Les vieux ont aussi droit au plaisir en maison de retraite. Suite

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les vieux ont aussi droit au plaisir en maison de retraite. Suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Les vieux ont aussi droit au plaisir en maison de retraite. Suite
Explications des faits qui ont concernés ta mère. Suite

(Ce qui s’est passé entre les murs de la maison de retraite).

La verge de Mr Abdelkader mesurait une trentaine de centimètres, mais ce n’était rien comparé au diamètre encore plus impressionnant de l’organe.
Ta mère était statufiée mais en même temps animée par un certain sentiment de devoir ramener dans la voie du Seigneur cette brebis égarée. Elle se demandait même comment un octogénaire pouvait avoir une érection si puissante.
-Oh Mr Abdelkader ! Vous n’y pensez pas ! Reprenez-vous !
Jamais elle n'avait encore vu un tel engin ! Elle se demandait même comment s’était possible.
Elle était tiraillée par l’horreur mais son regard ne pouvait plus s’écarter du monstrueux membre.

Suite,- Abdelkader aime Nini, bonne salope ! Abdelkader veut Nini, baiser Nini !
Ta mère était abasourdie par de telles paroles. D'abord honteuse, se sentant déshonorée, avilie, par le désir gérontologique du vieil autiste.
- Oh mon Dieu, Mr. Abdelkader ! Vous n’y pensez-pas !non, non arrêtez…Le vieux tenait la bite dressée, énorme. Il attrapa ta mère par la robe et l’attira à lui, elle essaya de lui résister mais il était plus fort qu’elle.
-Nini sucer Abdel ! Queue bonne !
Ta mère était dépassée par les événements et sans plus réfléchir, dans un état second, introduisit le formidable engin dans sa bouche. Elle le suçait sans rechigner, comme un acte de contrition pour ses mauvaises pensées.
D’énormes filets de bave coulaient de la commissure de ses lèvres distendues au-delà du possible. Elle l’avait pompé pendant un temps infini, se contentant de lécher son gland et ses grosses couilles et de passer sa langue tout le long de son membre jusqu’à ce qu’il décida de passer à autre chose.
- Je n'en peux plus ! Pitié ! Le supplia-t-elle.
Elle aurait bien appuyé sur la sonnette d’appel pour demander de l’aide mais comment expliquer le fait d’avoir la poitrine à l’air ?
Mais le vieil autiste demeurerait indifférent aux suppliques désespérées de ta mère et la força à la sucer de plus belle.
Elle s’appliqua à la tache, ne s’apercevant même pas que l’Algérien l’avait lâché sa tête depuis un bon moment. Il infiltra sa main décharnée entre les cuisses de ta mère. Un doigt tordu par les rhumatismes s’insinua entre les lèvres charnues d’un sexe dégoulinant d’envie refoulée. Ce contact électrisa ta mère.

- Nini bonne ! Abdel baiser Nini !
Sa main malhabile labourait le sexe de ta mère.
Soudain, il la renversa sur le lit, la chevaucha pour placer la formidable verge entre ses seins. Il commença alors une fantastique « branlette espagnole, serrant les grosses doudounes contre le manche de pioche dont le gros gland venait à chaque fois buter sous le menton de ta mère.
La scène était psychédélique, Le contraste de ce corps bronzé, fripé et maigre qui s’agitait sur les formes laiteuses plus que généreuses de ta mère était irréel.
Après quelques minutes de cet exercice, la poitrine de ta mère fut presque entièrement recouverte par une quantité impressionnante de sperme que déversa Mr Abdelkader.
Elle pensa comme dans un état second que ce que l’on disait sur certains Africains n’était pas une légende que ça soit pour la taille du sexe ou de l’éjaculation. Mais aussitôt, elle se morigéna d’avoir de telles pensés, priant pour que le supplice prenne fin.
Mais le vieil homme n’était pas de cet avis. Par à-coups, il recula son corps sur celui de ta mère, remonta sa robe et déchira la culotte XXL. Une toison noire et drue apparut, un véritable « tablier de sapeur ».
Elle ne le réalisait même plus qu’elle s’offrait de plus en plus au vieux dépravé, écartant d’elle-même les jambes comme dans un geste d’invite, laissant apparaître son sexe béant et son anus serré.
Mr Abdelkader lui écarta les cuisses en grand laissant glisser son gland sur la chatte humide.

-Mr Abdelkader ! Je vous en supplie ! Allez-y doucement ! Je n’ai plus l’habitude et vous êtes si fort !
Comment ces paroles ont-elles pu sortir de sa bouche ? Elle était horrifiée de ce qu’elle venait de dire et surtout pas rassurée car son défunt mari avait une verge qui ne faisait pas la moitié de ce monstre.
Mais Mr Abdelkader était complètement déconnecté de tout ce qu’elle lui disait. Il présenta sa bite à la fente béante et s’y enfonça le plus loin possible avec la fougue d’un jeunot.
Quand elle avait senti le gland énorme écarter les lèvres de sa chatte, elle avait eu très peur ! Mais l’épais mandrin s’était engouffré sans peine tellement elle était mouillée.
Ta mère voulait hurler pendant qu’il la défonçait sans ménagement mais mordait ses lèvres pour que pas un cri ne sorte.
Il l’a défonça jusqu’à la moelle. Ta mère espérait que, vu son âge, il allait décharger rapidement. Mais ce vieux magrébin avait retrouvé une condition physique exceptionnelle.
Le monstrueux braquemard entrait et sortait du vagin de ta mère qui ne put s’empêcher de jouir.
Sans ménagement, il la retourna pour une levrette vigoureuse.
Pris dans sa folie sexuelle, il en voulait toujours plus. Il se retira de la grotte accueillante et frotta son gland contre l’anus de ta mère.
Tétanisée, elle essaya de le repousser. Il lui a asséna de formidables claques sur la croupe callipyge, bien décidé à lui éclater l’oignon !
-Non Mr Abdelkader ! Pas par là !
Mais il ne l’écoutait pas. Sa queue pliait sous l’effort. Le visage de ta mère était déformé par la douleur alors que, centimètre après centimètre, l’énorme défonce-cul forçait son étroit conduit.
Sa bite entrait de moitié dans son cul, il la plongeait de temps en temps dans son vagin pour la lubrifier et gagner ainsi quelques centimètres dans le passage étroit.
Il lui fallut se reprendre de nombreuses fois avant que ses couilles claquent contre le fessier imposant de ta mère.
Il se passa un long moment avant qu’il ne se déverse en elle, éructant des mots sans suite. Quant à ta mère, elle hurlait de plaisir et de douleur mêlés sous les rudes assauts d'Abdelkader, ne pensant même plus qu’on pouvait l’entendre.
Elle se sentait dans un état vaguement hypnotique, ayant perdu conscience de ce qui venait de se passer. Des sensations contradictoires la traversaient. Elle était proche du dégoût mais était en même temps animé par un certain sentiment du devoir.

Elle était comme fasciné par le spectacle ahurissant qu’ils devaient donner. Ce vieux magrébin rachitique à la queue énorme planté jusqu’à la garde dans son anus.
Vu les nombreuses contractions qu'il avait eu, il avait du éjaculer une très grosse quantité de semence et quand il se retira, le trou du cul déformé de ta mère recracha ce sperme si abondant.
Le foutre coulait sur la bite du vieux et les fesses de ta mère pour tomber sur les draps et former une tache blanchâtre !

Horrifiée par ce qu’elle venait de faire, ta mère se rhabilla en vitesse et sortit de la chambre en marchant bizarrement.

Le lendemain, on retrouva Mr Abdelkader décédé dans son lit, un sourire béat sur ses lèves.
Tu as de la chance que ce soit moi qui ai visionné le film et ai aussitôt effacé le passage litigieux. Mais le personnel se demande toujours vu les taches de sperme sur les draps, qui lui avait vidé les couilles à le faire crever de plaisir.

Ton amie. B.

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