Leslie AR20 - histoire érotique

Leslie AR20 - Les confessions d’Hélène

Vous souvenez peut-être de mon aventure avec Hélène, la tante de Laure, qui m’avait
parlé de sa vie avant d’être veuve de son mari.
Je me souviens de ses confidences qui à l’époque m’avait quelque peu émoustillée, je
vais vous les faire partager.

Hélène, est une veuve d’une cinquantaine d’années, elle est encore belle femme pour
son âge et profite maintenant de la vie…

« Mon époux, Roger était du genre plutôt cool, tolérant et assez ouvert d’esprit. Nous
nous sommes connus quand j’avais vingt ans, nous nous sommes fréquentés quelques
semaines et nous nous sommes mariés.
J’avais vingt et un an le jour de notre mariage et nous avons vécus vingt ans ensemble
avant qu’il ne disparaisse emporté par une crise cardiaque, c’est ainsi que je fus
veuve à quarante et un ans.
Il aimait que je m’habille plutôt sexy et me disait souvent qu’il appréciait que
j’attire le regard des hommes sur moi.
J’avais eu des expériences sexuelles avec des hommes avant de connaître mon homme.
Cependant, c’est lui qui m’a fait découvrir le sexe pour le sexe et c’est avec lui que
je suis devenue avide de sexe. Avant lui, c’était plutôt du traditionnel, des baisers,
quelques brefs préliminaires, pénétration traditionnelle dans la position du
missionnaire, avec une jouissance de temps en temps.
Avec Roger, tout a changé, dès le début il a fait preuve d’une douceur que je ne
connaissais pas, il était toujours à l’écoute de mes attentes. C’est le premier qui
m’a fait un cunnilingus, j’ai découvert à cette occasion que j’étais aussi bien
clitoridienne que vaginale. C’est lui aussi qui m’a initiée à la sodomie et qui m’a
appris à apprécier ce genre de rapport.
Il m’a incitée à me présenter sous mes meilleures apparences, à n’avoir pas peur de me
montrer et même à être fière de mon corps et des effets que je fais aux hommes. En
résumé, il a toujours aimé que je montre mes charmes, je dirais même que c’est lui qui
m’a entraînée sur la voie de l’exhibition, même si je devais avoir au fond de moi une
prédisposition pour ce genre de chose.

Nous sommes devenus naturistes en compagnie de mon époux, et j’ai expérimenté le sans
culotte avec lui. Puis, une chose entraînant l’autre, le regard des hommes m’a fait
découvrir le plaisir de m’exhiber. Ensuite, toujours encouragée par mon chéri, j’ai
évolué vers le libertinage.
Certains diront de moi que je suis une femme facile, une salope même, mais cependant
même si je suis femme libérée et libertine, j’aimais profondément Roger, et lui aussi
m’aimait et me le démontrait régulièrement.
Mes souvenirs me reviennent régulièrement et me rendent un peu nostalgique de cette
époque.

Deux semaines après notre mariage nous sommes partis, en couple, pour la première fois
en vacances, ce fut à ce moment-là que Roger m’a fait faire des découvertes et
d’expériences sexuelles nouvelles pour moi.
Bien que pendant ces deux semaines il avait fait des choses un peu nouvelles pour moi,
dans la tendresse et l’attention en prenant soin de moi, mais de façon très classique,
c’est durant ces vacances que je me suis libérée…
Le premier matin dans notre chambre d’hôtel, à peine réveillée, il a commencé à me
caresser, je dois dire qu’au réveil je suis très réceptive, aussi dès qu’il a mis ses
mains sur ma poitrine, mes bouts de seins se sont érigés.
Roger a relevé ma nuisette et a commencé à m’embrasser les seins, puis il à poser des
baisers dans mon cou et sur mes oreilles. Me faisant frémir. Puis il est redescendu
assez vite vers ma poitrine, puis mon nombril et, sans s’arrêter, il a continué son
avancée vers mon pubis.
A cette époque je le taillais courts afin de laisser les lèvres de mon sexe
découvertes, j’adorais cette vision quelque peu impudique de moi ainsi, lorsque je me
regardais dans la glace.
Il a déposé des baisers sur mon mont de Vénus, délicatement, puis il a écarté mes
cuisses, embrassant l’intérieur à la limite de mon intimité. Ses baisers m’ont mise
dans un agréable état d’excitation, et il a continué sa progression et, d’un coup,
j’ai senti sa bouche se poser sur mes lèvres intimes.
C’était la première fois de ma vie qu’un homme me faisait un cunnilingus.
Cette première, inconnue pour moi, a vraiment été une découverte, surtout que Roger,
lentement a été plus loin dans cette caresse, sa langue s’est insinuée doucement dans
mon intimité, puis elle a trouvé mon bouton d’amour. Il l’a titillé, sucé, aspiré,
léché, un vrai bonheur.
Cette caresse nouvelle m’emportait vrai des mondes encore inconnus pour moi, tout mon
corps vibrait et je me laissais emporter par les caresses de mon homme-amant.
Il alternait ses caresses sur mon clito et les pénétrations de sa langue en moi, comme
un petit membre viril sa langue dardée me pénétrait.
Ce contact, nouveau, a fait monter mon plaisir jusqu’au point de non-retour, et j’ai
joui longuement en appuyant la tête de mon homme sur mon bas-ventre, et j’ai été
emporté par cette jouissance si différente de celle lorsque je suis pénétrée
simplement.
Mais Roger ne m’a pas laissé le temps de me reprendre, il est remonté le long de mon
corps et m’a pénétrée d’un seul trait, son membre que j’ai trouvé, à cet instant
particulièrement dur, n’a trouvé aucune résistance tant j’étais humide.
Ses allers et retours lents et puissants dans mon sexe m’ont emmené au septième ciel
et quand je l’ai senti éjaculer en moi, mon plaisir a atteint son apogée.
Je n’avais jamais joui deux fois de suite à un intervalle aussi court, une vraie
découverte dans les bras de mon homme, les larmes me montaient aux yeux tellement ma
jouissance avait été forte, cette pratique est devenue ensuite courante et parfois
c’est moi qui lui réclamait cette caresse intime.

Durant ces vacances, Roger m’a fait découvrir d’autres façons de me faire l’amour.
Plus âgé de quatre ans que moi, il était certainement plus expérimenté et un matin où
il m’avait déjà fait jouir, après un merveilleux cunnilingus, il m’a demandé de me
mettre à quatre pattes sur le lit, en disant :
- Tu vas voir, dans cette position, tu vas me sentir te pénétrer d’une manière
totalement différente.
Bien que j’ai trouvé la position un peu bestiale, j’ai accédé à son désir, désireuse
de lui faire plaisir et expérimenter de nouvelles façons de faire l’amour.
Je me suis mise dans la position désirée, mes belles fesses exposées à son regard
plein de désir. Il s’installa derrière moi. J’ai perçu sa bite se poser à l’entrée de
ma chatte, puis son sexe est entrée en moi, centimètre par centimètre, avec douceur et
vigueur. Son avancée dans mon corps s’est prolongée jusqu’à ce que je sente son pubis
contre mes fesses. Il était entièrement en moi. J’avais l’impression d’être remplie
comme jamais je ne l’avais été.
Ensuite ses mains sont venues se poser sur mes hanches, puis il a reculé pour sortir
son membre de mon corps et, aussitôt, il a replongé lentement en moi. Il a renouvelé
ce mouvement plusieurs fois avant de commencer à accélérer le rythme. Cette possession
intégrale de mon sexe, nouvelle pour moi, m’a mise très vite dans un état second. Plus
il accélérait, plus j’avais l’impression que son membre grossissait et plus je mon
corps ressentait un plaisir qui montait dans mes reins.
Longtemps il s’est agité en moi, en tout cas j’ai senti l’orgasme monter et déferler
en moi comme une immense vague m’envahissant, mon vagin s’est contracté autour de son
sexe et la jouissance m’a laissée sans voix et anéantie de plaisir.
Roger m’a entraînée sur le côté, tout en restant en moi, pour me permettre de
récupérer lentement, et le sentir vibrer dans mon conduit d’amour. »

A suivre…