Leslie AR13 - histoire érotique

Leslie AR13 - Sophie, les confessions d’une collègue, suite

Le diner se passa comme tous autres diner, sauf que Sophie était bien la seule à remarquer que Cathy n’arrêtait pas de se trémousser sur sa chaise pendant le repas, certainement du fait que sa vulve fraichement épilée se trouvait au contact de l’osier de sa chaise.
Enfin, à la fin du repas, le dessert termine, Sophie dit aux parents de Cathy :
- Excusez-nous, mais avec Cathy nous allons faire une petite balade sur le bord de mer avant de monter nous coucher, l’air est si doux ce soir.
Profitez les filles, jeunesse n’est pas éternelle, dit le père de Cathy.
A demain dit Cathy.
Bonne nuit et surtout soyez sage, pas de bêtises, dit la mère.
Nous sommes des filles sérieuses, dis-je en quittant la table.
Cathy suivit Sophie, sans trop savoir ce qui se dessinait dans la tête de son amie.
Elles se baladèrent un moment, se tenant tendrement par la taille, jusqu’au bout du bord de mer, l’endroit était désert et seule la lumière blafarde des lampadaires éclairait l’endroit, il était temps de faire demi-tour et de rentrer à l’hôtel.
Elles s’arrêtèrent un instant, Cathy appuyée contre le muret séparant la promenade de la plage, Sophie lui faisant face. Sophie se rapprocha de sa compagne et lui roula une pelle d’enfer, les mains posées sur ses fesses, mettant l’émoi dans le corps de Cathy.
Durant cet instant interminable, une des mains de Sophie se perdit dans l’entre-jambes de sa compagne et la fit gémir, puis Sophie lui dit :
- Montre-moi ta chatte !
- Non, s’il te plait, pas ici.
- Et pourquoi pas ici, il n’y a pas âme qui vive.
- Alors, juste pour te faire plaisir, dit Cathy dans un souffle.
Elle prit le bas de sa jupe et la souleva pour la remonter doucement vers son ventre et exposer sa chatte au regard de son amie.
Cathy exposait, pudiquement son corps qui paraissait encore plus féminin après l’épilation. Sophie nota que dans cette position, les petites lèvres de Cathy étaient clairement visibles entre ses grandes lèvres épilées.
- Que tu es désirable, dit Sophie en s’agenouillant devant Cathy.
Et sans lui laisser le temps de réagir elle enfouis sa tête entre ses cuisses pour lécher la vulve de Cathy ainsi exposée. Elle joua de sa langue sur le clitoris de Cathy, le faisant durcir et celle-ci se mit à gémir.
Cathy fut prise de spasmes peu après et jouis de la bouche de son amante.
- Se relevant, Sophie dit :
- A toi maintenant !
Elles échangèrent les places et Cathy fit jouir Sophie de sa bouche, agenouillée devant elle, sa tête entre ses cuisses.
Puis elles rentrèrent à l’hôtel et se couchèrent, après un long baiser, elles s’endormirent.

Cathy ouvrit les yeux vers huit heures et demie, et constata que Sophie, près d’elle dormait encore. Cathy soupira sans bruit en pensant à la soirée qu’elles avaient passée.
C’était certainement la plus folle journée qu’elle ait jamais vécue et en plus pleine d’imprévus.
D’abord, son épilation complète et, pour elle la première fois sa sortie sans porter de culotte sous une jupe, quand même plutôt courte, qui lui avait vraiment procuré une excitation tout à fait particulière
Un frisson lui parcouru le dos, facile et excitant en se laissant simplement aller, dans un danger ou se mêlaient les interdits.
Sentir la langue de Sophie sur sa chatte rasée, et la promenade, la nuit, sur le bord de mer, puis l’endroit où à cette heure il n’y avait personne, s’exhiber à son amie en relevant sa jupe et se faire une nouvelle fois lécher et jouir debout, cela avait été complètement fou, surtout après, quand Sophie lui avait demandé une gâterie.
Cela ne lui avait pas déplu du tout.

Cathy sortit tout doucement du lit et alla dans la salle de bains. Elle passa sous la douche et instinctivement caressa son bas-ventre. Elle constata qu’elle était toujours parfaitement lisse, même sur ses grandes lèvres, et fut heureuse.
Quand elle rentra dans la chambre, Sophie était réveillée et lui sourit :
- Tu es déjà debout ?
- J’ai une de ces faims, aller dépêches-toi, après nous irons à la plage.
- Je te laisse déjeuner toute seule, si tu ne me donnes pas tout de suite le baiser du matin, lui répondit Sophie en plaisantant.
Cathy se jeta sur le lit et se pencha sur son amie pour un très long baiser sur les lèvres. Puis elle alla vers la porte, jeta sa serviette de bains sur son épaule et se retourna vers Sophie.
- Est-ce qu’ainsi tu vas me laisser seule dans ce monde de vicieux ? Demanda Cathy en relevant sa courte robe d’un mouvement fluide et en rougissant un peu.
Le regard de Sophie rencontra le sexe épilé de Cathy qui n’avait pas mis de culotte.
- J’arrive, dit Sophie en rejetant vivement le drap.
Sophie prit rapidement une douche, s’habilla et rejoignit son amie.
Elles déjeunèrent, et c’est un peu plus tard que Sophie dit :
Je vais juste chercher mon sac dans la chambre et ensuite nous pouvons aller à la plage, d’accord ?
- Je t’attends, dit Cathy.
- Sophie, étonné demanda à Cathy :
- Tu ne vas pas chercher ton maillot ?
- Cathy s’approcha d’elle et lui dit tout bas :
- J’ai ma serviette et je n’ai besoin de rien d’autre.
- Ohhh, ma chérie que dois-je comprendre que…
- Que je vais montrer ma chatte imberbe à tous ceux qui veulent bien la regarder.
Sophie disparut et revint avec son sac de plage, puis elles partirent en se tenant par la main.

Elles partirent pour la plage et quand elles eurent traversé la petite pinède surmontant la plage, elles découvrirent la plage où le nudisme était toléré.
C’est Cathy qui cette fois se rapprocha de Sophie, ensuite, elle lui passa les bras autour du cou et l’embrassa sur la bouche, en disant :
- Je me sens si bien !
Elles allèrent aux environs de l’endroit qu’elles avaient occupé la veille et déplièrent leurs serviettes. Cinq mètres à leur droite se trouvait déjà un jeune couple.


- Tu es un amour Cathy, dit Sophie en souriant. Nous allons avoir encore beaucoup de plaisir ensemble. Maintenant, détendons-nous un peu, viens, allonge-toi aussi.
Cathy s’agenouilla sur sa serviette :
- Ah, Sophie, je crois que je ne sais plus où j’en suis, dit-elle.
Avant de fermer les yeux et de se plonger bientôt dans la chaleur du soleil et dans un état de torpeur semi éveillé. Peu de temps après Sophie lui dit :
- Viens, Cathy, allons dans l’eau.
Cathy tirée brutalement de ses rêveries regarda Sophie, elle se redressa et embrassa sa compagne sur la bouche, en disant :
- Va je te rejoins !

A suivre…