Leslie AR32
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AR32
Leslie AR32 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite
Samedi, vingt heures, nous dînons ensemble et nos nouveaux amis, libertins convaincus,
veulent que nous les accompagnions dans un club où ils ont leurs habitudes.
Avec Laure nous acceptons de les suivre et de se laisser guider pour une nouvelle
aventure avec nos amis.
Sur le trajet je suis pensive, je m’attendais à passer un week-end tranquille avec nos
amis et échangés des moments sensuels entre adultes consentants, où quatre corps se
découvrent dans des relations sexuelles consenties. Au lieu de cela, nous vivons avec
Laure des instants torrides avec des gens que nous ne connaissons pas, et des
rencontres où l’échange règne.
Le plaisir est là et le respect aussi, alors je me laisse allée, emporté une nouvelle
fois vers de nouveaux horizons.
Dix heures, nous voilà donc dans le club,
Devant l’entrée de ce qui ressemble davantage à une caserne qu’à un club, avec une
petite porte fort discrète et une petite lucarne, au fond d’une ruelle de la ville
dont je ne connais même pas le nom.
Benoît prend les choses en main et après un rapide échange avec les deux gorilles de
service, habillés d’un impeccable costume noir, nous entrons dans un petit couloir.
Une charmante jeune fille asiatique s’avance vers nous, elle est élégante,
physiquement agréable au premier coup d’œil et se fend d’un merveilleux sourire.
- Les amis de Monsieur Benoît veulent-ils rejoindre le sous-sol tout de suite ?
- Nous descendons, dit Benoît.
La jeune fille lui remet alors une petite clef avec un numéro et nous accompagne
jusqu’à un petit escalier vers le fond de la salle.
La clef ouvre en réalité un petit vestiaire qui peut loger une demi-douzaine de
personnes.
- L’heure est venue mesdames de dévoiler vos trésors, dit Benoît avec un
sourire.
Les règles du sous-sol sont simples, chacun doit y apparaître avec la tenue de son
choix pour peu qu’elle montre un minimum de ses atouts.
Benoît a gardé un pantalon de flanelle noir et reste torse nue, même choix pour moi,
avec un pantalon blanc. Le buste découvert je montre bien une partie de mes charmes.
Passy, avec la grâce et la féminité qui la caractérise, a jeté son dévolu sur un
ensemble short et top en brassières de soie rouge et noire, elle est irrésistible.
Laure pour sa part a misé sur le sexy et le charme, sans mettre de culotte, une très
courte jupe noire, qui descend juste au-dessus de fins bas noirs qui s’arrêtent à mi-
cuisse. Pour le haut du corps, un petit top en matière très souple dont le noir
tranche avec son dos presque nu.
Les yeux gourmands de Benoît nous rassurent sur nos choix.
Sortis du petit vestiaire, nous descendons encore quelques marches et entrons dans un
nouvel univers.
Nous débouchons dans une vaste salle aux lumières pourpres et tamisées, des moquettes
au sol et aux murs et de petits boxes qui alternent avec des banquettes et même deux
grands lits dans le fond de la pièce. Un grand bar au zinc rutilant orne un autre côté
de la pièce.
Nous sommes rapidement dans l’ambiance, sur notre droite une blonde, sublime au corps
de déesse des magazines, à la bouche déformée par le sexe d’un homme qui doit faire
trois fois son âge, à leurs côtés deux jeunes hommes se masturbent en les regardant.
Sur notre gauche, c’est une femme de la quarantaine prise en levrette par un homme de
son âge, qui de sa bouche, soulage un homme plus jeune.
Partout autour de nous des corps sont mélangés, des soupirs ou des gémissements se
mélangent à la musique de fond quand ce n’est pas une femme qui hurle son plaisir.
C’est à la fois dérangeant et terriblement excitant de regarder ces corps.
Pourtant, je sens aussi des regards, dès notre entrée des têtes se sont relevées, des
conversations arrêtées et des doigts pointés vers nous.
Les petits nouveaux et nouvelles suscitent toujours l’intérêt, me glisse Passy à
l’oreille. Benoît a traversé une bonne moitié de la pièce d’un pas sûr et sans tourner
la tête. Il a choisi une large banquette plutôt qu’un petit box, j’aurais pour ma part
préféré un peu plus de discrétion.
Nous voilà donc installés, bientôt une bouteille de champagne a rejoint notre table
amenée par une autre jeune asiatique, nue, tout juste habillée d’un petit tablier
blanc. Le regard de Benoît s’attarde sur sa croupe offerte au regard de tous.
- Leslie, me dit Passy, avec Laure vous êtes les reines ce soir, on ne parle que
de vous car vous êtes des nouvelles.
La fin de la phrase de Passy est ponctuée par le cri d’un jeune éphèbe manifestant
bruyamment son contentement après l’introduction de son intimité par un homme d’un âge
plus avancé.
- Eh oui, rajoute Passy, ici il y en a pour tous les goûts mais tout le monde
doit être parrainé et le personnel peut aussi prendre part au jeu.
Je sens les yeux d’un homme se fixer sur moi, il est de l’autre côté d’un box et ne
fait rien pour être discret. Il doit avoir dans les cinquante ans et une bonne bedaine
déforme son corps nu. Je le regarde à mon tour et il me sourit.
- Je vois que vous êtes déjà sollicitées par l’entourage, dit Benoît.
C’est le moment que choisissent Benoît et Passy pour ouvrir le bal.
Passy a doucement ouvert la fermeture du pantalon de Benoît pour sortir son sexe déjà
bien en éveil.
Je ne reste pas en plan et commence à m’occuper de la bouche de Laure, en l’embrassant
sensuellement.
Benoît n’est pas en reste et déjà il commence à embrasser le cou et le dos de sa
femme. Celle-ci s’est penchée sur un autre homme venu près d’elle et commence
doucement à caresser son sexe, ses bourses, le décalottant doucement, ses ongles
frôlent le sexe maintenant bien raide. Les mains de Benoît ont investi le haut de la
petite combinaison de soie rouge et caressent la poitrine de Passy.
Ses tétons sont déjà hérissés en leur pointe, Passy est très excitée et après s’être
débarrassée de ses fringues, elle se met nue sur les genoux de son homme, assis sur la
banquette, elle se trémousse un instant sur le sexe de son homme, puis s’empale par le
cul dessus.
Alors que Passy sur son homme, dos à lui, commence à monter et descendre le long de
son organe en gémissant, l’homme, à cet instant profite de l’occasion et refait parler
de lui, car Passy a complètement glissé d’équerre sur Benoît et a écarté ses cuisses,
il se met à genoux en face d’elle et s’enfonce dans sa chatte offerte.
A cet instant, Passy, si belle et si douce, se retrouve sodomisée par le sexe de son
homme et empalée par le sexe de l’homme.
Son visage se déforme d’une horrible grimace de plaisir.
Mon attention est distraite, alors que j’avais doucement glissé une main dans mon
pantalon pour me caresser, à côté de nous un couple d’une vingtaine d’année mate le
spectacle en se masturbant.
La jolie brunette me fait un clin d’œil. Je n’ai pas le temps d’y penser car une main
douce s’est posée sur ma cuisse, un jeune homme d’une vingtaine d’année tout au plus
s’est assis à côté de moi.
- Me feriez-vous le plaisir de m’accepter auprès de vous ?
Je n’ai pas le temps de répondre que sa main est remontée le long de ma cuisse et
s’arrête sur mon bas-ventre.
- Un sexe d’homme ! Vous n’êtes pas seulement belle, vous êtes troublante.
Il m’embrasse rapidement sur mes lèvres, sa peau est extraordinairement douce, il est
complètement nu et presque imberbe. Son excitation est seulement trahie par le sexe
fin et court qui dépasse de son entrejambe.
Je réponds à son baiser et l’accueille dans ma bouche. Sa fine langue embrasse
délicieusement bien. Ses mains caressent mon dos nu et flattent les bout de mes seins
- Ravissant, vous êtes le joyau de cette assemblée.
Laure est maintenant elle aussi occupée, un bel homme est venu l’aborder et la caresse
de façon outrageuse, la petite robe remontée sur le ventre elle se laisse doigter sans
vergogne et leurs lèvres sont jointes dans un farouche baiser.
A suivre…
Samedi, vingt heures, nous dînons ensemble et nos nouveaux amis, libertins convaincus,
veulent que nous les accompagnions dans un club où ils ont leurs habitudes.
Avec Laure nous acceptons de les suivre et de se laisser guider pour une nouvelle
aventure avec nos amis.
Sur le trajet je suis pensive, je m’attendais à passer un week-end tranquille avec nos
amis et échangés des moments sensuels entre adultes consentants, où quatre corps se
découvrent dans des relations sexuelles consenties. Au lieu de cela, nous vivons avec
Laure des instants torrides avec des gens que nous ne connaissons pas, et des
rencontres où l’échange règne.
Le plaisir est là et le respect aussi, alors je me laisse allée, emporté une nouvelle
fois vers de nouveaux horizons.
Dix heures, nous voilà donc dans le club,
Devant l’entrée de ce qui ressemble davantage à une caserne qu’à un club, avec une
petite porte fort discrète et une petite lucarne, au fond d’une ruelle de la ville
dont je ne connais même pas le nom.
Benoît prend les choses en main et après un rapide échange avec les deux gorilles de
service, habillés d’un impeccable costume noir, nous entrons dans un petit couloir.
Une charmante jeune fille asiatique s’avance vers nous, elle est élégante,
physiquement agréable au premier coup d’œil et se fend d’un merveilleux sourire.
- Les amis de Monsieur Benoît veulent-ils rejoindre le sous-sol tout de suite ?
- Nous descendons, dit Benoît.
La jeune fille lui remet alors une petite clef avec un numéro et nous accompagne
jusqu’à un petit escalier vers le fond de la salle.
La clef ouvre en réalité un petit vestiaire qui peut loger une demi-douzaine de
personnes.
- L’heure est venue mesdames de dévoiler vos trésors, dit Benoît avec un
sourire.
Les règles du sous-sol sont simples, chacun doit y apparaître avec la tenue de son
choix pour peu qu’elle montre un minimum de ses atouts.
Benoît a gardé un pantalon de flanelle noir et reste torse nue, même choix pour moi,
avec un pantalon blanc. Le buste découvert je montre bien une partie de mes charmes.
Passy, avec la grâce et la féminité qui la caractérise, a jeté son dévolu sur un
ensemble short et top en brassières de soie rouge et noire, elle est irrésistible.
Laure pour sa part a misé sur le sexy et le charme, sans mettre de culotte, une très
courte jupe noire, qui descend juste au-dessus de fins bas noirs qui s’arrêtent à mi-
cuisse. Pour le haut du corps, un petit top en matière très souple dont le noir
tranche avec son dos presque nu.
Les yeux gourmands de Benoît nous rassurent sur nos choix.
Sortis du petit vestiaire, nous descendons encore quelques marches et entrons dans un
nouvel univers.
Nous débouchons dans une vaste salle aux lumières pourpres et tamisées, des moquettes
au sol et aux murs et de petits boxes qui alternent avec des banquettes et même deux
grands lits dans le fond de la pièce. Un grand bar au zinc rutilant orne un autre côté
de la pièce.
Nous sommes rapidement dans l’ambiance, sur notre droite une blonde, sublime au corps
de déesse des magazines, à la bouche déformée par le sexe d’un homme qui doit faire
trois fois son âge, à leurs côtés deux jeunes hommes se masturbent en les regardant.
Sur notre gauche, c’est une femme de la quarantaine prise en levrette par un homme de
son âge, qui de sa bouche, soulage un homme plus jeune.
Partout autour de nous des corps sont mélangés, des soupirs ou des gémissements se
mélangent à la musique de fond quand ce n’est pas une femme qui hurle son plaisir.
C’est à la fois dérangeant et terriblement excitant de regarder ces corps.
Pourtant, je sens aussi des regards, dès notre entrée des têtes se sont relevées, des
conversations arrêtées et des doigts pointés vers nous.
Les petits nouveaux et nouvelles suscitent toujours l’intérêt, me glisse Passy à
l’oreille. Benoît a traversé une bonne moitié de la pièce d’un pas sûr et sans tourner
la tête. Il a choisi une large banquette plutôt qu’un petit box, j’aurais pour ma part
préféré un peu plus de discrétion.
Nous voilà donc installés, bientôt une bouteille de champagne a rejoint notre table
amenée par une autre jeune asiatique, nue, tout juste habillée d’un petit tablier
blanc. Le regard de Benoît s’attarde sur sa croupe offerte au regard de tous.
- Leslie, me dit Passy, avec Laure vous êtes les reines ce soir, on ne parle que
de vous car vous êtes des nouvelles.
La fin de la phrase de Passy est ponctuée par le cri d’un jeune éphèbe manifestant
bruyamment son contentement après l’introduction de son intimité par un homme d’un âge
plus avancé.
- Eh oui, rajoute Passy, ici il y en a pour tous les goûts mais tout le monde
doit être parrainé et le personnel peut aussi prendre part au jeu.
Je sens les yeux d’un homme se fixer sur moi, il est de l’autre côté d’un box et ne
fait rien pour être discret. Il doit avoir dans les cinquante ans et une bonne bedaine
déforme son corps nu. Je le regarde à mon tour et il me sourit.
- Je vois que vous êtes déjà sollicitées par l’entourage, dit Benoît.
C’est le moment que choisissent Benoît et Passy pour ouvrir le bal.
Passy a doucement ouvert la fermeture du pantalon de Benoît pour sortir son sexe déjà
bien en éveil.
Je ne reste pas en plan et commence à m’occuper de la bouche de Laure, en l’embrassant
sensuellement.
Benoît n’est pas en reste et déjà il commence à embrasser le cou et le dos de sa
femme. Celle-ci s’est penchée sur un autre homme venu près d’elle et commence
doucement à caresser son sexe, ses bourses, le décalottant doucement, ses ongles
frôlent le sexe maintenant bien raide. Les mains de Benoît ont investi le haut de la
petite combinaison de soie rouge et caressent la poitrine de Passy.
Ses tétons sont déjà hérissés en leur pointe, Passy est très excitée et après s’être
débarrassée de ses fringues, elle se met nue sur les genoux de son homme, assis sur la
banquette, elle se trémousse un instant sur le sexe de son homme, puis s’empale par le
cul dessus.
Alors que Passy sur son homme, dos à lui, commence à monter et descendre le long de
son organe en gémissant, l’homme, à cet instant profite de l’occasion et refait parler
de lui, car Passy a complètement glissé d’équerre sur Benoît et a écarté ses cuisses,
il se met à genoux en face d’elle et s’enfonce dans sa chatte offerte.
A cet instant, Passy, si belle et si douce, se retrouve sodomisée par le sexe de son
homme et empalée par le sexe de l’homme.
Son visage se déforme d’une horrible grimace de plaisir.
Mon attention est distraite, alors que j’avais doucement glissé une main dans mon
pantalon pour me caresser, à côté de nous un couple d’une vingtaine d’année mate le
spectacle en se masturbant.
La jolie brunette me fait un clin d’œil. Je n’ai pas le temps d’y penser car une main
douce s’est posée sur ma cuisse, un jeune homme d’une vingtaine d’année tout au plus
s’est assis à côté de moi.
- Me feriez-vous le plaisir de m’accepter auprès de vous ?
Je n’ai pas le temps de répondre que sa main est remontée le long de ma cuisse et
s’arrête sur mon bas-ventre.
- Un sexe d’homme ! Vous n’êtes pas seulement belle, vous êtes troublante.
Il m’embrasse rapidement sur mes lèvres, sa peau est extraordinairement douce, il est
complètement nu et presque imberbe. Son excitation est seulement trahie par le sexe
fin et court qui dépasse de son entrejambe.
Je réponds à son baiser et l’accueille dans ma bouche. Sa fine langue embrasse
délicieusement bien. Ses mains caressent mon dos nu et flattent les bout de mes seins
- Ravissant, vous êtes le joyau de cette assemblée.
Laure est maintenant elle aussi occupée, un bel homme est venu l’aborder et la caresse
de façon outrageuse, la petite robe remontée sur le ventre elle se laisse doigter sans
vergogne et leurs lèvres sont jointes dans un farouche baiser.
A suivre…
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