Les yeux plus gros que les couilles
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les yeux plus gros que les couilles
Je suis venu, j’ai vu, je suis cocu rira bien qui rira le dernier
Derrière moi la porte coulisse, André tire sur la jambière de mon pantalon et dit tout bas :
- Ben, mon salaud, tu te rinces l’œil gratis. Tu n’as pas dû voir aussi bien ni très souvent un cul aussi splendide. Je les choisis mes pouliches à l’œil pour l’aspect et au nez pour l‘odeur. La chatte de celle-là, comme elle est placée, dégage un fumet de femme violent, qui monte à la tête, t’enivre et absolument euphorisant. Il faut que je me la fasse immédiatement ou je vais devenir fou. T’as vu comme la salope s’est dessapée vite fait, elle m’attend et brûle d’envie, j’en suis sûr. Je veux la défoncerai comme elle le mérite. Regarde son abricot juteux, fendu tout droit. Tiens, hume mes doigts: le léger massage des abords de son sexe m’a valu un jet de cyprine distillée aux feux de l’envie de faire l’amour. Elle est bouillante depuis que je me suis engagé à aller avec elle là où son con de mari refuse de l’accompagner. Jamais aucune bonne épouse ne s’était mise nue et en position en un temps aussi court. Elle est docile,pressée; il m’est impossible de rater une occasion pareille.
- Tu crois ?
-Aide-moi à sortir ma table de massage de ce foutu placard. Et n’oublie pas de filmer ses orgasmes, vise son visage en extase quand elle se mettra à gueuler sa jouissance. Une photo bien réussie rendra des envies au type qui fait mal son boulot de mari.
Il referme le placard rentre dans la chambre à coucher, installe la table de massage dépliée en parallèle au pied de lit, perpendiculairement à la porte du placard. Julie l’observe et réclame:
-Tu traînes. Que va dire mon mari si je rentre tard ?
- Oublie-le !Tu lui raconteras que ta cousine a pris son parti et ne voulait plus le remplacer et patati et patata et qu’il t’a fallu du temps pour la convaincre à la fin.
Zut, j’ai oublié le matelas de confort. Je reviens
Le placard s’ouvre, il attrape le matelas , me montre un flacon à lui tendre, ouvre un tiroir, en tire un bandeau rouge retourne près de ma femme et dispose son matériel.
- Viens contre moi dit-il à Julie, que je te couche sur cette table. Il sera plus facile de te masser
- C’est quoi ça ?
- De l’huile de massage très efficace qui te réchauffe les muscles en peu de temps. Tu apprécieras vite son pouvoir.
Elle entoure le cou du jeune taureau de ses deux bras, il colle contre lui les deux seins merveilleux, se frotte contre le corps nu et abandonné, place son nez dans les cheveux parfumés, couche le corps en longueur, pieds tournés vers le caméscope et entame des tours de table, se verse quelques gouttes d’huile spécifique dans le creux des mains et débute le massage depuis un genou vers le haut de la cuisse. Le rituel reprend de l’autre côté, doigts inversés sur les muscles, les ongles vers l’intérieur passent sous la partie la plus charnue de cette cuisse. Quand la main atteint l’entrejambe, le tranchant huilé cogne gentiment la vulve. Et le masseur change de côté pour répéter les mêmes glissements sur le haut de l’autre jambe. La vulve sert de nouveau de tamponnoir pour bloquer la remontée. Julie tique au contact mais s’inquiète :
-André, tu as oublié la chose importante à faire tout de suite. De quoi s’agissait-il ?
- Oh ! Excuse-moi. Tu m’as pressé de faire vite ,aussi. Là, tu sens ? Tu sais comment s’appelle cette partie de ton corps, tu connais son rôle?
Il a plaqué une main sur la toison pubienne et la frictionne avec vigueur.
Oui , c’est mon pubis.
-Plus poétiquement c’est le « mont de Vénus » C’est la zone érogène à proximité du sexe féminin. C’est l’amortisseur de chocs qui protège des coups trop violents d’un bon mâle pendant la saillie. Elle est naturellement couverte de poils et forme un renflement d’où l‘emploi de « mont« de la déesse de l‘amour, une sorte de coussin amortisseur qui se gonfle de graisse et évite aux os du bassin de se cogner douloureusement. Sous mes doigts les os bien gainés, résistent aux pressions, mais dans le combat amoureux et dans le feu de la passion il pourrait y avoir des dégâts sans la couche de graisse. Cependant, point trop n’en faut: premièrement la poche servira de centre de dispersion des molécules adipeuses tout autour et deuxièmement elle peut englober tes parties, notamment ton clitoris qui perdrait en sensibilité. Avec ta permission, je le frotte. Ça va, il n’est pas encore complètement étouffé ? Non, heureusement, je le vois pointer hors de son capuchon d’emballage.
- Et moi, je frissonne sous la caresse. Pas trop fort s’il te plaît.
C’est à elle que le roulement entre pouce et index plaît!Rien n’étonne plus la patiente! Et l’explication pseudo scientifique la laisse bouche bée. de plus en plus rouge Elle ne contrôle plus la levée de son bassin en direction des doigts masseurs.
- Bon, le chirurgien voudra surveiller l’état des lieux et voudra procéder à la lipo sur cette place. Or comment pourra-t-il opérer avec tous ces poils. Il faudra tailler dedans sans pitié.
- Me faire le maillot ? Vraiment. Ma patronne me l’a conseillé. J’ai remis à la veille du départ pour échapper aux critiques de mon mari. Il m’aurait traitée d’extravagante qui cède à toutes les modes, m’aurait demandé si j’avais des morpions et aurait relancé ses sarcasmes sur mon désir de plaire à tous les mâles et mon besoin tardif d’exhibitionnisme. J’en ai entendu des plaisanteries depuis que je lui ai parlé de mon projet, de mon besoin réel et personnel de me sentir mieux dans ma peau.
- Oublie-le, te dis-je je. Fous-toi de ses conneries de vieux bonhomme du siècle dernier. Si tu le souhaites, je peux très bien dégager la surface et dépouiller l’extérieur de tes grandes lèvres de ces poils gênant: . J’ai l’outillage, ciseaux, tondeuse et rasoir de coiffeur avec la crème à raser adéquate: ta peau ne sera pas irritée par le feu du rasoir.
Un mari raisonnable réclamerait le privilège de te rendre ce service. Par qui se fait-il couper les cheveux ?
- Par moi ! Comme toi d’ailleurs, c’est rigolo !
- Tu me coupes les cheveux, je peux donc te tailler le maillot et ce sera gratuit pour toi.
André ouvre le placard, côté cuisine pour la troisième fois et se sert sur le fond, un tube tombe de ses mains encombrées sur ma chaussure, je le ramasse et j’ai juste le temps de lire les caractères gras « Lubrifiant chauffant mentol, fraise »
- Maintenant j’y fonce, ouvre l’œil. En cas de panne, je te ferai signe, viens prendre la relève. Je lui mettrai le bandeau sur les yeux et tu pourras la bourrer, elle n’apprendra jamais la substitution. Montre-toi à la hauteur. Tu es marié, tu sais baiser, alors vas-y, plante lui ton organe, défonce-la, grouille, fouille, touille et vide-toi les couilles. Avec ma préparation, elle s’envolera. Mais ne fais pas le con, ne me blâme pas. Je me rattraperai demain ou après-demain. Ça va, tu bandes bien. Bonne beuille !
« Aujourd’hui on rase gratis » C’est vrai pour ma femme. Le coach sportif s’applique, tire la peau vers le haut, rase, vers le bas, sur le côté, le couteau tremble au bout couvert de poils et de mousse blanche qu’il essuie dans une serviette. mais le travail avance, l’homme a des habitudes, de l’entraînement. Je m’étais étonné de la calvitie pubienne de presque toutes les partenaires qui venaient chercher chez lui d’intenses instants de bonheur. Julie seule bénéficie du traitement de faveur. Pourquoi mentol et fraise ? Elles ont-elles accepté ce service sans adoucissant ? Il n’a rien épargné, Julie présente une plage blanche fendue verticalement et rit sous la chatouille des doigts qui répandent généreusement sur sa peau claire les plots du contenu de lubrifiant. Et pour ne rien négliger, André enduit de cette pâte l’extrémité de ses doigts et chasse le feu autour des petites lèvres de nacre rose et jusqu’à l’intérieur
-La crème à raser mal essuyée pourrait te donner des boutons, argumente-t-il pour excuser l’intrusion de son majeur et de son index dans le vagin de moins en moins indifférent. Au moment choisi le pantalon et le caleçon tombent sur les pieds d’André. Sa main gauche saisit sa verge encore tombante, l’astique et la présente sans avertir à la porte des délices qu’entre ouvrent les doigts de la droite et
-Vlan ! Son ventre s’est collé aux fesses.
-Ah! Qu’est-ce que c’est ? dit Julie qui cesse de gigoter sous l’effet affolant du lubrifiant
- C’est moi, je n’en peux plus de t’aimer et de me retenir. Je veux te prendre.
Donne-toi à moi mon,amour.
- Mais, André, tu es fou. Combien de fois t’ai-je déclaré que j’aime mon mari. Il ne faut pas faire ça.
- Oublie-le donc. Sois mienne, mienne pour la vie.
- Arrête
-Quoi, ce n’est pas bon ?
-Ce n’est pas ce que je dis.
Mais cesse d’aller et venir en moi. C’est extra, mais il ne faut pas. Jamais depuis mon mariage , je ne me suis offerte ou ouverte à un autre homme que le mien. J’étais si fière de lui être fidèle.
- Tu n’es pas infidèle, c’est moi qui ai franchi l’anneau. Mais ce n’est rien. Ne lui en parle pas et il ne le saura pas. Ce qui compte ce n’est pas ce qui existe, mais ce qui paraît et ce qu’il continuera à croire. Profit de l’instant présent, cesse de créer des états d’âme destructeurs pour trois ou quatre centimètres de pénétration , applique notre devise « Je suis une femme libérée. Je veux disposer librement de mon corps; et desserre l’étau de tes jambes.
- Ce n’est pas juste, pour trois centimètres de verge peu consistante, tu viens de me faire perdre l’estime de moi-même. Seulement un petit bout pour une aussi grande perte de considération personnelle.
- Mais tu as tout gagné dans mon estime qui est en hausse !
- Je préfèrerais que ta queue soit en hausse de manière que tu achèves enfin ce que tu as si lamentablement commencé. Ton produit de glisse m’échauffe, c’est insuffisant. Quoi ? Tu as eu les yeux plus gros que les testicules, jeune crétin!
- Merde, aussi. Avec tes »J’aime mon mari, je lui suis fidèle » et avec tes regards de victime d’un viol, tu me coupes la chique à la fin. Suis-je venu te chercher. Qu’est-ce que tu attendais de moi en montant les trois étages en te foutant à poil sur mon lit, en écartant les brancards sur la table et en m’envoyant dans le nez des bouffées d’odeur de sexe? Il faut savoir si tu es venue pour me refiler un billet d’avion ou pour t‘offrir.. Pourquoi ces vacances en Tunisie à deux Jure que tu n’espérais pas m’acheter, que tu ne voulais pas qu’on baise, ici, ce soir et là-bas pendant tout le séjour. Alors, finis tes lamentations. Je ne supporte plus les reproches de très regards. Tu vas garder ce bandeau rouge sur les yeux et je t’envoie le reste du morceau.
- Comme un taureau le rouge t’excite? Bande et bourre moi, que ça en vaille la peine. Cesse les beaux discours et agis, j’en ai marre d’attendre que tu veuilles ou que tu puisses. Passe du rêve à la réalité Je n’en reviens pas. Julie est enragée, elle exige le complément. André a repris ses choses en main, se masturbe désespérément, cherche l’orifice, promène son gland du clitoris à l’anus dans l’espoir que la chatte aux aguets sautera sur sa souris au prochain passage et l’avalera.
- Ah ! J’y suis, je pousse, ça s’ouvre.
- Va, pousse plus fort. Mais tu plies, comme le roseau, une poutre de chêne serait de circonstances, mieux venue pauvre gamin.
- Ne te moque pas de moi. C’est tout ce que tu as appris en autant d’années de mariage. Tu es aussi nulle quand ton mari débande ?
- Voilà la différence. Quand il m’entreprend, il se présente en forme, les couilles gonflées de désir et d’amour, pleines à ras bord, il ne me cache pas les yeux parce que je l’intimide comme tu dis, il me serre amoureusement dans ses bras, m’embrasse, me dit des gentillesses sincères, me grimpe dessus, se creuse sa place tout seul, s’installe confortablement sur et dans mon ventre, ne cherche pas midi à quatorze heures mais m’empoigne et me secoue, me bouscule et me fait jouir. Il n’a pas besoin de tubes de lubrifiant pour m’exciter. Il ne me couvre pas de transpiration avant de toucher le fond ou de cracher deux gouttes de sperme.
-Quand même, tu ne l’aides jamais ?
- Pourquoi? Comment ? Je ne comprends pas ce que tu demandes
- Ah! Bon Dieu. T’es conne à ce point. Va te faire foutre chez lui. Non, ne te vexe pas, reste, je t’apprends immédiatement ce que toute femme bien éduquée doit savoir faire. Ta mère ne t’a pas enseigné l’art d’aimer un homme. Tu n’es pas gouine, j’espère. On recommence à zéro. On prendra tout le temps nécessaire.
-Mais…
Oublie, monsieur bien monté qui refuse de prendre l’avion avec toi. Tu me veux à Djerba ou tu ne me veux plus? Voilà la question
- Bien sûr, je te veux avec moi.
- Avec toi. En toi ?
- Ben, oui, tout ce que tu voudras si tu me soutiens et si tu respecte ta promesse.
André m’adresse des signaux de détresse. Cette fois, c’est certain, il ne sait pas qui je suis vraiment ! Comment l’amant réclamerait-il le secours du mari pour faire jouir l’épouse . Moi, j’irais faire aussi bien ce qu’elle lui a décrit, j’irais la faire jouir et lui, se ferait passer pour le coq triomphant. Je deviendrais l’instrument de leur futur adultère, de mon propre cocuage. Autant le payer pour m’en débarrasser. Je ne voudrai plus d’elle, qu’ils s’envolent au loin et ne reviennent plus. Une salope qui abandonne la proie pour cette ombre ne me mérite plus. Je l’ai deviné le jour où elle m’a parlé de l’indispensable liposuccion pour me plaire plus, à moi, son unique amour.
Derrière moi la porte coulisse, André tire sur la jambière de mon pantalon et dit tout bas :
- Ben, mon salaud, tu te rinces l’œil gratis. Tu n’as pas dû voir aussi bien ni très souvent un cul aussi splendide. Je les choisis mes pouliches à l’œil pour l’aspect et au nez pour l‘odeur. La chatte de celle-là, comme elle est placée, dégage un fumet de femme violent, qui monte à la tête, t’enivre et absolument euphorisant. Il faut que je me la fasse immédiatement ou je vais devenir fou. T’as vu comme la salope s’est dessapée vite fait, elle m’attend et brûle d’envie, j’en suis sûr. Je veux la défoncerai comme elle le mérite. Regarde son abricot juteux, fendu tout droit. Tiens, hume mes doigts: le léger massage des abords de son sexe m’a valu un jet de cyprine distillée aux feux de l’envie de faire l’amour. Elle est bouillante depuis que je me suis engagé à aller avec elle là où son con de mari refuse de l’accompagner. Jamais aucune bonne épouse ne s’était mise nue et en position en un temps aussi court. Elle est docile,pressée; il m’est impossible de rater une occasion pareille.
- Tu crois ?
-Aide-moi à sortir ma table de massage de ce foutu placard. Et n’oublie pas de filmer ses orgasmes, vise son visage en extase quand elle se mettra à gueuler sa jouissance. Une photo bien réussie rendra des envies au type qui fait mal son boulot de mari.
Il referme le placard rentre dans la chambre à coucher, installe la table de massage dépliée en parallèle au pied de lit, perpendiculairement à la porte du placard. Julie l’observe et réclame:
-Tu traînes. Que va dire mon mari si je rentre tard ?
- Oublie-le !Tu lui raconteras que ta cousine a pris son parti et ne voulait plus le remplacer et patati et patata et qu’il t’a fallu du temps pour la convaincre à la fin.
Zut, j’ai oublié le matelas de confort. Je reviens
Le placard s’ouvre, il attrape le matelas , me montre un flacon à lui tendre, ouvre un tiroir, en tire un bandeau rouge retourne près de ma femme et dispose son matériel.
- Viens contre moi dit-il à Julie, que je te couche sur cette table. Il sera plus facile de te masser
- C’est quoi ça ?
- De l’huile de massage très efficace qui te réchauffe les muscles en peu de temps. Tu apprécieras vite son pouvoir.
Elle entoure le cou du jeune taureau de ses deux bras, il colle contre lui les deux seins merveilleux, se frotte contre le corps nu et abandonné, place son nez dans les cheveux parfumés, couche le corps en longueur, pieds tournés vers le caméscope et entame des tours de table, se verse quelques gouttes d’huile spécifique dans le creux des mains et débute le massage depuis un genou vers le haut de la cuisse. Le rituel reprend de l’autre côté, doigts inversés sur les muscles, les ongles vers l’intérieur passent sous la partie la plus charnue de cette cuisse. Quand la main atteint l’entrejambe, le tranchant huilé cogne gentiment la vulve. Et le masseur change de côté pour répéter les mêmes glissements sur le haut de l’autre jambe. La vulve sert de nouveau de tamponnoir pour bloquer la remontée. Julie tique au contact mais s’inquiète :
-André, tu as oublié la chose importante à faire tout de suite. De quoi s’agissait-il ?
- Oh ! Excuse-moi. Tu m’as pressé de faire vite ,aussi. Là, tu sens ? Tu sais comment s’appelle cette partie de ton corps, tu connais son rôle?
Il a plaqué une main sur la toison pubienne et la frictionne avec vigueur.
Oui , c’est mon pubis.
-Plus poétiquement c’est le « mont de Vénus » C’est la zone érogène à proximité du sexe féminin. C’est l’amortisseur de chocs qui protège des coups trop violents d’un bon mâle pendant la saillie. Elle est naturellement couverte de poils et forme un renflement d’où l‘emploi de « mont« de la déesse de l‘amour, une sorte de coussin amortisseur qui se gonfle de graisse et évite aux os du bassin de se cogner douloureusement. Sous mes doigts les os bien gainés, résistent aux pressions, mais dans le combat amoureux et dans le feu de la passion il pourrait y avoir des dégâts sans la couche de graisse. Cependant, point trop n’en faut: premièrement la poche servira de centre de dispersion des molécules adipeuses tout autour et deuxièmement elle peut englober tes parties, notamment ton clitoris qui perdrait en sensibilité. Avec ta permission, je le frotte. Ça va, il n’est pas encore complètement étouffé ? Non, heureusement, je le vois pointer hors de son capuchon d’emballage.
- Et moi, je frissonne sous la caresse. Pas trop fort s’il te plaît.
C’est à elle que le roulement entre pouce et index plaît!Rien n’étonne plus la patiente! Et l’explication pseudo scientifique la laisse bouche bée. de plus en plus rouge Elle ne contrôle plus la levée de son bassin en direction des doigts masseurs.
- Bon, le chirurgien voudra surveiller l’état des lieux et voudra procéder à la lipo sur cette place. Or comment pourra-t-il opérer avec tous ces poils. Il faudra tailler dedans sans pitié.
- Me faire le maillot ? Vraiment. Ma patronne me l’a conseillé. J’ai remis à la veille du départ pour échapper aux critiques de mon mari. Il m’aurait traitée d’extravagante qui cède à toutes les modes, m’aurait demandé si j’avais des morpions et aurait relancé ses sarcasmes sur mon désir de plaire à tous les mâles et mon besoin tardif d’exhibitionnisme. J’en ai entendu des plaisanteries depuis que je lui ai parlé de mon projet, de mon besoin réel et personnel de me sentir mieux dans ma peau.
- Oublie-le, te dis-je je. Fous-toi de ses conneries de vieux bonhomme du siècle dernier. Si tu le souhaites, je peux très bien dégager la surface et dépouiller l’extérieur de tes grandes lèvres de ces poils gênant: . J’ai l’outillage, ciseaux, tondeuse et rasoir de coiffeur avec la crème à raser adéquate: ta peau ne sera pas irritée par le feu du rasoir.
Un mari raisonnable réclamerait le privilège de te rendre ce service. Par qui se fait-il couper les cheveux ?
- Par moi ! Comme toi d’ailleurs, c’est rigolo !
- Tu me coupes les cheveux, je peux donc te tailler le maillot et ce sera gratuit pour toi.
André ouvre le placard, côté cuisine pour la troisième fois et se sert sur le fond, un tube tombe de ses mains encombrées sur ma chaussure, je le ramasse et j’ai juste le temps de lire les caractères gras « Lubrifiant chauffant mentol, fraise »
- Maintenant j’y fonce, ouvre l’œil. En cas de panne, je te ferai signe, viens prendre la relève. Je lui mettrai le bandeau sur les yeux et tu pourras la bourrer, elle n’apprendra jamais la substitution. Montre-toi à la hauteur. Tu es marié, tu sais baiser, alors vas-y, plante lui ton organe, défonce-la, grouille, fouille, touille et vide-toi les couilles. Avec ma préparation, elle s’envolera. Mais ne fais pas le con, ne me blâme pas. Je me rattraperai demain ou après-demain. Ça va, tu bandes bien. Bonne beuille !
« Aujourd’hui on rase gratis » C’est vrai pour ma femme. Le coach sportif s’applique, tire la peau vers le haut, rase, vers le bas, sur le côté, le couteau tremble au bout couvert de poils et de mousse blanche qu’il essuie dans une serviette. mais le travail avance, l’homme a des habitudes, de l’entraînement. Je m’étais étonné de la calvitie pubienne de presque toutes les partenaires qui venaient chercher chez lui d’intenses instants de bonheur. Julie seule bénéficie du traitement de faveur. Pourquoi mentol et fraise ? Elles ont-elles accepté ce service sans adoucissant ? Il n’a rien épargné, Julie présente une plage blanche fendue verticalement et rit sous la chatouille des doigts qui répandent généreusement sur sa peau claire les plots du contenu de lubrifiant. Et pour ne rien négliger, André enduit de cette pâte l’extrémité de ses doigts et chasse le feu autour des petites lèvres de nacre rose et jusqu’à l’intérieur
-La crème à raser mal essuyée pourrait te donner des boutons, argumente-t-il pour excuser l’intrusion de son majeur et de son index dans le vagin de moins en moins indifférent. Au moment choisi le pantalon et le caleçon tombent sur les pieds d’André. Sa main gauche saisit sa verge encore tombante, l’astique et la présente sans avertir à la porte des délices qu’entre ouvrent les doigts de la droite et
-Vlan ! Son ventre s’est collé aux fesses.
-Ah! Qu’est-ce que c’est ? dit Julie qui cesse de gigoter sous l’effet affolant du lubrifiant
- C’est moi, je n’en peux plus de t’aimer et de me retenir. Je veux te prendre.
Donne-toi à moi mon,amour.
- Mais, André, tu es fou. Combien de fois t’ai-je déclaré que j’aime mon mari. Il ne faut pas faire ça.
- Oublie-le donc. Sois mienne, mienne pour la vie.
- Arrête
-Quoi, ce n’est pas bon ?
-Ce n’est pas ce que je dis.
Mais cesse d’aller et venir en moi. C’est extra, mais il ne faut pas. Jamais depuis mon mariage , je ne me suis offerte ou ouverte à un autre homme que le mien. J’étais si fière de lui être fidèle.
- Tu n’es pas infidèle, c’est moi qui ai franchi l’anneau. Mais ce n’est rien. Ne lui en parle pas et il ne le saura pas. Ce qui compte ce n’est pas ce qui existe, mais ce qui paraît et ce qu’il continuera à croire. Profit de l’instant présent, cesse de créer des états d’âme destructeurs pour trois ou quatre centimètres de pénétration , applique notre devise « Je suis une femme libérée. Je veux disposer librement de mon corps; et desserre l’étau de tes jambes.
- Ce n’est pas juste, pour trois centimètres de verge peu consistante, tu viens de me faire perdre l’estime de moi-même. Seulement un petit bout pour une aussi grande perte de considération personnelle.
- Mais tu as tout gagné dans mon estime qui est en hausse !
- Je préfèrerais que ta queue soit en hausse de manière que tu achèves enfin ce que tu as si lamentablement commencé. Ton produit de glisse m’échauffe, c’est insuffisant. Quoi ? Tu as eu les yeux plus gros que les testicules, jeune crétin!
- Merde, aussi. Avec tes »J’aime mon mari, je lui suis fidèle » et avec tes regards de victime d’un viol, tu me coupes la chique à la fin. Suis-je venu te chercher. Qu’est-ce que tu attendais de moi en montant les trois étages en te foutant à poil sur mon lit, en écartant les brancards sur la table et en m’envoyant dans le nez des bouffées d’odeur de sexe? Il faut savoir si tu es venue pour me refiler un billet d’avion ou pour t‘offrir.. Pourquoi ces vacances en Tunisie à deux Jure que tu n’espérais pas m’acheter, que tu ne voulais pas qu’on baise, ici, ce soir et là-bas pendant tout le séjour. Alors, finis tes lamentations. Je ne supporte plus les reproches de très regards. Tu vas garder ce bandeau rouge sur les yeux et je t’envoie le reste du morceau.
- Comme un taureau le rouge t’excite? Bande et bourre moi, que ça en vaille la peine. Cesse les beaux discours et agis, j’en ai marre d’attendre que tu veuilles ou que tu puisses. Passe du rêve à la réalité Je n’en reviens pas. Julie est enragée, elle exige le complément. André a repris ses choses en main, se masturbe désespérément, cherche l’orifice, promène son gland du clitoris à l’anus dans l’espoir que la chatte aux aguets sautera sur sa souris au prochain passage et l’avalera.
- Ah ! J’y suis, je pousse, ça s’ouvre.
- Va, pousse plus fort. Mais tu plies, comme le roseau, une poutre de chêne serait de circonstances, mieux venue pauvre gamin.
- Ne te moque pas de moi. C’est tout ce que tu as appris en autant d’années de mariage. Tu es aussi nulle quand ton mari débande ?
- Voilà la différence. Quand il m’entreprend, il se présente en forme, les couilles gonflées de désir et d’amour, pleines à ras bord, il ne me cache pas les yeux parce que je l’intimide comme tu dis, il me serre amoureusement dans ses bras, m’embrasse, me dit des gentillesses sincères, me grimpe dessus, se creuse sa place tout seul, s’installe confortablement sur et dans mon ventre, ne cherche pas midi à quatorze heures mais m’empoigne et me secoue, me bouscule et me fait jouir. Il n’a pas besoin de tubes de lubrifiant pour m’exciter. Il ne me couvre pas de transpiration avant de toucher le fond ou de cracher deux gouttes de sperme.
-Quand même, tu ne l’aides jamais ?
- Pourquoi? Comment ? Je ne comprends pas ce que tu demandes
- Ah! Bon Dieu. T’es conne à ce point. Va te faire foutre chez lui. Non, ne te vexe pas, reste, je t’apprends immédiatement ce que toute femme bien éduquée doit savoir faire. Ta mère ne t’a pas enseigné l’art d’aimer un homme. Tu n’es pas gouine, j’espère. On recommence à zéro. On prendra tout le temps nécessaire.
-Mais…
Oublie, monsieur bien monté qui refuse de prendre l’avion avec toi. Tu me veux à Djerba ou tu ne me veux plus? Voilà la question
- Bien sûr, je te veux avec moi.
- Avec toi. En toi ?
- Ben, oui, tout ce que tu voudras si tu me soutiens et si tu respecte ta promesse.
André m’adresse des signaux de détresse. Cette fois, c’est certain, il ne sait pas qui je suis vraiment ! Comment l’amant réclamerait-il le secours du mari pour faire jouir l’épouse . Moi, j’irais faire aussi bien ce qu’elle lui a décrit, j’irais la faire jouir et lui, se ferait passer pour le coq triomphant. Je deviendrais l’instrument de leur futur adultère, de mon propre cocuage. Autant le payer pour m’en débarrasser. Je ne voudrai plus d’elle, qu’ils s’envolent au loin et ne reviennent plus. Une salope qui abandonne la proie pour cette ombre ne me mérite plus. Je l’ai deviné le jour où elle m’a parlé de l’indispensable liposuccion pour me plaire plus, à moi, son unique amour.
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