Leslie AN22 - histoire érotique

Leslie AN22 - Anastasia, week-end à Epernay, dans la matinée, chez Benoît, suite

« Une autre fois dans un dancing, j’avais remarqué un homme d’une rare beauté, racé, la quarantaine, il exprimait le sexe, durant une bonne partie de la soirée je l’ai observé en rêvant qu’il me fasse danser…
Bien sûr du haut de mes vingt ans, je ne me faisais pas trop d’illusions, mais va avoir…
Vers minuit, il est venu m’inviter et j’eus le bonheur de pouvoir danser avec lui.
Je savais que si je voulais avoir une aventure d’un soir avec lui, il me fallait faire vite, il avait du succès et ne devait pas s’embarrasser avec des aventures longues et à problèmes.
Ce devait être un one shoot !

Comme la piste était fort sombre et que nous avions l’un comme l’autre pas mal bu, il n’y eut aucune gêne entre nous. J’écrasai mes seins contre sa poitrine et mon bas ventre contre sa braguette. Il me caressa immédiatement les fesses, allant même jusqu’à suivre le sillon de ma raie d’un doigt inquisiteur.
L’ensemble dut lui faire de l’effet, car je sentis son érection se développer contre mon mon sexe qui présentait les mêmes symptômes.
- Tu n’as pas honte de bander pour une jeune fille comme moi, trop jeune pour toi ? Lui murmurai-je à l’oreille.
- Trop jeune, avec le corps que tu as ? Et puis, tu dois être majeure et de plus jeune fille n’est pas le mot adéquat pour ce que je sens en ce moment…
- Et ça te gêne ?
- Non, belle ambiguë, la soirée est bien monotone et tu viens la pimenter.
- Tu aimes alors ?
- Tu es sacrément bandante, tu sais. Et j’ai très envie de toi.
- Tu me parais sacrément monté !
- Tu me fais bander très fort, Tu peux vérifier !
- C’est vrai, dis-je en prenant sa queue dans ma main à travers le tissu

Peu de temps après nous roulions vers chez lui, conduisant d’une main, il me caressait le sexe au travers de l’étoffe de mon string, ma petite jupe ayant eue la bonne idée de découvrir complètement mes cuisses. Il me caressait avec un certain savoir, il devait être bi, au point de me pouvoir me faire jouir dans ses doigts si je ne m’étais pas retenue.
Puis, au risque d’un accident, c’est moi qui, après avoir sorti sa bite toute bandée, lui avait prouvé mes talents de fellatrice. Je m’étais acharnée à le chauffer un maximum, mais sans jamais l’amener à éjaculer, car je voulais garder sa semence pour mon cul !
Arrivés chez lui, nous étions tous les deux totalement chauds et impatients de se retrouver et passer aux choses plus sérieuses.

Aussi, dès la porte d’entrée fut refermée, je me précipitais pour dégrafer le pantalon et baisser le slip découvrant le sexe triomphant de mon amant qui se jeta sur moi.
Ma minijupe ne fut pas un obstacle car il me la retroussa sur les reins et mon string fut écarté sans problème pour offrir mon sexe raide à ses caresses et mes fesses à ses désirs.
Après m’avoir caressé un instant pour soupeser mon sexe raide, il me retourna et de dos, appuyée contre le mur, je subis avec délice l’assaut de mon bel amant qui n’eut aucune peine à me pénétrer le cul et me prendre debout dans l’entrée de chez lui.
Je me sentais tel un papillon épinglé au mur par sa tige raide.

Il ne fallut pas longtemps avant que je ressente les prémices d’un orgasme dévastateur, la situation y étant sans nul doute la raison, je me mis à soupirer en disant :
- Ohhh, quel fougue, ta bite est grosse et longue, tu me fais jouir.
- Ohhh, oui quel cul accueillant, un petit cul de salope !
Après m’avoir enculé sauvagement debout dans l’entrée de son appartement, il se retira et me conduisit dans sa chambre où il me fit mettre à genoux sur le bord du lit,
Il m’enleva ma mini-jupe et arracha mon string qui atterrit sur la moquette, et cul nu, offerte à ses désirs, il vint m’enfiler sa queue une nouvelle fois dans mon cul, il n’avait pas débandé une seule seconde
- Oh oui chéri ! C’est bon j’adore est prise en levrette. Vas-y salaud ! Encules-moi !
Toujours solidement emmanché en moi il me prit la tête pour la tourner vers lui et m’embrasser à pleine bouche. Je lui rendis son baiser avec fougue, en sentant bien son sexe me posséder encore plus profondément, presque violemment.

En le maintenant bien enfoncé en moi, je me mis à tortiller des fesses et à contracter mes muscles intimes pour resserrer mon anneau anal et masser le plus que je pouvais son pieu de chair qui me clouait.
- Oh ! C’est bon ! Putain qu’elle est bonne, dis-je.
- Tu aimes te faire mettre par une grosse queue, hein tu aimes ça !
Tout en continuant à aller et venir dans mon cul, il se mit à me peloter les seins, puis une main me branla le sexe.
- Tiens, t’aimes ça, hein salope ?
- J’adore !

Sentant que j’allais jouir, mon amant ne se reteint pas et se laissa aller pour éjaculer violemment dans mes entrailles en disant :
- Tu la sens ma grosse queue qui te jute dedans ?
- Oui, je la sens ! Je la sens bien !
Sa première giclée vint frapper le fond de mon intimité, déclenchant mon orgasme, et elle fut suivie de nombreuses autres giclées de sperme qui se répandirent dans mes entrailles en me faisant hurler de plaisir.

Il n’en avait pas terminé avec moi, car il agrippa mes hanches à deux mains pour me pistonner encore et encore, ne débandant pas un seul instant, mon conduit lubrifié par sa jouissance était encore plus doux pour les pénétrations qu’il m’infligeait.
Longtemps il me sodomisa ainsi, le temps s’était arrêté et je n’étais plus qu’un être de plaisir soumis aux volontés d’un amant infatigable.
A cet instant je me suis rappelé que je ne connaissais même pas son prénom… »

J’ai interrompus mon récit car Benoît, trop excité par ce que je lui racontais, avait ouvert son pantalon et avait sorti sa queue bien raide, et s’était mis à se branler avec vigueur.
- Benoît, tu te masturbes ? Ce sont mes souvenirs qui t’excitent ?
- Oh oui ! J’en peux plus ! Il faut faire quelque chose, je ne peux rester ainsi dans cet état.
- Tu as sans doute raison, d’ailleurs moi aussi je me suis excitée en te racontant ces souvenirs…
C’est à cet instant qu’Anastasia est entrée dans la chambre et voyant Benoît se branler, elle dit :
- Tu m’as l’air en pleine forme…
- Alors là, dis Benoît, tu tombes à pic !

A suivre…