Lesbos ou pas ? - histoire érotique

Souvent ce petit restaurant familial tunisien me reçoit. Originaire de Tunis j’ai gardé les goûts de mon pays, bien que je soit une française de souche. Entre deux mots échangés en arabe, j’ai droit toujours à des attentions du patron, un petit vieux qui n’a plus que des souvenirs de son pays. Aujourd’hui je change un peu de l’éternel couscous pour un plat plus léger. Petit à petit le restaurant se remplit et il ne reste qu’une seule place libre, juste en face de moi, à la table pour deux. Le patron me demande si je peux accueillir une nouvelle venue.
Je n’ai rien contre, au contraire: je pourrai bavarder un peu. J’ai bien fait d’accepter: arrive une grande fille brune aux yeux presque verts. Je ne peux pas lui dire qu’elle est jolie, je le pense simplement.
Après les « bon appétit » d’usage, nous commençons à parler d’abord du temps, puis de la bouffe. La conversation est vite plate.
Elle commence à s’ouvrir un peu en me disant qu’elle revient sur les lieux où elle a rencontré son dernier amour.
- C’était à la même place. Nous nous disions des mots doux.
- C’est normal entre deux être qui s’aiment.
- Je le crois. C’est même là que j’ai été convaincue de lui faire l’amour.
- Et bien sur ça n’a pas duré.
- Hélas, non, elle est partie avec une autre.
- Elle ?
- Oui, elle, j’aime les femmes.
Moi qui suis simplement comme tout le monde une simple femme hétéro attirée, par les hommes: j’en suis un peu étonnée. Elle n’est pas la première que je connaisse, j’ai une cousine qui est ouvertement lesbienne, donc je n’en suis pas scandalisée..
Elle continue ses explications et surtout ses regrets de ne plus l’avoir dans son lit.
Elle ne pleurerai presque. Comment arriver à la consoler ? Lui dire que chagrin d’amour n’est pas mortel, qu’elle s’en remettra vite etc. Malheureusement pour elle je ne sais rien dire de tout ça. La seule chose que je puisse faire et de lui tenir la main un instant.
Elle doit se méprendre, je ne la cherche absolument pas. Alors qu’elle prend mon geste pour une avance. Je n’ai ni de près ni de loin était attirée par une femme. Je ne vais pas commencer avec elle, malgré sa beauté et son allure sexy.: c’est vrai qu’elle est habillée très court, le corsage ouvert à moitié sur une poitrine qui semble tenir seule.
Je commence à me demander si elle n’est pas à la recherche d’une aventure avec une autre fille, ce qui finalement est possible. Je crois bien que j’ai raison quand elle me caresse la main. Je dois être rouge comme une pivoine. Je ne peux pas faire un scandale. Je la laisse faire. Elle me caresse le bras maintenant. Tant qu’elle me touchait l’avant bras ça allait encore, maintenant qu’elle commence à monter plus haut, elle me trouble.
Je commande deux cafés pour partir plus vite. Nous dégustons nos boissons lentement, contrairement à mes habitudes. Cette fois je sens son pied nu monter entre mes jambes. Elle m’excite légèrement, pensez donc, se faire caresser sous la table par un pied nu féminin ! J’écarte malgré moi les jambes pour faciliter ses mouvements. Elle en profite pour arriver sur mon string bien humide. Ses orteils commencent à fouiller mon entre jambe. C’est bien la première fois qu’un orteil se pose sur ma chatte. Je me demande ce qui est le plus excitant: son pied ou l’endroit incongru pour ce genre de familiarité.
Nous sortons ensemble. J’espère qu’elle va arrêter de m’exciter. Je ne sais pas résister aux plaisirs. Avec une autre femme: ce n’est pas naturel. Je préfère un homme, mais voilà, c’est une femme qui me fait du plat. En plus elle m’a excitée. Je suis perdue dans mes pensées quand elle me prend le bras comme pour me guider vers je ne sais quel pêché. Un doux péché, certainement comme me l’avait expliqué un jour ma cousine. Je ne me contrôle plus: elle a gagné: je vais chez elle avec elle.
Dans l’escalier, en montant elle me prend par la taille: j’accepte encore. Juste avant d’entrer, sur la palier elle m’embrasse sur la bouche.. Au début je garde la bouche close. Puis ensuite sa langue forçant sur mes lèvres j’ouvre la bouche pour la recevoir, je fais plus que ça: je participe comme je le ferai avec un amant.
J’apprécie le baiser et ne voudrai pas qu’elle arrête. Par moment j’ai des éclair de lucidité. Je me demande ce que je fais avec elle: pourtant je garde ma langue dans sa bouche.
Nous entrons chez elle et dans le petit corridor elle recommence son baiser. Elle me fait appuyer contre une cloison, me serre contre elle. Sa bouche toujours sur la mienne, elle arrive à passer une main derrière moi. Je la sens caresser mes fesses. Elle remonte lentement ma jupe jusqu’à la taille, la tient ainsi d’une main et l’autre passe entre mes fesses.
Je devine où elle veut aller. Je détend mon anus avant qu’elle y arrive. Je sens un doigt qui entre dans mon cul et fait des va et vient. Cette faveur, je ne l’accorde que rarement, même si j’apprécie la sodomie.
Je me laisse toujours faire. Après tout ce n’est pas moi qui suis allée la chercher. Et puis elle me fait plaisir. Je me laisse aller vers un orgasme qui arrive lentement. Elle est la première à me faire jouir ainsi. Pourtant je ne vais pas me laisser faire sans agir. Je force un peu pour passer entre nous deux. Je vais dans son corsage pour caresser un sein. Bien entendu elle ne porte rien à ce niveau. Je n’ai que l’embarras du choix. Je prend le sein gauche, le plus proche de moi. Je le tête un peu avant de trouver son mamelon. Je le pince légèrement avant de le caresser plus fortement que la normale. Elle soupire légèrement: ma caresse fait de l’effet. Je déboutonne tout son corsage: ses seins jaillissent comme des surprises: qu’ils sont beaux à coté des miens, que leur tétons sont durs; J’ai envie brusquement de les sucer tous les deux; J’arrive à détacher ses lèvres des miennes pour les poser sur ses seins; Je les trouve encore meilleurs qu’en les touchant.
Si je m’attarde sur sa poitrine, elle de son coté après m’avoir entré le doigt dans le cul et que j’en ai joui, elle passe son autre main sur ma chatte.
Je me refuse à elle: je préfère aller dans un lit pour la suite (je m’étonne d’imposer ma volonté une femme). Elle m’emmène dans sa chambre où elle entreprend de me déshabiller, comme je le lui fait. Je trouve qu’elle est sexy et surtout bien mieux faite que moi, alors qu’elle prétend que je suis bien mieux faite qu’elle.
Ce concours de beauté fini dans une enlacement complet. Nos seins se caressent entre eux. Je ne me doutais pas de la sensualité d’une telle caresse entre femme. Elle revient pose sa main sur ma chatte. Elle est très douce en cherchant les points sensibles de ma fente. Je sens d’abord sa main sur le pubis, puis englobant tout mon sexe avant de sortir deux doigts qui entrent dans ma vulve: là elle est moins douce, elle me doigte comme si elle avait une bite. Je tends mon bas ventre sur sa main, j’en veux encore et encore. Tout en gardant ses doigts dans mon con, elle arrive à entre un autre dans mon cul. Ce n’est pas une double pénétration, ça y ressemble: les effets sont presque les même avec moins de jouissance à l’arrivée, mais jouissance quand même; Elle me fait jouir à tel point que je tombe sur le lit les jambes ouvertes,
Elle vient sur moi, comme le ferai un homme avant de me la mettre. Faute de bite elle a une langue qu’elle pose sur mon clitoris. Elle me suce à sa façon que je ne pourrai décrire. Elle me fait jouir: quand elle finit, elle me donne sa langue pour la goûter. Elle sens ma moule. C’est bon de sentir sa propre saveur sur sa langue.
- Je viens de te sucer, rends moi le.
- Je n’ose pas passer ma langue sur son sexe;
- Fais le, tu verra c’est agréable et pour toi et pour moi que te fera jouir. N’oublie pas mon cul.
Je suis sotte en obéissant. C’est vrai qu’elle a une bonne odeur de chate et un goût un peu poivré. Ma langue ne trouve que des endroits doux à lécher. Aucune aspérités, rien que des endroits fins et confortable pour la langue. Je suis à plat ventre entre ses jambes; Je fais comme elle m’a demandé: j’entre ma langue dans son cul. Je ne sais quel effet exact je lui donne: en tout cas, elle prend ma tête dans ses mains non pas pour me guider, mais pour accompagner son plaisir et ses orgasmes nombreux; je peux caresser son clitoris en même temps. Mon pouce va et vient sur le bouton. Elle fait plus que gémir en jouissant elle cri tout simplement: je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Je suis fière de moi. Je remonte simplement un peu pour fourrer la langue dans son con. Elle me demande d’arrêter un moment. Elle veut que nous pratiquions un 69 comme elle aime; Elle vient m’enjamber pour me lécher toute ma féminité. Je suis surprise du plaisir que cette position apporte: déjà j’aime faire ça avec un homme, mais avec une femme c’est bien plus doux et jouissif d’avoir un sexe féminin dans la bouche, puisque celui d’un homme se résume à un tuyau qui donne un liquide que je n’apprécie pas tellement, surtout après avoir dégusté celui de cette femme.
Je suis dans la plus mauvaise position, obligée de monter ma tête pour la sucer comme il faut. Le peu se sacrifice est finalement agréable compte tenu des orgasmes que je donne. J’ai envie de l’enculer avec trois doigts; Je commence progressivement par le premier et les autres ensuite. Elle se trouve le cul bien ouvert par mes doigts. Je la sens jouir par ma langue. Elle se venge en m’en faisant autant. Je sens ma cyprine sortir plus fortement quand je jouis ainsi.
Nous cessons notre baise pour reprendre notre souffle. Elle me parle
- Tu as bien aimé que je te baise, petite salope.
- Et toi tu n’as pas aimé mes doigts dans ton cul ?
- Si nous le recommenceront. Dans la vie avec les hommes tu te fais enculer ?
- Mais oui, c’est excellent, mieux qu’avec tes doigts.
- Tu baiserai avec un homme après ce que nous avons fait ?
- Bien sur, même si les 69 sont meilleur avec toi.
- Pourquoi tu irai à nouveau avec un type ?
- Parce qu’il me la mettrai où je voudrai.
- Et tu voudrai où ?
- Dans le con et le cul. Et même dans la bouche
- Je peux acheter un godemiché pour te baiser comme un homme.
- Mettons les choses au point; tu m’a bien baisé, moi je ne savais pas comment deux femmes pouvaient jouir ensemble. Tu m’a montré qu’on pouvait baiser comme des lesbiennes, ce que tu es. Moi j’aime aussi les hommes. Alors si tu veux, comme j’ai aimé ce que te m’a fait, je viendrai chez toi deux, ou trois fois par semaine pour l’amour, Je baiserai un homme quand j’en aurai envie. Et toi aussi tu devrai de faire mettre de temps en temps. Ca ne te ferai pas de mal une bite dans ton con.
- Je l’ai fait deux fois avec un gars qui m’a laissé tomber: les hommes sont tous des salauds.
- Ne juge pas trop vite: le jour ou tu trouvera un véritable homme qui pense à ton plaisir avant le sien, tu en redemandera encore, même si tu continue avec des femmes.