans le salon, habillée d’une combinaison noire brillante et une bite dépasse de l’entre jambe, elle se dirige vers Peggy comme si elle voulait avoir une validation. Lorsqu’elle arrive devant Peggy, elle regarde Valérie la sucer avec les yeux écarquillés et elle se met à passer sa langue sur ses lèvres comme si elle avait d’avoir la place de Valérie.
Peggy la regarde et se moque d’elle en lui disant : ça te fait envie ma grosse chienne ? mais regarde plutôt ton homme qui bande super bien et il ne loupe pas un seul moment du plaisir que me donne Valérie. Tu vas alors t’occuper de ton mari, je pense qu’il a besoin d’un bon coup de bite !
Laurence vient près de Christophe et l’attrape par les poignets et lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le canapé.
Elle prend la ceinture de son pantalon et lui attache solidement les mains.
Peggy s’adresse à Laurence : Qu’est ce que tu fais ? vas y baise le à sec ! il n’attend que ça de se la prendre dans le cul ! François regarde bien comment Christophe pousse en même temps que Laurence va lui faire rentrer l’engin dans le cul.
Laurence s’adresse à Christophe : Tu veux à sec ou avec du gel ?
Christophe : Vas-y avec un peu de gel.
Laurence : Tu vois que le plaisir à sec n’est pas toujours bon !!! je vais te lubrifier….
Laurence sort du tiroir de la table de salon un sachet de gel et lui badigeonne le fion puis introduit le gode dans le cul de Christophe. Les coups de reins de Laurence font balancer le sexe de son mâle et j’observe que son état d’excitation a suffi pour que le gonflement lui fasse décalotter son gland.
Pendant ce temps-là, Peggy se fait brouter par Valérie et elle commence à pousser des gémissements qui se transforme rapidement en cris.
Peggy me regarde et observe que mon sexe commence à pointer le ciel….
Ça doit l’exciter car elle se met à insulter Valérie comme si elle criait après un mec.
Peggy « Vas-y pompe moi plus fort salope, tu n’es qu’une grosse chienne qui à envie de se faire sauter, grosse pute, je vais t’inonder la bouche de mon jus et tu vas tout boire ».
Aussitôt, je vois que Valérie veut reculer mais Peggy lui tient fermement la tête avec ses mains pour l’empêcher de bouger et sans qu’elle puisse dire quoi que ce soit, Peggy lui gicle un liquide en plaine bouche.
Mais Valérie ne peut avaler ce liquide et en recrache une partie. Peggy grogne et lui dit d’avaler pendant quelle pisse.
Je comprends d’un seul coup que le liquide est de l’urine.
Peggy me regarde comme si elle était vainqueuse et me dit : « tu veux aussi y gouter ? approche-toi vite ». Alors je me suis déplacé pour ne pas laisser ma tendre chérie seule et surtout pour partager.
Dès que je me suis mis à genoux devant Peggy, elle s’est retournée et m’a appliqué son entrejambe encore humide et dégoulinant puis elle s’est lâchée pisser dans ma bouche. L’impression était bizarre mais pas vraiment équerrant comme je me l’étais imaginée.
Valérie s’est mise à côté de moi en me disant de tout boire en sortant la lange pour diriger le jet dans ma bouche et de l’introduire en même temps dans la fente de Peggy.
J’exécute le désir de ma femme et elle en profite pour embrasser Peggy.
Je prends mon pied, et je suis excité par cette nouvelle expérience.
Lorsque Peggy a eu terminé, elle nous a ordonné de nous embrasser.
Aussitôt Valérie est venue se positionner et nous avons exécuté avec un grand plaisir.
Laurence continuait à sodomiser Christophe mais Peggy lui a ordonner d’arrêter avant qu’il décharge son foutre.
Peggy toujours aussi directive, ordonne à ses deux esclaves de nous attacher Christophe et moi pour que nous soyons offerts.
Mais qu’est ce qu’elle veut dire par « Offert » cette vicieuse !
Valérie m’attache alors les mains avec les pieds, se qui m’empêche complètement de bouger mais qui me laisse accessible à tous les trous et aussi de la bitte mais je ne peux pas y toucher.
Laurence en fait autant à Christophe et nous nous retrouvons tous les deux, parterre l’un à côté de l’autre.
Encore une fois, les trois filles discutent à voix douces.
Peggy prend son téléphone et appel mais nous ne comprenons pas se qu’elle dit. Après avoir raccrocher, elle décroche à nouveau et appel visiblement quelqu’un d’autre. Elle est obligée de parler plus fort et j’entends qu’elle dit à l’interlocuteur « Magne toi on a besoin de toi et Lucien sera là dans moins de 5mn », puis elle raccroche en nous regardant.
Peggy : « Les filles on va préparer vos maris pour la surprise »
Laurence et Valérie se dirige vers nous et elles nous relèvent les jambes pour s’occuper de nous comme des gros bébés. Valérie prend le flacon de gel et m’enduit l’entrée de l’anus de lubrifiant en forçant l’intérieur.
Laurence et Valérie en font autant pour leur cul et elles essuient leurs mains chacune dans l’entrée de leurs vulves.
Peggy se met à nous insulter de tous les noms et nous promet que nous allons en baver dans quelques minutes.
Aussitôt nous entendons quelqu’un qui frappe à la porte d’entrée.
Laurence se dirige vers la porte toujours équipée du gode énorme qu’elle a entre les jambes. Elle ouvre la porte et deux hommes entrent dans la pièces.
Les présentations sont faites par Peggy, elle dit aux invités que les cadeaux sont parterres et que la femme de chacun sera leurs assistantes ou exécutantes de tous les désirs.
Pour faire les présentations, il y a David : un jeune de 30 ans avec le crane rasé et visiblement bien musclé et Lucien : un homme de 65 ans à l’allure pépère, habillé vieillot et plutôt vulgaire.
Peggy : « Messieurs je vous présente deux vides couilles accompagnées de leurs salopes, votre mission va d’être de les remplir de votre jus et de faire tout ce que vous souhaitez satisfaire en désirs. Les deux femmes sont avides de bites et accepterons tout se que vous souhaitez. Comme d’habitude, je serai là pour vous coacher à tous les moments cruciaux. »
Lucien : « David, tu vas t’occuper du mari à la grosse bite avec la pute en vinyle et moi je vais commencer par baiser la salope de l’autre pédé ».
La vulgarité de ce mec me surprend et j’appréhende la suite.
Lucien : Oh la salope, viens délivrer ton mec et tu te mets en 69 sur ce chien pour lui sucer la bite et il va te lécher la chatte. Je vais vous apprendre la vie »
Valérie exécute les ordres, après avoir été libéré, elle se place sur moi et j’ai le nez devant ça vulve.
Je ne vois plus personne mais j’entends Lucien qui ordonne à David de se faire sucer par Laurence. Je n’ai pas pu voir le calibre des deux énergumènes mais Valérie a seulement dit « Woahou ». J’ai compris qu’il y avait du calibre.
David et Lucien se sont déshabillés et Peggy les complimente sur leur forme en disant à Lucien qu’elle n’a jamais su faire la différence entre son sexe en érection et au repos sauf quand il l’avait sodomisé. J’ai compris que ça bitte devait avoir une taille d’un bon diamètre.
Valérie ne s’occupe pas des discussions et me pompe bien avec un léchage entre deux du gland.
Lucien contourne Valérie et je le vois venir se positionner derrière Valérie, juste au-dessus de moi.
Alors là, j’ai été pris d’un frisson, et je ne pouvais plus lécher Valérie car le vu du sexe de Lucien m’a laissé bouche bée.
Incroyable, il a une bitte d’un diamètre de 10cm mais pas très long. Les couilles sont dans le prolongement du membre et on pourrait croire qu’il n’en a pas. Je me pose la question sur le fait qu’un membre aussi gros pourra passer dans les entrailles de ma petite femme mais je vais être obligé de bien la préparer mais ce n’était pas vraiment l’intention de Lucien.
Il s’est mis à genoux et je me suis retrouvé avec ce membre devant les yeux.
D’une main, Lucien a pris sa bitte pour frapper sur le cul de Valérie. J’ai entendu le claquement que faisait chaque coup. J’ai compris que son membre devait être lourd et qu’il été déjà à l’état d’excitation mais son gland est toujours recouvert par le prépuce.
Lucien commence à passer son engin devant la vulve de Valérie et je regarde avec les yeux bien grands ouvert pour voir le moment où l’entrée de la vulve va céder à la pression.
Lucien me dit « Regarde bien petit pédé, je vais éclater la chatte de ta pute, je vais la faire gueuler, qu’est-ce que t’en penses ? Tu vas t’en rappeler de tes vacances et ta femme aussi ».
Moi : « Vas-y doucement Lucien, elle n’a jamais reçu de calibre comme le tiens mais seulement la petite main d’un partenaire après avoir été préparée ».
Lucien : « Hé bien tu va me la sucer avant que je lui four dans le cul »
Moi : « Je préfère que tu prennes sa vulve et je te présenterai mon cul plutôt.
Lucien : « Regarde Peggy, la tantouse veut se faire démonter le cul plutôt que se soit sa femme qui dérouille ! il va comprendre la salope et il va se rappeler longtemps de notre rencontre ! »
Aussitôt avec sa main il dirige sa bite à sur mes lèvres.
Je me bloque directement car je sens une odeur de vieille pisse et qui m’écœure directement, je ne peux pas ouvrir la bouche et je tourne la tête.
Lucien : « Peggy, la pétasse refuse de prendre ma bite en bouche, occupe toi de lui faire ouvrir sa gueule ! »
Peggy est venue se placer dans mon entre-jambe, pendant que Valérie avait ma bite en bouche, elle a gobé une de mes testicules et elle me l’a mordu à pleine dents. L’effet a été immédiat, je me suis mis à crier et Lucien en a profiter pour loger sa bite dans ma bouche.
Je ne vous explique pas le temps qu’il ma fallu pour adapter l’ouverture de ma mâchoire à ce membre qui été entrain de m’écarteler les maxillaires mais surtout m’habituer à l’odeur de cette bite puante et surtout de me retenir pour ne pas vomir.
Lucien a senti que je laissé rentrer son membre dans la bouche, mais je l’acceptais en me disant que Valérie ne devrait pas subir ce goût de pisse qui était très loin d’être aussi bon que la pisse de Peggy avalée quelques minutes avant.
Lucien a alors progressivement enfoncé son sexe dans ma gorge. A chaque coup de rein, je me suis appliqué à orienter ma langue pour laisser un maximum de passage et apporter de la salive sur la hampe de ce sexe énorme.
Je sens malgré tous, les lèvres de Valérie sur ma bite mais je suis très préoccupé de la suite des intensions de Lucien pour elle.
Lucien : « Valérie je vais m’occuper de ta chatte maintenant que la salope m’a bien salivé la bite, il va falloir que tu t’écarte bien les lèvres de la chatte ou à moins que tu préfère que je te prenne le cul direct ? Mais tu m’as l’aire d’être une bonne salope comme ton mari alors à toi de voir ! on va se le faire à pile ou face, suivant le trou que tu auras écarté le mieux !
Lucien retire sa bite de ma bouche et avec sa main il la remonte en direction des deux trous. Valérie est toujours plantée avec sa bouche sur ma bite et elle n’a pas pris le soin d’écarter. Je ne peux pas m’en occuper à sa place.
Alors je vois que Lucien commence à donner des coups de reins et le bout du sexe tape un peu partout sans pouvoir trouver une ouverture.
Peggy se moque de Lucien et lui dit de taper plus fort pour que ça rentre.
Lucien glisse un doigt dans la vulve de Valérie et le coup de rein suivant permet l’insertion de la bite dans le sexe encore fermé.
J’observe et je vois la tige rentrer un petit peu, je pensai qu’il ne pourrait pas aller plus loin mais il a saisi la croupe de Valérie à pleines mains.
Il a tellement serré les hanches avec ses grosses mains, qu’il a fait crier Valérie et au même moment il a forcé d’un seul coup pour loger la bite d’une dizaine de centimètres dans la vulve. Valérie pousse des gémissements et ordonne à Lucien de forcer encore.
Je n’en reviens pas. Lucien engage alors des coups de reins de plus en plus rapides et Valérie pousse des gémissements avec des cris reconnaissable lorsqu’elle fait un orgasme.
Lucien tient une forme de taureau visiblement et il est endurant.
Au bout d’un long moment ou il a tapé dans la vulve de ma dulcinée qui a fait plusieurs orgasmes d’affilés, j’ai entendu Lucien qui grognait de jouissance.
Je pensais qu’il avait déchargé la totale dans la vulve mais lorsqu’il s’est retiré, sa bite est tombée devant mes yeux et là je me suis pris plusieurs saccades de spermes qui m’ont inondé le visage. J’en avais partout jusque dans le nez. Le Salaud, en plus son sperme avait mauvais goût.
J’avais pris mon pied et je me rassurai en me disant que s’il voulait sodomisait Valérie, cela allait être plus doux.
Lucien se relève et ordonne à Valérie de se retirer pour pouvoir s’occuper de moi maintenant. Il lui port les doigts à la vulve encore entre ouverte et lui récupère la semence et lui porte à la bouche en lui ordonnant d’avaler.
Peggy félicite Lucien et vient embrasser Valérie pour goutter le jus.
Peggy : « Oh le salaud, ton foutre est dégueulasse, y a longtemps que tu avait tiré un coups ! »
Je pensais qu’il allait en rester là vu son âge et le peu de musculature qu’il a.
Lucien : « Alors Valérie, ta salope de pute de mari t’a déjà fait jouir comme ça ? Pour qu’il ne soit pas jaloux, je vais lui en donner autant à cette chienne, il le mérite bien comme il m’a bien léché la bite. »
Il me regarde et porte un doigt directement à l’entrée de ma rondelle et je me laisse faire, avec une crainte quand même, mais il me triture correctement et il sent qu’il y a encore la présence de gel.
Lucien : « Je te chauffe le cul ma salope mais t’inquiète pas je vais te déchirer tes plis soleil, et tous ceux qui viendront te baiser, auront toute la place et toi tu jouiras sans aucune douleur. Tu va devenir une grosse salope qui sera toujours à la recherche de bite et tu demanderas même à ta bonne femme de te baiser à n’importe quel moment ! »
Il retire ses doigts, me fait relever les jambes et en se couchant sur moi, il présente son engin à l’entrée du cul.
Je le laisse faire mais j’appréhende de la suite, il me donne des petits coups et je sens que sa bite commence à se faire un chemin puis il demande à Peggy de lui passer du gel pour faciliter mon dépucelage.
Moi qui pensais que les sodomies que j’avais subit, étaient suffisantes pour toutes autres pénétrations et bien Lucien doit dépuceler régulièrement des culs comme le mien.
Après le chargement de gel, Lucien replace sa bite et sans que je m’y attende, il pousse un cri très fort et m’enfonce directement son membre au fond.
Je ne peux pas me retenir de crier. Il reste bloqué au fond de mon cul et il me demande l’impression. Je lui dis que j’ai le cul en feu mais que c’est une sensation de plaisir car ça doit toucher l’intérieur de ma prostate qui me fait tilter.
Je lui demande alors de me baiser comme il l’a fait à Valérie.
Je disjoncte de plaisirs.
Pendant que Lucien me baise, je peux voir maintenant David prendre en levrette Christophe et Peggy sodomiser Laurence alors que Valérie me regarde avec des yeux d’amour et qui contemple ma jouissance.
Lucien continu a m’insulter de tous les noms d’oiseaux et me bourre le cul.
Je ne peux pas m’empêcher de répondre et d’activer son excitation par des vulgarités.
« Baise-moi bien, enfonce ta bite dans le fond de mon cul, ah oui vas-y, sers-toi de mon cul, tu me défonce, oh mon salaud tu me baise bien. »
Finalement, tout le monde nous regardait et surpris de mon langage.
Lucien s’est fini sur mon visage après au moins 15mn .
Ces vacances resterons dans les annales !!!!!
Nous avons projeté de se revoir tous les 7 rapidement.