Les vacances commencent bien sans papa 2 - histoire érotique

Après le petit déjeuner, avant de prendre la route, il demande à sa maman de ne pas mettre de culotte, car le coquin a des projets. Lorsqu'elle conduit, (ce qui est très dangereux, et très déconseillé), il lui caresse les cuisses, la chatte, le bougre lui donne des jouissances terribles. Lorsque c'est Marc qui prend le volant, elle le branle, lui fait des fellations si monstrueuses, que son pantalon en garde les séquelles. Elle lui avoue qu'elle n'a jamais sucé son papa avec autant d'ardeur. Cela flatte le jeune amant, qui se blottit contre elle en ronronnant.

Elle lui dit :

-J'ai hâte d'arriver mon chéri, je veux que tu me prennes, j'ai trop envie de ta queue, elle est si bonne et grosse !

Il la regarde langoureusement et lui dit tendrement :

-Moi aussi, je te veux, regarde, je bande rien que d'y penser !

Elle pose sa main sur la queue de son fils et, souriant et dit :

-Je vais bien m'occuper d'elle mon chéri !

Il la stoppe et lui dit :

-Non, je n'ai plus rien dans les couilles, laisse-moi recharger mes batteries maman !

Ils approchent du mas, il ne reste que quelques kilomètres à parcourir. Enfin, ils arrivent. Ils font le tour du propriétaire, et montent les valises dans les chambres. Marc, pendant que maman fait les lits, il prépare le barbecue, car c'est l'heure du déjeuner. Elle enfile une jupe légère très courte, et un corsage fin échancré, elle omet de mettre des sous-vêtements.

Elle dresse la table sous un olivier, et observe Marc qui se démène comme un chef. De temps en temps, elle se place derrière lui et l'enlace. Elle se frotte contre ses fesses en lui donnant de petits baisers sur la nuque et le cou. Il lui dit en souriant :

-Tu ne résistes pas à mon charme, je t'excite !

Elle répond en le serrant très fort :

-Depuis que nous avions fait l'amour ensemble, je me sens une âme de salope, une autre femme, c'est toi qui me rends comme ça !

Il lui répond :

-Une vraie pute quoi !

Elle réplique !

-Oui ta pute mon chéri, ta pute !

Il réplique avec un air sérieux :

-N'est crainte, je vais faire de toi une très, très bonne pute, j'érigeai tout de toi vieille salope !

Elle répond en soufflant fortement :

-Je suis chaude mon chéri, tu me rends folle !

Elle le serre encore plus fort contre elle en ronronnant comme une chatte. Elle profite de l'occasion pour lui caresser la bite au travers du pantalon qui porte encore les traces de sperme séché. Marc se retourne brusquement, lui déchire le corsage et lui arrache la jupe violemment en ruminant :

-Oh vieille cochonne, tu veux de la bite, eh bien, tu vas en avoir !

Il l'a saisi à bras-le-corps et l'emmène sur la table qu'elle vient de dresser, les verres et les assiettes se retrouvent sur l'herbe. Il lui replie les jambes sur le ventre, et plaque sa bouche sur la chatte, qui n'est autre qu'un petit torrent de cyprine. Immédiatement, des gémissements sortent de la gorge de la maman en feu.

L'amant de 25 ans sait donner du plaisir, il fouille profondément de sa langue le conduit, il aspire en même temps tout le nectar que la chatte en peut garder pour elle. Christelle défaille en s'agrippant du mieux qu'elle peut à la table :

-Oh mon chéri, tu es un amant merveilleux, pourquoi ton papa ne fait jamais de telles choses, oh mon Dieu, tu me fais mourir !

Marc lui gobe le clito qui est devenu méconnaissable, sa maman se cambre comme un pont pour bien offrir son fruit bien mûr à la bouche vorace de son fils. Elle geint bruyamment, son visage est déformé par une moue affreuse, ses yeux sont presque exorbités.

Son ventre reçoit comme une violente décharge électrique, qui l'a fait hurler, elle se cambre au maximum. La jouissance est si fabuleuse, que la maman, est au bord de la syncope. Sa chatte, très sollicitée, envoie plusieurs jets de cyprine dans la bouche du jeune amant. Il baisse rapidement son pantalon et son slip, sa verge jaillit comme un ressort et se met à osciller sur son bas-ventre. Il la saisit d'une main, la bête bien glandée, suinte atrocement.

Il la dirige vers le temple ruissellement, et d'un coup de reins l'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de la maman en ébullition. Il l'a saisi par les hanches et commence un long travaille de sape. Christelle délire :

-Oh oui, défonce ta salope de maman qui n'aspire qu'à n'être ta chose, ton vide couille mon chéri, oh vas-y, vas-y !

Marc la défonce comme un sauvage, la coquine jouit deux fois, avant qu'il ne lui remplisse le ventre de sa semence. Il se retire et regarde la chatte qui laisse échapper le surplus de sperme. Christelle tremble de tous ses membres. Elle descend difficilement de la table, heureusement avec l'aide de son fils. Elle se laisse tomber à genoux face à lui, elle saisit la verge gluante, la décalotte et l'enfourne dans sa bouche. Elle suce et tète comme une diablesse, Marc pâme de bonheur :


-Oh putain ce que tu suces bien ma salope, continue, continue, tu vas être récompensée !

Il déverse dans la bouche de la suceuse, un flot de semence brulant. Christelle garde dans la bouche un instant l'onctueuse crème avant de l'avaler. Elle se relève et c'est la première fois que les deux amants incestueux s'embrassent. Les langues se nouent, plusieurs coulées de salive sont échangées. Le baiser dure un très long moment. Mais il est temps de passer à table. Christelle reste en guenille pour manger, elle regarde son fils en le dévorant des yeux puis lui dit :

-j'adore lorsque tu es brutal mon chéri, mais ne t'en prends pas à mes vêtements, car bientôt, je n'aurai plus rien à me mettre !

Marc en souriant lui répond :

-Ah, tu aimes que je sois brutal, très brutal dis-moi ?

Christelle baisse la tête en soupirant et dit faiblement avec honte :

-Oui, j'adore être malmenée, subir des sévices, être humiliée, fessée, je n'ai jamais osé demander à ton papa de me violenter. Lorsque je suis seule, il m'arrive de me frapper les seins et la chatte avec une cuillère en bois, c'est terrible les jouissances que j'ai !

Marc regarde sa maman en disant en se pinçant les lèvres :

-Mais tu es une grosse salope, jamais, je n'aurai pensé avoir une maman aussi perverse. Oh oui, je vais faire de toi une bonne pute, termine de manger, je vais m'occuper de tes envies délirantes de dépravée !