Leslie AR50 : Les confessions d’un ami, suite et fin.

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Leslie AR50 : Les confessions d’un ami, suite et fin. Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR50 : Les confessions d’un ami, suite et fin.
Leslie AR50 - Les confessions d’un ami, suite et fin

« J’étais au paradis, avec Carole nous faisions l’amour, toute nue dans mes bras, ma
langue dans sa bouche, ma bite au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus
fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s’arquait,
s’offrait à mon membre viril.
Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de sa chatte, Carole avait fermé les
yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me
marmonnait entre ses dents qu’elle aimait ça, que je la rendais heureuse.
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre… Vas-y
baises-moi profondément…
Elle soufflait, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle.
Au début, je pensais que Carole simulait son plaisir, mais à voir son regard dilaté,
son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que Carole
jouissait, sa bouche fraiche lors des baisers me l’ont confirmés.
Sa jouissance était bien réelle, et elle m’offrait son corps sans pudeur, sans
retenue, comme si elle n’avait pas fait l’amour depuis de semaines. Je la baisais de
plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon membre et sa chatte
dégoulinait d’un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d’inonder
les draps du lit.
Subitement je sentis le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma
compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de
son vagin accueillant. Un flot de jouissance se répandit dans Carole, cette jouissance
aussi violente que soudaine me procura des douleurs dans le dos et l’arrière des
jambes, j’étais secoué de la tête aux pieds.
Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se
mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions, Carole avait un orgasme.
Nous sommes restés allongé l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, sans rien dire pendant
plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement.
- Ohhh oui, répliquais-je, je suis comblé
Carole se mit à rire en disant :
- Tu es sûr que c’est ta première expérience ?
- Oui, pourquoi cette question ?
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M’attirant à elle, Carole m’embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à
nous embrasser et nous caresser mutuellement.
Au bout d’un moment, m’ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se
pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue
effleurer mon gland, je frémis en gémissant, et Carole se mit à me sucer le sexe avec
ardeur. Si bien qu’en un rien de temps, sous la fellation savante et terriblement
voluptueuse de Carole, je me remis à bander.
Profitant que ma sensuelle initiatrice était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me
sucer d’une bouche experte, je n’eus qu’à tendre le bras pour pouvoir lui caresser les
fesses, glisser mes doigts dans sa raie culière et trouver son minuscule orifice brun
qui s’y cachait.
D’un doigt, je m’attaquais à son anus, qui réagit aussitôt aux caresses de mon doigt
en s’entrouvrant légèrement comme pour m’inviter à plonger mon doigt dedans.
Quelques minutes se passèrent ainsi, sans que j’ose introduire mon doigt dans les
chairs les plus intimes de Carole, mais en nous procurant un indicible plaisir.
Soudain Carole abandonna ma verge frémissante pour me demander :
- Tu aimes que je te suce la bite ?
- J’adore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre d’autre.
- Moi aussi, j’aime que tu me doigte le cul ! Ronronna-t-elle… C’est rudement
bon !
Un moment passa, avant qu’elle reprenne la parole :
- Je suis étonné, tu n’as même pas essayé d’y enfoncer ton doigt !
- Je n’ai pas osé.
- Alors tu aimerais peut-être y enfoncer ta queue ?

Je restais sans voix. Carole me demandait si je désirais l’enculer, devant mon
silence, Carole continua :
- Tu sais, jamais un homme ne m’a pénétré par-là, je t’offre mon pucelage anal.
Ça te fait plaisir ?…
- Ohhh oui, dis-je.
- Attends-moi !
Je l’à vis se diriger vers la salle de bain et en revenir tenant un tube à la main.
S’installant de nouveau à mes côtés elle me précisa :
- C’est du gel intime, ça aidera, car pour moi aussi ce sera la première fois,
il vaut mieux être prudent et prendre quelques précautions.
Elle ouvrit le tube pour s’enduire la main d’une crème translucide en disant :
- Avec ce gel, ça glissera plus facilement.
Puis de sa main enduite elle me massa la verge, en fait Carole me branla pour redonner
de la raideur à mon membre et enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, et
raide, Carole me tendit le tube et se coucha sur le ventre, lança ses mains dans son
dos pour écarter largement ses fesses en disant :
- À toi, enduit mon cul et mon petit trou !

La plus belle journée de ma vie, si je le racontais personne me croirait, Carole, la
mère de mon meilleur ami, m’offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul
tout lisse elle me demandait de lui lubrifier le fion avant la sodomiser.
Je m’exécutais en enduisant bien le cul et tout autour de la collerette fripée de
Carole et consciencieusement l’intérieur du conduit anal de Carole. A l’aide de mon
majeur, avec un certain plaisir, mon doigt glissa s’enfonçant lentement dans le
conduit.
- Ohhh, c’est bon, dit Carole, en cambrant ses reins au maximum.
Puis j’activais mon doigt dans l’orifice anal, explorant l’anus de Carole, étonnamment
serré, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
- Ohhh oui, c’est bon, gémit Carole, branle-moi bien le cul.
Étonné qu’elle puisse ressentir du plaisir par le cul, j’enfonçais mon index accolé à
mon majeur dans le cul Carole, copieusement lubrifié de gel.
- Ohhh oui, c’est encore meilleur, grogna aussitôt Carole, viens et prends-moi
maintenant !
D’un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et en passant une
de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite qu’elle dirigea entre ses
fesses. Le bout arrondi de mon gland s’appuya sur son œillet rose, qui me sembla
extrêmement petit.
- Là, tu y es, me prévint Carole d’une voix sourde, va doucement, tu es si gros…
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal.
Agrippant fermement les hanches de Carole, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce
cul offert. Mais son orifice anal résista à ma poussée, faisant ployer ma verge
pourtant rigide. Carole poussa un petit gémissement, je la voyais agrippée des deux
l’oreiller
- Oh comme c’est gros ! Gémit-elle.

J’exerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Carole vers moi et celle-ci poussa
un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri, je me retrouvais fiché
jusqu’aux couilles dans le cul de Carole qui venait de s’écartelé brusquement.
- Oui, ça y est, grogna Carole. Ne bouge plus, c’est terrible, tu m’as défoncé
le cul, je t’en prie ne bouge pas, pas tout de suite.
Son anus était tellement serré me comprimait la verge et je sentais ma bite gonflée à
l’intérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémissait et poussait des râles
de douleurs.
Je demeurais immobile, ivre de joie, j’enculais une femme, rêve de jeunesse enfin
exhaussé.
- Vas-y, me demanda enfin Carole, doucement, sinon tu vas me déchirer le cul.

Je commençais alors à m’agiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant
convoitées. Carole avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris
en poussant des petits gémissements
- Oh oui ! Mon chéri, encules-moi bien à fond…
La maintenant par les hanches, j’avais une vue incroyable sur son trou du cul dilaté
par ma bite, qui entrait et sortait.
Les gémissements plaintifs de ma compagne m’encourageaient à continuer. J’accélérais
peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus
vite et de plus en plus profondément. Carole poussait de tels cris, que je me
demandais si elle éprouvait du plaisir ou de la douleur.
Mais d’un seul coup je senti mon sperme monter dans ma verge et sans que je puisse me
retenir je lâchais mon sperme par saccades dans les intestins de Carole.
Puis Carole se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme
une feuille. Se redressant, Carole m’offrit de tendres baisers et je me suis séparé
d’elle lui laissant le trou largement ouvert.
- Tu sais, c’est la première fois que je me fais enculer, j’ai eu un peu mal au
début, mais ensuite j’ai jouis comme une folle, je n’aurais jamais songé que l’on
puisse éprouver autant de plaisir de ce côté-là.

Nous sommes retournés au salon et Carole, après un nouveau café, me demanda :
- Tu peux rester tout le week-end, si tu le veux ?
- Il faut que je prévienne ma mère et je n’ai rien amené.
- Alors vas chez toi et reviens vite, j’ai encore envie…
Une demi-heure plus tard j’étais de retour, avec l’accord de ma mère qui pensait que
c’était un week-end comme les autres et du rechange pour tenir deux jours.
Carole m’attendais nue et nous avons refait l’amour, d’ailleurs jusqu’à la fin de la
journée, je l’ai baisé et enculé plusieurs fois.

Le soir nous nous sommes couchés ensemble, ma première nuit avec une femme, avant de
nous endormir elle m’a sucé avant que je la sodomise.
Le samedi et le dimanche, nous sommes restés nus dans la maison afin de profiter de
nos caresses mutuelles et de pouvoir se donner du plaisir à tout moment.
Carole à hurler de plaisir durant ces deux jours et je l’ai même enculé pendant
qu’elle était au téléphone avec son mari, et elle a vraiment aimé ce moment.
Elle ne cessait de me dire :
- Ton sexe je l’adore, il me fait grimper aux rideaux.
Le dimanche à quatre heures je suis parti, un peu triste, mais j’avais une amante.
Notre relation à durée jusqu’au bac, puis Carole à déménagée et je ne l’ai plus jamais
revue.
Encore aujourd’hui, je pense à elle, et à ces moments-là, la nostalgie me gagne. »

A suivre…

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