Leslie AR40 - histoire érotique

Leslie AR40 - Les confessions d’une adolescente, Audrey

Je m’appelle Charlie, j’ai dix-neuf ans depuis peu, et je vais vous raconter ce qu’il
s’est passé suite à la soirée d’anniversaire d’Audrey.
Lors de son anniversaire, avec Audrey, nous nous étions retrouvées dans sa chambre
pour qu’elle me donne des préservatifs, mais nous nous sommes retrouvées dans les bras
l’une de l’autre un instant, remplies de désirs réciproques.
Son copain, Michel, n’étant pas là, Audrey m’avait invité à passer le week-end chez
elle, certainement pour aller plus loin ensemble.
J’avais dit à Franck, mon amant depuis une semaine que nous ne pourrions pas nous
voir, prétextant une visite dans la famille dans le sud.
Je ne savais pas qu’Audrey était bisexuelle et aimait les femmes, mais je n’étais pas
au bout de mes surprises et de mes découvertes.

Je suis arrivé chez Audrey le vendredi soir à dix-neuf heures.
Elle m’attendait en petite tenue très provocante et me fis entrer, elle était campée
sur de hauts talons, en bas coutures, string et porte-jarretelles, la poitrine nue.
Il faut dire qu’Audrey est un beau brin de fille, et nombreux sont les mecs qui ont
fantasmés sur elle.
Une petite poitrine arrogante aux aréoles foncées, brune aux cheveux longs et ses yeux
verts, faisaient tourner les têtes, ses longues jambes fines aux fines attaches et sa
petite croupe, faisaient dresser les queues. Elle aurait pu être mannequin.

Rapidement elle m’a mise à l’aise, pour me retrouver comme elle, seins nus, en string
fendu et mes dim-up et mes hauts talons.
- Ainsi nous pourrons profiter de la vue de nos corps, me dit-elle, avant d’en
profiter autrement dans les bras l’une de l’autre.
Durant tout le repas, ce n’est pas que les yeux que nous avons contentés, dans la
tenue où nous étions toutes les deux pour ce souper d’amoureuses, très vite les mains
sont entrées en action, distribuant des caresses et faisant monter les désirs.
Puis nos lèvres se sont de plus en plus souvent soudées pour des baisers de plus en
plus profonds et longs, donnant le temps à nos mains et à nos doigts de se perdent
dans nos intimités.
Ainsi à la fin du repas, nous savions que nous étions ouvertes, toutes les deux à
tout, nos doigts avaient parcourus nos intimités, doigtés nos chattes et pénétrés nos
anus, nous étions excitées et prêtent aux folies saphiques.

Nous sommes montées dans la chambre d’Audrey, là où la semaine précédente tout avait
commencé. Audrey avait pris soin d’engager un film de lesbiennes qui était commencé,
certainement pour me mettre dans l’ambiance.
Nous nous sommes allongées sur le lit et tout en regardant le film nous avons commencé
à nous caresser, tour en jetant de temps en temps un regard au film.
Audrey avait de l’expérience dans les relations lesbiennes, et elle était bien
outillée pour ce genre de rapports, pour moi, c’était une première et Audrey le
savait, puisque nous n’avions pratiquement aucun secret l’une pour l’autre.
Elle me demanda de me laisser faire, pour commencer et, plus tard je lui ferais pareil
et elle rajouta :
- Ensuite, tu seras tellement inventive que je n’aurais même plus à te dire
comment faire et nous allons passer une nuit de folie !
Tendrement elle me caressa en m’embrassant les lèvres, puis descendit vers mes seins,
puis continua vers mon ventre pour terminer sur mon pubis, et mettre sa tête entre mes
cuisses qu’elle m’avait largement écartées auparavant.
Ses lèvres sur ma vulve, elle commença à déposer des baisers sur mes lèvres, puis
dardant sa langue elle l’enfonça dans mon intimité, m’ouvrant afin d’aller chercher
mon clitoris qu’elle se mit à sucer avidement ;
Durant tous ces instants mon corps sollicité par ce que lui infligeait Audrey
commençait à bouillir et ma vulve complètement humide irradiait des ondes de plaisir
dans tous mon corps.
Me sentant complètement partie dans mon plaisir, Audrey se fit plus entreprenante,
explorant de ses doigts ma vulve et ma petite rondelle, me faisant hurler et gémir.
Se relevant et me regardant dans les yeux, elle me demanda :
- Tu aimerais que je te prenne le petit ?
- Tu veux me sodomiser ? Lui demandais-je.
- Oui, j’adore sodomiser mes amantes.
Elle se leva et après avoir sorti un double gode ceinture, elle s’équipa et me demanda
de sucer le phallus, en s’équipant j’avais remarqué s)qu’elle s’était engodée avec le
petit gode intérieur.
Après avoir bien sucé le membre factice, Audrey me plaça en levrette et commença par
me faire l’amour de façon classique, par la chatte. Elle me défonça sans vergogne
pendant de longues minutes, puis m’encula en me faisant hurler.
Je fis de même sur elle et nous avons fait un soixante-neuf avant e nous endormir dans
les bras l’une de l’autre.

Le lendemain, samedi, il était neuf heures quand je me suis réveillée, Audrey n’était
pas dans le lit, j’ai passé une culotte et une petite nuisette transparente et je suis
descendue…

Audrey me présenta sa copine Diane, certainement son amante titulaire, puis les quatre
autres filles, les présentations terminées nous avons pris notre petit-déjeuner.
J’appris qu’elles étaient toutes homosexuelles, où au moins bisexuelle comme Audrey,
et qu’elles se retrouvaient régulièrement pour passer une soirée entre filles.
Pendant le petit-déjeuner, Audrey m’expliqua :
- Je te réservais cette surprise, depuis le temps que nous sommes amies je
voulais te faire partager cette partie de moi, en fait c’est un week-end entre filles,
où toutes relations et expériences sont permises, et où la jalousie n’est pas de mise.
- En fait, dis-je, tu essayes de m’expliquer que c’est un week-end
thérapeutique, baser exclusivement sur le sexe, où des filles entre-elles vont
travailler leur jalousie…
- Tout à fait, réponds Audrey.
- Ça me va comme programme…
Donc, il y avait Diane, Mandy, Cécile, et Maude, Audrey et moi, nous avions toutes le
même âge ou presque, et nous étions toutes célibataires et lesbiennes sauf moi, pour
l’instant.

A la fin du petit-déjeuner, chacune est partie et avec Diane nous sommes restées pour
reprendre du café et parler tranquillement, puis en remontant dans la chambre d’Audrey
pour aller prendre une douche et m’habiller, je suis passée devant une chambre où la
porte était entrouverte.
Mandy et Maude, allongées dans le lit, étaient en train de faire l’amour, en se
frottant réciproquement leurs sexes l’un contre l’autre, en s’embrassant avec passion
mais délicatesse de temps en temps.
Je regardais ces deux corps enlacés, ne semblant faire qu’un dans un mouvement ample
mais régulier, ponctué de quelques gémissements dans un parfait synchronisme.
Après quelques instants Mandy se leva, avant de plonger entre les cuisses de Maude
qu’elle tenait largement écartées, s’offrant aux caresses buccales de sa partenaire
qui commença par lui déposer de tendres baisers avant de s’agiter plus fortement,
comme un prédateur sur sa proie, donnant l’impression de la dévorer.
Maude, quant à elle, se tortillait, envahie par le plaisir de ces caresses, en
soupirant.

Je n’en pouvais plus, trop excitée je n’avais qu’une hâte, me soulager un peu, je me
dirigeais alors vers les toilettes, j’entrais et je retirais ma culotte en
m’apercevant qu’elle était trempée, et je me suis masturbée en étant très vite envahie
par la jouissance, vu mon état d’excitation.
La journée ne faisait que commencer…

Après ma douche, j’allais m’habiller dans la chambre et retrouvais Audrey qui était en
train de s’habiller.
Je lui confiai alors qu’ayant entendu des gémissements dans une des chambres, je
pensais que les réjouissances avaient certainement déjà commencées.
- Bien-sûr, me dit-elle, ne sois pas sotte, nous sommes toutes célibataires, et
le week-end est court, alors nous prenons le maximum de plaisir pendant ces courts
instants.
- Je comprends, donc il ne faut pas perdre de temps.
- Allez, habille-toi et viens te joindre à nous, ensuite nous irons déjeuner, et
après on se fera un petit jacuzzi, avec celles qui voudront.
- Génial, super idée ton idée, dis-je, en me jetant dans les bras de mes deux
complices.

Avant que je ne m’habille, Cécile frappa à la porte et entra au même moment qu’Audrey
sortait. Me trouvant nue elle se jeta sur moi et me doigta la chatte en m’embrassant à
pleine bouche, cela faisait partie du programme que j’avais accepté.
Cécile me gouina sans réserve, visitant de ses doigts mes orifices offerts en me
disant :
- T’es une petite salope comme je les aime !
Puis elle m’aida à m’habiller et nous sommes descendues ensembles.

A suivre…