Les WC des garçons 2/2 - histoire érotique

Au lycée je préfère les WC des mecs à ceux des nanas. Problème ce midi medhi, Théo et Richard m'ont surprise. Ils se sont bien amusé à me peloter le cul et la chatte et j'ai du les sucer. Ils m'ont donné rendez-vous à la fin des cours après m'avoir prise en photo. Impossible d'y échapper. Ils sont revenus avec en plus Joseph, un beau black. Médhi ma sauté et passe le relais!
A qui le tour???

Joseph s’approche de moi et commence à me pétrir le cul. Il frotte son braquemart le long de ma raie.
- A moi, mais j’ai envie de son cul. Je crois bien que je vais la sodomiser !
- Nooonnn ! Pas çà, je suis vierge de ce côté !
- Wahouuu ! Super, c’est encore mieux. Je vais lui dépuceler le cul !

Inutile de résister, ils sont 4 mecs et je suis toute seule ! Autant me laisser faire que ça me fasse le moins mal possible.

Joseph continue de frotter son chibre contre mon anus, tout en me claquant mes globes. Ça commence sérieusement à me faire mal, mais je n’ose rien dire.
- Là, je sens qu’elle est prête ! elle va adorer se faire enculer la petite salope ! Je vais lui enfoncer mon mandrin bien au fond, je vais la bourrer.
- - vas-y doucement s’il te plait Joseph, me déchire pas ma rondelle par pitié….
Pour toute réponse, Joseph appuie son gland contre mon petit trou intime. Il n’a même pas essayé de l’assouplir ou de le lubrifier. Sûr que je vais déguster ! Il me tient par les hanches et commence à s’enfoncer dans mon fourreau.
J’ai mal, je suis sûre qu’il va me mutiler. Mais que faire ? Je mors mes lèvres pour ne pas hurler de douleur. Il me tire vers lui violemment. Son énorme pieu me pénètre le cul un peu plus. J’ai la moitié de son gourdin dans mon fourreau. Et il continue à m’enculer de plus en plus fort.
- Ahhhhhh ! ça y est, ma bite est entrée toute entière dans son cul… Hummmm que c’est bon ! Tu la sens bien là dans ton petit cul de sale pute ?
- Ouiiiiii Joseph, je la sens bien ! Elle m’emplit le cul vas-y encore plus profond. Ramones-moi le fion ! Fais-le éclater !
- Je savais que tu n’étais qu’une trainée, un trou à bite. Tiens, prends çà !
Joseph se déchaîne dans mon cul. Il sort puis rentre à fond d’un seul coup de queue. A chaque fois il me fait mal, à chaque fois il m’envoie au 7è ciel de plaisir !
Je joui, la cyprine coule à flots de ma chatte trempée.
Théo est passé entre mes cuisses et commence à me brouter le minou. Il lampe avec avidité le liquide qui s’échappe de mon con. Il me fouille la chatte avec deux doigts. Il doit sentir la bite de Joseph à travers la fine paroi de mon périnée. Moi qui le prenais pour un mec timide, il s’en donne à cœur joie le Théo. J’en joui encore plus fort. Joseph s’est immobilisé. Il lâche un gros râle et sens qu’il décharge toute sa purée dans mon cul. 3, 4, 5 longs jets de foutre bien épais me remplissent les intestins. Forcément çà me fait jouir encore un peu plus !
Joseph n’a même pas débandé. Il reste planté au fond de mon cul. Il me retourne comme un crêpe et me présente à ses potes, bien emmanchée sur son bâton. J’ai conscience d’être totalement obscène dans cette position.
- Allez, qui vient planter son dard dans sa fente en même temps que je l’encule ?
Je n’y crois pas ! ils vont quand même pas me prendre à 2 ? Une double pénétration, je n’ai jamais fait. Ils vont me tuer….
Je ne suis pas au bout de mes surprises. Immédiatement, c’est le gentil Théo qui se propose.
- Hummm oui ! Je vais la baiser pendant que tu l’encules ! Prenez des photos les mecs !
Théo tient sa queue à la main et l’approche de mon con béant. Il a du mal à l’introduire dans cette position. Médhi vient l’aider. Il m’écartèle littéralement. Il ouvre encore plus mes grandes lèvres. Je ne pensais pas que je puisse m’ouvrir autant !
Théo arrive cette fois-ci à entrer son pieu dans ma chatte. Je sens bien ces deux bites qui commencent à me pilonner. L’une par derrière, l’autre par devant.
Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là ! Heureusement que Théo a une plus petite queue que Joseph, mais tout de même, j’ai bien 25 cm de chair dans mon cul et 18 dans ma cramouille !!!! Et ils déchargent tous les deux ensembles ! Je sens leur sperme m’inonder mes trous. Je dois l’avouer : j’ai mal, très mal même, mais en même temps, j’aime çà !
Je joui à nouveau comme une folle. Mes deux amants me reposent par terre et essuient leurs engins sur ma touffe pour Théo et sur mes globes pour Joseph. On est en nage tous les trois, et complètement vidés !
En l’espace d’une demi-heure je viens de prendre 3 belles grosses queues dans mes trous de pute. J’ai hâte de sortir d’ici et d’aller me reposer.
Mais j’avais oublié Richard. Mon voisin qui veut sortir avec moi depuis si longtemps..
- Et moi ? je suis le bâtard dans cette histoire ? tu ne crois pas que je vais me contenter de vous avoir maté ! j’ai aussi popaul à faire pleurer !
Richard est tout près de moi, la bite à la main. Il se tringle sauvagement.
- Les potes, ils se sont juste occuper de tes trous. Moi je veux aussi tes roberts !
- Fout-toi à poil !
- Non Richard, si quelqu’un venait je n’aurais pas le temps de me rhabiller !
- Qu’est-ce que j’en ai à foutre ! Montres-moi tes nichons j’ai dit !
Lentement, je retire mon tee-shirt. Je suis en soutif. J’hésite à l’ôter.
- Vires-moi çà je t’ai dit ! Je veux jouer avec tes nibards !
Je n’ai pas le choix. Je dégrafe donc mon soutien-gorge. Cette fois-ci, je suis nue ; Totalement nue. Et les mecs me prennent en photos, sous toutes les coutures. Richard me pétris les nichons qui sont fièrement pointés vers lui. J’ai de beaux seins je le sais et finalement je suis fière de les exhibés ! Il étire les tétons qui sont durs et bandés. Richard en prend un bouche et me tête goulument. Il joue avec mes mamelles. Ça me rend folle. Il lèche les aréoles, mordille les pointes, malaxe, écrase, soupèse mes loches. Je sens que ma fente se remet à couler. Richard a réussi à me faire jouer rien qu’en me pelotant.
- C’est pas tout, tu vas passer à la casserole maintenant.
Richard s’assois sur le bord de la lunette des chiottes, la queue bien dressée, prête à m’accueillir.
- Viens t’empaler dessus ma belle.
Je ne fais pas prier et je place ma chatte dilatée au-dessus de son braquemart. Je me laisse descendre sur ce délicieux gourdin. Hummm que c’est bon une grosse bite dans l’abricot !
Richard n’a pas lâché mes seins et il continue à me les pétrir. J’adore ses caresses, même s’il me fait un peu mal tellement il maltraite mes mamelons.
Dans cette position, c’est moi qui dirige les opérations. Je monte et je descend sur sa queue comme je l’entends. Je sens ainsi drôlement bien son pieu envahir mon con. Je suis aux anges. Que c’est bon de se faire baiser !
Richard tient toujours fermement mes seins à pleines mains. Il les écrase violemment. Jamais je n’aurais pensé aimer tellement me faire maltraiter par un mec !
- Bon c’est pas confortable comme çà !
Richard, sans sortir de mon vagin, se relève et me fait mettre contre le mur, les mains appuyées contre la paroi taguée de dessins obscènes. Il me baise alors encore plus profondément, je sens bien ses couilles qui tapent contre mon cul !
Soudain, sans avoir juté, il se retire de ma chatte. Le salaud il me laisse comme çà sans m’avoir fini. Mais je comprends vite ce qu’il veut. Je sens son gland turgescent et gonflé de plaisir contre mon anus. 9à va, j’ai compris, je vais être enculée une deuxième fois !
Richard me tiens par les épaules et me tire en arrière vers lui. Immédiatement son gland investi mon fion. Il rentre facilement car il est encore dilaté après le besognage de Joseph. Bientôt c’est toute sa colonne de chair qui s’englouti dans mes entrailles. Richard me pilonne le cul, me ramone le fion, me pistonne mon fourreau merdeux. J’en deviens folle de bonheur. Je voudrais que çà ne s’arrête jamais !
Mes mamelles ballottent dans tous les sens ! Théo et Medhi en prennent chacun une en main et jouent avec. Joseph me doigte la chatte.
Je joui abondamment ma cyprine coule entre mes cuisses. Voilà que je suis une femme fontaine en plus d’être une salope !
Richard se lâche dans mon cul puis se retire.
Ouf, je vais pouvoir souffler un peu !
Non ! C’est maintenant Medhi qui prend sa place dans mon fion tout dilaté. Il rentre en moi sans aucune peine tellement mon sphincter est distendu. Sa grosse bite me lime sauvagement le fion. J’ai mal, je crie. Théo me met une main sur la bouche pour qu’on ne m’entende pas !
Et Medhi continue ses vas et vient entre mes fesses. De plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus profond. Ses balloches viennent marteler ma chatte à chaque coup de boutoir. Je ne peux même plus jouir tellement j’ai mal malgré tout le bonheur que je ressens à être pénétrée par le cul comme çà.
Medhi donne un violent coup de queue, il lâche un râle à peine étouffé et se libère au fonde moi.
Çà fait tout de même le troisième qui me remplit le cul de sa bite et de son foutre.
Il ne manque plus que Théo… Mais pas pour longtemps car le voici qu’il se pointe lui-aussi à l’entrée de mon trou intime.
- A mon tour pour la passe de quatre ! ça va rentrer comme dans du beurre !
Effectivement, je ne sens presque pas le gourdin de Théo s’enfoncer dans ma rondelle. Pourtant il me pilonne avec vigueur le gentil Théo ! Il se cramponne à mes hanches et me tire violemment contre lui. Il s’emmanche bien à fond dans mon trou du cul. Il ressort entièrement avant de me planter à nouveau sa pine bien au chaud dans mon anus.
Théo ne tarde pas à jouir et me remplir à son tour de sa liqueur. De longs et puissants jets de foutre que je ne soupçonnais pas de la part de ce mec moins bien monté que les 3 autres. C’est pourtant lui qui déverse la plus grosse quantité de purée dans mon cul. L’épais liquide s’écoule de mon fion vers ma chatte, puis le long de mes cuisses.
Quelques secondes après, mes 4 tortionnaires ont remballé leur queue et sortent des W.C.
Je suis totalement épuisée. Incapable de réagir. Je reste là dans ces chiottes, complètement nue, dégoulinante de sperme et de cyprine. Je pue, j’ai mal, je suis pantelante, mais…..heureuse !!!
Lentement, je recouvre mes esprits. Je m’essuie tant bien que mal avec du PQ, puis je me rhabille, sauf que je ne retrouve plus ma petite culotte et mon soutif. Les salauds, ils sont partis avec !
Tant pis, je remets juste mon jeans, en faisant attention de ne pas coincer des poils de chatte dans la fermeture éclair, et mon tee-shirt qui laisse bien pointer mes nibards.
Et me souviendrai toute ma vie de cette journée où je suis devenue une petite pute. Depuis ce jour, il me faut du sexe tout le temps. J’ai envie en permanence d’une bite dans ma chatte ou dans mon cul. C’est plus fort que moi, c’est une drogue.