Les yeux bandés, soumise docile et mouillée
Récit érotique écrit par Marie Salope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les yeux bandés, soumise docile et mouillée
Nous nous sommes peu parlé avant. Je t’ai dit mon besoin de me faire baiser. Je sais en toi cette force mâle qui me fait fantasmer depuis des jours. Qui m’empêche de dormir. Des nuits sans sommeil où je me caresse, où je pince mes tétons déjà durs de désir. Je t’ai dit comment je voulais tout t’offrir, devancer tes fantasmes, te proposer de tout prendre, de tout posséder, de me défoncer. Bien profond. Brutalement.
Je sonne, déjà mouillée. Ton sourire si doux, si calme. J’entre et pose mon sac. Mon blouson, mon pull à terre. Mes yeux dans les tiens. Tu attends. Je suis face à toi. Soutien-gorge noir, classique, couvrant mes seins. Mini jupe en jean, collants noirs, bottes de motard. Je te demande si je peux m’occuper de mes seins. Tu hoches la tête, souriant. Carnassier. J’attrape chaque téton entre le pouce et l’index. Je les pince et les maltraite, le temps nécessaire pour qu’ils soient gonflés, irrités. Je prends les ciseaux de cuisine et sous tes yeux amusés, je découpe mon soutien-gorge pour qu’il mette en valeur un téton. Je te les tends et te propose de t’occuper du reste de ma lingerie. Vas-y, découpe, libère l’autre sein, profites-en pour pincer mes tétons, taquiner mes seins, tester leur fermeté… Je me retourne, soulève ma jupe. Je me penche en avant, j’écarte les jambes. Les ciseaux s’occupent d’abord de mes collants que tu ouvres bien largement, au milieu, laissant apparaître une culotte en dentelle noire. Je me cambre. Tu joues avec les ciseaux sur ma chatte si peu couverte, tu me testes, tu me titilles du bout des lames, tu testes ma confiance en toi. Je ne bouge pas, je reste là, offerte. Tes doigts glissent sous la dentelle, tu l’écartes et tu finis le travail : une belle culotte fendue. Tu poses les ciseaux. Tu admires le tableau : moi penchée, cambrée, mouillée, ouverte, offerte, ma chatte luisante, mon trou accessible… tu penches la tête et mates mes tétons enflés.
Mes premiers mots. Je veux te prendre et te faire grossir dans ma bouche. Tes yeux dans les miens. Mes mains s’occupent de ta ceinture, je défais un à un les boutons de ton jean, à genoux devant toi, bien cambrée, je libère ta queue déjà tendue. Je l’admire. Toi, les yeux fermés, respiration forte, concentré, tu te détends, tu débandes pour mon plaisir. Je te prends dans ma bouche doucement. Une main sur tes couilles gonflées à bloc, l’autre se promène entre ta queue et tes fesses. Je te suce, te lèche, te prends tout entier, te titille avec la langue et te sens grossir dans ma bouche, tu prends toute la place, je te pompe un peu, ma main remplace ma bouche et je m’occupe de tes couilles et les prends au chaud l’une après l’autre. Ta queue est dressée, prête à l’assaut. Je suis trempée. Prête.
Je m’installe sur ton canapé, à genou, écartée, appuyée sur le dossier avec mes coudes. Je m’offre à toi. Sans restriction. Je te fais confiance pour bien me baiser, me laminer, me laisser brisée de plaisir. Je reste là, le plus cambrée possible, come tu aimes. J’attends. Les yeux fermés. Je ne sais pas par quoi tu veux commencer. Ma chatte ou mon con ? Ta queue, un gode, un vibro, des boulles de geisha, une fessée, le martinet ou la cravache, tes doigts… L’excitation monte. Je t’entends préparer quelques accessoires. Lesquels ? Je te sens derrière moi. Tu me bandes les yeux. Tu me relèves, toujours à genoux. Tu prends mes poignets l’un après l’autre tu les attaches dans mon dos avec un lien en cuir épais, probablement une laisse. Tu me tires en arrière, sans un mot et tu me guides dans la pièce. Je souris, je crois savoir où tu veux m’utiliser. Tu me pousses contre le lit, genoux au sol, et tu m’ordonnes de prier. Je vous salue mon homme plein de force et de pouvoir, je vous choisis entre tous pour m’utiliser, me baiser me limer jusqu’à la garde, jusqu’à ce que vos couilles soient vides et votre queue lassée. Tu t’es calé derrière moi. Ta queue contre mon cul. Tu malaxes mes seins, un peu trop fort, juste assez pour que j’ai du mal à finir ma prière, hoquetant à chaque fois que tu pinces mes mamelons. J’ai fini, tu me pousses à plat ventre sur le lit, bien calée pour que je ne bouge pas quand tu t’enfonceras en moi encore et encore. J’attends.
Tu me caresses avec le martinet, tu passes les lanières de cuir sur mes trous offerts, tu me fouettes un peu mes fesses. J’attends. Une bonne fessée. Oui. Merci. J’ai le cul en feu, ça chauffe bien. Une dernière bonne claque, forte et j’ai a peine le temps de réaliser qu’un liquide froid coule sur ma raie, tu enfonces brutalement du métal glacé dans mon cul ;je sais que tu as choisi mon rosebud préféré : celui qui me prépare suffisamment pour que tu puisses quand tu le souhaites te déchainer dans mon cul, celui qui ne me détend pas trop pour que je sois bien serrée pour ton plaisir. Je gémis de plaisir, d’excitation, de frustration, je te supplie en silence, c’est ton rythme, ton jeu, ton plaisir, ta femme. Doucement, déjà empalée par un diamant, tu me prends enfin, un mouvement lent et fort, une jouissance instantanée, des vagues de plaisir… Bien au fond de ta propriété, tu te penches sur moi me dis comme je suis bonne et accueillante, docile… une bonne petite chienne lubrique, ton vide couille préféré, tu m’expliques comment tu vas me prendre, tu saisis mes cheveux, tu t’agrippes bien et tu commences doucement tes va et vient, le rythme augmente tranquillement, tu as tout ton temps, je suis à toi. Tu accélères, lâches mes cheveux et attrape mes hanches, tu sais comme j’aime avoir la marque de tes doigts sur moi, tout le temps, des petits souvenirs bleus… Tu me pilonnes sans relâche, des claques tombent, je crie, je jouis, encore. Tu ralentis le mouvement, tu te retires et me laisse vide, pas longtemps : un gode te remplace, tu as choisi le plus gros, tu l’enfonces impitoyablement, encore et encore, tu te reposes et tu me baises avec ce sexe géant, tu le pousse à chaque fois plus profond, je n’en peux plus. Tu libères mes mains et m’ordonnes de maintenir le gode au plus profond de moi. Tu admires la scène : mon cul rougi par les claques, le diamant qui occupe mon trou, mes mains agrippées au gode qui rempli ma chatte gonflée de plaisir. Tu me bascules sur le coté, vérifie que le gode reste en place, que j’obéis, comme il est un peu sorti dans le mouvement j’ai le droit à une grande claque sur le cul et tu pousses le gode d’un coup au fond de mon sexe, je crie de surprise. Allongée sur le coté, je sens tes mains sur moi, tu me palpes, me caresses, tu m’évalues, j’attends. Tu t’occupes un peu de mes seins, tu pinces sauvagement leurs bouts, la douleur me coupe le souffle. Tu me repousses à plat ventre, vite, tu retires le rosebud et tu m’embroches d’un coup sec jusqu’au bout, tu m’encercles de tes bras forts, tu me redresses en me rappelant ta volonté : tu gardes le gode bien enfoncé. Tes bras autour de moi m’aident à me lever, je monte sur le lit toujours empalée sur ta queue au fond de mon cul. Agenouillée au bord, les mains entre les jambes, je maintiens comme je peux le gode en place. Tu n’es pas satisfait et tu me le fais savoir à coups de cravache savamment placés sur les cuisses, et mes mamelons, j’enfonce le gode au maximum. Ta main sur ma nuque me plie en deux. Mes seins martyrisés s’écrasent sur mes genoux et tu m’encules encore et encore, tu me défonces complètement le cul, écrasée sous ton poids et tes coups de boutoir, tu me maintiens bien en place, mes mains s’agrippent au gode, je jouis encore et encore, je sais que tu vas gicler, bientôt, maintenant, un dernier coup de queue tu te retires et tu m’inondes de sperme, de longues giclées tièdes sur mon dos, tu étales ta jute sur mon corps, ce corps qui t’appartient. Je t’entends reprendre ton souffle, encore saccadé, Ta main caresse les miennes, les écarte, retire doucement le gode. Tu enlèves mon bandeau et je te vois, heureux, repu, satisfait entièrement. Je bouge, légère, rompue, je me cale contre toi, ton souffle dans mon cou, tes bras m’entourent, tendres, ta jambe remonte entre mes cuisses, ta cuisse se pose sur mon sexe meurtri et l’apaise. Tu murmures à mon oreille des mots que je n’oserai raconter… Tu es mon homme, mon maître, mon sourire. Et je sais que demain, mon réveil sera doux.
Je sonne, déjà mouillée. Ton sourire si doux, si calme. J’entre et pose mon sac. Mon blouson, mon pull à terre. Mes yeux dans les tiens. Tu attends. Je suis face à toi. Soutien-gorge noir, classique, couvrant mes seins. Mini jupe en jean, collants noirs, bottes de motard. Je te demande si je peux m’occuper de mes seins. Tu hoches la tête, souriant. Carnassier. J’attrape chaque téton entre le pouce et l’index. Je les pince et les maltraite, le temps nécessaire pour qu’ils soient gonflés, irrités. Je prends les ciseaux de cuisine et sous tes yeux amusés, je découpe mon soutien-gorge pour qu’il mette en valeur un téton. Je te les tends et te propose de t’occuper du reste de ma lingerie. Vas-y, découpe, libère l’autre sein, profites-en pour pincer mes tétons, taquiner mes seins, tester leur fermeté… Je me retourne, soulève ma jupe. Je me penche en avant, j’écarte les jambes. Les ciseaux s’occupent d’abord de mes collants que tu ouvres bien largement, au milieu, laissant apparaître une culotte en dentelle noire. Je me cambre. Tu joues avec les ciseaux sur ma chatte si peu couverte, tu me testes, tu me titilles du bout des lames, tu testes ma confiance en toi. Je ne bouge pas, je reste là, offerte. Tes doigts glissent sous la dentelle, tu l’écartes et tu finis le travail : une belle culotte fendue. Tu poses les ciseaux. Tu admires le tableau : moi penchée, cambrée, mouillée, ouverte, offerte, ma chatte luisante, mon trou accessible… tu penches la tête et mates mes tétons enflés.
Mes premiers mots. Je veux te prendre et te faire grossir dans ma bouche. Tes yeux dans les miens. Mes mains s’occupent de ta ceinture, je défais un à un les boutons de ton jean, à genoux devant toi, bien cambrée, je libère ta queue déjà tendue. Je l’admire. Toi, les yeux fermés, respiration forte, concentré, tu te détends, tu débandes pour mon plaisir. Je te prends dans ma bouche doucement. Une main sur tes couilles gonflées à bloc, l’autre se promène entre ta queue et tes fesses. Je te suce, te lèche, te prends tout entier, te titille avec la langue et te sens grossir dans ma bouche, tu prends toute la place, je te pompe un peu, ma main remplace ma bouche et je m’occupe de tes couilles et les prends au chaud l’une après l’autre. Ta queue est dressée, prête à l’assaut. Je suis trempée. Prête.
Je m’installe sur ton canapé, à genou, écartée, appuyée sur le dossier avec mes coudes. Je m’offre à toi. Sans restriction. Je te fais confiance pour bien me baiser, me laminer, me laisser brisée de plaisir. Je reste là, le plus cambrée possible, come tu aimes. J’attends. Les yeux fermés. Je ne sais pas par quoi tu veux commencer. Ma chatte ou mon con ? Ta queue, un gode, un vibro, des boulles de geisha, une fessée, le martinet ou la cravache, tes doigts… L’excitation monte. Je t’entends préparer quelques accessoires. Lesquels ? Je te sens derrière moi. Tu me bandes les yeux. Tu me relèves, toujours à genoux. Tu prends mes poignets l’un après l’autre tu les attaches dans mon dos avec un lien en cuir épais, probablement une laisse. Tu me tires en arrière, sans un mot et tu me guides dans la pièce. Je souris, je crois savoir où tu veux m’utiliser. Tu me pousses contre le lit, genoux au sol, et tu m’ordonnes de prier. Je vous salue mon homme plein de force et de pouvoir, je vous choisis entre tous pour m’utiliser, me baiser me limer jusqu’à la garde, jusqu’à ce que vos couilles soient vides et votre queue lassée. Tu t’es calé derrière moi. Ta queue contre mon cul. Tu malaxes mes seins, un peu trop fort, juste assez pour que j’ai du mal à finir ma prière, hoquetant à chaque fois que tu pinces mes mamelons. J’ai fini, tu me pousses à plat ventre sur le lit, bien calée pour que je ne bouge pas quand tu t’enfonceras en moi encore et encore. J’attends.
Tu me caresses avec le martinet, tu passes les lanières de cuir sur mes trous offerts, tu me fouettes un peu mes fesses. J’attends. Une bonne fessée. Oui. Merci. J’ai le cul en feu, ça chauffe bien. Une dernière bonne claque, forte et j’ai a peine le temps de réaliser qu’un liquide froid coule sur ma raie, tu enfonces brutalement du métal glacé dans mon cul ;je sais que tu as choisi mon rosebud préféré : celui qui me prépare suffisamment pour que tu puisses quand tu le souhaites te déchainer dans mon cul, celui qui ne me détend pas trop pour que je sois bien serrée pour ton plaisir. Je gémis de plaisir, d’excitation, de frustration, je te supplie en silence, c’est ton rythme, ton jeu, ton plaisir, ta femme. Doucement, déjà empalée par un diamant, tu me prends enfin, un mouvement lent et fort, une jouissance instantanée, des vagues de plaisir… Bien au fond de ta propriété, tu te penches sur moi me dis comme je suis bonne et accueillante, docile… une bonne petite chienne lubrique, ton vide couille préféré, tu m’expliques comment tu vas me prendre, tu saisis mes cheveux, tu t’agrippes bien et tu commences doucement tes va et vient, le rythme augmente tranquillement, tu as tout ton temps, je suis à toi. Tu accélères, lâches mes cheveux et attrape mes hanches, tu sais comme j’aime avoir la marque de tes doigts sur moi, tout le temps, des petits souvenirs bleus… Tu me pilonnes sans relâche, des claques tombent, je crie, je jouis, encore. Tu ralentis le mouvement, tu te retires et me laisse vide, pas longtemps : un gode te remplace, tu as choisi le plus gros, tu l’enfonces impitoyablement, encore et encore, tu te reposes et tu me baises avec ce sexe géant, tu le pousse à chaque fois plus profond, je n’en peux plus. Tu libères mes mains et m’ordonnes de maintenir le gode au plus profond de moi. Tu admires la scène : mon cul rougi par les claques, le diamant qui occupe mon trou, mes mains agrippées au gode qui rempli ma chatte gonflée de plaisir. Tu me bascules sur le coté, vérifie que le gode reste en place, que j’obéis, comme il est un peu sorti dans le mouvement j’ai le droit à une grande claque sur le cul et tu pousses le gode d’un coup au fond de mon sexe, je crie de surprise. Allongée sur le coté, je sens tes mains sur moi, tu me palpes, me caresses, tu m’évalues, j’attends. Tu t’occupes un peu de mes seins, tu pinces sauvagement leurs bouts, la douleur me coupe le souffle. Tu me repousses à plat ventre, vite, tu retires le rosebud et tu m’embroches d’un coup sec jusqu’au bout, tu m’encercles de tes bras forts, tu me redresses en me rappelant ta volonté : tu gardes le gode bien enfoncé. Tes bras autour de moi m’aident à me lever, je monte sur le lit toujours empalée sur ta queue au fond de mon cul. Agenouillée au bord, les mains entre les jambes, je maintiens comme je peux le gode en place. Tu n’es pas satisfait et tu me le fais savoir à coups de cravache savamment placés sur les cuisses, et mes mamelons, j’enfonce le gode au maximum. Ta main sur ma nuque me plie en deux. Mes seins martyrisés s’écrasent sur mes genoux et tu m’encules encore et encore, tu me défonces complètement le cul, écrasée sous ton poids et tes coups de boutoir, tu me maintiens bien en place, mes mains s’agrippent au gode, je jouis encore et encore, je sais que tu vas gicler, bientôt, maintenant, un dernier coup de queue tu te retires et tu m’inondes de sperme, de longues giclées tièdes sur mon dos, tu étales ta jute sur mon corps, ce corps qui t’appartient. Je t’entends reprendre ton souffle, encore saccadé, Ta main caresse les miennes, les écarte, retire doucement le gode. Tu enlèves mon bandeau et je te vois, heureux, repu, satisfait entièrement. Je bouge, légère, rompue, je me cale contre toi, ton souffle dans mon cou, tes bras m’entourent, tendres, ta jambe remonte entre mes cuisses, ta cuisse se pose sur mon sexe meurtri et l’apaise. Tu murmures à mon oreille des mots que je n’oserai raconter… Tu es mon homme, mon maître, mon sourire. Et je sais que demain, mon réveil sera doux.
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