Les vendanges roses - histoire érotique

Nous sommes en Septembre, dans le début des années 80, il fait encore très chaud.

Michel est un jeune adulte qui a cessé tôt d'aller à l'école, faute d'intérêt et de faculté d'apprendre.

Son attrait pour les filles est indéniable, mais il en est toujours au stade du flirt.
Il manque d'assurance.
Par contre, il n'a pas d'attirance pour les garçons de son âge.

Toutefois, il ne sait pas comment expliquer le trouble qu'il a ressenti plusieurs fois envers des hommes mûrs, ayant une grosse présence.

Ces derniers mois, cela va jusqu'à subir un début d'érection.
En particulier avec l'ami de son père, un homme marié, sûr de lui, imposant et très dominant.
La dernière fois, il s'est caché dans la cave pour se masturber, afin de soulager son trouble.

Depuis quelques temps, ces parents ont été clairs: Il va falloir bosser !
Ils lui ont trouvé un petit job: 2 semaines de vendanges dans un domaine du sud, dédié au vin rosé.
Il s'y rend en bus, à cause du trajet, il devra dormir sur place.

Il est reçu par le patron, Bernard, un type cossu, très grand et pas sympathique du tout.
L'homme explique à tous les participants ou sont les dortoirs:

"Débrouillez-vous pour vous faire une place ! Au cas où, je peux accueillir une personne dans ma chambre, mais je suppose que ça vous enchante pas !".

La première journée fut difficile, le maniement du sécateur est facile, mais certains se blessent légèrement, par manque d'habitude.
En fin d'après-midi, les dos sont douloureux, mais l'ambiance est à la fête autour du repas.
Le vin coule à flots, Michel est un peu éméché, d'autres presque ivres.
Le patron surveille tout ce monde, en maitre de cérémonie, puis chacun se dirige vers les pièces dortoirs, sur sa demande.

Michel n'ose pas s'imposer, il est le plus jeune de tous.
Sa timidité se retourne encore contre lui, il doit se faire une raison, toutes les places sont prises, il songe donc à dormir au sol.

Puis le patron entre et voit Michel désemparé.

"Toi, t'es bon pour venir avec moi ! Allez ! Viens ! Je vais pas te manger !".

Il suit l'homme, penaud. Il a horreur de devoir affronter sa pudeur, lors du couchage.
Le patron se déshabille sans gêne, devant le jeune garçon.

"Ben, qu'est-ce que t'attends ? T'as honte de te déshabiller devant moi ?".
"Euh, J'ai pas l'habitude !".
"Je vais pas te manger ! T'es trop mignon pour que je te fasse du mal !".

Michel est troublé par ce compliment, venant de cet homme, un peu effrayant et antipathique.
Il se dévêt timidement, pour rester en slip.
Le patron est déjà sous le drap, Michel le rejoint.
Puis, moins de trente minutes plus tard, il soulève le long tissu en soufflant:

"Putain, il fait trop chaud encore ! Désolé, je me mets à l'aise !".

L'homme découvre entièrement le lit et enlève son caleçon.
Michel devine le corps nu de son patron à ses cotés, il ne peut s'empêcher de fixer la forme de son sexe, en demi cercle, avec ce gland épais qui pointe vers lui.
Il est encore surpris lui même, par sa réaction, il commence à bander dans son slip.
Il se retourne pour cacher son érection.

Malheureusement pour lui, son sexe lui fait mal, en tirant sur ses jeunes poils, il est obligé de le dégager avec une main pour l'aider à prendre sa place.

Le patron vigneron s'en est rendu compte, et se met à bander fermement, lui aussi.
Il s'excite sur le spectacle des jeunes fesses cambrées, à sa portée.
Il ose dire alors, en riant:

"Tu crois que j'ai pas vu que tu bandais ? Ah ! Ah ! Elle t'excite ma bite ? Petit vicieux !".
"Non, je ...".
"Fais pas le difficile, viens là ! Je vois bien que t'en meures d'envie !".

L'homme lui attrape le bras et lui impose de toucher sa queue bandée, ce qui surprend Michel.
Il est encore plus excité, cette bite en érection le subjugue, il la serre entre ses doigts.
Sa dureté le fascine, il coulisse lentement sur la verge avec sa petite main, sans la quitter des yeux.

"T'as déjà fait ça ?".
"Non, jamais, euh... à part sur moi, jamais !".
"Eh ben, c'est pareil ! Fait comme si c'était sur toi !".

Le vigneron caresse le jeune garçon et lui dénude les fesses, puis jette le slip de Michel, au sol.
Il s'amuse de la jeune érection du garçon.
"T'as l'air d'aimer ça ! Dis-moi ! Tu te régales ! Tu sais que je vais pas me contenter de ça !".
"C'est à dire ?".
"Fais moi confiance, ça va te plaire ! Ne t'arrêtes pas de me branler !".

L'homme se place à l'envers, face au jeune Michel et lui fait pivoter le bas du corps pour lui dévorer interminablement l'anus.
Le jeune garçon est surpris par cette caresse buccale, qu'il n'aurait pensé possible entre hommes.
Il rend le plaisir qu'il ressent en masturbant plus consciencieusement la longue queue, très dure, du vigneron.
Michel est complètement ouvert au niveau des cuisses, qui enserrent le vigneron, il se laisse aller, à poser son autre main sur la nuque de l'homme.

Le patron lui insère un doigt, qu'il lubrifie avec beaucoup de salive.
Il entreprend un manège constant entre ses doigts et sa langue, il parvient lentement, au bout d'une longue séance, à insérer 2 doigts de chaque main, en écartelant l'œillet du jeune garçon.

Michel est souvent obligé de cesser sa masturbation, tant il est submergé de sensations nouvelles.

"M'sieur Bernard ! C'est excitant ! C'est bizarre, mais j'ai pas envie que vous vous arrêtiez !".
"Ca t'plait ! P'tit vicieux !".
"Oui ! Je bande trop fort ! Ca me fait mal au sexe !".

L'homme s'arrête, puis s'allonge aux cotés de Michel.
Il l'attire au dessus de son corps.

Michel est conscient de ce qui va arriver, il en informe son patron.

"M'sieur Bernard ! Ca me fait peur !".
"Mais non ! Ca va bien se passer ! Tu verras ! C'est toi qui dirige ! Prends le temps qu'il faut ! Tu vas y arriver !".

Michel devine le gland turgescent collé contre son anus, élargi par le travail anal du vigneron.
Son œillet très humidifié, laisse entrer le début du sexe du vigneron, puis se heurte à l'écartement maximal du garçon.
Michel est agréablement conquit par la sensation de ce sexe, qui est beaucoup plus doux que les doigts de l'homme.

Bernard, le vigneron, s'impatiente et lui écarte les lobes fessiers, puis lui imprime une pression pour l'enfoncer plus loin sur sa bite.
Le jeune garçon est pénétré sur les premiers centimètres, il gémit, étonné de cette invasion anale.

"Arhhhhhhhhh ! M'sieur Bernard ! Moins vite !".

Le garçon se dégage, prend appui sur ses mains et sur ses pieds, puis revient s'enfoncer sur la longue bite du patron.
Il est encore pris de court en comprenant que le sexe du vigneron s'enfonce plus loin encore.

"Arhhhhhhhhh ! M'sieur Bernard ! Je pensais pas que j'aimerai ça ! Arhhhhhhhh ! C'est encore meilleur que les doigts !.
"Continues alors, tu t'y prends bien !".

Michel s'applique à coulisser sur l'homme, de plus en plus amplement.
Bernard, lui caresse sa jeune queue, puis remplace sa main par celle du jeune garçon.
Plus Michel se branle, en s'enfonçant sur le long membre, et plus il devient frénétique.
Bernard envoit un grand sourire au jeune employé, dès qu'il devine qu'il va éjaculer.

"C'est bien mon p'tit ! Lâches tout sur moi ! C'est pas grave ! Jouis !".
"Arghhhhhhh ! Arggggghhhhhhhhh ! M'sieur Bernard ! C'est trop bon ! Arggggggggggggggggggg !".

Le jeune Michel s'empale le plus profondément possible, et laisse ses éjections de sperme polluer le ventre du vigneron.

"Ouais, vas-y crâches tout mon petit ! C'est bon ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhh ! Oui, Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh !".

Le jeune s'écroule de tout son corps sur celui du vigneron, et passe une main derrière ses fesses.
Inconsciemment, il vérifie avec vice qu'il a bien toute la longueur de la bite du quinquagénaire, enfoncée dans le cul.
Bernard, le laisse apprécier son premier plaisir sexuel partagé.
Il lui caresse le dos et le cul, avec tendresse.
Il cherche à mêler ses lèvres à celles du jeune garçon, qui écourte le baiser, il n'aime pas embrasser le vigneron.

"Alors, tu as bien joui ? Mon P'tit Michel ?".
"Oui, mais et vous ? Vous voulez que je vous branle ?".
"Non, je préfère autre chose ! Mais ne t'inquiètes pas ! Je vais m'en occuper ! C'est mon tour, maintenant !".
Bernard le soulève et se retire de son cul, laissant le jeune garçon avec l'anus béant.
Michel est étonné de ressentir un manque, ou plutôt un vide dans ses entrailles.
Mais Bernard se place derrière les fesses de Michel, apeuré par ce qu'il va se passer.

"Je vais te montrer comment j'aime baiser des jeunes pédales comme toi !".
Michel se cambre de stupeur, en se faisant planter d'un coup.
Mais il est aussi soulagé de ressentir à nouveau la présence de la bite imposante du vigneron, en lui.

"Mets-toi bien en position ! Voilà ! Comme ça ! Comme une chienne !".
"Arhhhhhhhh ! Pourquoi, vous me parlez comme ça ?".
"Parce que c'est mon truc ! Et que maintenant, t'es à moi, mon p'tit ! Je vais t'enculer tous les soirs ! Je vais me régaler !".

Bernard se déchaine de son trop plein d'envie, il est en manque de sexe, c'est évident.
Michel râle dans le drap sous lui, il a une petite larme, les mots utilisés par le vigneron confirment ce qu'il ne voulait pas assumer.
Il se fait enculer salement, et il aime ça.
Il comprend qu'il n'y a pas que le plaisir direct, il aime, cérébralement aussi, se faire dominer par cet homme qui pourrai être son père.
Il veut qu'il atteigne le plaisir suprême en utilisant son corps juvénile.

"T'aimes ça ? Elle te fait du bien ma bite ?".
"Arhhhh ! Oui, j'aime me faire enculer ! Arhhhhhhhhhh !".
"Moins fort, on va nous entendre ! Tu dois encaisser sans bruit, jusqu'à ce que je jouisse ! Mord le coussin !".
"Mmmmm ! Mmmmmmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmm !".
"Hummmm ! Je m'éclate, c'est bon de t'enculer ! T'assures pour une première fois ! Cambre toi plus que ça, ça m'excite !".

Michel n'est pas au bout de ses peines, pour sa première sodomie, il doit encaisser les assauts de Bernard pendant plus de 20 minutes, avant d'entendre des gémissements du vigneron.

"Oh ! Ca y est jeune ! Je vais cracher ! Arhhhhhhhhhh ! Oh putain, c'est bon ! Arghhhhhhhhhhhhh !".

Michel réalise qu'au lieu de recevoir l'éjaculation de Bernard sur lui, il se fait inséminer profondément, dans un déversement interminable.
L'homme lui assène de nombreux derniers assauts destructeurs, qui accompagnent ses éjections internes de sperme.

Puis, Bernard le pousse en avant, pour l'allonger sous lui.
Michel se fait investir profondément encore, pendant que Bernard apprécie tranquillement, à son tour, le plaisir qu'il vient de connaitre.
L'homme respire très fort dans l'oreille du jeune garçon, puis il ajoute:

"Putain, c'était bon ! J'ai bien fait de t'embaucher !".

Après quelques minutes, Michel ose demander:

"Euh, vous pouvez vous retirer, s'il vous plait ?".

Bernard les couchent sur le coté, puis réponds:

"Non, tu vas devoir attendre que je débande ! Allez, tu peux dormir maintenant ! Ca sortira tout seul ! Pour le moment, je suis trop bien ou je suis !".

Malgré la présence du membre imposant du vigneron dans son cul, Michel sombre facilement dans un sommeil profond.
Bernard s'est endormi plus vite que lui, et ronfle très fort.