Lesbos et le gay - histoire érotique

Nous voici enfin avec notre ami Georges: c’est un drôle de bonhomme. Il est gay, c’est son droit. Par contre il est très gentil avec certaines femmes. Il les aime grandes, longs cheveux, belle poitrine, pas trop maigre. Je vais partie de ses préférées. Son homosexualité ne l’empêche pas d’aimer se faire masturber et sucer par les filles qu’il aime. Par contre nous le savons toutes, il demande souvent à son amant de la lui mettre au seul endroit où nous ne pouvons aller, sauf avec des doigts: ce n ’est pas assez pour lui, qui aime se faire mettre profond.
Chez lui, il n’y a jamais de partouze à proprement parler. Nous sommes un petit groupe de filles délurées bien sur. Ce soir, sont là, outre George, le groupe d’amies que nous aimons: Annette, la plus grande, belle silhouette, les chevaux blonds naturels, des seins qui donne envie de redevenir bébé pour les sucer, ses fesses sur de longue jambes.
Louise est l’autre filles que Georges aime bien: elle est très sexy, et particulièrement douée pour le branler. Elle le fait jouir avant qu’il se fasse mettre.
La dernière c’est moi, Huguette, toujours à la recherche d’une belle créature. C’est moi qui suce Georges et avale son sperme.
Ce soir il règne comme un début de tempête: Nous sommes déchainées au point d’oublier Georges: il peut nous regarder en se masturbant.
Aujourd’hui j’ai mis mon uniforme de combat: Je porte en guise de sous vêtement une résille qui me recouvre en entier, étant nue dessous n’importe qui peu me regarder, depuis mes seins jusqu’à ma vulve. Je fais sensation, surtout Annette: elle n’est plus guère vêtue que moi. Son string est transparent et laisse voir da chatte. Louise est la plus habillée avec sa mini jupe en cuir noir, son soutien gorge qui ne laisse vois que la partie haute de sa poitrine, même si ses aréoles sont bien visibles.
Louise se dépêche de masturber Georges comme pour se débarrasser d’une corvée. Quand son foutre monte très haut elle arrête tout pour nous rejoindre.
Avec Annette nous nous embrassons sur la bouche, nos mains cherchent les endroits sensibles sur le corps de l’autre. Nous attendons quand même que Louise finisse la masturbation: elle a un peu de sperme sur sa main: je ne vais pas laisser perde une telle potion. Nous sommes maintenant en trio à nous embrasser: c’est une autre façon de nous embrasser: nos langues sont dehors et nous caressons celles des autres hors de nos bouches. Mes deux amies sont subjuguées par ma résille: elles sont peur de la faire céder au cas où elle me branlerai. Je n’ai donc droit qu’à des frôlements. Pourtant elles s’enhardissent pour sucer les tétons qui ressortent naturellement. Je crois que c’est Louise qui pose une main sur ma fesses: elle me fait drôlement mouiller. La main de notre autre compagne arrive sur ma chatte. Elle a peur d’abimer ce que je porte.
Elles n’ont pas compris que se je suis ainsi vêtue ce n’est que pour les exciter encore plus. Mon plan marche tellement qu’elle se retrouvent à se branler en me regardant. Je m’approche le plus possible des deux filles qui commencent à s’aimer. J’ai moi aussi besoin de leurs caresses.
Je prend la résille par une main sous mon cou, et d’un seul coup je suis presque nue enfin. Cette fois nous voici réuni pour nous faire jouir comme nous aimons. Pour me « punir » mes amies me font mettre en levrette; je dois lécher la vulve d’Annette pendant que Louise se charge de me corriger: J’ai ma langue sur le sexe de notre amie. Je le connais assez pour trouver aussitôt l’entrée de son vagin, ma langue sert de bite, surtout quand j’arrive à son point le plus sensible. Elle part en une interminable série d’orgasmes. J’ajoute un doigt dans son anus.
Par contre Louise elle commence à me donner unes série de claques sur le fesses. Je sursaute quand sa main me frappe: ce n’est pas la douleur qui m’émeut, c’est la charge d’adrénaline qu’elle me donne. Je mouille de plus en plus. Elle ne ses sert qu’une d’une seule main, l’autre s’introduit en moi à la recherche se mon vagin. Je mouille de plus en plus, dans elle entre 4 doigts dans mon con puis la main entière. Elle me fiste sachant que j’aime bien ça. Je sens toute sa main dans mon ventre et encore ses coups sur mes fesses. Elle ne reste as longtemps immobile sa série de courts vas et vient me font partir plusieurs fois. Elle me laisse jouir en paix. Elle donne son sexe à Annette et elles font un 69 qui doit être particulièrement agréable. Je m’assois à leur coté quand je vois la bite de Georges se lever: normalement il reste de marbre devant nos étreintes. Cette fois il bande pour de bon. Bonne âme, je lui propose mon cul pour se soulager. Ce serait plus naturel que se branler sans arrêt. Il nous étonne toutes; nous cessons ce que nous faisions. Il vient vers moi, me met à plat ventre, me crache sur le cul. Je prend sa queue pour la diriger vers l’orifice qu’il aime. Annette et Louise ne veulent surtout pas manquer cette nouveauté. Il vient sur moi, sa bite bien bandée, presque plus que quand nous le branlons. Annette est la dernière à prendre sa bite pour qu’il me la mette normalement. J’ai un peu peur, il nous a souvent dit qu’il aimait de faire enculer que je ne sais pas si dans sa vie il a sodomisé quelqu’un.
Il entre avec des précautions de cambrioleur, à tel point qu’il est dans mon ventre sans que je le sente il fait des aller et venue ans mon cul. Je me crispe un peu avant de jouir. J’ai besoin d’un sexe de femme sur ma bouche: Louise se propose et j’ai sans ma bouche un clitoris odorant et dans mon cul cette bite d’un gay.