Leslie AR26
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AR26
Leslie AR26 – Benoît et Passy, un couple d’amis
Je vis depuis plusieurs années avec Laure, nous sommes un couple un peu spécial dans
le fait que je sois une transexuelle, et Laure, comme moi est bisexuelle.
Ses rencontres et ses aventure avec les femmes et les hommes sont nombreuses, comme
nous sommes libres l’une envers l’autre, il n’y a aucune jalousie.
Nous avons, donc, des relations ensemble ou séparément, et parfois nous pratiquons
l’échangisme.
Bien qu’en principe inséparables, et amoureuses l’une de l’autre, nous vivons une
entente sexuelle parfaite quand nous sommes ensembles et, avec Laure, ils nous
arrivent parfois de nous raconter nos aventures.
Alors que depuis quelques temps j’avais un contact avec un homme sur internet et que
nous échangions au fil de nos conversations sur nos humeurs et sur nos désirs, et
surtout celui de me rencontrer un jour, c’est tout que tout naturellement Laure me
proposa de concrétiser et de ne pas rester sur un contact virtuel qui de toutes façons
se terminerait un jour ou l’autre.
Le temps n’arrange pas les désirs et c’est souvent que lassé par l’attente on laisse
tomber en pensant que ce n’est pas utile d’insister…
Au fil de nos échanges, j’ai appris que Benoît, était un homme en couple avec une
femme métisse et qu’ils pratiquaient l’échangisme. Nous avions bien sur échangé des
photos et il est vrai que nous plaisions réciproquement.
Ils avaient l’air patient et heureux d’échanger avec nous, et petit à petit la
confiance s’est installée entre nous, permettant d’aller plus loin, c’est comme cela
d’ailleurs que nos échanges et nos conversations sont devenues de plus en plus
intimes.
Après plusieurs semaines nous nous connaissions comme si cela était depuis toujours et
plus rien ne nous empêchaient de nous retrouver, comme nous le désirions.
A cette époque, ayant un gros projet sur Montpellier, avec Laure, nous nous étions
installées dans la région. Le seul problème de la rencontre était l’éloignement,
Benoit et Passy habitant en champagne nous devions avec Laure nous rendre libre au
moins pour un week-end.
Ayant posé un jour de congé, nous nous sommes rendues libres pour une longue fin de
semaine.
D’après les photos échangées, Benoît est un homme d’une quarantaine d’années, le mètre
quatre-vingt, brun aux yeux verts, une légère calvitie naissante sur un corps d’un
homme de son âge.
Passy elle est une jeune femme métisse de vingt-neuf ans, jolie comme un cœur, et
apparemment d’humeur toujours enjouée comme les filles du soleil, brune aux yeux
marrons, elle arrange ses chevaux longs et décolorés, arrangés en fines tresses, lui
donne un petit air mutin, voir coquin. Le mètre soixante-dix, un corps sensuel appel à
la douceur et aux caresses.
Benoît et Passy étaient heureux d’apprendre que nous pouvions venir les retrouvés dans
leur région, mais Laure, toujours inventive a concocté une petite mise en scène pour
nous retrouver.
Ainsi, nous avons proposé à notre couple d’amis un petit scénario.
Nous allions venir en voiture et nous allions nous retrouver pour le diner du vendredi
soir, dans un restaurant de cuisine traditionnelle, chez Max, et ainsi en dinant nous
pourrions faire plus ample connaissance, de visu, le tâtu serait pour plus tard…
Puis nous irions dans un club échangistes, à Moulins dans l’Aisne à soixante-dix
kilomètres d’Epernay, le Must, mais ferions comme si nous nous ne nous connaissions
pas, nous irions chacun de notre côté et nous allions rentrer séparément, puis ensuite
à l’intérieur s’aborder comme deux couples attirés l’un vers l’autre désirant passés
un moment ensemble, cela pourrait amener de l’intérêt à notre rencontre et à la
soirée.
Bien-sûr nos amis furent enchantés de la proposition de Laure, nous devions, donc nous
retrouver pour huit heures au restaurant. Nous étions le mardi et Laure exigea de ne
plus se contacter d’ici le vendredi soir afin de faire monter l’envie et le désir.
Le restant de la semaine fut éprouvant, par l’attente…
Le vendredi, au petit matin, nous nous sommes préparées, habillement sexy comme deux
bombasses, afin de plaire à nos amis et de les mettre dans tous leurs états d’entrée
de jeux, un petit baise en ville préparé avec plein de dessous excitants et nos
accessoires intimes dans la trousse adéquate, puis un petit déjeuner sur le pouce et
nous voilà parties.
Sept heures de route et sept-cent cinquante kilomètre à s’envoyer nous n’avions pas de
temps à perdre, excitées comme des puces nous sommes parties pour une fin de semaine
qui s’annonçait bien remplie, certainement qu’elle ne serait pas la seule d’ailleurs,
à être bien remplie…
En ce début d’été, il faisait beau, dans nos petits tops moulants qui laissaient
devinés nos formes, sans soutien-gorge évidement, et avec nos petites mini-jupes, nous
étions canons. Les mini-jupes largement retroussées sur nos cuisses laissaient
devinées le fond de nos petits strings, la musique douce et langoureuse que diffusait
l’autoradio nous berçait doucement, étant au volant je me devais d’être attentive,
mais Lure ne t’attarda pas à s’assoupir, et sans le vouloir elle glissa lentement sur
son siège et en s’enfonçant un peu plus dedans fit relevé sa mini-jupe bien plus haut
que la décence ne pouvait me le faire supporter.
Laure somnolait dans son siège, le bas pratiquement dévoilé à mes yeux, je pouvais
voir les lèvres de mon amante déformé le string tendu qui ne cachait presque rien, peu
de temps après Laure soupira en se trémoussant sur son siège faisant rentrer le string
à l’intérieur de ses lèvres intimes.
Je n’en pouvais plus de cette vision, l’indécence de Laure, offerte sans pudeur me
mettait dans tous mes états, j’ai déposé ma main sur son sexe brulant et l’a fit
frémir, Puis la caressant plus intimement elle soupira en ouvrant les yeux et dit :
- Alors toi, tu ne peux t’empêcher de profiter d’un instant d’abandon pour
profiter de me moi !
- Tu es si belle abandonnée, lui dis-je.
- Attends tu vas voir, je vais m’occuper de toi !
Et se rapprochant de moi elle mit sa main sur mon string pour me caresser le sexe de
la paume de sa main, constatant mon état elle me dit :
- Mais tu bande ma petite cochonne !
Elle prit le bord de mon string pour dégager mon sexe qui se dressa à ses yeux, elle
le prit en main et commença à me branler doucement, puis je glissais sur mon siège
pour m’offrir un peu plus et se penchant au-dessus de moi, Laure me prit en bouche.
Elle me suça jusqu'à me faire jouir dans sa gorge et me but, puis se relevant elle me
dit :
- J’ai une soif d’enfer, on s’arrête à la prochaine station.
Le regard lubrique que me jeta Laure me disait que ce n’était pas que pour étancher sa
soif qu’elle voulait que l’on s’arrête, la suite me prouva que mon intuition était
bonne.
Ce ne fut pas vraiment une pause détente que nous fîmes dans la station, en effet
Laure m’entraina aux toilettes et m’enferma avec elle dans une cabine. Après avoir
retiré son string elle me demanda de la prendre, et offerte les mains appuyées contre
le carrelage je lui ai fait l’amour comme une sauvage.
Nous sommes retournées dans la voiture, Laure le cul nu sans son string, qu’elle
s’était enfournée dans la bouche afin d’étouffer ses cris. Dans la voiture elle me
demanda de retirer le mien afin d’être comme elle pour le reste du voyage.
- Nous en mettrons un autre avant d’arriver, me dit-elle.
Le reste du voyage se passa normalement, bien que Laure as profité de chaque occasion
pour m’exhiber son sexe glabre et profitant d’être nue pour se caresser sans vergogne.
Nous avons déjeuné à l’Autogrill de l’air de Langres Noidant sur l’autoroute A31,
ayant pour quelque peu oublier de remettre un string, c’est aux regards portés sur
nous, que nous nous sommes aperçues de cet oubli, en sortant de nombreux regards
perdus dans le vide mais non moins attentifs nous ont observés.
Nous sommes arrivés un peu avant dix-huit heures après avoir fait une dernière pause
histoire de nous rhabiller, et remettre de l’ordre dans nos tenues, puis un petit coup
de maquillage et nous étions prêtes pour rencontrer nos amis.
Nous avons trouvé sans problème et nous nous sommes garées sur le parking du Leader
Price juste en face le restaurant, puis avant d’aller au restaurant nous avons flâné
en ville.
Après être passées sur un pont nous sommes entrées dans le centre-ville et avons
trainé un moment dans le quartier, puis, sur le chemin du retour, nous avons bu une
coupe de champagne au bar Le royal.
A huit heures piles nous entrions dans le restaurant.
A suivre…
Je vis depuis plusieurs années avec Laure, nous sommes un couple un peu spécial dans
le fait que je sois une transexuelle, et Laure, comme moi est bisexuelle.
Ses rencontres et ses aventure avec les femmes et les hommes sont nombreuses, comme
nous sommes libres l’une envers l’autre, il n’y a aucune jalousie.
Nous avons, donc, des relations ensemble ou séparément, et parfois nous pratiquons
l’échangisme.
Bien qu’en principe inséparables, et amoureuses l’une de l’autre, nous vivons une
entente sexuelle parfaite quand nous sommes ensembles et, avec Laure, ils nous
arrivent parfois de nous raconter nos aventures.
Alors que depuis quelques temps j’avais un contact avec un homme sur internet et que
nous échangions au fil de nos conversations sur nos humeurs et sur nos désirs, et
surtout celui de me rencontrer un jour, c’est tout que tout naturellement Laure me
proposa de concrétiser et de ne pas rester sur un contact virtuel qui de toutes façons
se terminerait un jour ou l’autre.
Le temps n’arrange pas les désirs et c’est souvent que lassé par l’attente on laisse
tomber en pensant que ce n’est pas utile d’insister…
Au fil de nos échanges, j’ai appris que Benoît, était un homme en couple avec une
femme métisse et qu’ils pratiquaient l’échangisme. Nous avions bien sur échangé des
photos et il est vrai que nous plaisions réciproquement.
Ils avaient l’air patient et heureux d’échanger avec nous, et petit à petit la
confiance s’est installée entre nous, permettant d’aller plus loin, c’est comme cela
d’ailleurs que nos échanges et nos conversations sont devenues de plus en plus
intimes.
Après plusieurs semaines nous nous connaissions comme si cela était depuis toujours et
plus rien ne nous empêchaient de nous retrouver, comme nous le désirions.
A cette époque, ayant un gros projet sur Montpellier, avec Laure, nous nous étions
installées dans la région. Le seul problème de la rencontre était l’éloignement,
Benoit et Passy habitant en champagne nous devions avec Laure nous rendre libre au
moins pour un week-end.
Ayant posé un jour de congé, nous nous sommes rendues libres pour une longue fin de
semaine.
D’après les photos échangées, Benoît est un homme d’une quarantaine d’années, le mètre
quatre-vingt, brun aux yeux verts, une légère calvitie naissante sur un corps d’un
homme de son âge.
Passy elle est une jeune femme métisse de vingt-neuf ans, jolie comme un cœur, et
apparemment d’humeur toujours enjouée comme les filles du soleil, brune aux yeux
marrons, elle arrange ses chevaux longs et décolorés, arrangés en fines tresses, lui
donne un petit air mutin, voir coquin. Le mètre soixante-dix, un corps sensuel appel à
la douceur et aux caresses.
Benoît et Passy étaient heureux d’apprendre que nous pouvions venir les retrouvés dans
leur région, mais Laure, toujours inventive a concocté une petite mise en scène pour
nous retrouver.
Ainsi, nous avons proposé à notre couple d’amis un petit scénario.
Nous allions venir en voiture et nous allions nous retrouver pour le diner du vendredi
soir, dans un restaurant de cuisine traditionnelle, chez Max, et ainsi en dinant nous
pourrions faire plus ample connaissance, de visu, le tâtu serait pour plus tard…
Puis nous irions dans un club échangistes, à Moulins dans l’Aisne à soixante-dix
kilomètres d’Epernay, le Must, mais ferions comme si nous nous ne nous connaissions
pas, nous irions chacun de notre côté et nous allions rentrer séparément, puis ensuite
à l’intérieur s’aborder comme deux couples attirés l’un vers l’autre désirant passés
un moment ensemble, cela pourrait amener de l’intérêt à notre rencontre et à la
soirée.
Bien-sûr nos amis furent enchantés de la proposition de Laure, nous devions, donc nous
retrouver pour huit heures au restaurant. Nous étions le mardi et Laure exigea de ne
plus se contacter d’ici le vendredi soir afin de faire monter l’envie et le désir.
Le restant de la semaine fut éprouvant, par l’attente…
Le vendredi, au petit matin, nous nous sommes préparées, habillement sexy comme deux
bombasses, afin de plaire à nos amis et de les mettre dans tous leurs états d’entrée
de jeux, un petit baise en ville préparé avec plein de dessous excitants et nos
accessoires intimes dans la trousse adéquate, puis un petit déjeuner sur le pouce et
nous voilà parties.
Sept heures de route et sept-cent cinquante kilomètre à s’envoyer nous n’avions pas de
temps à perdre, excitées comme des puces nous sommes parties pour une fin de semaine
qui s’annonçait bien remplie, certainement qu’elle ne serait pas la seule d’ailleurs,
à être bien remplie…
En ce début d’été, il faisait beau, dans nos petits tops moulants qui laissaient
devinés nos formes, sans soutien-gorge évidement, et avec nos petites mini-jupes, nous
étions canons. Les mini-jupes largement retroussées sur nos cuisses laissaient
devinées le fond de nos petits strings, la musique douce et langoureuse que diffusait
l’autoradio nous berçait doucement, étant au volant je me devais d’être attentive,
mais Lure ne t’attarda pas à s’assoupir, et sans le vouloir elle glissa lentement sur
son siège et en s’enfonçant un peu plus dedans fit relevé sa mini-jupe bien plus haut
que la décence ne pouvait me le faire supporter.
Laure somnolait dans son siège, le bas pratiquement dévoilé à mes yeux, je pouvais
voir les lèvres de mon amante déformé le string tendu qui ne cachait presque rien, peu
de temps après Laure soupira en se trémoussant sur son siège faisant rentrer le string
à l’intérieur de ses lèvres intimes.
Je n’en pouvais plus de cette vision, l’indécence de Laure, offerte sans pudeur me
mettait dans tous mes états, j’ai déposé ma main sur son sexe brulant et l’a fit
frémir, Puis la caressant plus intimement elle soupira en ouvrant les yeux et dit :
- Alors toi, tu ne peux t’empêcher de profiter d’un instant d’abandon pour
profiter de me moi !
- Tu es si belle abandonnée, lui dis-je.
- Attends tu vas voir, je vais m’occuper de toi !
Et se rapprochant de moi elle mit sa main sur mon string pour me caresser le sexe de
la paume de sa main, constatant mon état elle me dit :
- Mais tu bande ma petite cochonne !
Elle prit le bord de mon string pour dégager mon sexe qui se dressa à ses yeux, elle
le prit en main et commença à me branler doucement, puis je glissais sur mon siège
pour m’offrir un peu plus et se penchant au-dessus de moi, Laure me prit en bouche.
Elle me suça jusqu'à me faire jouir dans sa gorge et me but, puis se relevant elle me
dit :
- J’ai une soif d’enfer, on s’arrête à la prochaine station.
Le regard lubrique que me jeta Laure me disait que ce n’était pas que pour étancher sa
soif qu’elle voulait que l’on s’arrête, la suite me prouva que mon intuition était
bonne.
Ce ne fut pas vraiment une pause détente que nous fîmes dans la station, en effet
Laure m’entraina aux toilettes et m’enferma avec elle dans une cabine. Après avoir
retiré son string elle me demanda de la prendre, et offerte les mains appuyées contre
le carrelage je lui ai fait l’amour comme une sauvage.
Nous sommes retournées dans la voiture, Laure le cul nu sans son string, qu’elle
s’était enfournée dans la bouche afin d’étouffer ses cris. Dans la voiture elle me
demanda de retirer le mien afin d’être comme elle pour le reste du voyage.
- Nous en mettrons un autre avant d’arriver, me dit-elle.
Le reste du voyage se passa normalement, bien que Laure as profité de chaque occasion
pour m’exhiber son sexe glabre et profitant d’être nue pour se caresser sans vergogne.
Nous avons déjeuné à l’Autogrill de l’air de Langres Noidant sur l’autoroute A31,
ayant pour quelque peu oublier de remettre un string, c’est aux regards portés sur
nous, que nous nous sommes aperçues de cet oubli, en sortant de nombreux regards
perdus dans le vide mais non moins attentifs nous ont observés.
Nous sommes arrivés un peu avant dix-huit heures après avoir fait une dernière pause
histoire de nous rhabiller, et remettre de l’ordre dans nos tenues, puis un petit coup
de maquillage et nous étions prêtes pour rencontrer nos amis.
Nous avons trouvé sans problème et nous nous sommes garées sur le parking du Leader
Price juste en face le restaurant, puis avant d’aller au restaurant nous avons flâné
en ville.
Après être passées sur un pont nous sommes entrées dans le centre-ville et avons
trainé un moment dans le quartier, puis, sur le chemin du retour, nous avons bu une
coupe de champagne au bar Le royal.
A huit heures piles nous entrions dans le restaurant.
A suivre…
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