Les vendanges roses 3 - histoire érotique

L'ambiance se stabilise chez le vigneron, chacun s'habitue au contact des autres, des amitiés se créent.

Chaque soir est terminé en légère beuverie et Michel n'attend qu'une chose; retrouver Bernard dans sa chambre.

Il a compris que le plaisir anal est meilleur chaque jour, à force de le pratiquer.
Chaque soir, il ressent plus de sensations.

Il réclame plus fréquemment aussi, de faire des fellations sur le vigneron, qui ne demande pas mieux de l'abreuver de son jus !

Le viticulteur va se coucher de plus en plus tôt, avec le jeune garçon, cela leur donne plus de temps pour s'adonner à leur passion mutuelle du sexe entre hommes.

Ce soir là, Michel se déshabille aussitôt avoir passé la porte, et se jette sur le lit en se cambrant les fesses.

"Dépêches-toi, j'ai trop envie !".
"Humm ! Tu deviens de plus en plus vicieux, ça me plait ça ! Demandes moi ça, plus clairement !".
"Salaud ! Bon d'accord ! Viens m'enculer comme une salope ! J'en peux plus !".
"Humm, c'est encore mieux que je l'espérais ! J'arrive ! Ma salope !".

Il s'approche du lit.

"Fais moi bander d'abord ! Occupes-toi de ma bite !".

Le garçon ne demande pas mieux, il se régale du long sexe de son premier amant, pendant de longues minutes.

Les deux complices jouent ensemble à un jeu buccal pervers.
Léchage de couilles, gorges profondes avec afflux abondant de salive, claquage de queue sur le visage.

Bernard place le garçon sous lui, à l'envers pour lui baiser la gorge comme s'il l'enculait.
Michel reçoit ses assauts en se masturbant comme un excité.

Puis l'homme se dirige de l'autre coté et lui dévore l'anus comme chaque soir.
Le garçon se saisit les cuisses et s'offre complètement au vigneron.

"Ahhhh ! J'adore quand tu me bouffes le cul comme ça !".

Comme ils ont plus de temps, Bernard se régale plus longtemps que d'habitude.

Puis, il n'en peut plus, il faut qu'il le baise !

Il l'attire vers le bord et lui dépose de la vaseline.
Très vite, il pousse son gros gland contre son œillet lubrifié.
Michel s'ouvre déjà, il l'aide en serrant et ouvrant son anus.

Comme chaque soir, il est malgré tout submergé d'un râle énorme quand l'homme le pénètre interminablement.

Michel sent enfin le contact du pubis de Bernard contre ses fesses, il est entièrement dans son cul.

"Arhhhhhhhh ! C'est trop bon ! Bernard ! Vas-y encules-moi ! Maintenant !".
"Putain, je m'en lasse pas, je suis tellement bien dans ton cul ! Mon p'tit michou !".
"Arghhhhhhhhhh ! Non ! M'appelle pas comme ça, j'aime pas ce surnom, appelles moi salope ! Ca me gênes moins ! Arghhhhhhhhhh !".
"Si, il n'y a que ça pour te faire plaisir ! J'adore t'enculer, salope !".

Très rapidement, la queue du vigneron cogne au fond de l'anus du jeune garçon, leurs râles mutuels contenus signent leur plaisir commun.
Aux gémissements, se mêlent les bruits de claquements contre les fesses de Michel.

Bernard est excité comme un fou, il soulève le garçon sans se retirer et le pose sur le tapis de sol.
Il le voute en s'appuyant sur ses tibias, et se plante en lui, sans arrêt.
Michel a du mal a gémir tant son cou est plié vers son torse.
Il éprouve un plaisir anal énorme, il n'a jamais ressenti ça.
Il parvient à dire:

""Arggggggggg ! Oui, encore ! C'est bon ! Argggggggg !".

Michel constate alors que son sexe bande sans qu'il se soit toucher pour en arriver là.
Au bout de quelques minutes:

"Oh, putain Bernard, je crois que je vais cracher mon jus ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".
"Oh, j'adore ça, Vas-y craches tout, salope !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !".

Michel reçoit son propre sperme sur le torse et le visage, par vice, il tente de l'avaler au passage.
Bernard s'en rend compte et dès que le garçon a fini d'éjaculer, il lui donne son sperme à lécher avec ses doigts.
Le jeune garçon s'en délecte en se faisant détruire l'anus sans fin, dans un florilège de mots crus.

Puis l'écrasement d'une grosse dose de sperme brulant, sur son visage, le prévient de l'éjaculation du vigneron qui se déverse au dessus de lui en râlant.
Il ouvre la bouche autant qu'il peut pour s'en abreuver.
L'écoulement est hasardeux, son visage est maculé, sa gorge aussi.

Lentement, Bernard le fait reprendre une position plus confortable.
Il s'attend à ce que Michel se plaigne de la façon dont il s'est fait baiser.

"Ouahh, Oh Putain ! Bernard, c'était génial ! J'ai adoré !".
"C'est vrai ? Ca t'as plu ? C'était pas trop vulgaire ?".
"Non, je crois que ça me plait en fait !".
"C'est super ! Je t'adore, tu le sais ?".
"Non, mais tu vas me manquer à la fin des vendanges ! J'y ai pris gout, moi !".
"Je sais, mais tu habites trop loin, on y peux rien ! Il faut donc en profiter !".
"Ca te déranges, si je reste un peu après les vendanges ? On ferait ça discrètement, sans que personne ne soit au courant ! Je ferai semblant de partir !".
"Pourquoi pas ! C'est une bonne idée ! Par contre, je te paierai devant les autres ! Pour noyer le poisson !".

Le garçon fait une énorme flatulence, Bernard rit aussitôt.

"Putain ! Ca c'est l'inconvénient ! J'arrête pas depuis que tu m'encules !".
"Ah, ah, on peut pas tout avoir !".

Les deux complices se laissent aller à un échange de caresses qui vaut plus que des mots pour eux.

Un long moment plus tard, devant le gonflement de la grosse verge du viticulteur, le jeune garçon se fait plaisir en lui léchant longuement la queue.

Cela devient très rapidement une fellation vicieuse, puis l'adolescent se positionne au dessus de son amant et se plante sur lui, profondément.

Cette fois, c'est lui qui dirige l'acte, le vigneron se laisse emporter par le plaisir de se laisser faire.
Il adore regarder le visage rempli de plaisir du garçon, qui le chevauche à grand coups de bassin sur sa bite.
Michel doit s'acharner longtemps, à cause de la récente éjaculation de Bernard, et c'est une chance.

En effet, les sensations sont de plus en plus intenses, il est pris de forts spasmes dans le corps et l'anus.
Parfois, il s'écroule sur le torse du vigneron, submergé par ces montées de plaisir.

Puis, il se reprend, décidé à faire éjaculer son patron amant.
Le vigneron montre des signes de plaisir enfin, mais ce n'est encore que le début.

L'homme est surpris d'un étonnement sur le visage de Michel.

"Qu'est-ce qui t'arrive ?".
"Bernard ! C'est bizarre ! Ca me monte à la tête ! Je ...je crois que...je...je vais jouir avec mon cul ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh!".

L'homme prend les rênes de la sodomie en se déchainant en lui, tout en le saisissant par la taille.

"Arhghhhhhhhhhhhhh ! Oui, comme ça, Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Chhht ! Moins fort, on va t'entendre !".

Il dit cela, mais se déchaine encore et encore, dans l'anus du jeune garçon qui râle dans sa main pour son premier orgasme anal.

Son plaisir est communicatif, le viticulteur se déverse en lui et le rejoint dans son orgasme.
Michel donne de grands coups de bassin sur le gros sexe, pour se nourrir de chaque dernier spasmes de plaisir anal.

"Oh, Putain Michel ! C'était trop puissant, je vais tomber amoureux, si ça continue !".
"Oh, moi aussi ! Je croyais pas qu'un plaisir aussi fort existait ! C'est génial ! Je pourrai plus m'en passer !".
"Tant que ça ?".
"Oui ! Putain, ce que c'était bon ! Demain, tu m'encules dès que tu peux ! Je veux connaitre ça encore !".
"Avec plaisir, Michou !".
"Arrêtes avec ça !".
"Oui ! Salope !".
"Merci, c'est mieux !".

Le garçon s'étale sur le torse du vigneron et s'endort sur lui, avec une plénitude inhabituelle.

Le lendemain, après le pressoir, le vigneron l'enferme dans sa maison et se fait sucer un long moment.
Mais le jeune garçon est décidé, il se dénude les fesses et s'allonge en travers de la table.

"Encules-moi, je veux encore jouir du cul !".

Bernard a toute les difficultés du monde pour l'emmener à l'orgasme anal, il doit regarder ailleurs en l'enculant pour ne pas éjaculer trop vite.
Mais à force de multiples assauts puissants, il est récompensé quand il entend le garçon se mettre à crier, puis étouffer ses râles dans sa main.

Il ne résiste plus et lui inonde les intestins de son foutre brulant.
Leur orgasme commun est parfait et intense.

Ils reprennent leur travail, Michel est obligé de polluer son slip en rejetant le sperme de son amant, mais il s'en moque, il aime trop se faire enculer, à présent !

Dès lors, cela devient un rituel, il se change et lave son slip à la main, à chaque retour chez le vigneron, après une sodomie dans l'après-midi.
Cela lui vaut des questions d'une amie de vendanges:

"Ca va Michel ? T'as des soucis de digestion ? T'arrêtes pas de "péter" et je te vois souvent aller aux toilettes".
"Euh...oui, je pense que je supporte pas le vin !".

Il pense dans sa tête: "C'est plutôt la bite du vigneron !".