Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (II)

- Par l'auteur HDS Lisa-Al -
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Récit libertin : Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (II) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lesbienne, oui mais pourquoi et comment ? (II)
Quand mon amie Iris, m’a fait l’aveu de son lesbianisme et laissé entendre que je lui rappelait son ex compagne décédée dramatiquement. J’ai été vraiment surprise et déstabilisée par cet aveu. Iris avait tenté de me faire comprendre qu’elle avait pour moi beaucoup plus que de l’amitié. Je n’ai pas du tout compris les messages, ce n’est qu’en repassant les événements dans ma mémoire que j’arrivais enfin à voir les signaux qu’elle m’envoyait constamment. Je n’arrive encore pas à savoir su je ne les ai pas compris ou si j’ai voulu les ignorer, je ne suis pas vraiment lesbienne en fait, mais fortement orientée vers le lesbianisme. J’ai depuis 2 ans et demi de vie commune avec Iris eu des relations uniquement avec des femmes, nous avons une vie peu rangée et beaucoup d’amies lesbiennes au point d’avoir pris l’habitude de faire une soirée “filles” environ une fois par mois. Je dis soirée pour ne pas dire orgie au fond. Nous sommes en général 8 ou 12, des couples naturellement, des électrons libres seraient des sources de problèmes.
Récemment et avec l’accord d’Iris j’ai renoué avec la gent masculine, constaté que celà me manquait vraiment. Iris elle est uniquement attirée par les femmes et n’a jamais été touchée par un homme. Je n’imaginais pas où cette magnifique brunette allait me mener.

J’avais peur en acceptant d’essayer avec elle une relation uniquement féminine, risquer de casser notre amitié. Mais en fait, sans vouloir me l’avouer, mon amitié pour elle, était trop importante et exclusive, je pressentais sans doute autre chose. Je ne suis pas superstitieuse mais j’en arrive a me dire, que j’étais faite pour elle et elle pour moi.
J’avais promis à Iris de lui dire si j’acceptais sa proposition “d’essayer”. Comme nous nous retrouvons tous les jours au même café pour notre petit déjeuner, c'est là que j’allais lui dire. Mais je n’aimes pas les choses banales, comme le lui dire? Oh c’est bien simple. J’étais arrivée la première m’étais installée à notre table, salué le patron, la patronne et le serveur. Moins de 10 minutes plus tard, Iris entre, toute printanière, jolie robe blanche, escarpins vernis qui lui donnent une démarche qui ferait damner un saint. Sans savoir, sans avoir de vues sur elle, j’avais depuis longtemps remarqué qu’elle avait des atouts évidents. Sur le plan purement esthétique, je l'envie un peu, aussi brune que je suis blonde, une peau un peu halée naturellement alors que je suis pâle. Bref tout ce que j’aurais aimé être.

Iris se penche pour me faire la bise et là, au lieu de lui donner ma joue, je tends mes lèvres. Aucune hésitation de sa part, elle me fait un baiser qui semble durer longtemps pour un bonjour et qui attire les regards des autres clients. Ses lèvres sont douces, chaudes et frémissantes, elle garde ses yeux ouverts, ils semblent crépiter de multiples étincelles. J’ai un goût de framboise sur mes lèvres. Elle s'assoit et dit:
Tu a réfléchis à ma proposition et tu acceptes un essai alors?
Oui, ma belle je veux bien qu’on essaie, on ne risque pas grand chose au fond.
Moi? Si que tu n’aimes pas du tout dit Iris avec un petit sourire tristeAlors quand mettons nous à exécution ce plan diabolique? dis-jeTout de suite si tu veux, je n’ouvre pas la galerie on va chez moi si tu veuxQuelle impatience, ce soir plutôt, j’ai une réunion ce matin, une autre dans l'après-midi, je passe à la galerie te chercher.
Vivement ce soir alors, ma chérie, heu, tu permet ?
Mais oui si tu en a envie, tu me parais bien impatiente dis moi, ne me dis pas que tu n’a eu personne depuis très longtemps.
Non je ne suis pas ascétique à ce point. Mais un rendez vous important cela faisait longtemps.
Ma chérie, puisqu’on en est là je peux aussi dis-je en souriant, souviens toi je veux bien essayer, je n’ai pas promis autre chose. Bien que tu semble tellement excitée, je me demande ce que çà cache et tu sais je suis curieuse. Allez en route au travail.
Nous nous levons et sortons sur le trottoir, avant que j’ai pu faire le moindre geste Iris prend ma bouche dans un baiser bien plus profond que le premier, j’entre dans le jeu. Deux femmes sur le trottoir en plein Paris, à deux pas de l'Opéra, hé bien même de nos jours les gens nous regardent.

Hmm tu embrasses vraiment bien Iris, j’ai la preuve, cet échantillon est engageant.
Avec toi mon ange c’est si facile..
FlatteuseOn se fait un petit signe et partons vers nos activités.

Je dois le dire, toute la matinée et la journée j’ai repensé à ce moment, ces deux baisers m’ont quelque peu ébranlée. Je ne pensais pas qu’ils me feraient cet effet. Je suis un peu comme la collégienne qui va aller à son premier rendez- vous.

La journée fut longue, comme si les pendules étaient au ralenti, je n’en étais pas à ma première soirée coquine, mais là c’était différent, Iris et moi étions vraiment de bonnes amies et très complices, j’avais confusément peur de briser une amitié, pour une partie de jambes en l’air était-ce sérieux. J’avais l’esprit encombré de tas d’idées et d’images, aucune n’étaient chastes bien entendu. Je m’étonnais de me souvenir de petits détails anatomiques entrevus au gré des essayages de fringues, ou des moments décontractés. Je revois lors d’un essayage en cabine, les deux petits tétons très pointus d’Iris, ou bien cette paire de fesses si bien galbées dans un short en jean qu’elle passait à la maison seulement. Je commençais à me poser des questions sur mon amitié pour elle. Il fallait qu’elle me fasse cette confidence pour voir plus distinctement certaines choses.

Fin de la journée, je ne trainais pas, sautais dans la voiture direction la galerie d’antiquités. Bien sûr je passe un temps fou à me garer, en me disant que j’aurais un pv en revenant, peu importe. Je presse le pas sur le trottoir, j’arrive à la boutique. Je pousse la porte, le petit carillon tinte. Iris sort de la réserve et me voit. Son visage s’illumine totalement, a petit pas pressés elle vient vers moi, je fais un pas et sans se concerter, naturellement, on se serre l’une contre l’autre dans un baiser sans équivoque, un baiser qui me fait frémir, je l’avais attendu toute la journée. Un baiser d’amantes c’est tout à fait comme çà que je peux le décrire.

Ah tu es là dit Iris en se reculant d’un pas, tu es plus belle que jamais mon ange dit-elle.
Tu croyais que je ne viendrais pas? J’ai trop pensé à ce baiser toute l'apres-midiC’est pour ça que tu trembles à ce point? dit-elle avec un sourire doux.

Je ne sais quoi dire, mais je sais ce dont j’ai envie, je m’approche l’enlace et prends sa bouche, ma langue chasse la sienne profondément, ce baiser est plus fougueux que le précédent. Elle aussi frémit et tremble maintenant. Je suis consciente que quelque chose se passe, je l'embrasse car à cet instant je la désire, je suis en mode animal en rut. Mes mains palpent sont corps, le caresse au travers de ses vêtements. Elle n’est pas en reste, elle se presse contre moi et glisse sa cuisse entre mes jambes, instantanément je me cambre, frottant ma chatte contre cette cuisse .

Hmm tu est brûlante comme un tison, mon ange, je sens ta chaleur sur ma cuisse.
Oh chérie, oui c’est fou totalement fou, jamais je n’aurais pensé que tu me fasse cet effet.
Moi je le sentais, je savais qu’on était liées. Et on le sera de plus en plus. dit Iris, j’aime l’odeur de ta peau, j’ai hâte de remplir mes narines de ta vraie odeur.
Tu crois qu’on va tenir jusqu'à 19h00 ?
Non je ne pourrais pas et toi non plus dit elle en glissant sa main sous ma jupe Oh mais pas de culotte?
Je sautais quand ses doigts frôlent ma chatte que je sentais déjà humide.
Mais tu es toute mouillée dis moi dit Iris en montrant le bout de ses doigts luisants.
J'avançais ma bouche vers ses doigts, quand avec un sourire narquois elle les mit sur sa langue et les suçait.

Viens on va chez moi, dis-je à IrisOui je ferme et on y va dit-elle avant de me refaire un énorme baiser
En à peine 10 minutes elle avait fermé boutique, nous étions dans ma voiture, direction Neuilly. Circuler à Paris est une galère permanente surtout quand l’envie de faire l’amour vous tenaille. Contre toute habitude et prudence, je passais en conduite disons sportive. Iris avait posé sa main sur ma cuisse, la caressais doucement, l’Aston DB20 n’est pas idéale pour se faufiler, mais j’adore cette voiture. Après des tas d’appels de phares et de coups de klaxon des automobilistes que j’avais un peu exaspérés avec ma conduite. Enfin la porte du garage se levait devant nous. Le temps que cette porte s’ouvre nous échangeons un nouveau baiser. Nos talons claquent sur le sol en ciment, la lumière parcimonieuse du parking, permet toutes les folies, je passe ma main sous la jupe d’Iris et caresse ses fesses fermes et rondes. Je me surprends moi même, j’ai un désir impérieux, j’ai envie que nous soyons nues, que nous puissions frotter nos peaux, sentir nos seins se toucher. Cette envie je l’ai déja eu de nombreuses fois pour des mâles, mais Iris est la premiére femme que je désire de cette façon. Les mots qu’elle a prononcés, “nous sommes faites l’une pour l’autre” cette phrase résonne dans ma tête, j’avais souris quand elle l’avait dit dans la brasserie. Mais maintenant je désirais ce petit bout de femme, au nez retroussé, à la bouche mutine, aux boucles brunes qui sent si bon le 5 de Channel.
L’ascenseur, ma clef car sans elle il n’ira pas à mon appartement , nouveau baiser, Iris m’a plaquée contre le mirroir, ses mains ont ouvert mon chemisier, mes seins sont là offerts à ses caresses.

Cochonne, pas de soutif, tu avais préparé notre soirée donc?
Non ma chérie, je suis tellement souvent comme ça. Tu sais bien que je suis une bête de sexe. Je t’ai raconté mes petits secrets.
Oh oui fit elle en m'agaçant les tétons, tu m’excites tant quand tu me parles de ça, mais je suis jalouse des hommes qui te touchent.
Tu m'excitera, bien en me racontant, tes parties entre filles non?

Dernier étage, le loft qui occupe tout le sommet de l’immeuble. J’y suis chez moi, comme dans tout l'immeuble qui m’appartient. A cet étage il ne peut y avoir que moi, mon chemisier largement ouvert, Iris que j’ai enlacée marche à reculons, j’ai retroussé sa robe au dessus de sa taille, je quitte mes talons, pousse la porte de l’appartement. Les lumières s’allument. Nos vêtements jalonnent notre parcours, je libère les épaules d’Iris et laisse glisser sa robe blanche au sol. Elle est maintenant en culotte, soutien-gorge blanc et l’ultra-chic porte-jarretelles et bas ambrés. Nous nous jetons sur le grand canapé qui nous reçoit moelleusement. Ma jupe glisse et finit en boule sur le sol , je suis nue allongée sur le dos, Iris me surplombe, appuyée sur ses mains, je dénoue ses cheveux qui tombent en cascade autour de son visage rond. Jamais je ne l’avais vue si belle, tous ces mois et je n’avais pas su voir la femme magnifique qu’elle était, je caresse sa joue, je vois ses yeux qui s’humidifies, en même temps que ma gorge se serre et que mes larmes coulent au coin de mes yeux sur mes tempes.Une surprenante alchimie se produit, le plaisir animal qui nous submergeait, fait place à autre choses, un instant de magie pure, les yeux dans les yeux elle et moi communiquons sans un mot, nos esprits se parlent, se synchronisent peut être. J’ai confusément peur, une métamorphose s'opère. Elle se laisse descendre lentement sur moi, nos seins se touchent, se frottent, puis nos ventres et nos pubis glabres. Nos souffles se mêlent , nos lèvres fusionnent, le baiser commence et il ne cessera que lorsque nous serons sur le point de nous trouver mal faute d'oxygène. Nous avons dû battre un record.
Mon ange, commence Iris je dois te dire que je t”a…Ne dis rien, pas encore dis-je en posant mon doigt sur sa bouche.
Tu as peur Lisa? dit-elleJe hoche la tête pour lui dire que oui, tout ça me fait peur. C’est soudain, nouveau, oui je suis terrorisée, depuis mon divorce j’ai brisé tous les tabous, les interdits. J’ai vécu une vie dissolue, j’aimes cette vie, ma liberté je fais ce que je veux quand je veux, avec qui je veux. J’ai trop peur de construire une relation qui explosera peut-être dans quelques temps. Avec une femme, alors que je ne suis pas lesbienne. J’ai encore plus peur quand je me rends compte qu’Iris n’a pas dit un mot sur ce sujet, elle ne m’a pas proposé une relation durable, elle a envie de moi. De toute évidence, vu les instants précédents, je la désire aussi. Un désir qui est impérieux, qui me submerge. Je dessine du bout de mon doigt, je dessine le contour de ses lèvres, elle ondule contre moi, nos tétons s’agacent mutuellement et sont dressés et de plus en plus durs de minute en minute. Son pubis et le mien sont bombés, ils se frottent, je me sens très humide déjà. Mes mains caressent ses flancs des épaules à ses hanches, lentement je frôle plutôt que je ne touche sa peau douce. Son odeur naturelle se mêle à son parfum, j’adore. Iris prend la direction des opérations, elle tient mes poignets, sa cuisse s’insinue entre mes cuisses, Ainsi sa chatte est en contact avec ma cuisse également. Des minuscules mouvements nous font nous frotter l’une l’autre. Je sens le sexe d’Iris moite s”ouvrir au contact de ma peau. Moi même ma chatte est humide mon clitoris durci appelle les caresses. Iris me couvre de baisers sur le visage, lèche mes lèvres, mes oreilles, mordille les lobes. Sa langue glisse dans mon cou, descend entre mes seins, les baisers pleuvent sur mes deux seins, tendus, les tétons sont durs, chacun leur tour ils sont happés par sa bouche, léchés, mordus assez fort pour me faire geindre. J’aurais imaginé Iris plus douce et délicate, mais justement, j’aime la poigne dont elle fait preuve. Je tends ma bouche pour réclamer un baiser, une main sur mon cou, qu’elle serre un peu me fait reposer la tête. Elle m’impose ses désirs, je sens d’un coup l’âme d’un jouet s’insinuer en moi, je m’abandonne. J’ai toujours eu un petit côté soumise, mais là il prend de l’ampleur. Je me sens tellement désirée, je suis tellement bien dans les bras de mon amie, je lui abandonne mon corps. Sa bouche descend sur mon nombril, sa langue le pénètre, joue avec ce petit creux, elle me chatouille. Mais la descente de sa bouche, vers le centre de mon plaisir, me fait frissonner de plus en plus. J’attends, je suis dans l’attente du contact tant désiré. Lentement mes cuisses s’ouvrent, mes reins ondulent lentement.Mes mains sont plongées dans sa chevelure que le caresse et masse avec délice. Je frissonne encore plus quand je sens son souffle chaud sur ma fente, mes cuisses sont largements écartées, mon sexe s’ouvre, je sens les petites lévres collées par l’humidité se séparer. Impudiquement grande ouverte pour elle, pour ses yeux, pour sa langue et ses doigts. Elle me regarde, me souris, je vois son visage s’avancer vers mon sexe, Elle respire, hume l’odeur de ma chatte. Elle reste rivée à mon regard. Elle fait des baisers à l’intérieur de mes cuisses, à droite puis à gauche alternativement. Approchant toujours de mon sexe. Mon tremblement augmente Mes reins se creusent, propulsant ma motte vers sa bouche, ses yeux sont plantés dans les miens.

Ohhhh oui!! criais-je
Sa langue venait de toucher mon sexe, elle se glisse entre mes lévres, me pénétre. Je suis cambrée. Ses avant-bras passés autour de mes cuisses, ses mains sur mon pubis, ses doigts agiles écartent mes grandes lèvres. Les yeux d’Iris brillent de désir.

Ouvre toi mon ange, donne moi ton coquillage dit-Iris.
Ohh oui chérie, je suis a toi, mange moi tout dis-je d’une voix rauque de désir.
Je suis agitée d’un tremblement irrépressible, mes mains sont crispées dans ses cheveux, elles attirent son visage vers mon sexe. Elle résiste, me laisse endurer les affres de l’attente avant de plonger ses lèvres dans ma conque sans aucun doute ruisselante, au bruit que font sa langue. Je pousse de petits cris, chaque fois qu’elle frôle mon clito je me tétanise, mon sexe palpite je sens mes muscles se contracter, se détendre au fil des caresses. Ma respiration est haletante, saccadée. Iris me fait attendre, elle me promets des caresses, ne vas pas au bout, Ma peau se hérisse de chair de poule, ses doigts sont au seuil de mon sexe, sa langue aggace juste mes petites lévres, montent et stoppent à je pense 1 mmm de mon bouton, je ne vois pas mais je sens qu’il est sorti de son capuchon, le souffle d’Iris est asse proche pour que je le sente.

Chérie ne me laisse pas comme çà , c’est trop dur. Prends moi vite.
Petite chienne, ne réclames pas comme çà, retiens toi, tu es trempée mon ange. Je vais te boire, te laper, sois obéissante. Supplies moi Lisa dit elle avec un regard, presque dur, le rouge au joues et au front elle est aussi excitée que moi.
Iris je t’en supplies, ta bouche, ta langue sur mon sexe, je n’en peux plus !!

Soudain, elle enfonce ses doigts dans mon vagin, ils glissent en moi avec une aisance incroyable, J’ai à peine senti la pénétration, je dois être ouverte comme une porte de grange. Par contre je sens le bout de ses doigts recourbés qui massent et appuient là zone sensible à l’intérieur de mon sexe. Je pousse un long cri de plaisir.

Oh mais c'est vrai que tu en a envie ma belle, tu à le con qui palpite autour de mes doigts. Petite salope, je vois bien que tu aimes les femmes.

Ses doigts tournent en moi, ils fouillent mon vagin, l’auscultent, le palpent . Je ne vois plus que ses yeux, son nez touche mon clitoris, la frotte, sa langue fouille les replis de chair trempés de mouille, qu’elle fait naître en abondance . Mes mains ont lâché ses cheveux, elles se sont repliées sur mes seins, je tortille mes tétons entre le pouce et l’index. Je tourne je tire et pince les pointes de seins. Elle me prend avec ses doigts comme jamais je n’avais été prise. Je donne de grands coups de reins. Je me sens de plus en plus humide, ça glisse entre mes fesses. Iris, relève la tête pour me regarder, elle est échevelée, ébouriffée, son menton, ses lèvres même son nez sont luisants de cyprine. Elle sort ses doigts de mon sexe et monte sa mans vers mon visage. Ses doigts sont trempé, ma liqueur faut de longs fils translucides entre ses doigts, elle me barbouille les lèvres, je lèche ses doigts, plein du gout et de la fragance de mon sexe. C’est comme si je suçais la queue d’un homme qui vient de me prendre.
J’ai tellement envie de jouir maintenant, que ma main glisse vers mon sexe. Iris repousse cette main, elle m’enfile ses doigts à nouveau, ils s’agitent en moi. Je crie, je grogne. Iris me surplombe. Elle me regarde droit dans les yeux, tout en entrant et sortant de mon sexe à toute vitesse, le bruit de clapot que produisent ses doigts dans mon sexe inondé est impressionnant et puissant. Comme si elle courait dans une flaque d’eau. Les yeux d’Iris ont changé, ils paraissent durs, comme ceux d’un aigle, son sourire est étrange. Elle pose sa main sur mon visage, caresse mes joues, brusquement elle saisit ma gorge, elle s’appuie dessus , sa main accélère ses va et vient. Je suis totalement écartelée, je m’abandonne à cette pénétration intense. Sa main se referme sur ma gorge me serre. Je sais où elle veut en venir, Elle m’étrangle pour que ma jouissance soit encore plus forte. Je n’aurais jamais imaginé que la douce et gentille Iris se révélerait être aussi dominatrice, elle sait y faire en tout cas. Elle sait doser mon asphyxie progressive et la montée de mon plaisir. Mes hanches roulent, je projette mon pubis au devant de la pénétration, j’aimerais qu’elle me remplisse plus. Je sens un de ces doigts pénétrer mon anus. Elle sait ce qui est bon pour moi. Par moment elle touche mon clito et je pousse un cri. Maintenant mes fesses sont souvent décollées du canapé, je me cambre en arc . Mes mains sont toujours sur mes seins j’ai les tétons en feu a force de les triturer, je les étire violemment, ils échappent à mes doigts je les reprends et recommence. Je gifle mes seins. Celà à l’air de plaire à Iris
Oui continues salope, gifle tes tétons tu est belle me dit Iris d’une voix déformée par l’excitation.
Sans un mot, les seuls sons que je produis sont des cris, pleurs, gémissement de plaisir, voire cris de douleur, car mes seins virent au rose puis au rouge.
Iris se délecte de ma vision, son visage est parlant, elle guette l’instant où je vais jouir. Un instant qui n’est plus loin. Mon corps est tremblant, je commence à manquer d’air. La pression sur ma gorge ne diminue pas elle s’accentue presque, et ses doigts dans mon sexe ont imperceptiblement ralentis, mais les bouts de ses doigts fouillent mes chairs trempées faisant naitre des centaines de frissons. Pourtant je sens monter en moi l’instant libérateur, je suis excitée comme rarement je l’ai été je ne suis plus qu’une chatte palpitante, qui va exploser d’une seconde à l’autre . Je sens le monde au travers d’une sorte d’air épais qui ralentit et assourdit les sons . La pression sur mon cou semble ne plus vouloir arrêter un instant j’ai la sensation qu’elle est en train de me tuer. Brutalement elle relâche ma gorge et plante ses doigts au fond de mon antre avec force, c’est comme un coup de fouet, mes poumons s’emplissent d’air frais , en moi c’est une digue qui cède, l’orgasme est d’une violence inouïe, je suis appuyée sur mes talons et mes épaules, les doigts d’iris sont en moi et me pistonnent furieusement, je sens que je gicle, je me suis totalement relâchée, le canapé va garder des souvenirs. Mon ventre est agité de secousses, je suis prise d’un tremblement continu entrecoupé de spasmes de mon sexe.

Oui Jouis Jouis Jouis, donne encore Jouis !! crie Iris.
Arrrrrrghhhhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii hurlais-jeAlors que je jouis, je vois Iris qui elle aussi semble agitée de spasmes, son ventre se creuse, plusieurs fois alors qu’elle crie. J’ai bien l’impression qu’Iris vient de jouir avec moi.

Je me laisse retomber sur le canapé, Iris est aussitôt allongée sur moi, m’embrasse goulument, caresse mes seins doucement comme pour adoucir ce que je leur ai infligé. Nos cuisses sont imbriquées, je sens la chatte d’Iris sur la mienne, elle a bien dû jouir pour être aussi mouillée que je le suis. Elle caresse mes cheveux, me regarde avec douceur et me dit :Tu es très belle quand tu jouis Lisa mon ange, magnifique ange blond.
Dis moi Iris, tu a jouis je ne me trompe pas?
Non tu n’a pas rêvé, j’ai jouis à force de te voir prendre du plaisir.
Alors tu va encore jouir, car maintenant c’est mon tour

A suivre

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une belle histoire,une description très détaillée de l'amour physique entre femmes ; que demander plus!!!



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