LES YEUX BAND2S 2
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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LES YEUX BAND2S 2
Les yeux bandés 2,
Plusieurs fois déjà, Karen essayait de me tendre des pièges pour savoir qui avait l’avait bouleversée à ce points après cette pipe les yeux bandés sur notre parking. Mais ces pièges m’incitaient davantage à réfléchir pour arriver à ce que José et Karen et moi puissions passer une soirée trio. Petit à petit, un plan commençait à se mettre en place dans ma tête. José, de son côté demandait toujours des nouvelles de son fantasme. Bien sûr cela amenait à parler d’elle et pour moi de peaufiner mon "plan Trio". Jusqu’au jour ou notre plan se trouvait être bien préparé sans que ce soit diabolique. Rentré à la maison, une semaine normale, j’annonçais à ma femme que j’avais rencontré "le fameux sucé" qui l’avait tant bouleversée. Contente de cette bonne nouvelle Karen m’a posé plein de questions dont: qu’à t’il dit de moi? Je la rassurais en lui disant qu’il y pensait tous les soirs et qu’il serait ravi de la revoir sexuellement bien sûr. Qu’il était déjà amoureux d’elle avant l’expérience, mais maintenant qu’il connaissait notre côté candauliste elle était devenue son plus gros fantasme. De fil en aiguille j’en suis arrivé à la possibilité de nous réserver une soirée, voire même la nuit pour un trio. Mais j’ai mis une condition: Il se trouverait entre plusieurs gars qu’elle sucerait pour une soirée pipe et elle aurait encore les yeux bandés. Si elle le reconnaissait, nous irions à l’hôtel et je ne lui débanderais les yeux mais seulement lorsqu’elle se serait empalée sur lui. Cette 2ème phase de la réalisation de notre fantasme de tous les trois c’est passée 3 semaine après la 1ère. En voici le récit.
J’avais retenu une chambre dans l’hôtel Campanile à côté du parking ou j’avais donné rendez-vous à José sur le parking à 21 h 00. Karen était vêtue très sexy comme la dernière fois et nous sommes arrivés sur le parking 15 mn avant le rendez-vous. Je bandais tout de suite les yeux de ma femme et entamais un "flirt exhibition" devant deux voyeurs qui, connaissant les prestations de mon épouse, étaient venus se poster devant la portière de Karen. Tout en caressant sa poitrine et foufoune, j’attendais l’arrivée de José pour éviter qu’il y ait trop de prétendants à la pipe. Voilà, José est arrivé, comme prévu il est venu en troisième position alors que Karen entamait sa 1ère gâterie. Il regardait, les yeux ébahis, Karen suçant sans pudeur les queues bandantes des deux premiers lascars. Puis vint son tour. Elle s’est laissée caresser d’abord les seins puis foufoune, José a levé la tête, l’air étonné et m’a montré ses doigts dégoulinants. Karen était "à point" sa respiration, comme à chaque soirée spéciale pipes, avait accéléré et ses nichons se soulevaient au rythme de son excitation montante. Comme pour les deux autres chanceux, elle a attrapée la queue tendue en porte drapeau de José. Elle a marqué un temps d’arrêt avant de commencer à la caresser avec une douceur inhabituelle. Elle s’est redressée sur son siège et s’est bien callée dans son fauteuil comme si, ayant reconnu la queue qu’elle caressait elle voulait être sûre d’avoir la queue fantasmée en main, celle qu’elle allait sucer et reconnaître son fantasme. Elle a penché la tête vers l’objet de sa convoitise et je l’ai vu, pour la seconde fois, disparaitre dans la bouche gourmande de ma femme. Elle la laissée s’enfoncer tout au fond de sa gorge. Quelques grognements s’entendaient pendant le retour, elle l’a laissée ressortir entièrement:
« -Il me semblerait connaitre cette bitte -non? -, murmura t’elle
- Oui ma chérie, c’est bien le même. Termine-la et on va à l’hôtel.
- OK! Mais Je la fait entière. Elle est trop bonne.
- Oui, fini, prends ton temps.»
Je faisais signe au 4ème prétendant que c’était fini pour ce soir. C’était un habitué.
Cinq minutes après, José se retirait de cet antre du plaisir sans avoir jouit. Il s’est penché sur les nichons offert, les embrassait et dit à l’oreille de Karen:
« - Jean vient de dire que nous allions à l’hôtel, j’espère que tu comprendras que je préserve toutes mes forces pour rester à la hauteur de ce formidable évènement.
- Oui bien sûr, et en plus je me suis spécialement réservée pour toi. Je ferais vraiment ta connaissance dans un lit et je sais déjà que nous nous connaissons. Pour moi se sera la surprise. Mis je sens que la nuit va être longue et chargée de plaisir, j’en suis sûre. »
Les yeux toujours bandés, Karen nous a suivi jusque dans la chambre. Elle n’avait même pas remit de l’ordre dans ses vêtements en désordre et son chemisier largement déboutonné exhibait son magnifique 105 C avec leurs tétons restés en érection. Dans la chambre, j’amenais Karen s’assoir au bord du lit, tandis que José allait se nettoyer. Mon épouse avait gardé ses vêtements et se caressait les seins s’amusant avec ses tétons. José s’est assis à ses côtés, l’a prise dans ses bras pour lui donner très amoureusement le premier baiser auquel Karen a répondu avec ferveur. Pressé de caresser cette magnifique poitrine il a prit un biberon et a commencé à la téter. Je lui avais bien dit que Karen adorait des tétées. Elle a caressé ses cheveux comme pour donner son assentiment à ses caresses. Petit à petit il a fait basculer le corps sur le lit. Je pouvais déjà voir les poils de foufoune humidifiés par l’excitation grandissante. Très vite Karen s’est laissée déshabiller même s’il n’y avait plus grand chose à sortir. Elle même s’acharnait à lui sortir le pantalon (elle avait tout de même les yeux bandés), puis le slip qui s’est dressé comme un diable sortant de sa boite. Elle s’est amusée un long moment avec la queue et les couilles comme pour les évaluer. José s’est agenouillé devant Karen, entre ses cuisses qu’il a écartées en grand. Il a plongé la tête et bloqué par les cuisses il lui a prodigué un cunnilingus. Elle tortillait les fesses en gémissant lui caressant les cheveux. Il l’a léchée ainsi un long moment. Les gémissements étaient de plus en plus forts. Elle avait passé ses jambes sur les épaules de José, jusqu’au moment ou elle a laissé éclater sa jouissance. Elle est restée un moment, les bras en étoile a jouir et José persistait a lécher foufoune maintenant ruisselante. Karen, voulant garder un petit moment encore ce plaisir qui l’avait faite jouir, restait immobile. Puis elle a demandé à José de s’allonger. Elle voulait maintenant, à son tour, lui rendre la gâterie qu’elle venait de recevoir. En plus elle était au courant qu’il avait très apprécié la façon avec elle distribuait ses gâteries. Avant de s’allonger, il en profita pour échanger un long baiser amoureux bien baveux. Karen en a profité pour rendre la queue bien dure et bien raide, pour un pipe réussie. Le baiser terminé, José sur le dos, Karen en équerre à ses côtés, elle a couvert le torse poilu de petits baisers, en descendant vers la queue qu’elle serrait dans sa main, lui donnant les derniers va et vient. Elle a déposé son dernier baiser sur le gland qui perlait de quelques gouttes de plaisir. Elle a ouvert la bouche et après un premier coup de langue et l’a faite plonger très lentement dans sa bouche. Petit à petit, j’ai regardé, j’ai vu, j’ai admiré cette queue qui disparaissait inexorablement entre les lèvres de mon épouse. Elle a levé les yeux vers lui, et surveillant ses réactions, elle l’a laissé arrivé au plus profond de sa gorge. Elle l’a gardée ainsi et après un petit hoquet, elle a reculé la tête toujours en le regardant fixement. Je voyais maintenant les joues se dégonfler, se regonfler, elle aspirait fortement comme elle le faisait toujours pour ses fameuses "royales". Tous les bienheureux qui avaient droit à une royale complète ne manquaient jamais de la remercier et de la féliciter. Là, à ce moment, les mimiques, les gémissements, l’éblouissement dans les yeux de José n’étaient que remerciements et félicitations. Surtout que Karen n’était pas dans la voiture sur son siège, José n’était pas debout, collé à la portière de notre voiture, il était, sur un lit, nu, sous le torse de Karen, nue et elle lui prodiguait le première phase de l’amour. On pouvait comprendre à quel point elle appréciait de le sucer tellement elle y mettait de la vigueur. José me regardait, les yeux dans le vague, savourant son plaisir. Ce soir, il se faisait sucer pour la 2ème fois par son fantasme et il savait qu’il allait la baiser et peut être même la sodomiser. Je l’avais prévenu qu’il serait étonnant qu’elle le lui refuse. Karen, prévoyant de le chevaucher, laissa ressortir la queue de sa bouche et tout en le maintenant en totale érection, s’est levée et le lui souriant, elle s’est assise sur la queue bien raide. Elle l’a guidée devant sa chatte, entamant l’entrée et d’un coup s’est laissée tomber. Elle a poussé un petit cri de bonheur lorsque ses fesses se sont collées aux cuisses de son amant. C’est à ce moment qu’elle lui a demandé:
« - Que préfères-tu, rester dessous, ou te mettre dessus. Ce sera comme tu veux. Moi, pourvu que tu me baises…
José n’a pas répondu, il a fait pivoter Karen et la laissant empalée il lui a simplement répondu:
- comme ça, je préfère. Je veux te donner mon maximum, tout en te regardant.»
Je me suis levé et j’enlevais le bandeau comme promis. Tout d’abord elle l’a fixé, étonnée de reconnaitre José. Elle restait souriante, et après un petit hoquet de plaisir elle a reprit ses déhanchements de pénétrations:
« -José ? Si je m’attendais a me retrouver dans cette position, avec le copain de mon mari… Bon sang, ça je n’aurais jamais imaginé ça. Oh bon sang que c’est bon ! Je n’y avais jamais pensé.
Et se tournant vers moi:
-Tu te rappelles ce que nous avions dis … AHHH… vas y continus. Et en plus j’aimes ça. Mon dieu que c’est bon. On réglera ça après, maintenant de toute façon c’est fait, HAAHHA, alors on va aller jusqu’au bout. Haahaa Vas-y mon chéri, baise moi, vas -y défonce moi. Oh bon sang haaahaa On a toute la nuit. Et j’ai bien haahaaa l’intention d’en profiter. Je ne peux pas nier que ta bitte me plait. Elle m’a plu depuis la première fois. Et là, c’est un délice.»
José, de son côté, comme en état de sidération devant cette incroyable acceptation, ne bougeait plus. Même s’il avait réussi de redevenir le maître du jeu après le retournement accepté et réussi, il avait sa queue dans le vagin de Karen, ses deux mains sur la fabuleuse poitrine de ma femme, ses lèvres collées et décollées de celles de mon épouse. Il devait sentir ce corps chaud sous le sien et son corps à lui, frémissant devant tant de bonheur. Cette femme qui, jusqu’à présent, le faisait fantasmer tous les vendredi, lorsqu’elle prenait l’apéro avec eux, à demi nue (a ses yeux), souriante, si belle et si provocante, si baisable mais jusqu’alors intouchable, la, il était en elle, elle se laissait caresser, embrasser, baiser. Elle s’était empalée elle même sur sa queue qui lui faisait mal tellement il avait envie d’elle et pourtant il restait immobile. Pouvait-il la ramoner comme n’importe qu’elle conquête de passage. Et pourtant, elle, Karen, lui ;avouait sans pudeur, sa folle envie d’être baisée, défoncée, comme une vulgaire salope. Alors il c’est décidé. Il a soulevé ses fesses et s’est laissé retomber dans cette merveilleuse chatte, qui se lubrifiait d’elle même, qui n’hésitait pas à se laisser remplir, à la faire gémir de plus en plus fort. Ca y était, elle commençait à prendre du plaisir. Il fallait qu’il la fasse jouir, lui donner le plaisir, la faire gueuler serait le graal. Le rythme s’accélérait à mesure que ses gémissements augmentaient, Il sentait son plaisir grandir à mesure qu’il accélérait. Maintenant sa seule préoccupation était de la faire jouir, de jouir sur son ventre pour lui prouver tout le plaisir qu’il recevait, qu’il était et, qui sait, pouvait rester un amant exceptionnel si elle voulait. HA, s’il pouvait la baiser, le rebaiser encore et encore. Et même si cette femelle était une salope qui suçait n’importe qui pourvu qu’il bande dans ses mains, qui acceptait de baiser après quelques minutes de discussion et même sans discussion, qui acceptait des doubles pénétrations, des gang bang, n’importe pourvu qu’il puisse la reprendre, la baiser et même la sodomiser puisqu’elle aimait ça.
A ce moment, j’ai pu mesurer à quel point , son copain, Pédro, n’avait pas exagéré en disant qu’il pouvait baiser pendant plus de 10 minutes sans se reposer. Karen s’accrochait à lui, lui labourait les épaules et criait de plus en plus fort. Il avait déjà dépassé les 10 minutes et elle criait toujours, il la labourait, la défonçait toujours et encore. C’est elle qui a serré ses cuisses, et lui demandait de se calmer. Qu’ils avaient toute la nuit, qu’elle voulait se reposer et que pour le moment elle avait reçu, déjà, la bonne dose de jouissance. C’est alors que José c’est blotti contre elle et dans un râle rauque, a jouit à son tour. Il s’est aplati sur le corps tremblant de ma femme et a jouit tout son saoul. Il l’a inondé le ventre de mon épouse de son plaisir, tout en la couvrant de baisers qu’elle lui rendait. Il l’a faite basculer à ses côtés, la queue encore ruisselant de plaisir en pleine débandaison. Karen la caressait encore tendrement comme pour la remercier tandis que José, malaxait un nichon au téton encore en totale érection. Karen s’est redressée et l’a embrassé amoureusement:
« - Il faut dire qu’après un tel moment, il me sera impossible de faire des remontrances à mon mari pour avoir trahi nos interdictions. Et tant pis si je trahis à mon tour, il n’est pas exclu que je sois d’accord pour que nous nous revoyons, avec et devant mon mari. Là, on va se reposer et j’aimerais bien une DP. Si mes deux chéris s’en sentent le courage. Et pour le moment, pendant que José récupère, je vais m’amuser avec Jean et lui faire payer la trahison de nos interdictions. »
La nuit a été longue et Karen nous a épuisés. Même José m’a avoué après une troisième pénétration, être complètement lessivé et avouait qu’il n’était jamais tombé sur une femme aussi "vaillante". Mais en réponse à "l’invitation" de Karen pour se revoir, il s’est penché vers elle, et lui caressant les seins et déposant un baiser sur ses lèvres:
« - Et pour ce qui est de se revoir, je suis totalement d’accord, tous les vendredi si tu veux et même les week-end complets si vous m’y invitez. »
C’est donc ainsi que José est devenu un des amants de Karen. Cette relation a duré plus d’une année. Et même si ça n’a pas été tous les vendredi, nous avons eus plusieurs DP très jouissives dont une avec Amédé.
Plusieurs fois déjà, Karen essayait de me tendre des pièges pour savoir qui avait l’avait bouleversée à ce points après cette pipe les yeux bandés sur notre parking. Mais ces pièges m’incitaient davantage à réfléchir pour arriver à ce que José et Karen et moi puissions passer une soirée trio. Petit à petit, un plan commençait à se mettre en place dans ma tête. José, de son côté demandait toujours des nouvelles de son fantasme. Bien sûr cela amenait à parler d’elle et pour moi de peaufiner mon "plan Trio". Jusqu’au jour ou notre plan se trouvait être bien préparé sans que ce soit diabolique. Rentré à la maison, une semaine normale, j’annonçais à ma femme que j’avais rencontré "le fameux sucé" qui l’avait tant bouleversée. Contente de cette bonne nouvelle Karen m’a posé plein de questions dont: qu’à t’il dit de moi? Je la rassurais en lui disant qu’il y pensait tous les soirs et qu’il serait ravi de la revoir sexuellement bien sûr. Qu’il était déjà amoureux d’elle avant l’expérience, mais maintenant qu’il connaissait notre côté candauliste elle était devenue son plus gros fantasme. De fil en aiguille j’en suis arrivé à la possibilité de nous réserver une soirée, voire même la nuit pour un trio. Mais j’ai mis une condition: Il se trouverait entre plusieurs gars qu’elle sucerait pour une soirée pipe et elle aurait encore les yeux bandés. Si elle le reconnaissait, nous irions à l’hôtel et je ne lui débanderais les yeux mais seulement lorsqu’elle se serait empalée sur lui. Cette 2ème phase de la réalisation de notre fantasme de tous les trois c’est passée 3 semaine après la 1ère. En voici le récit.
J’avais retenu une chambre dans l’hôtel Campanile à côté du parking ou j’avais donné rendez-vous à José sur le parking à 21 h 00. Karen était vêtue très sexy comme la dernière fois et nous sommes arrivés sur le parking 15 mn avant le rendez-vous. Je bandais tout de suite les yeux de ma femme et entamais un "flirt exhibition" devant deux voyeurs qui, connaissant les prestations de mon épouse, étaient venus se poster devant la portière de Karen. Tout en caressant sa poitrine et foufoune, j’attendais l’arrivée de José pour éviter qu’il y ait trop de prétendants à la pipe. Voilà, José est arrivé, comme prévu il est venu en troisième position alors que Karen entamait sa 1ère gâterie. Il regardait, les yeux ébahis, Karen suçant sans pudeur les queues bandantes des deux premiers lascars. Puis vint son tour. Elle s’est laissée caresser d’abord les seins puis foufoune, José a levé la tête, l’air étonné et m’a montré ses doigts dégoulinants. Karen était "à point" sa respiration, comme à chaque soirée spéciale pipes, avait accéléré et ses nichons se soulevaient au rythme de son excitation montante. Comme pour les deux autres chanceux, elle a attrapée la queue tendue en porte drapeau de José. Elle a marqué un temps d’arrêt avant de commencer à la caresser avec une douceur inhabituelle. Elle s’est redressée sur son siège et s’est bien callée dans son fauteuil comme si, ayant reconnu la queue qu’elle caressait elle voulait être sûre d’avoir la queue fantasmée en main, celle qu’elle allait sucer et reconnaître son fantasme. Elle a penché la tête vers l’objet de sa convoitise et je l’ai vu, pour la seconde fois, disparaitre dans la bouche gourmande de ma femme. Elle la laissée s’enfoncer tout au fond de sa gorge. Quelques grognements s’entendaient pendant le retour, elle l’a laissée ressortir entièrement:
« -Il me semblerait connaitre cette bitte -non? -, murmura t’elle
- Oui ma chérie, c’est bien le même. Termine-la et on va à l’hôtel.
- OK! Mais Je la fait entière. Elle est trop bonne.
- Oui, fini, prends ton temps.»
Je faisais signe au 4ème prétendant que c’était fini pour ce soir. C’était un habitué.
Cinq minutes après, José se retirait de cet antre du plaisir sans avoir jouit. Il s’est penché sur les nichons offert, les embrassait et dit à l’oreille de Karen:
« - Jean vient de dire que nous allions à l’hôtel, j’espère que tu comprendras que je préserve toutes mes forces pour rester à la hauteur de ce formidable évènement.
- Oui bien sûr, et en plus je me suis spécialement réservée pour toi. Je ferais vraiment ta connaissance dans un lit et je sais déjà que nous nous connaissons. Pour moi se sera la surprise. Mis je sens que la nuit va être longue et chargée de plaisir, j’en suis sûre. »
Les yeux toujours bandés, Karen nous a suivi jusque dans la chambre. Elle n’avait même pas remit de l’ordre dans ses vêtements en désordre et son chemisier largement déboutonné exhibait son magnifique 105 C avec leurs tétons restés en érection. Dans la chambre, j’amenais Karen s’assoir au bord du lit, tandis que José allait se nettoyer. Mon épouse avait gardé ses vêtements et se caressait les seins s’amusant avec ses tétons. José s’est assis à ses côtés, l’a prise dans ses bras pour lui donner très amoureusement le premier baiser auquel Karen a répondu avec ferveur. Pressé de caresser cette magnifique poitrine il a prit un biberon et a commencé à la téter. Je lui avais bien dit que Karen adorait des tétées. Elle a caressé ses cheveux comme pour donner son assentiment à ses caresses. Petit à petit il a fait basculer le corps sur le lit. Je pouvais déjà voir les poils de foufoune humidifiés par l’excitation grandissante. Très vite Karen s’est laissée déshabiller même s’il n’y avait plus grand chose à sortir. Elle même s’acharnait à lui sortir le pantalon (elle avait tout de même les yeux bandés), puis le slip qui s’est dressé comme un diable sortant de sa boite. Elle s’est amusée un long moment avec la queue et les couilles comme pour les évaluer. José s’est agenouillé devant Karen, entre ses cuisses qu’il a écartées en grand. Il a plongé la tête et bloqué par les cuisses il lui a prodigué un cunnilingus. Elle tortillait les fesses en gémissant lui caressant les cheveux. Il l’a léchée ainsi un long moment. Les gémissements étaient de plus en plus forts. Elle avait passé ses jambes sur les épaules de José, jusqu’au moment ou elle a laissé éclater sa jouissance. Elle est restée un moment, les bras en étoile a jouir et José persistait a lécher foufoune maintenant ruisselante. Karen, voulant garder un petit moment encore ce plaisir qui l’avait faite jouir, restait immobile. Puis elle a demandé à José de s’allonger. Elle voulait maintenant, à son tour, lui rendre la gâterie qu’elle venait de recevoir. En plus elle était au courant qu’il avait très apprécié la façon avec elle distribuait ses gâteries. Avant de s’allonger, il en profita pour échanger un long baiser amoureux bien baveux. Karen en a profité pour rendre la queue bien dure et bien raide, pour un pipe réussie. Le baiser terminé, José sur le dos, Karen en équerre à ses côtés, elle a couvert le torse poilu de petits baisers, en descendant vers la queue qu’elle serrait dans sa main, lui donnant les derniers va et vient. Elle a déposé son dernier baiser sur le gland qui perlait de quelques gouttes de plaisir. Elle a ouvert la bouche et après un premier coup de langue et l’a faite plonger très lentement dans sa bouche. Petit à petit, j’ai regardé, j’ai vu, j’ai admiré cette queue qui disparaissait inexorablement entre les lèvres de mon épouse. Elle a levé les yeux vers lui, et surveillant ses réactions, elle l’a laissé arrivé au plus profond de sa gorge. Elle l’a gardée ainsi et après un petit hoquet, elle a reculé la tête toujours en le regardant fixement. Je voyais maintenant les joues se dégonfler, se regonfler, elle aspirait fortement comme elle le faisait toujours pour ses fameuses "royales". Tous les bienheureux qui avaient droit à une royale complète ne manquaient jamais de la remercier et de la féliciter. Là, à ce moment, les mimiques, les gémissements, l’éblouissement dans les yeux de José n’étaient que remerciements et félicitations. Surtout que Karen n’était pas dans la voiture sur son siège, José n’était pas debout, collé à la portière de notre voiture, il était, sur un lit, nu, sous le torse de Karen, nue et elle lui prodiguait le première phase de l’amour. On pouvait comprendre à quel point elle appréciait de le sucer tellement elle y mettait de la vigueur. José me regardait, les yeux dans le vague, savourant son plaisir. Ce soir, il se faisait sucer pour la 2ème fois par son fantasme et il savait qu’il allait la baiser et peut être même la sodomiser. Je l’avais prévenu qu’il serait étonnant qu’elle le lui refuse. Karen, prévoyant de le chevaucher, laissa ressortir la queue de sa bouche et tout en le maintenant en totale érection, s’est levée et le lui souriant, elle s’est assise sur la queue bien raide. Elle l’a guidée devant sa chatte, entamant l’entrée et d’un coup s’est laissée tomber. Elle a poussé un petit cri de bonheur lorsque ses fesses se sont collées aux cuisses de son amant. C’est à ce moment qu’elle lui a demandé:
« - Que préfères-tu, rester dessous, ou te mettre dessus. Ce sera comme tu veux. Moi, pourvu que tu me baises…
José n’a pas répondu, il a fait pivoter Karen et la laissant empalée il lui a simplement répondu:
- comme ça, je préfère. Je veux te donner mon maximum, tout en te regardant.»
Je me suis levé et j’enlevais le bandeau comme promis. Tout d’abord elle l’a fixé, étonnée de reconnaitre José. Elle restait souriante, et après un petit hoquet de plaisir elle a reprit ses déhanchements de pénétrations:
« -José ? Si je m’attendais a me retrouver dans cette position, avec le copain de mon mari… Bon sang, ça je n’aurais jamais imaginé ça. Oh bon sang que c’est bon ! Je n’y avais jamais pensé.
Et se tournant vers moi:
-Tu te rappelles ce que nous avions dis … AHHH… vas y continus. Et en plus j’aimes ça. Mon dieu que c’est bon. On réglera ça après, maintenant de toute façon c’est fait, HAAHHA, alors on va aller jusqu’au bout. Haahaa Vas-y mon chéri, baise moi, vas -y défonce moi. Oh bon sang haaahaa On a toute la nuit. Et j’ai bien haahaaa l’intention d’en profiter. Je ne peux pas nier que ta bitte me plait. Elle m’a plu depuis la première fois. Et là, c’est un délice.»
José, de son côté, comme en état de sidération devant cette incroyable acceptation, ne bougeait plus. Même s’il avait réussi de redevenir le maître du jeu après le retournement accepté et réussi, il avait sa queue dans le vagin de Karen, ses deux mains sur la fabuleuse poitrine de ma femme, ses lèvres collées et décollées de celles de mon épouse. Il devait sentir ce corps chaud sous le sien et son corps à lui, frémissant devant tant de bonheur. Cette femme qui, jusqu’à présent, le faisait fantasmer tous les vendredi, lorsqu’elle prenait l’apéro avec eux, à demi nue (a ses yeux), souriante, si belle et si provocante, si baisable mais jusqu’alors intouchable, la, il était en elle, elle se laissait caresser, embrasser, baiser. Elle s’était empalée elle même sur sa queue qui lui faisait mal tellement il avait envie d’elle et pourtant il restait immobile. Pouvait-il la ramoner comme n’importe qu’elle conquête de passage. Et pourtant, elle, Karen, lui ;avouait sans pudeur, sa folle envie d’être baisée, défoncée, comme une vulgaire salope. Alors il c’est décidé. Il a soulevé ses fesses et s’est laissé retomber dans cette merveilleuse chatte, qui se lubrifiait d’elle même, qui n’hésitait pas à se laisser remplir, à la faire gémir de plus en plus fort. Ca y était, elle commençait à prendre du plaisir. Il fallait qu’il la fasse jouir, lui donner le plaisir, la faire gueuler serait le graal. Le rythme s’accélérait à mesure que ses gémissements augmentaient, Il sentait son plaisir grandir à mesure qu’il accélérait. Maintenant sa seule préoccupation était de la faire jouir, de jouir sur son ventre pour lui prouver tout le plaisir qu’il recevait, qu’il était et, qui sait, pouvait rester un amant exceptionnel si elle voulait. HA, s’il pouvait la baiser, le rebaiser encore et encore. Et même si cette femelle était une salope qui suçait n’importe qui pourvu qu’il bande dans ses mains, qui acceptait de baiser après quelques minutes de discussion et même sans discussion, qui acceptait des doubles pénétrations, des gang bang, n’importe pourvu qu’il puisse la reprendre, la baiser et même la sodomiser puisqu’elle aimait ça.
A ce moment, j’ai pu mesurer à quel point , son copain, Pédro, n’avait pas exagéré en disant qu’il pouvait baiser pendant plus de 10 minutes sans se reposer. Karen s’accrochait à lui, lui labourait les épaules et criait de plus en plus fort. Il avait déjà dépassé les 10 minutes et elle criait toujours, il la labourait, la défonçait toujours et encore. C’est elle qui a serré ses cuisses, et lui demandait de se calmer. Qu’ils avaient toute la nuit, qu’elle voulait se reposer et que pour le moment elle avait reçu, déjà, la bonne dose de jouissance. C’est alors que José c’est blotti contre elle et dans un râle rauque, a jouit à son tour. Il s’est aplati sur le corps tremblant de ma femme et a jouit tout son saoul. Il l’a inondé le ventre de mon épouse de son plaisir, tout en la couvrant de baisers qu’elle lui rendait. Il l’a faite basculer à ses côtés, la queue encore ruisselant de plaisir en pleine débandaison. Karen la caressait encore tendrement comme pour la remercier tandis que José, malaxait un nichon au téton encore en totale érection. Karen s’est redressée et l’a embrassé amoureusement:
« - Il faut dire qu’après un tel moment, il me sera impossible de faire des remontrances à mon mari pour avoir trahi nos interdictions. Et tant pis si je trahis à mon tour, il n’est pas exclu que je sois d’accord pour que nous nous revoyons, avec et devant mon mari. Là, on va se reposer et j’aimerais bien une DP. Si mes deux chéris s’en sentent le courage. Et pour le moment, pendant que José récupère, je vais m’amuser avec Jean et lui faire payer la trahison de nos interdictions. »
La nuit a été longue et Karen nous a épuisés. Même José m’a avoué après une troisième pénétration, être complètement lessivé et avouait qu’il n’était jamais tombé sur une femme aussi "vaillante". Mais en réponse à "l’invitation" de Karen pour se revoir, il s’est penché vers elle, et lui caressant les seins et déposant un baiser sur ses lèvres:
« - Et pour ce qui est de se revoir, je suis totalement d’accord, tous les vendredi si tu veux et même les week-end complets si vous m’y invitez. »
C’est donc ainsi que José est devenu un des amants de Karen. Cette relation a duré plus d’une année. Et même si ça n’a pas été tous les vendredi, nous avons eus plusieurs DP très jouissives dont une avec Amédé.
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Quelle femme !!!
Vivement une suite...
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