Leslie AN17
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AN17
Leslie AN17 - Anastasia, week-end à Epernay, la soirée chez Benoît, suite et fin
Aurélie, pendant ce temps avait pris mon sexe en bouche et ses lèvres l’entourèrent avec douceur, tandis que sa main caressait doucement mes couilles gonflées.
J’étais allongée sur le lit et Aurélie debout le corps penchée sur moi, complètement pliée en deux offrait sa croupe las jambes bien écartées afin de rester stable sur ses jambes.
Je vis arriver Delphine qui sans bruit s’approchait de nous en s’équipant d’un gode ceinture, elle se positionna derrière Aurélie et se mit à la sodomiser avec le pal fixé sur son pubis.
Aurélie ne put retenir ses cris et s’arrêta de ma sucer pour s’écrier :
- Ohhh, putain !
Delphine était déchainée et s’en donnait à cœur joie et à grands coups de reins, enfonçant sa queue de latex dans le fondement d’Aurélie qui en eu le souffle coupé. Delphine encula Aurélie ainsi pendant un long moment avant de se détacher de la petite transexuelle sui n’en pouvait plus, et me regardant elle me dit :
- A ton tour ma belle !
Ce fut à mon tour de me faire copieusement enculer par Delphine qui, mes jambes sur ses épaules ne retenait plus ses coups de boutoirs en criant :
- Jouis ma belle, jouis.
Aurélie vint aider Delphine en me branlant, jusqu’à me faire jouir sur mon ventre en grandes giclées.
Nous sommes redescendues, boire un coup, complètement nus, les mains s’égarèrent sur nos intimités exacerbées et c’est complètement épuisés que nous sommes remontées nous coucher.
Delphine et Anastasia avec Benoît et Aurélie avec moi.
Après s’être redonné du plaisir, nous sodomisant à tour de rôle, nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.
Dans la nuit, avec Aurélie, nous avons été réveillées par des gémissements venant de la chambre de Benoît, alors sans bruit nous nous sommes levées pour aller voir ce qui se passait.
Anastasia allongée sur le lit se godait sans vergogne en regardant Delphine faire une fellation à Benoît. Delphine pratiquait une véritable copulation de la bouche avec le sexe de Benoît, elle s’enfonçait la verge jusqu’à ce que le gland touche le fond de sa gorge, puis elle remontait jusqu’au gland qu’elle gratifiait de petits coups de langue à chaque passe.
Elle fut bientôt récompensée de ses efforts, la verge se mit à remuer, battant au rythme du sang qui affluait un peu plus, les veines se gonflèrent et une giclée de sperme frappa le fond de sa gorge avec force.
Delphine remonta précipitamment, ne gardant que le bout entre ses lèvres, de manière à laisser suffisamment de place pour conserver le maximum de sperme en bouche. Les gouttes chaudes et épaisses se succédaient sur un rythme accéléré, et Delphine dû déglutir et en avaler une bonne partie.
Malgré ses lèvres closes, sa bouche était trop pleine et un peu de sperme coula à chaque commissure vers son menton. En dépit de la difficulté qu’il y avait à garder la bouche pleine de jute, Delphine ne se privait pas de passer sa langue sur la base du gland de son amant afin d’augmenter son plaisir, et savourer la semence mâle qu’elle avait en bouche, avant de l’avaler par petites doses.
Quelques minutes plus tard, Benoît reprit ses esprits sous le regard de sa compagne.
- Alors je pense que mon Benoît chéri a bien joui.
Nous découvrant à l’entrée de la chambre, Benoît nous demanda d’y entrer en disant à Delphine :
- Allez, maintenant termine ton histoire !
A quatre heures du matin, Delphine reprit son histoire et nous dit :
« Peu de temps plus tard, alors que Diane était partie au toilettes et que je reposais sur le lit de nos premières copulation, la main de mon Pierre commença par peloter les fesses, et ses doigts se glissèrent sans obstacle dans ma raie pour chatouiller avec insistance mon petit trou le plus intime.
Je pensais qu’il en profiterait pour me tripoter aussi la chatte, mais il n’en fit rien, j’ai frémis en pensant qu’il allait certainement mettre sa promesse à exécution…
- Mais Delphine, tu es très serrée de ce côté-là !
- Oh oui Pierre, c’est qu’il n’a pas beaucoup servi.
- Voyez-vous ça ! Une petite vicieuse comme toi qui ne cesse de m’exciter, peu d’homme ont connus le plaisir de t’enculer.
- Oh ! Monsieur Pierre, c’est que je ne l’offre pas au premier venu !
- Moi, j’ai bien envie de t’enculer ma petite Delphine !
- Avec votre engin vous allée me déchirer et puis je vais avoir trop mal, votre sexe est trop gros pour mon petit trou serré !
- Ne te fais pas de souci, je vais prendre quelques ménagements bien que j’aie drôlement envie de t’enculer à sec !
Tirant un tube du tiroir de son sac de voyage, il s’enduisit la verge d’une pommade incolore, puis il vint vers moi. À sa demande j’écartai les fesses de mes deux mains, après m’avoir enduit copieusement mon conduit il a présenté sa verge tendue à mon anus frissonnant de peur.
C’est à cet instant que Diane est revenue et me voyant prête à me faire enculer, elle s’est exclamée :
- Eh bien, je m’absente deux minute et je te retrouve prête à te faire défoncer le cul, t’es vraiment une petite cochonne Delphine chérie.
Mais Monsieur Pierre ne se laissa pas démonter, je sentis le gland se poser sur mon orifice anal sur lequel il pesa sans ménagement. Mes chairs après une courte résistance s’écartèrent pour laisser entrer le gland turgescent. J’eus un peu mal mais moins que je ne l’aurais imaginé. Puis d’un coup je sentis sa longue queue entrer en moi.
- Branles-toi, dit-il, ça anesthésie la douleur.
Je trouvais l’idée excellente, et je massais mon bouton de chair. Effectivement la douleur s’atténua. Derrière moi, Monsieur Pierre s’animait et s’excitait très vite.
- Ah ma petite salope, je t’encule pendant que tu te branles comme petite cochonne ! C’est bon ton petit trou tu sais, il est bien serré sur ma queue.
Ce fut rapide, rapidement j’ai pris du plaisir à me faire enculer.
Cela dura un long moment, puis sans avoir jouis, il se retira et dis à Diane :
- A ton tour petite salope ! »
- Eh oui Benoît, dis Delphine, il faut le reconnaître je suis une vraie salope bien vicieuse, et c’est ce qu’on dit d’une femme qui jouit de tous les trous ?
- Tu n’es pas une salope, tu aimes le sexe sous toutes ses formes c’est tout et pourquoi une femme pourrait se faire enculer et pas un homme ?
- Tu as raison, dis Delphine. Mais tout le monde ne pense pas comme toi, un homme qui aime enculer une femme c’est normal, une femme qui aime se faire enculer et qui en jouit, c’est une salope, alors imagine un homme qui aime se faire enculer, c’est quoi ?
Benoit ne voulant pas s’expliquer demanda à Delphine :
- Continues, ça me plaît ton histoire !
« Monsieur Pierre s’occupa du cul de Diane, qui sans être vierge de ce côté-là, la senti passer et hurla de douleur.
Diane était accoudée à la table de nuit et se faisait enculer debout, je voyais la grosse queue entrer et sortir des fesses de Diane, et Monsieur Pierre la branlait d’une main.
Diane bientôt sembla apprécier le traitement car elle se mit à gémir fortement.
- Ah ma petite salope, dis Pierre, tu commences as prendre ton pied, c’est bon ma grosse bite dans ton petit cul, ça te fait jouir.
J’étais toute émoustillée par la scène et j’avais commencé à me caresser le minou, peu de temps avant j’étais à la place de Diane et je me faisais défoncer le cul, mais Monsieur Pierre se retira du cul de Diane en disant :
- Allez vient que je t’encule une nouvelle fois
Il m’encula à nouveau durant quelques minutes pendant que Diane lui caressait les couilles et la raie. Puis il la fit mettre près de moi dans la même position, et il passa rapidement de mes fesses à celles de mon amie qu’il encula avec encore plus d’ardeur.
Nos orgasmes vinrent assez vite, je le mouillais abondamment en criant mon plaisir, en même temps que Delphine hurlait le sien. »
- Voilà ! Dis Delphine, j’ai dansé à poils devant des hommes qui se branlent et des femmes qui se doigtent. Je ne les voyais pas mais ça m’excitais quand même. De temps en temps il y en avait un qui me payait pour une séance particulière, mais là aussi ça se limitait à lui faire une branlette, parfois une pipe, rien de plus. Les plus hardis me foutaient les doigts dans la chatte ou dans le cul et j’y prenais plaisir, d’autres me donnaient des rendez-vous pour une après-midi d’éclate et je prenais parfois du plaisir, me faisant attendre que ma vie change. Mais la seule chose qui me gênait, c’était que ça n’avait rien à voir avec le sexe que j’aime. Mais maintenant nos petites partie fines me font un bien immense et me redonne la joie de baiser et de faire des trucs cochons. Merci à vous !
- Et bien ma Delphine, bravo, ta sincérité nous a émus ! Dis Benoît.
- Tu as raison de profiter de la vie et du sexe ! Rajouta Aurélie, moi je n’ai que trop attendu !
- Tu m’as raconté comment tes aventures, dis Benoît, alors à mon tour, vous allez être surprises.
« Il y a un peu plus de….. »
Et Benoît raconta comment deux femmes plus vielles que lui l’avait initié à l’amour alors qu’il n’était encore qu’un jeune-homme, Delphine était plus que surprise n’imaginant pas que Benoît puisse avoir dépucelé par deux vieilles vicieuses.
A suivre…
Aurélie, pendant ce temps avait pris mon sexe en bouche et ses lèvres l’entourèrent avec douceur, tandis que sa main caressait doucement mes couilles gonflées.
J’étais allongée sur le lit et Aurélie debout le corps penchée sur moi, complètement pliée en deux offrait sa croupe las jambes bien écartées afin de rester stable sur ses jambes.
Je vis arriver Delphine qui sans bruit s’approchait de nous en s’équipant d’un gode ceinture, elle se positionna derrière Aurélie et se mit à la sodomiser avec le pal fixé sur son pubis.
Aurélie ne put retenir ses cris et s’arrêta de ma sucer pour s’écrier :
- Ohhh, putain !
Delphine était déchainée et s’en donnait à cœur joie et à grands coups de reins, enfonçant sa queue de latex dans le fondement d’Aurélie qui en eu le souffle coupé. Delphine encula Aurélie ainsi pendant un long moment avant de se détacher de la petite transexuelle sui n’en pouvait plus, et me regardant elle me dit :
- A ton tour ma belle !
Ce fut à mon tour de me faire copieusement enculer par Delphine qui, mes jambes sur ses épaules ne retenait plus ses coups de boutoirs en criant :
- Jouis ma belle, jouis.
Aurélie vint aider Delphine en me branlant, jusqu’à me faire jouir sur mon ventre en grandes giclées.
Nous sommes redescendues, boire un coup, complètement nus, les mains s’égarèrent sur nos intimités exacerbées et c’est complètement épuisés que nous sommes remontées nous coucher.
Delphine et Anastasia avec Benoît et Aurélie avec moi.
Après s’être redonné du plaisir, nous sodomisant à tour de rôle, nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre.
Dans la nuit, avec Aurélie, nous avons été réveillées par des gémissements venant de la chambre de Benoît, alors sans bruit nous nous sommes levées pour aller voir ce qui se passait.
Anastasia allongée sur le lit se godait sans vergogne en regardant Delphine faire une fellation à Benoît. Delphine pratiquait une véritable copulation de la bouche avec le sexe de Benoît, elle s’enfonçait la verge jusqu’à ce que le gland touche le fond de sa gorge, puis elle remontait jusqu’au gland qu’elle gratifiait de petits coups de langue à chaque passe.
Elle fut bientôt récompensée de ses efforts, la verge se mit à remuer, battant au rythme du sang qui affluait un peu plus, les veines se gonflèrent et une giclée de sperme frappa le fond de sa gorge avec force.
Delphine remonta précipitamment, ne gardant que le bout entre ses lèvres, de manière à laisser suffisamment de place pour conserver le maximum de sperme en bouche. Les gouttes chaudes et épaisses se succédaient sur un rythme accéléré, et Delphine dû déglutir et en avaler une bonne partie.
Malgré ses lèvres closes, sa bouche était trop pleine et un peu de sperme coula à chaque commissure vers son menton. En dépit de la difficulté qu’il y avait à garder la bouche pleine de jute, Delphine ne se privait pas de passer sa langue sur la base du gland de son amant afin d’augmenter son plaisir, et savourer la semence mâle qu’elle avait en bouche, avant de l’avaler par petites doses.
Quelques minutes plus tard, Benoît reprit ses esprits sous le regard de sa compagne.
- Alors je pense que mon Benoît chéri a bien joui.
Nous découvrant à l’entrée de la chambre, Benoît nous demanda d’y entrer en disant à Delphine :
- Allez, maintenant termine ton histoire !
A quatre heures du matin, Delphine reprit son histoire et nous dit :
« Peu de temps plus tard, alors que Diane était partie au toilettes et que je reposais sur le lit de nos premières copulation, la main de mon Pierre commença par peloter les fesses, et ses doigts se glissèrent sans obstacle dans ma raie pour chatouiller avec insistance mon petit trou le plus intime.
Je pensais qu’il en profiterait pour me tripoter aussi la chatte, mais il n’en fit rien, j’ai frémis en pensant qu’il allait certainement mettre sa promesse à exécution…
- Mais Delphine, tu es très serrée de ce côté-là !
- Oh oui Pierre, c’est qu’il n’a pas beaucoup servi.
- Voyez-vous ça ! Une petite vicieuse comme toi qui ne cesse de m’exciter, peu d’homme ont connus le plaisir de t’enculer.
- Oh ! Monsieur Pierre, c’est que je ne l’offre pas au premier venu !
- Moi, j’ai bien envie de t’enculer ma petite Delphine !
- Avec votre engin vous allée me déchirer et puis je vais avoir trop mal, votre sexe est trop gros pour mon petit trou serré !
- Ne te fais pas de souci, je vais prendre quelques ménagements bien que j’aie drôlement envie de t’enculer à sec !
Tirant un tube du tiroir de son sac de voyage, il s’enduisit la verge d’une pommade incolore, puis il vint vers moi. À sa demande j’écartai les fesses de mes deux mains, après m’avoir enduit copieusement mon conduit il a présenté sa verge tendue à mon anus frissonnant de peur.
C’est à cet instant que Diane est revenue et me voyant prête à me faire enculer, elle s’est exclamée :
- Eh bien, je m’absente deux minute et je te retrouve prête à te faire défoncer le cul, t’es vraiment une petite cochonne Delphine chérie.
Mais Monsieur Pierre ne se laissa pas démonter, je sentis le gland se poser sur mon orifice anal sur lequel il pesa sans ménagement. Mes chairs après une courte résistance s’écartèrent pour laisser entrer le gland turgescent. J’eus un peu mal mais moins que je ne l’aurais imaginé. Puis d’un coup je sentis sa longue queue entrer en moi.
- Branles-toi, dit-il, ça anesthésie la douleur.
Je trouvais l’idée excellente, et je massais mon bouton de chair. Effectivement la douleur s’atténua. Derrière moi, Monsieur Pierre s’animait et s’excitait très vite.
- Ah ma petite salope, je t’encule pendant que tu te branles comme petite cochonne ! C’est bon ton petit trou tu sais, il est bien serré sur ma queue.
Ce fut rapide, rapidement j’ai pris du plaisir à me faire enculer.
Cela dura un long moment, puis sans avoir jouis, il se retira et dis à Diane :
- A ton tour petite salope ! »
- Eh oui Benoît, dis Delphine, il faut le reconnaître je suis une vraie salope bien vicieuse, et c’est ce qu’on dit d’une femme qui jouit de tous les trous ?
- Tu n’es pas une salope, tu aimes le sexe sous toutes ses formes c’est tout et pourquoi une femme pourrait se faire enculer et pas un homme ?
- Tu as raison, dis Delphine. Mais tout le monde ne pense pas comme toi, un homme qui aime enculer une femme c’est normal, une femme qui aime se faire enculer et qui en jouit, c’est une salope, alors imagine un homme qui aime se faire enculer, c’est quoi ?
Benoit ne voulant pas s’expliquer demanda à Delphine :
- Continues, ça me plaît ton histoire !
« Monsieur Pierre s’occupa du cul de Diane, qui sans être vierge de ce côté-là, la senti passer et hurla de douleur.
Diane était accoudée à la table de nuit et se faisait enculer debout, je voyais la grosse queue entrer et sortir des fesses de Diane, et Monsieur Pierre la branlait d’une main.
Diane bientôt sembla apprécier le traitement car elle se mit à gémir fortement.
- Ah ma petite salope, dis Pierre, tu commences as prendre ton pied, c’est bon ma grosse bite dans ton petit cul, ça te fait jouir.
J’étais toute émoustillée par la scène et j’avais commencé à me caresser le minou, peu de temps avant j’étais à la place de Diane et je me faisais défoncer le cul, mais Monsieur Pierre se retira du cul de Diane en disant :
- Allez vient que je t’encule une nouvelle fois
Il m’encula à nouveau durant quelques minutes pendant que Diane lui caressait les couilles et la raie. Puis il la fit mettre près de moi dans la même position, et il passa rapidement de mes fesses à celles de mon amie qu’il encula avec encore plus d’ardeur.
Nos orgasmes vinrent assez vite, je le mouillais abondamment en criant mon plaisir, en même temps que Delphine hurlait le sien. »
- Voilà ! Dis Delphine, j’ai dansé à poils devant des hommes qui se branlent et des femmes qui se doigtent. Je ne les voyais pas mais ça m’excitais quand même. De temps en temps il y en avait un qui me payait pour une séance particulière, mais là aussi ça se limitait à lui faire une branlette, parfois une pipe, rien de plus. Les plus hardis me foutaient les doigts dans la chatte ou dans le cul et j’y prenais plaisir, d’autres me donnaient des rendez-vous pour une après-midi d’éclate et je prenais parfois du plaisir, me faisant attendre que ma vie change. Mais la seule chose qui me gênait, c’était que ça n’avait rien à voir avec le sexe que j’aime. Mais maintenant nos petites partie fines me font un bien immense et me redonne la joie de baiser et de faire des trucs cochons. Merci à vous !
- Et bien ma Delphine, bravo, ta sincérité nous a émus ! Dis Benoît.
- Tu as raison de profiter de la vie et du sexe ! Rajouta Aurélie, moi je n’ai que trop attendu !
- Tu m’as raconté comment tes aventures, dis Benoît, alors à mon tour, vous allez être surprises.
« Il y a un peu plus de….. »
Et Benoît raconta comment deux femmes plus vielles que lui l’avait initié à l’amour alors qu’il n’était encore qu’un jeune-homme, Delphine était plus que surprise n’imaginant pas que Benoît puisse avoir dépucelé par deux vieilles vicieuses.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
En début d'histoire c'est indiqué "suite et fin" ? Pourtant on en est qu'à lo moitié... Bizzz. Benoît