LES VERTIGES DU DESIR

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : LES VERTIGES DU DESIR Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LES VERTIGES DU DESIR
Alors que je m’apprête à servir l’apéritif, voilà qu’on me demande de rendre un petit service. Celui d’apporté une petite laine, parce que Madame a froid !
Me voilà donc montant les marches menant aux chambres. Arrivée sur le palier je m’aperçois que Charlotte, une jeune invitée, n’a pas pris la peine de verrouiller la porte de la salle de bains. Ma curiosité perverse, me pousse à jeter un œil à l’intérieur. Et j’aperçois qu’un amas de vêtements est couché sur le carrelage, dont un collant.
Tout de suite mes sens sont en ébullition. Comme le sais très bien les lecteurs qui me suivent, j’adore porter à mes narines tout ce qui à contact avec le corps de la femme.
Donc incapable de me retenir, je pousse la porte, qui pivote sur ses gonds, assez pour me permettre de m’introduire dans la pièce pour me saisir du collant. Une fois ce trophée en main je ressors de la salle pour reprendre place derrière la porte pour s’étant jamais en voir un peu plus, et ma patience va être récompensé ! Je profite de l’instant pour scruter le fin voile vaporeux, délicat, que la chair de Charlotte a parfumée, m’emplissant d’une effrayante volupté. C’est un peu déjà pour moi, comme si je promenais mon nez sur le corps de la jeune fille. Sans plus attendre j’enfuis mon visage dans le nylon. J’hume avec délice, les différentes odeurs affolantes qui l’imprègnent. Je m’enivre de ces âcres relents, mélange du parfum dont elle s’inonde, de sa transpiration et des senteurs un peu fauves de son sexe, de ses pieds.
Ma persévérance est alors primer par l’apparition de Charlotte dans mon champ de vision. Tout en se séchant elle marche de long en large de la pièce. Puis elle se pose dans un fauteuil, intégralement nue. Je peux à loisirs portée mon regard sur son sexe, malheureusement pour moi épilé. Mais cela reste tout de même un sexe féminin. Elle passe les cuisses de chaque côté sur les accoudoirs et aussi ouverte, elle exhibe ses grandes lèvres dodues. Elle tire dessus pour mieux ouvrir sa vulve, plus bas et elle les écarquille davantage pour exposer l’intérieur de son vagin les chairs roses et stries, suintantes.
Ensuite, elle revient se mettre debout me tourne le dos pour se placer devant le miroir, fixé sur la porte, se penche en avant, écarte ses fesses des deux mains. J’aperçois clairement sa rondelle anales, froncée et mauve. De plus, elle pousse un peu pour que le trou s’élargisse, laisse émerger la chair rosâtre et luisante de sa corolle interne.
Mais alors que je salive sur spectacle offert, j’entends quand m’interpelle en bas des marches. Avec tout ça j’en avais oublié pourquoi j’étais monté à l’étage.
Bien plus tard, chez moi, devant mon ordinateur, afin d’écrire un nouvel épisode à mon histoire. Je me sers du collant de Charlotte comme un stimulant.
Comme je l’avais fais ce soir-là, avec la lingerie offerte. Je l’inspecte, cherche l’endroit qui a eu la chance de couvrir la chatte de l’inconnue dont la carte de visite me divulgue son prénom, Eléonore. Je la palpe, étirant les fils. Je la porte à mes narines, respire. Il s’en échappe une forte odeur. Je l’examine de nouveau. La virevolte dans tous les sens. Je la hume, l’embrasse, la lèche. Je gante la culotte dans ma main. De l’autre main, j’entrouvre ma braguette. Tire à l’air libre ma queue, plus qu’excitée. J’empoigne ma queue, j’agite mes doigts autour de ma hampe, frottant la culotte contre mon nez. M’imaginant, que c’est la chatte d’Eléonore qui se masse à ma figure. Il ne m’en faut pas plus, pour m’encourager à donner une suite avec la fameuse Eléonore.
Par manque de temps, Il m’a fallu pas moins de trois jours avant de l’appeler. Elle m’avoue au téléphone, de ne plus compter sur mon appel. Cela ne lui empêche pas de me filer un rendez-vous. Elle était impatiente de me voir.
Le jour désiré, alors que je sonne à la porte d'un appartement d‘une de ses copines. Comme elle me l’avait signalé lors de notre entretien au téléphone. Elle me reçoit en short.
-Comment tu me trouves ?
-Délicieuse !
-Merci, cela me touche, me fait-elle en se suspendant à mon cou et d’ajouter:
-J’ai envie de toi là, tout de suite, prends-moi.
Elle me plaque ma main à la hauteur de son sexe. Je sens vibrer en moi une excitation immédiate. Nous n’avons même pas pris le temps de gagner la chambre, la voilà qu’elle se laisse glisser à mes genoux. Elle me déleste de mon pantalon. M’embrasse les testicules. Elle affiche une mine admirative après l’avoir libéré. Je me sens soudain comme aspiré. Ma queue disparaît presque entièrement dans une bouche affamée. C’est brûlant, grisant, effrayant.
Elle entame une balade très humide sur mon sexe. Des ronronnements d’aise montent jusqu’à mes oreilles. Elle me serre fort et me suce avec une fougue incroyable. Je ne peux m’empêcher de pousser un soupir de bien-être. C’est sidéral au point de me faire fermer les yeux. Je ne peux retenir un râle rauque. Je suis littéralement dévoré par une gourmande, en manque de sexe.
Puis elle me délaisse pour faire tomber son short sur ses chaussures compensées, à lanières de cuir. Puis s’en va s’étendre sur la table. Là, elle écarte largement ses cuisses et promène une main joueuse sur sa chatte. Elle a un sourire en sortant ses doigts mouillés de l’intimité.
-Aller, je suis impatiente que tu me la mettes !
Je m’installe pour ça, entre ses cuisses et place ma queue à l’entrée de son sexe. Et d’un violent coup de reins la faire disparaître dans son antre, avec la sensation d’être le meilleur amant du monde. Je regarde sous mes coups de boutoir cette femme tourner la tête de droite à gauche et de gauche à droite, bouleversée par le plaisir.
Elle se mord les lèvres, ferme les yeux. Les ouvre grands parfois avec un regard éperdu qui s’en va bien au-delà de moi. Et tandis qu’elle balbutie son plaisir en scandant des mots crus, j’accélère mon rythme. C’est fascinant, d’entendre les femmes pousser des couinements d’extase. Je ne m’en lasse pas de ses moments. Et c’est bien pour ça que je suis un pervers !
- Tu vas me rendre folle, gémit-elle en secouant la tête. Oh ! Que j’aime ça…
Elle a perdu un peu de son allure de bourge. Une odeur puissante de femme en rue agace mes narines. Le genre d’émanation qui découragerait d’autre partenaire, mais pas pour moi !
D’ailleurs, sans attendre, je me mets à pourlécher le relief de son sexe. Je me régale de ce sexe, qui m’est parfaitement soumis. Je fouille dans les poils avec ma langue. Ils sont maculés de crème d'amour épaisse.
- Oh oui ! Gronde Eléonore. Plus haut.
Son ventre se creuse quand ma bouche aspire ses chairs écartelées, léchant le filet de mouille qui s’écoule de son antre. La bouche grande ouverte, elle couine. Je raidis ma langue et l’enfourne dans son antre. Je m’active d’un mouvement méthodique à l’intérieur de son puits d’amour.
Je la déguste avec un appétit féroce. Patrouillant dans les moindres recoins. Englouti dans son intimité, mon visage prisonnier entre ses cuisses, je ne peux que deviner ce qui se passe au-dessus de moi. Et cela jusqu’à ce que l’orgasme la cloue sur la table.
Le menton brillant de sécrétion et de salive, je relève ma tête, pas peu fière de lui avoir donné du plaisir. Sans la moindre gêne, la bourge se caresse devant mon regard. J’en profite d’un doigt léger, à tâtons, de trouver l’entrée de son anus. Elle se raidit.
- Attention jeune homme, gémissait-elle. Ce n’est pas propre de ce côté-là.
Quand mon doigt est totalement introduit, elle referme ses bras autour de moi, me serrant fortement, tout en me mordillant le lobe de l’oreille. De mon côté, je fais coulisser mon doigt dans son fion. Cela la fait rire aux éclats.
- Tu es un vrai cochon, dis donc ! Et tu sais, moi j’aime les cochons !
Doucement je dirige ma verge vers l’entrée de son œil ridé, un peu entrouvert grâce à mon index. Je place mon gland à l’entrée et pousse. Ses petits plis serrés se tendent sous ma pression. Mon nœud est absorbé. C’est doux comme de la soie. Je me sens gainé par son étroit conduit anal.
Heureusement pour moi, que mon expérience de pouvoir me retenir pour ne pas jouir même si comme en ce moment, la sensation est excitante, est au rendez-vous. Néanmoins je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. L’entendant gémir à mesure que j’avance plus profondément dans son cul, est un régal pour mes oreilles.
La sensation est plus qu’intense. Alors je prends la bonne décision, celle de rester un peu figé, avant de commencer les impulsions mouvantes de va-et-vient. Ses soupirs et gémissements me guident pour lui procurer un maximum de plaisir. Je la sens tout de même tendue, prête à se rompre. Je prends appui sur ses cuisses et accélère le balancement de mon bassin.
Je sens que je ne vais pas pouvoir encore me retenir en longueur, tant que je suis bien. Tant pis pour l’envie de lui donner un maximum de plaisir. Pour que cela, s’étant jamais, lui donne envie de me revoir. Je l’observe, je distingue ses yeux qui s’entrouvrent. Ils me regardent intensément. Sa respiration se fait courte, pour devenir pratiquement plus qu’un long gémissement, de plus en plus sonore. J’accélère mes coups de reins, au risque de me répandre dans son cul. Elle se régale de mon initiative. J’en ai pour témoin ses yeux qui se révulsent.
C’est ensemble que nos jouissances se rejoignent, dans un râle commun.
En ressortant ma queue, je m’aperçois des traces plus que suspectes sur mon gland. Je suis dans l’obligation de passer par la case salle de bains. Elle ne tarde pas à me rejoindre alors que je me nettoie.
-Problème ? Me fait-elle.
-Non, je fais attention à mon hygiène.
-Tu as tout à fait raison. Je pense qu’en est fait pour se revoir. Ce n’est pas ton avis ?
-Oui… pourquoi pas.
-Tu es marié ?
Je lui montre mon alliance.
-Un point par tout, je le suis moi aussi. Je pense que cela t’est égal ?
-Parfaitement ! Je trouve même de l’excitation à avoir des relations avec des femmes mariées.
-Je le pense aussi. Je pense que je ne suis pas la première ?
-À te décevoir, non !
-Tant mieux. Tu as fini ?
-Pourquoi, tu veux remettre ça ?
-On va peut-être attendre que mon cul se remette de cette attaque en règle. Viens, suis-moi, je vais te montrer quelque chose.
Elle m’entraîne jusqu’à la chambre de sa copine absente. Comme si c’était chez elle, Eléonore fouille dans la table de nuit et en ressort un album. Elle me fait m’asseoir sur le bord du lit près d’elle. Et la voilà qu’elle tourne les pages. J’y vois une femme vêtue légèrement. Elle paraît plus dodue que L’Éléonore avec une forte poitrine et un ventre bombé. Sur les premières pages, la femme est prise dans des dispositions ordinaires.
Mais très vite, vers le milieu de l’album, les clichés se font plus énoncés. La copine pose devant l’objectif en petite tenue. Ses jambes sont gainées de bas blancs, fixés par des porte-jarretelles. D’ailleurs c’est le seul vêtement qu’elle porte sur elle. Tout de suite mon regard se fixe, comme aimanté par sa fourche. Elle est des plus généreusement garnie. Un beau triangle de poils comme je les aime.
Sur les autres clichés, la copine dont je ne sais toujours pas son prénom sur l’instant, prend des poses lascives. Les jambes plus ou moins écartées. Je peux de nouveau m’attarder sur sa couverture de poils. Que je devine odorante. C’est alors qu’Éléonore intervient :
-Comment tu la trouves ?
-Pas mal !
-C’est ce que je voulais entendre sortir de ta bouche ! Tu veux en voir davantage ?
-Je suis même impatient, pour ne rien te cacher !
-Bon, alors accroches-toi !
Sur les photos suivantes, la copine est complètement nue. Eléonore pose alors sa main entre mes jambes. Caressant ma queue sans discontinuer. Mais cela ne m’empêche pas de rester captivé par les poses sur les clichés de plus en plus hard. Sur une, le cliché en format A4, la copine est prise avec un gode entre ses cuisses. Elle a une expression réjouie.
-À défaut d’autre chose, s’exclame Eléonore.
-On prend le plaisir où il se trouve ! La vie est courte, n’est-ce pas ?
-Je suis bien de ton avis ! Lâche-t-elle en posant l’album bien ouvert sur le lit. Bien en évidence pour nos regards. L’instant d’après, elle se met à me caresser mes couilles.
-Tu serais capable de te branler sous mes yeux.
Sans prendre la peine de lui répondre, j’enroule ma paume droite autour de ma queue en semi-rigide et exerce un geste de va-et-vient, le regard rivé sur le cliché.
-Elle a vraiment l’air de t'intéresser, la petite Maude ? Me lance-t-elle avant de s’affalée sur le lit, et se caresser la chatte.
-Je veux que tu jouisses devant moi. N’oublie pas de me le dire quand cela viendra ?
Quand les premiers picotements se font ressentir, je l’alerte. Elle avance sa bouche, tire la langue, prête à recueillir le plaisir qui va y sortir. Elle se masturbe toujours, attendant sagement mon offrande. Quand enfin, mon sperme se met à gicler, c’est d’abord son palais qui est copieusement aspergé, à un tel point qu’elle a comme réflexe de fermer la bouche. Ce qui ne m’empêche pas de larguer le restant de ma jouissance sur sa figure.
Tout en cuvant mon orgasme devant un verre de vin cuit, Éléonore me propose un rendez-vous avec Maude. Je lui réponds que je ne suis pas contre.
-Enfin, j’ajoute, si c’est bien la fille sur les clichés.
-Qui d’autre ?
-Je ne sais pas.
J’ai attendu une dizaine de jours avant qu’Éléonore me parle de nouveau de Maude.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Vivement cette rencontre avec Maude !

Histoire Erotique
Vivement cette rencontre prometteuse avec Maude!



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