Les vacances de Lise
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Les vacances de Lise
Lise et moi sommes amants depuis un bon bout de temps maintenant, et avec ma complicité, elle est devenue une libertine aguerrie, multipliant les expériences et y prenant de plus en plus goût. J’en suis ravi, mon côté candauliste s’exprime pleinement grâce à elle. Parfois je regarde, d’autres fois je participe, souvent je subis en tant que cocu soumis, au gré de nos aventures.
Nous nous épanouissons mutuellement dans cette relation et pour rien au monde nous ne voudrions changer.
Là nous sommes en vacances, dans un club bien connu, plage, soleil, farniente, un régal. C’est l’été, le farnienté. Nous sommes d’alertes sexagénaires qui assumons nos envies. Lise est voluptueuse, sensuelle, une poitrine généreuse qui attire les regards, même ceux des jeunes coqs. Ses seins sont très denses avec des aréoles larges et brunes et surtout des tétons érectiles. Ils sont un peu tombants ce qui fait que, quand elle se promène sans soutien-gorge, cela ballotte pas mal. Je suis fier d’elle et la voir désirable ainsi me comble. Elle en est bien consciente et en profite bien la coquine, pour allumer, comme on dit.
Moi, j’ai su rester en forme aussi, grâce à un peu de sport et une vie saine. Mon corps d’homme mur me plait et surtout convient à Lise avec mes poils sur la poitrine.
Enfin, bref, nous voilà bientôt arrivés à la fin de notre séjour, nous sommes bien bronzés il reste demain qui sera notre dernier jour. Mais ce soir c’est la fête.
Nous sommes attablés à une table au bord de la piste de danse. Les chansons s’enchaînent et nous profitons pour danser, rigoler avec d’autres vacanciers avec qui nous avions sympathisé.
Lors d’une pause au bar, nous commandons deux punchs, et voilà qu’arrive Joseph, le maître nageur du club. Il demande s’il peut se mettre à côté de nous, aucun problème. C’est un athlète, le Joseph, des pectoraux, des biceps, pas une once de gras, jeune, entre 25 et 30 printemps, et il est noir, d’origine sénégalaise je crois.
J’ai déjà remarqué les jours précédents que Lise lui plaisait bien, malgré l’écart de nos âges. On plaisante, on rigole bien. Ben se joint à nous, d’après ce que j’ai compris c’est le meilleur pote de Joseph, il est moniteur de voile au club. Lui, nous ne le connaissons pas vraiment. Les deux jeunes nous expliquent que demain c’est leur jour de congé, ils sont bien contents pour se reposer un peu, se détendre. Tout en bavardant, ils en profitent pour reluquer Lise dans sa petite robe blanche, toute bronzée, à croquer. Elle n’est pas dupe et en rajoute avec ses sourires, ses mimiques, ses attitudes.
De retour dans notre bungalow, qui est implanté au bout du village de vacances, elle se colle à moi, chaude, langoureuse, je connais ce petit jeu. Je sais qu’elle est excitée.
« Ils me plaisent ces deux-là. » dit-elle et puis elle me caresse, me rend fou de désir, me fait passer un moment génial dont elle a le secret. Elle s’occupe de mon sexe, je n’ai pas le droit de faire quoi que ce soit jusqu’à ce que je ne me retienne plus. C’est dans un grand râle que j’éjacule. Par contre, pour la remercier, j’ai l’obligation de lui ramener ces deux beaux garçons dans notre logement, avant notre départ. C’est un jeu que nous pratiquons quelquefois, en vrais coquins.
La nuit se passe calmement. Je n’ai pas le droit de la toucher. Le lendemain, après le petit déjeuner je me mets en chasse, comme convenu la veille. C’est compliqué de trouver Joseph mais je finis par le dénicher, en train de lézarder au soleil. J’engage la conversation et je lui fais part de notre envie de l’inviter à prendre un pot avec nous, avant notre départ. Il avait prévu un truc avec Ben, pas de souci, il peut se joindre à nous, j’ai un bol monumental sur ce coup. Rendez-vous est pris pour 14h30 à notre bungalow.
Je retourne en faire part à Lise, elle s’excite comme une adolescente, j’adore toujours ces moments qui précèdent la rencontre effective. Elle aimerait être seule un moment de l’après-midi avec les garçons, me confie-t-elle, pas de souci, je ne peux rien refuser à cette femme formidable. J’irais faire des courses, on se marre comme des gosses.
14h30, les deux garçons se pointent, mignons à souhait, nous les accueillons sur la terrasse du chalet.
Joseph est en chemise ouverte, bleu ciel, sa musculature est impressionnante, fine en même temps, bermuda blanc moulant, pieds nus. Ben est un beau blond, les cheveux longs, yeux bleus, une belle plante, moins musclé que son copain. Il a un short très court et un marcel échancré sous les bras et au cou.
Lise enfonce ses doigts dans mon bras, je la prends à la taille. « Qu’ils sont beaux tous les deux » me glisse-t-elle à l’oreille. On s’installe, je sers des rafraîchissements. Lise est époustouflante dans son maillot deux pièces, il est blanc, ce qui fait ressortir la peau cuivrée. Le haut, soit est trop petit ou les seins de Lise trop grands, ces derniers débordent sur le haut mais aussi sur les côtés. Ils cherchent à s’échapper du soutien gorge à chacun de ses mouvements. Ça excite bien les garçons qui se regardent, qui rougissent. On bavarde et comme convenu je fais mine de recevoir un coup de fil. J’explique qu’un collègue de travail est en vacances en même temps que nous et il me demande de le rejoindre pour régler un souci au boulot. Les garçons se regardent, font mine de se lever. « Mais non restez, ce ne sera pas long » dis-je en faisant un clin d’œil à Lise..
En prenant congé il faut vraiment que je fasse attention de ne pas dévoiler la bosse qui déforme mon pantalon de toile. Je sais, j’imagine ce qui va se passer. Pour la première fois je n’assisterai pas aux ébats de Lise, nous en avons convenu ainsi, mais elle a promis de tout me raconter en détails.
D’ailleurs je lui laisse la plume et c’est elle qui nous raconte la suite.
Je me retrouve seule avec ces deux jeunes mâles, je les fixe, ils sont différents de mon homme, leurs corps sont fermes, leurs peaux tendues, leurs muscles saillants et puis ce contraste, l’un est blanc, l’autre noir.
Je reverse à boire car je ne me lasse pas de les regarder et je découvre avec le bermuda serré de Joseph, qu’une énorme bosse déforme le devant au niveau de la braguette. Ben n’est pas en reste car je crois deviner au niveau de sa cuisse gauche, un gland qui dépasse un peu de son short court. Il est vrai que ce dernier est assez large. Ces visions ne me laissent pas insensible, mes tétons durcissent et s’allongent, ils sont bien visibles puisque le tissu blanc de mon maillot est très fin et souple. Et je sens que mon bas de maillot commence à être mouillé, je ne sais pas si la tache se remarque. Probablement.
- Il fait chaud cet après-midi, vous ne trouvez pas, les garçons ?
- Oh si, un endroit frais sera le bienvenu.
- Je peux vous proposer d’entrer dans le bungalow, il y a la clim.
- Super, super, ce serait très sympa.
- Nous entrons donc dans ce chalet de vacances qui est spacieux et accueillant : un espace séjour-cuisine, une grande chambre à coucher et une salle de bain avec douche et toilettes. Je les emmène dans la chambre à coucher et m’assieds sur le grand lit. Ils sont debout, devant moi, mes yeux sont à la hauteur de leur short. Alors sans hésiter je tends les bras et pose une main sur chaque bosse en disant « Oh ce qui est caché là-dessous me semble très intéressant ». Sans attendre leur réponse je tire short et bermuda vers le bas. Aucun n‘a de slip et ce sont deux sexes qui se déploient naturellement devant moi. Celui de Joseph est impressionnant par sa taille, long, épais, veineux et bien noir. Celui de Ben est plus modeste, plus fin mais de belle longueur néanmoins. Les deux sont décalottés.
Je les prends en main, me penche tout en restant assise et je les suce, l’un après l’autre. Les jeunes ne restent pas inactifs, ils se penchent vers moi, descendent mon haut de maillot pour faire jaillir mes mamelles et chacun en triture une. L’excitation est à son comble, j’essaie même de mettre en bouche les deux pieux ensemble, je n’arrive qu’à prendre leur glands. Ils apprécient néanmoins et eux ne se privent pas pour me malaxer, me triturer mes nichons.
Et puis Ben me bascule en arrière, je m’allonge sur le lit, il en profite pour retirer mon bas de maillot et faire apparaître mon sexe nu, mes lèvres fines et roses. Il se met nu en deux secondes. Sans autres préliminaires, il entre sa queue en moi. Elle s’enfonce facilement, tellement je suis humide, je la sens entrer au fond de mon vagin. Pendant ce temps, Joseph s’est aussi dénudé et il a retiré le haut de mon maillot. Il se met à côté de moi et il entre son énorme dard dans ma bouche. J’ai les lèvres toutes écartées. Deux de mes « trous » sont remplis, alors que je suce le beau sexe noir de l’un, l’autre me laboure ma « chatte » qui ne demande que cela. Et j’ai mon premier orgasme alors que les deux gars arrivent à ne pas éjaculer malgré mes mouvements désordonnés, mes cris et hurlements.
Je m’apaise un peu, Ben sort de mon sexe et c’est Joseph qui s’y présente. Le sexe de ce dernier est d’une autre taille. En entrant en moi, je sens mes parois vaginales qui s’écartent, c’est une sensation très agréable. Alors qu’il glisse en moi, son copain me demande de le masturber. C’est ce que je fais. Il est à côté de moi, son sexe au-dessus de ma poitrine. Je sens le plaisir qui me reprend, je tourne la tête, de gauche à droite et là, je vois, regardant par la fenêtre, mon homme, mon chéri, mon amant qui regarde cette scène.
Cela fait un petit moment que j’observe que je les observe, discrètement, par la fenêtre. Lise est belle dans son plaisir, comblée par ces deux jeunes mâles fougueux.
Ça y est elle m’a vu, inutile de me cacher plus longtemps, je rentre discrètement dans la chambre, les garçons sont surpris, ils arrêtent tout, gênés.
Je les rassure tout de suite :- Je vous en prie, les gars, continuez, ne vous occupez pas de moi.
- Viens, Joseph, continue, baise-moi, allez, ne fais pas ton timide,C’est Lise qui a parlé, elle n’a pas lâché Ben et recommence à bien le branler. Je me déshabille et viens me mettre de l’autre côté du lit, Lise se saisit de ma queue et me prodigue la même branlette qu’à Ben. Je tends mon bassin, me retenant à mort pour ne pas lui éjaculer dessus. Lise le sait, elle me met à l’épreuve et m’astique à toute vitesse.
Nous lui remontons les jambes bien haut, Ben en tient une et moi l’autre pour que Joseph puisse entrer en elle un max. Il ne se prive pas, posant ses deux mains en appui sur les cuisses bien ouvertes de Lise. Il entreprend de la pilonner fort, rapide, endurant. Lise se fait marteler le vagin par un vrai athlète, elle hurle, son bassin s’agite, elle secoue sa tête dans tous les sens.
Elle n’arrive plus à nous masturber, trop prise par son orgasme. Elle agrippe le drap de ses doigts et ses ongles grattent le tissu, elle risque de le déchirer. Ben et moi on se masturbe alors sur son visage, on frotte nos glands sur ses joues, ses lèvres, de temps en temps elle en gobe un en sortant sa langue.
Je suis le premier à jouir, j’éjacule sur le visage de Lise, mon sperme part dans ses yeux, le cou, Ben en prend aussi, désolé.
Il me suit de près et arrose Lise de son jus. Des jets puissants et abondants partent sur les lèvres de Lise, dans ses cheveux, il lui en met aussi sur ses nichons gonflés qui ballottent au gré des coups de reins de Joseph. Il est infatigable celui-là, son sexe luisant entre et sort en cadence du vagin dilaté de la belle. Elle coule abondamment ; Joseph pousse un cri, se dégage et se vide sur le ventre et sur la chatte de Lise. Il s’écroule sur le lit, Lise semble complètement désarticulée, elle gémit doucement, les yeux mi-clos, elle m’attire contre elle. On se regarde, nos yeux parlent pour nous.
Les garçons vont se doucher, sans faire de bruit, comme pour nous laisser tranquilles puis c’est au tour de Lise.
Lorsque je reviens de la douche moi aussi, je retrouve Lise couchée sur le lit entre les deux coquins, une bite dans chaque main, ils ont vite récupéré les salauds. Ils lui caressent les seins, le ventre, sa jolie chatte encore bien gonflée. Elle me fait un clin d’œil coquin.
- J’ai encore envie tu sais, ils vont rester encore un peu.
- Tu es insatiable mais j’aime te voir ainsi.
En effet, je suis ravi, d’autant que cette situation me fait rebander aussi. Je les regarde en bon voyeur que j’aime être. Les trois se caressent, inlassablement, Lise recommence à gémir, à tressauter sous les mains adroites et expertes de ces deux gaillards. Elle ne lâche pas leurs queues et me regarde. Elle me fait signe d’approcher, de m’allonger en travers sur le lit, ma tête tout au bord.
- Tu vas me préparer, mon cocu d’amour.
- Te préparer à quoi ?
- Tu le sais bien je veux être mouillée, très mouillée.
Elle vient s’asseoir sur ma bouche, sa chatte luisante s’écrase sur mon visage, j’adore ça et elle le sait. Puis elle indique aux garçons de se mettre devant elle.
Et c’est parti, elle les suce lentement, se délectant de ces deux belles bites dressées pendant qu’elle s’agite sur mon visage. Je la lèche, je la suce comme elle aime, en regardant au-dessus de moi les glands disparaître tout à tour dans sa bouche. C’est tout simplement génial.
Elle me présente de temps en temps son petit trou, je lèche, je le mouille, je sais ce qu’elle a en tête.
Après avoir demandé à Joseph de s’allonger sur le dos, elle s’empale sur sa grosse verge et tend sa croupe. Ben a compris, il se place derrière elle, présente son gland, Lise pousse et vient planter son joli cul sur la bite. La voilà prise des deux côtés. Une double pénétration avec des jeunes qui sont vigoureux. Ben pousse encore un peu, son pal disparaît complètement dans le petit trou de Lise. Joseph commence à bouger sous elle, Ben s’y met aussi.
« C’est ça les garçons, prenez-moi à deux, baisez-moi, défoncez-moi encore »
Ils ne se font pas prier, trouvent la cadence et offrent à Lise une double pénétration exceptionnelle. Elle grogne, crie, me fait signe de me placer devant elle. J’ai compris.
Je lui saisis la tête et lui fourre ma queue au fond de la gorge. Elle est prise de partout maintenant.
On la baise ainsi un bon moment, elle jouit sans arrêt, sans retenue. Je la maintiens bien fort et crache mon jus au fond de sa gorge. Elle me boit entièrement, en veut encore. D’une ultime poussée, Ben se fait jouir et se finit sur ses fesses, du sperme coule dans la raie du cul encore bien ouvert. Puis c’est au tour de Joseph, Lise le chevauche à toute vitesse, yeux clos, tête rejetée en arrière. Elle se dégage, se met sur le dos, Joseph se place devant elle et l’arrose d’une bonne giclée. Les deux retournent à la douche, je me couche auprès de Lise et je ne me lasse pas d’étaler le sperme encore chaud sur ses seins, son ventre. On se câline, on se sourit, anéantis.
Après un dernier verre pris dans le séjour à quatre, je raccompagne les deux étalons repus. Ils me remercient, me disent que ma nana est formidable, un vrai canon, un bijou. Une femme super géniale. Mais ça je le savais déjà.
Nous nous épanouissons mutuellement dans cette relation et pour rien au monde nous ne voudrions changer.
Là nous sommes en vacances, dans un club bien connu, plage, soleil, farniente, un régal. C’est l’été, le farnienté. Nous sommes d’alertes sexagénaires qui assumons nos envies. Lise est voluptueuse, sensuelle, une poitrine généreuse qui attire les regards, même ceux des jeunes coqs. Ses seins sont très denses avec des aréoles larges et brunes et surtout des tétons érectiles. Ils sont un peu tombants ce qui fait que, quand elle se promène sans soutien-gorge, cela ballotte pas mal. Je suis fier d’elle et la voir désirable ainsi me comble. Elle en est bien consciente et en profite bien la coquine, pour allumer, comme on dit.
Moi, j’ai su rester en forme aussi, grâce à un peu de sport et une vie saine. Mon corps d’homme mur me plait et surtout convient à Lise avec mes poils sur la poitrine.
Enfin, bref, nous voilà bientôt arrivés à la fin de notre séjour, nous sommes bien bronzés il reste demain qui sera notre dernier jour. Mais ce soir c’est la fête.
Nous sommes attablés à une table au bord de la piste de danse. Les chansons s’enchaînent et nous profitons pour danser, rigoler avec d’autres vacanciers avec qui nous avions sympathisé.
Lors d’une pause au bar, nous commandons deux punchs, et voilà qu’arrive Joseph, le maître nageur du club. Il demande s’il peut se mettre à côté de nous, aucun problème. C’est un athlète, le Joseph, des pectoraux, des biceps, pas une once de gras, jeune, entre 25 et 30 printemps, et il est noir, d’origine sénégalaise je crois.
J’ai déjà remarqué les jours précédents que Lise lui plaisait bien, malgré l’écart de nos âges. On plaisante, on rigole bien. Ben se joint à nous, d’après ce que j’ai compris c’est le meilleur pote de Joseph, il est moniteur de voile au club. Lui, nous ne le connaissons pas vraiment. Les deux jeunes nous expliquent que demain c’est leur jour de congé, ils sont bien contents pour se reposer un peu, se détendre. Tout en bavardant, ils en profitent pour reluquer Lise dans sa petite robe blanche, toute bronzée, à croquer. Elle n’est pas dupe et en rajoute avec ses sourires, ses mimiques, ses attitudes.
De retour dans notre bungalow, qui est implanté au bout du village de vacances, elle se colle à moi, chaude, langoureuse, je connais ce petit jeu. Je sais qu’elle est excitée.
« Ils me plaisent ces deux-là. » dit-elle et puis elle me caresse, me rend fou de désir, me fait passer un moment génial dont elle a le secret. Elle s’occupe de mon sexe, je n’ai pas le droit de faire quoi que ce soit jusqu’à ce que je ne me retienne plus. C’est dans un grand râle que j’éjacule. Par contre, pour la remercier, j’ai l’obligation de lui ramener ces deux beaux garçons dans notre logement, avant notre départ. C’est un jeu que nous pratiquons quelquefois, en vrais coquins.
La nuit se passe calmement. Je n’ai pas le droit de la toucher. Le lendemain, après le petit déjeuner je me mets en chasse, comme convenu la veille. C’est compliqué de trouver Joseph mais je finis par le dénicher, en train de lézarder au soleil. J’engage la conversation et je lui fais part de notre envie de l’inviter à prendre un pot avec nous, avant notre départ. Il avait prévu un truc avec Ben, pas de souci, il peut se joindre à nous, j’ai un bol monumental sur ce coup. Rendez-vous est pris pour 14h30 à notre bungalow.
Je retourne en faire part à Lise, elle s’excite comme une adolescente, j’adore toujours ces moments qui précèdent la rencontre effective. Elle aimerait être seule un moment de l’après-midi avec les garçons, me confie-t-elle, pas de souci, je ne peux rien refuser à cette femme formidable. J’irais faire des courses, on se marre comme des gosses.
14h30, les deux garçons se pointent, mignons à souhait, nous les accueillons sur la terrasse du chalet.
Joseph est en chemise ouverte, bleu ciel, sa musculature est impressionnante, fine en même temps, bermuda blanc moulant, pieds nus. Ben est un beau blond, les cheveux longs, yeux bleus, une belle plante, moins musclé que son copain. Il a un short très court et un marcel échancré sous les bras et au cou.
Lise enfonce ses doigts dans mon bras, je la prends à la taille. « Qu’ils sont beaux tous les deux » me glisse-t-elle à l’oreille. On s’installe, je sers des rafraîchissements. Lise est époustouflante dans son maillot deux pièces, il est blanc, ce qui fait ressortir la peau cuivrée. Le haut, soit est trop petit ou les seins de Lise trop grands, ces derniers débordent sur le haut mais aussi sur les côtés. Ils cherchent à s’échapper du soutien gorge à chacun de ses mouvements. Ça excite bien les garçons qui se regardent, qui rougissent. On bavarde et comme convenu je fais mine de recevoir un coup de fil. J’explique qu’un collègue de travail est en vacances en même temps que nous et il me demande de le rejoindre pour régler un souci au boulot. Les garçons se regardent, font mine de se lever. « Mais non restez, ce ne sera pas long » dis-je en faisant un clin d’œil à Lise..
En prenant congé il faut vraiment que je fasse attention de ne pas dévoiler la bosse qui déforme mon pantalon de toile. Je sais, j’imagine ce qui va se passer. Pour la première fois je n’assisterai pas aux ébats de Lise, nous en avons convenu ainsi, mais elle a promis de tout me raconter en détails.
D’ailleurs je lui laisse la plume et c’est elle qui nous raconte la suite.
Je me retrouve seule avec ces deux jeunes mâles, je les fixe, ils sont différents de mon homme, leurs corps sont fermes, leurs peaux tendues, leurs muscles saillants et puis ce contraste, l’un est blanc, l’autre noir.
Je reverse à boire car je ne me lasse pas de les regarder et je découvre avec le bermuda serré de Joseph, qu’une énorme bosse déforme le devant au niveau de la braguette. Ben n’est pas en reste car je crois deviner au niveau de sa cuisse gauche, un gland qui dépasse un peu de son short court. Il est vrai que ce dernier est assez large. Ces visions ne me laissent pas insensible, mes tétons durcissent et s’allongent, ils sont bien visibles puisque le tissu blanc de mon maillot est très fin et souple. Et je sens que mon bas de maillot commence à être mouillé, je ne sais pas si la tache se remarque. Probablement.
- Il fait chaud cet après-midi, vous ne trouvez pas, les garçons ?
- Oh si, un endroit frais sera le bienvenu.
- Je peux vous proposer d’entrer dans le bungalow, il y a la clim.
- Super, super, ce serait très sympa.
- Nous entrons donc dans ce chalet de vacances qui est spacieux et accueillant : un espace séjour-cuisine, une grande chambre à coucher et une salle de bain avec douche et toilettes. Je les emmène dans la chambre à coucher et m’assieds sur le grand lit. Ils sont debout, devant moi, mes yeux sont à la hauteur de leur short. Alors sans hésiter je tends les bras et pose une main sur chaque bosse en disant « Oh ce qui est caché là-dessous me semble très intéressant ». Sans attendre leur réponse je tire short et bermuda vers le bas. Aucun n‘a de slip et ce sont deux sexes qui se déploient naturellement devant moi. Celui de Joseph est impressionnant par sa taille, long, épais, veineux et bien noir. Celui de Ben est plus modeste, plus fin mais de belle longueur néanmoins. Les deux sont décalottés.
Je les prends en main, me penche tout en restant assise et je les suce, l’un après l’autre. Les jeunes ne restent pas inactifs, ils se penchent vers moi, descendent mon haut de maillot pour faire jaillir mes mamelles et chacun en triture une. L’excitation est à son comble, j’essaie même de mettre en bouche les deux pieux ensemble, je n’arrive qu’à prendre leur glands. Ils apprécient néanmoins et eux ne se privent pas pour me malaxer, me triturer mes nichons.
Et puis Ben me bascule en arrière, je m’allonge sur le lit, il en profite pour retirer mon bas de maillot et faire apparaître mon sexe nu, mes lèvres fines et roses. Il se met nu en deux secondes. Sans autres préliminaires, il entre sa queue en moi. Elle s’enfonce facilement, tellement je suis humide, je la sens entrer au fond de mon vagin. Pendant ce temps, Joseph s’est aussi dénudé et il a retiré le haut de mon maillot. Il se met à côté de moi et il entre son énorme dard dans ma bouche. J’ai les lèvres toutes écartées. Deux de mes « trous » sont remplis, alors que je suce le beau sexe noir de l’un, l’autre me laboure ma « chatte » qui ne demande que cela. Et j’ai mon premier orgasme alors que les deux gars arrivent à ne pas éjaculer malgré mes mouvements désordonnés, mes cris et hurlements.
Je m’apaise un peu, Ben sort de mon sexe et c’est Joseph qui s’y présente. Le sexe de ce dernier est d’une autre taille. En entrant en moi, je sens mes parois vaginales qui s’écartent, c’est une sensation très agréable. Alors qu’il glisse en moi, son copain me demande de le masturber. C’est ce que je fais. Il est à côté de moi, son sexe au-dessus de ma poitrine. Je sens le plaisir qui me reprend, je tourne la tête, de gauche à droite et là, je vois, regardant par la fenêtre, mon homme, mon chéri, mon amant qui regarde cette scène.
Cela fait un petit moment que j’observe que je les observe, discrètement, par la fenêtre. Lise est belle dans son plaisir, comblée par ces deux jeunes mâles fougueux.
Ça y est elle m’a vu, inutile de me cacher plus longtemps, je rentre discrètement dans la chambre, les garçons sont surpris, ils arrêtent tout, gênés.
Je les rassure tout de suite :- Je vous en prie, les gars, continuez, ne vous occupez pas de moi.
- Viens, Joseph, continue, baise-moi, allez, ne fais pas ton timide,C’est Lise qui a parlé, elle n’a pas lâché Ben et recommence à bien le branler. Je me déshabille et viens me mettre de l’autre côté du lit, Lise se saisit de ma queue et me prodigue la même branlette qu’à Ben. Je tends mon bassin, me retenant à mort pour ne pas lui éjaculer dessus. Lise le sait, elle me met à l’épreuve et m’astique à toute vitesse.
Nous lui remontons les jambes bien haut, Ben en tient une et moi l’autre pour que Joseph puisse entrer en elle un max. Il ne se prive pas, posant ses deux mains en appui sur les cuisses bien ouvertes de Lise. Il entreprend de la pilonner fort, rapide, endurant. Lise se fait marteler le vagin par un vrai athlète, elle hurle, son bassin s’agite, elle secoue sa tête dans tous les sens.
Elle n’arrive plus à nous masturber, trop prise par son orgasme. Elle agrippe le drap de ses doigts et ses ongles grattent le tissu, elle risque de le déchirer. Ben et moi on se masturbe alors sur son visage, on frotte nos glands sur ses joues, ses lèvres, de temps en temps elle en gobe un en sortant sa langue.
Je suis le premier à jouir, j’éjacule sur le visage de Lise, mon sperme part dans ses yeux, le cou, Ben en prend aussi, désolé.
Il me suit de près et arrose Lise de son jus. Des jets puissants et abondants partent sur les lèvres de Lise, dans ses cheveux, il lui en met aussi sur ses nichons gonflés qui ballottent au gré des coups de reins de Joseph. Il est infatigable celui-là, son sexe luisant entre et sort en cadence du vagin dilaté de la belle. Elle coule abondamment ; Joseph pousse un cri, se dégage et se vide sur le ventre et sur la chatte de Lise. Il s’écroule sur le lit, Lise semble complètement désarticulée, elle gémit doucement, les yeux mi-clos, elle m’attire contre elle. On se regarde, nos yeux parlent pour nous.
Les garçons vont se doucher, sans faire de bruit, comme pour nous laisser tranquilles puis c’est au tour de Lise.
Lorsque je reviens de la douche moi aussi, je retrouve Lise couchée sur le lit entre les deux coquins, une bite dans chaque main, ils ont vite récupéré les salauds. Ils lui caressent les seins, le ventre, sa jolie chatte encore bien gonflée. Elle me fait un clin d’œil coquin.
- J’ai encore envie tu sais, ils vont rester encore un peu.
- Tu es insatiable mais j’aime te voir ainsi.
En effet, je suis ravi, d’autant que cette situation me fait rebander aussi. Je les regarde en bon voyeur que j’aime être. Les trois se caressent, inlassablement, Lise recommence à gémir, à tressauter sous les mains adroites et expertes de ces deux gaillards. Elle ne lâche pas leurs queues et me regarde. Elle me fait signe d’approcher, de m’allonger en travers sur le lit, ma tête tout au bord.
- Tu vas me préparer, mon cocu d’amour.
- Te préparer à quoi ?
- Tu le sais bien je veux être mouillée, très mouillée.
Elle vient s’asseoir sur ma bouche, sa chatte luisante s’écrase sur mon visage, j’adore ça et elle le sait. Puis elle indique aux garçons de se mettre devant elle.
Et c’est parti, elle les suce lentement, se délectant de ces deux belles bites dressées pendant qu’elle s’agite sur mon visage. Je la lèche, je la suce comme elle aime, en regardant au-dessus de moi les glands disparaître tout à tour dans sa bouche. C’est tout simplement génial.
Elle me présente de temps en temps son petit trou, je lèche, je le mouille, je sais ce qu’elle a en tête.
Après avoir demandé à Joseph de s’allonger sur le dos, elle s’empale sur sa grosse verge et tend sa croupe. Ben a compris, il se place derrière elle, présente son gland, Lise pousse et vient planter son joli cul sur la bite. La voilà prise des deux côtés. Une double pénétration avec des jeunes qui sont vigoureux. Ben pousse encore un peu, son pal disparaît complètement dans le petit trou de Lise. Joseph commence à bouger sous elle, Ben s’y met aussi.
« C’est ça les garçons, prenez-moi à deux, baisez-moi, défoncez-moi encore »
Ils ne se font pas prier, trouvent la cadence et offrent à Lise une double pénétration exceptionnelle. Elle grogne, crie, me fait signe de me placer devant elle. J’ai compris.
Je lui saisis la tête et lui fourre ma queue au fond de la gorge. Elle est prise de partout maintenant.
On la baise ainsi un bon moment, elle jouit sans arrêt, sans retenue. Je la maintiens bien fort et crache mon jus au fond de sa gorge. Elle me boit entièrement, en veut encore. D’une ultime poussée, Ben se fait jouir et se finit sur ses fesses, du sperme coule dans la raie du cul encore bien ouvert. Puis c’est au tour de Joseph, Lise le chevauche à toute vitesse, yeux clos, tête rejetée en arrière. Elle se dégage, se met sur le dos, Joseph se place devant elle et l’arrose d’une bonne giclée. Les deux retournent à la douche, je me couche auprès de Lise et je ne me lasse pas d’étaler le sperme encore chaud sur ses seins, son ventre. On se câline, on se sourit, anéantis.
Après un dernier verre pris dans le séjour à quatre, je raccompagne les deux étalons repus. Ils me remercient, me disent que ma nana est formidable, un vrai canon, un bijou. Une femme super géniale. Mais ça je le savais déjà.
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