Leslie AR21
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR21
Leslie AR21 - Les confessions d’Hélène, suite
Etant au bord de la mer, chaque jour, nous marchions un peu sur la plage, c’est comme
ça que nous avons découverts une plage naturiste.
Tous les plaisanciers étaient nus et Roger m’a dit :
- Une nouvelle expérience à faire !
Je m’étais déjà baignée nue, dans des coins isolés ou dans les traditionnels bains de
minuit de mon adolescence, mais jamais je ne mise nue sur une plage, offerte aux
regards des autres. Même si cela ne me dérangeait pas, outre mesure, le faire en plein
jour sur une plage était une nouveauté, mais peut-être que Roger aimerait bien que
d’autres hommes me regardent.
Roger a enlevé son maillot, sans problème, exhibant son sexe aux yeux de toute la
plage, il faut dire que gauler comme il l’était, il pouvait susciter des jalousies et
des envies, puis s’était rassis sur la serviette en me disant :
- Allez, enlève ton maillot.
J’ai enlevé le haut, puis le bas en restant assise sur ma serviette, comme par pudeur
ou timidité, je ne saurais le dire, alors que je savais que si je voulais aller me
baigner, il faudrait bien que je me lève et me monter dans ma nudité intégrale.
Et pour la première fois, je me suis retrouvée nue sur une plage aux regards de tous.
Un peu plus tard, Roger m’a proposé d’aller nous baigner. Il s’est levé et m’a tendu
la main pour m’aider. Nous sommes partis main dans la main montrant pour la première
fois nos nudités, et surtout mon joli petit cul.
J’ai mis quelques minutes à entrer dans l’eau, Roger a plongé tout de suite et
quelques minutes plus tard, il me demandait :
- Alors, qu’est-ce que ça te fait de te baigner toute nue ?
- C’est très agréable. Tu sais, je l’ai déjà fait, mais de nuit.
- Oui, comme beaucoup de monde, je pense, mais aujourd’hui c’est de jour et donc
différent, surtout que tu as été regardé.
- Ça ne me dérange pas, car je suis avec toi, en plus tu dois aimer qu’on
m’observe.
- Parfaitement, car tu es très désirable, et ça me plait bien que les autres te
regardent avec envie.
Nous avons nagé et sauté dans les vagues, j’ai apprécié d’être nue dans l’eau, et
quand nous sommes remontés vers nos affaires, j’ai remarqué que l’on nous regardait,
et en fait j’en ai éprouvé un certain plaisir.
Nous avons fini nos vacances en allant toujours sur cette même plage pour nous baigner
nus.
J’ai découvert que le fait de se promener dans le plus simple appareil et de se
baigner nue était vraiment très agréable.
Avec Roger, nus tous les deux, nous avons souvent marché le long de la plage, comme
pour que je m’habitue à être nue et dévoilée aux regards inconnus.
Lors de nos ballades au bord de l’eau, nous avons souvent rencontré des gens qui
longeaient la plage, et les messieurs ne se privaient pas de lorgner discrètement sur
mon anatomie exposée à leurs regards, et je sentais Roger heureux et cela me
remplissait de bonheur.
Au retour des vacances, l’année qui suivit, la première année de notre mariage, fut
remplie de nouvelles expériences sexuelles avec Roger, fous amoureux l’un de l’autre,
chaque instant était prétexte à faire l’amour.
Ainsi nous avons fait l’amour dans des endroits insolites, dans des halls d’immeubles,
comme dans des endroits isolés lors de nos ballades dans la campagne et chaque fois
j’ai eu un plaisir fou, Roger était tendre et attentionné, mais ne manquant aucune
occasion de réveiller mon appétit sexuel qui grandissait jour après jour.
Il m’a ainsi appris à le sucer et aussi à prendre du plaisir à avaler sa jouissance.
Chaque fois que l’occasion s’y prêtait il me doigtait de ses mains habiles me mettant
dans des états incroyables, c’est ainsi que je me suis mise à sortir sans culotte afin
que sa tâche lui soit aisée. J’avais depuis longtemps abandonné le port du soutien-
gorge, ma petite poitrine peu volumineuse me le permettant.
A la maison, au début de l’automne lors de nos ébats, pendant les préliminaires ou
lorsqu’il me faisait l’amour, je sentais un doigt venir me caresser mon anus, une
nouvelle caresse qu’aucun homme ne m’avait prodiguée. Bien que je ressente du plaisir
à cette caresse intime, mon corps se contractait et Roger n’insistait pas.
Un soir d’hiver alors que nous rentrions d’une soirée chez des amis, naturistes et
échangistes, où la conversation avait été chaude et tournant surtout autour du sexe,
je me sentais particulièrement excitée et prête à me laisser aller dans les bras de
mon homme aux pires folies sexuelles.
Aussitôt installés dans la voiture, Roger, délicatement, releva ma jupe sur le haut de
mes cuisses dévoilant le bas de mon corps. De sa main droite il commença à me caresser
me faisant gémir, j’ai reculé au maximum le siège et basculé le dossier en arrière
pour mieux m’offrir à la caresse de mon homme et j’ai écarté les cuisses au maximum.
Je me trouvais allongée, la robe remontée haut sur mon ventre, indécemment offerte aux
regards des passants et à la main de mon homme. Très rapidement il a trouvé mon
clitoris qu’il a agacé du bout du doigt, me faisant feuler de plaisir, puis il m’a
doigté tout en continuant de jouer avec mon bouton d’amour, lorsque j’ai jouis je me
suis arquée soulevant mon corps du siège, c’est le moment que Roger à choisit pour
envelopper mon pubis du plat de la main et poser son majeur sur mon anneau intime.
Lorsque je suis redescendue son doigt s’est enfoncé en moi me faisant tressaillir de
stupeur et de surprise, en poussant un :
- Ohhh !
Il a enfoncé doucement son doigt en moi sans que je refuse cette pénétration si
nouvelle et si intime, et me doigtant l’œillet il m’a emmené vers de nouveaux plaisirs
inconnus jusqu'à lors.
En arrivant à la maison j’étais dans un état second, le sexe trempé par mon propre
plaisir et l’anus entrouvert palpitant des caresses précédentes.
Roger derrière moi m’a attrapé dans le salon et m’a basculé le corps contre le canapé.
J’étais pliée en deux le ventre contre le dossier, la tête en bas vers l’assise du
canapé, le corps cambré aux désirs de mon homme…
Il a relevé ma robe sur mes reins dévoilant mes fesses nues et m’a écartées les jambes
en se positionnant derrière moi, et tout en se défaisant il m’a chuchoté à l’oreille :
- Ne t’inquiètes pas, je vais être doux mais surtout ne te crispe pas…
J’ai senti son sexe dur dans mon sillon, puis son gland jouant à l’entrée de ma
chatte, caressant mes lèvres du bout et s’enduisant de ma liqueur de plaisir.
J’ai compris que j’allais vivre ma première sodomie et la peur m’envahit, comment le
sexe de mon homme allait pouvoir entrer dans mon conduit intime si serré et encore
inviolé, son sexe large et épais n’avait rien à voir avec son doigt, j’ai soupiré en
disant :
- Non, chéri tu es bien trop gros !
Je le sentais excité dans mon dos et certainement le peur ou son excitation m’ont fait
penser qu’il était encore plus gros que d’habitude, mis son gland se posa sur ma
rosette et il me dit :
- Chérie, laisses-toi aller et ne te contracte pas, tu vas voir je vais être
doux.
Je savais qu’il serait doux, comme toujours, mais cela ne me rassurait pas, mais il
commençait déjà à pousser son sexe en moi et ma rondelle s’élargissait sous la
poussée.
J’avais envie de lui faire plaisir et de me donner complètement à l’homme que
j’aimais, j’allais être enculée comme une chienne à la hussarde, alors je me suis
détendue en pensant que le plaisir viendrait peut-être après la douleur, et son gland
à passer mon muscle anal.
La douleur vrillait mes reins et je me sentais distendue par cette pénétration, puis
la douleur s’est estompée et il s’est enfoncé lentement en moi me faisant hurler.
Ma première sodomie ne m’a apporté que le plaisir de lui donner le sien, lorsqu’il a
jouit au fond de mes entrailles un certain bonheur m’a comblée, mais lorsqu’il s’est
retiré mon anus était douloureux.
- Ma chérie, me dit-il, je t’aime.
- Moi aussi, je t’aime, lui dis-je.
Il m’a emmené dans notre chambre, et m’a couché, sur le ventre, nue sur le lit, puis
il est venu au-dessus de moi et m’a écarté les fesses, dévoilant à ses yeux mon anus
encore entrouvert et douloureux, puis il a plongé sa tête entre mes fesses pour me
prodiguer une caresse de sa langue sur ma rondelle endolorie.
Le contact de sa langue sur mon anneau m’a fait frémir, il s’est mis à me lécher le
pourtour en n’oubliant aucun recoin, sa langue apaisait la douleur et de petits
fourmillements envahir mon anus se propageant jusqu’à mon clitoris. Bientôt un sourd
plaisir me remplit le bas ventre et la chaleur se propagea dans tout mon être, me
faisant couiner de plaisir.
Quand sa langue est entrée dans mon petit trou, j’ai hurlée de bonheur et à cet
instant j’ai compris que j’allais éprouver du plaisir dans cette pratique, je sentais
que j’allais devenir accroc à sodomie, et le bonheur mêlé au plaisir m’emportèrent.
Avec Roger, par la suite, la sodomie est devenue une pratique incontournable de nos
ébats, plus tard Roger m’acheta des bijoux intimes que je portais régulièrement.
A suivre…
Etant au bord de la mer, chaque jour, nous marchions un peu sur la plage, c’est comme
ça que nous avons découverts une plage naturiste.
Tous les plaisanciers étaient nus et Roger m’a dit :
- Une nouvelle expérience à faire !
Je m’étais déjà baignée nue, dans des coins isolés ou dans les traditionnels bains de
minuit de mon adolescence, mais jamais je ne mise nue sur une plage, offerte aux
regards des autres. Même si cela ne me dérangeait pas, outre mesure, le faire en plein
jour sur une plage était une nouveauté, mais peut-être que Roger aimerait bien que
d’autres hommes me regardent.
Roger a enlevé son maillot, sans problème, exhibant son sexe aux yeux de toute la
plage, il faut dire que gauler comme il l’était, il pouvait susciter des jalousies et
des envies, puis s’était rassis sur la serviette en me disant :
- Allez, enlève ton maillot.
J’ai enlevé le haut, puis le bas en restant assise sur ma serviette, comme par pudeur
ou timidité, je ne saurais le dire, alors que je savais que si je voulais aller me
baigner, il faudrait bien que je me lève et me monter dans ma nudité intégrale.
Et pour la première fois, je me suis retrouvée nue sur une plage aux regards de tous.
Un peu plus tard, Roger m’a proposé d’aller nous baigner. Il s’est levé et m’a tendu
la main pour m’aider. Nous sommes partis main dans la main montrant pour la première
fois nos nudités, et surtout mon joli petit cul.
J’ai mis quelques minutes à entrer dans l’eau, Roger a plongé tout de suite et
quelques minutes plus tard, il me demandait :
- Alors, qu’est-ce que ça te fait de te baigner toute nue ?
- C’est très agréable. Tu sais, je l’ai déjà fait, mais de nuit.
- Oui, comme beaucoup de monde, je pense, mais aujourd’hui c’est de jour et donc
différent, surtout que tu as été regardé.
- Ça ne me dérange pas, car je suis avec toi, en plus tu dois aimer qu’on
m’observe.
- Parfaitement, car tu es très désirable, et ça me plait bien que les autres te
regardent avec envie.
Nous avons nagé et sauté dans les vagues, j’ai apprécié d’être nue dans l’eau, et
quand nous sommes remontés vers nos affaires, j’ai remarqué que l’on nous regardait,
et en fait j’en ai éprouvé un certain plaisir.
Nous avons fini nos vacances en allant toujours sur cette même plage pour nous baigner
nus.
J’ai découvert que le fait de se promener dans le plus simple appareil et de se
baigner nue était vraiment très agréable.
Avec Roger, nus tous les deux, nous avons souvent marché le long de la plage, comme
pour que je m’habitue à être nue et dévoilée aux regards inconnus.
Lors de nos ballades au bord de l’eau, nous avons souvent rencontré des gens qui
longeaient la plage, et les messieurs ne se privaient pas de lorgner discrètement sur
mon anatomie exposée à leurs regards, et je sentais Roger heureux et cela me
remplissait de bonheur.
Au retour des vacances, l’année qui suivit, la première année de notre mariage, fut
remplie de nouvelles expériences sexuelles avec Roger, fous amoureux l’un de l’autre,
chaque instant était prétexte à faire l’amour.
Ainsi nous avons fait l’amour dans des endroits insolites, dans des halls d’immeubles,
comme dans des endroits isolés lors de nos ballades dans la campagne et chaque fois
j’ai eu un plaisir fou, Roger était tendre et attentionné, mais ne manquant aucune
occasion de réveiller mon appétit sexuel qui grandissait jour après jour.
Il m’a ainsi appris à le sucer et aussi à prendre du plaisir à avaler sa jouissance.
Chaque fois que l’occasion s’y prêtait il me doigtait de ses mains habiles me mettant
dans des états incroyables, c’est ainsi que je me suis mise à sortir sans culotte afin
que sa tâche lui soit aisée. J’avais depuis longtemps abandonné le port du soutien-
gorge, ma petite poitrine peu volumineuse me le permettant.
A la maison, au début de l’automne lors de nos ébats, pendant les préliminaires ou
lorsqu’il me faisait l’amour, je sentais un doigt venir me caresser mon anus, une
nouvelle caresse qu’aucun homme ne m’avait prodiguée. Bien que je ressente du plaisir
à cette caresse intime, mon corps se contractait et Roger n’insistait pas.
Un soir d’hiver alors que nous rentrions d’une soirée chez des amis, naturistes et
échangistes, où la conversation avait été chaude et tournant surtout autour du sexe,
je me sentais particulièrement excitée et prête à me laisser aller dans les bras de
mon homme aux pires folies sexuelles.
Aussitôt installés dans la voiture, Roger, délicatement, releva ma jupe sur le haut de
mes cuisses dévoilant le bas de mon corps. De sa main droite il commença à me caresser
me faisant gémir, j’ai reculé au maximum le siège et basculé le dossier en arrière
pour mieux m’offrir à la caresse de mon homme et j’ai écarté les cuisses au maximum.
Je me trouvais allongée, la robe remontée haut sur mon ventre, indécemment offerte aux
regards des passants et à la main de mon homme. Très rapidement il a trouvé mon
clitoris qu’il a agacé du bout du doigt, me faisant feuler de plaisir, puis il m’a
doigté tout en continuant de jouer avec mon bouton d’amour, lorsque j’ai jouis je me
suis arquée soulevant mon corps du siège, c’est le moment que Roger à choisit pour
envelopper mon pubis du plat de la main et poser son majeur sur mon anneau intime.
Lorsque je suis redescendue son doigt s’est enfoncé en moi me faisant tressaillir de
stupeur et de surprise, en poussant un :
- Ohhh !
Il a enfoncé doucement son doigt en moi sans que je refuse cette pénétration si
nouvelle et si intime, et me doigtant l’œillet il m’a emmené vers de nouveaux plaisirs
inconnus jusqu'à lors.
En arrivant à la maison j’étais dans un état second, le sexe trempé par mon propre
plaisir et l’anus entrouvert palpitant des caresses précédentes.
Roger derrière moi m’a attrapé dans le salon et m’a basculé le corps contre le canapé.
J’étais pliée en deux le ventre contre le dossier, la tête en bas vers l’assise du
canapé, le corps cambré aux désirs de mon homme…
Il a relevé ma robe sur mes reins dévoilant mes fesses nues et m’a écartées les jambes
en se positionnant derrière moi, et tout en se défaisant il m’a chuchoté à l’oreille :
- Ne t’inquiètes pas, je vais être doux mais surtout ne te crispe pas…
J’ai senti son sexe dur dans mon sillon, puis son gland jouant à l’entrée de ma
chatte, caressant mes lèvres du bout et s’enduisant de ma liqueur de plaisir.
J’ai compris que j’allais vivre ma première sodomie et la peur m’envahit, comment le
sexe de mon homme allait pouvoir entrer dans mon conduit intime si serré et encore
inviolé, son sexe large et épais n’avait rien à voir avec son doigt, j’ai soupiré en
disant :
- Non, chéri tu es bien trop gros !
Je le sentais excité dans mon dos et certainement le peur ou son excitation m’ont fait
penser qu’il était encore plus gros que d’habitude, mis son gland se posa sur ma
rosette et il me dit :
- Chérie, laisses-toi aller et ne te contracte pas, tu vas voir je vais être
doux.
Je savais qu’il serait doux, comme toujours, mais cela ne me rassurait pas, mais il
commençait déjà à pousser son sexe en moi et ma rondelle s’élargissait sous la
poussée.
J’avais envie de lui faire plaisir et de me donner complètement à l’homme que
j’aimais, j’allais être enculée comme une chienne à la hussarde, alors je me suis
détendue en pensant que le plaisir viendrait peut-être après la douleur, et son gland
à passer mon muscle anal.
La douleur vrillait mes reins et je me sentais distendue par cette pénétration, puis
la douleur s’est estompée et il s’est enfoncé lentement en moi me faisant hurler.
Ma première sodomie ne m’a apporté que le plaisir de lui donner le sien, lorsqu’il a
jouit au fond de mes entrailles un certain bonheur m’a comblée, mais lorsqu’il s’est
retiré mon anus était douloureux.
- Ma chérie, me dit-il, je t’aime.
- Moi aussi, je t’aime, lui dis-je.
Il m’a emmené dans notre chambre, et m’a couché, sur le ventre, nue sur le lit, puis
il est venu au-dessus de moi et m’a écarté les fesses, dévoilant à ses yeux mon anus
encore entrouvert et douloureux, puis il a plongé sa tête entre mes fesses pour me
prodiguer une caresse de sa langue sur ma rondelle endolorie.
Le contact de sa langue sur mon anneau m’a fait frémir, il s’est mis à me lécher le
pourtour en n’oubliant aucun recoin, sa langue apaisait la douleur et de petits
fourmillements envahir mon anus se propageant jusqu’à mon clitoris. Bientôt un sourd
plaisir me remplit le bas ventre et la chaleur se propagea dans tout mon être, me
faisant couiner de plaisir.
Quand sa langue est entrée dans mon petit trou, j’ai hurlée de bonheur et à cet
instant j’ai compris que j’allais éprouver du plaisir dans cette pratique, je sentais
que j’allais devenir accroc à sodomie, et le bonheur mêlé au plaisir m’emportèrent.
Avec Roger, par la suite, la sodomie est devenue une pratique incontournable de nos
ébats, plus tard Roger m’acheta des bijoux intimes que je portais régulièrement.
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