Les vacances commencent bien sans papa. - histoire érotique

Je m'attends comme d'habitude à une volée de bois vert, bien que cela puisse déplaire à certaines personnes, et pas à d'autres, j'assume de mes écrits, car la demande de ce genre de récits est très importante. Bien que je ne sois pas incestueuse, j'aime écrire ces délires immoraux.




Paul, sa femme Christelle et leur fils Marc ont loué un petit mas dans le sud pour passer les vacances. Christelle et son fils partent quelques jours avant, parce que Paul doit régler un dossier important.

Comme le voyage est long, ils ont réservé deux chambres d'hôtel pour faire une étape. Ils arrivent très tard, mais une fois à la réception, aucune chambre n'est prévue pour cette nuit, la date retenue n'est que deux jours plus tard, et l'hôtel est complet pour cette nuit.
C'est l'effroi, Christelle blêmit, elle se dit surement une faute de frappe. Et pour trouver un autre hôtel à cette heure, c'est impossible. En voyant le désarroi du couple, le réceptionniste, propose sa chambre, mais il n'y a qu'un lit. Très fatiguée et au bord des larmes, Christelle ne peut qu'accepter. Soulagée, elle remercie l'homme et monte à l'étage suivit de son fils.

Marc dit, avec une pointe d'humour en souriant :

-Maman à la guerre comme à la guerre, pas de chichi, fais de moi ton mari pour la nuit !

La maman hausse les épaules, en secouant la tête négativement.

Marc entre dans la salle de bain et en ressort qu'avec sur le dos un boxer, le bougre est bien musclé. Christelle, elle, prend son temps. Après une douche, elle enfile sur son corps nue une nuisette transparente. Dès qu'elle sort de la salle de bain, les yeux de son fils se braquent sur elle.

En voyant, au travers du fin tissu, la toison taillée comme un ticket de métro. Son sang ne fait qu'un tour. Il admire ce corps aux formes plantureuses en salivant. Il croit que les mamelons larges et épais vont percer le fin tissus tellement ils sont tendus.
La nuisette très courte qui laisse voir une grande partie de ses cuisses, le fait saliver. Pour Marc, c'est un plaisir des yeux. Timidement, la maman s'enfonce dans les draps, en prenant soin d'éviter le contacte du corps de son fils.

En position latérale, il se plaque contre elle, en ronronnant. Elle ravale sa salive au contact du corps chaud de son fils contre le sien. Elle sent son souffle chaud sur son cou. Elle sent aussi, le bas-ventre de son fils, qui ondule doucement contre sa cuisse. Le coquin ronronne comme une cheminée. Il pose sa main sur le ventre plat de sa maman, il l'a sent frissonner.
Doucement sa main fait de petits cercles sur le ventre qui a de petites contractions presque hystériques. Christelle respire plus rapidement, son cœur s'affole, elle déglutit plusieurs fois, pour tenter de calmer son émoi.

Le bassin de son fils s'agite un peu plus rapidement contre sa cuisse brûlante. Christelle se contracte, elle sent la verge de son fils prendre du volume. L'animal est monté comme un poney, Christelle défaille. Marc la sent frémir. Il ose le tout pour le tout, habilement, il sort de son boxer le manche qui devient douloureux. La maman se cabre en se pinçant les lèvres, c'est peau contre peau que le gredin de fiston, fait coulisser doucement son membre tendu contre sa cuisse.

Elle ravale sa salive, une pensée incestueuse lui traverse l'esprit. Elle serre les poings, en soupirant fortement. Habilement, Marc entreprend un doux va-et-vient contre la cuisse de sa maman, qui reste sans voix. Le membre prend encore plus de volume, le gland lâche quelques perles de rosées sur la cuisse brûlante.
La maman souffle comme un dragon, son cœur va éclater, elle n'a toujours pas repoussé son agresseur de fils, qui accélère le va-et-vient sur la cuisse maternelle.


Il s'enhardit, il pose sa main sur la cuisse de sa maman, et la passe doucement sous sa nuisette, en faisant au passage quelques petites caresses sur sa verge dure comme du béton. Christelle n'en peut plus, elle saisit brusquement le membre raide et le presse plusieurs fois, en soufflant comme un taureau. C'est vrai qu'elle est imposante la bite de Marc. La maman là tient un bon moment avant de décider.

C'est avec douceur, qu'elle branle la verge de son fils, le bougre, n'en espérait pas autant.
Sa main approche lentement du puits d'amour. Il sourit en constatant que sa maman n'est pas insensible à son audace, sa toison est affreusement mouillée. Dès que les doigts se posent et caressent sa vulve en ébullition, elle se cabre comme un cheval.



Christelle se tend comme un arc, elle lâche la verge en gémissant. Marc se redresse et retrousse la nuisette. Il ouvre délicatement les jambes maternelles et plaque sa bouche sur la vulve dégoulinante. En faisant de forte aspirations, il avale le jus que le temple rejette. Quelques coups de langues sur la boule magique, font couiner Christelle de plaisir. La langue glisse dans le sillon que forment les grandes lèvres, en montant vers la boule de l'amour. Mais dès qu'il la gobe, la maman ressent comme une décharge électrique, lui traverser le ventre, elle pousse un long râle.


Marc comme un vorace lui dévore le clito, sa maman ne peut retenir ses gémissements rauques. Comme un expert, le fiston suce et tète la boule de tous les plaisirs. Christelle appuie fortement sur la tête de son fils pour qu'il ne se dérobe pas. Mis à part ses gémissements, elle n'a toujours pas prononcé une parole. Soudainement, elle se cambre fortement et hurle :

-Oui, oui, je viens !

Une explosion de jouissance la fait gémir :

-Oh mon Dieu, je suis une catin, une maman indigne, non, non, je dois être folle pour agir de la sorte !

Marc ne l'écoute pas, il enfonce sa langue profondément dans le conduit détrempé. Il en fouille chaque recoin. Christelle est hors sol, elle s'accroche à son fils comme un rapace sur sa proie. Une seconde jouissance la fait hurler. Marc se redresse, il regarde longuement sa maman qui a des larmes pleins les yeux. Elle dit entre deux souffles :

-Mon chéri, mais nous sommes fous de faire une chose pareille, oh comme j'ai honte, laisse-moi, laisse-moi !

Marc s'allonge sur elle, elle sent contre son ventre en ébullition la verge pleine de vie qui bat. Elle serre son fils dans les bras en geignant :

-Non, non, mon chéri, pas ça !

Marc, dirige d'une main sa bite gorgée de sang vers le temple de l'amour. Il appuie son gland contre les lèvres humides et pousse. La maman souffle comme un dragon, elle n'a pas la force de le repousser. Le gland force les grandes lèvres qui s'écartent, et s'engage dans le conduit brulant.
Pendant toute la pénétration, Christelle pousse un long râle, en s'agrippant à son fils. Jamais sa chatte n'a jamais été aussi dilatée, le gourdin de chair qui lui distend la gaine vaginale, l'a fait geindre.


Plus la bite s'enfonce en elle, plus la maman se cambre. Elle marmonne :

-Oh mon Dieu comme tu m'ouvres mon chéri, c'est monstrueux, oui, va à fond, va à fond !

Marc la tient fermement par les hanches, il tire dessus à chaque enfoncement de sa bite pour que sa maman soit totalement empalée. Il commence un pilonnage terrible, Christelle pâme de bonheur. Le gland épais, racle les parois sensibles de la chatte, en faisant gémir la maman. Marc accélère, la tension est au maximum. Christelle se tend comme un arc et explose de jouissance en poussant un hurlement inhumain. Marc ne peut retenir plus longtemps sa jouissance, c'est en grimaçant, qu'il remplit le ventre de sa maman de sperme. Il se retire du ventre accueillant et dit :

-Pendant l'absence de papa, je vais bien m'occuper de toi ma petite maman salope, tu seras ma chose !

Christelle en haletant répond :

-Oui mon chéri au mas, tu feras de ta chose ta pute !

Fatigués par le voyage, ils s'endorment enlacés.