Leslie AR56 - histoire érotique

Leslie AR56 - Vacances chez Caroline, suite mais pas la fin

Puis je sors de l’eau en m’apercevant que mon legging trempé laisse mon sexe quasiment visible au travers du tissu, l’épaisseur du tissu est vraiment très faible.
Mon voyeur, a bien du remarqué mon sexe moulé dans le tissu mouillé, je vais vers un transat, le tire pour me placer en face de lui, à quelques mètres.
Il continue de m’observer du coin de l’œil.
Voilà, je suis directement dans son champ de vision et en installant ma serviette, je m’arc-boute offrant ainsi mon postérieur à son regard. Je sens que ma tunique glisse le long de mes reins et qu’elle ne recouvre plus mes fesses. Il doit apprécier de voir mon cul moulé à la perfection par mon legging.
Effectivement, quand je me redresse pour m’asseoir, c’est bien ce que je constate il est là, la bouche ouverte visiblement très troublé.
Lorsque je lui fais face, il reprend l’air du gars qui ne s’occupe de rien, mais la bosse sur son maillot me dit tout le contraire. Après m’être débarrassée de ma veste sur le dossier, je peux m’allonger.
Un nouveau regard vers mon entrejambe me confirme qu’effectivement cela ne peut que lui plaire. L’eau a rendu mon bas très transparent, le renflement de mon sexe forme une bosse et il peut voir mon sexe semi-bandé au travers de la transparence de mon legging.

Soudain un braillement fuse de la piscine :
- Thomas, tu ne viens pas dans la piscine ?
- Non, non ! Pas pour le moment, j’ai un peu mal au bide, là, répond mon admirateur.
Mal au bide ! Je ne peux m’empêcher de penser en souriant que c’est plutôt dans le bas-ventre qu’il a un petit problème.

Malheureusement un appel bruyant de Caroline interrompt ce moment intime :
- Allez, la jeunesse ! On va passer à table !
Comme à regret, je lance :
- Je crois qu’il va falloir stopper notre séance de bronzette !

En revenant vers la maison, je prends une serviette qui séchait par là et je m’essuie autant que possible pour aller aider caroline et ne pas me présenter devant elle ainsi.
Les jeunes sont déjà attablés et rigolent à tout va. Bien qu’il n’y ait pas grand-chose à faire, je porte tout de même les quelques plats préparés sur la table.
Cela m’excite terriblement de me montrer à cette bande de jeunes, mes pointes se dressent d’une façon affolante à travers le tissu de mon top.
Caroline jette plusieurs regards ne comprenant pas bien ce qui se passe.
Le repas se déroule normalement, Thomas me lance toujours régulièrement des regards en oblique, car lui aussi est observateur comme Caroline. Finalement le repas se finit et toute la clique disparaît de nouveau vers la piscine, je finis de débarrasser la table avec Caroline qui en profite pour me demander :
- Leslie, tu veux continuer la bronzette cette après-midi
- Non, je vais aller faire une sieste dans ma chambre, il fait trop chaud.
- Fait attention de ne pas créer une émeute avec tous les jeunes mâles qui traînent ici, dis Caroline.
Je réponds en faisant la moue.
- Penses-tu, ils ont sûrement trop occupés pour faire attention à moi.
Mais Caroline, en plissant les yeux rajpute :
- Ohhh, détrompes-toi, j’en ai vu plus d’un te regarder, et ils avaient l’air intéressé par ton anatomie.
Avec un air innocent, je finis par dire :
- Ah bon ? Tes sûre, bon, je vais dans ma chambre faire la sieste, à tout à l’heure.
Je pars en ayant conscience que Caroline n’est pas dupe.

Mais pour le moment, je ne pense qu’à une chose, aller me caresser dans ma chambre, j’ai besoin de jouir, les événements précédents m’ont mis le feu au cul.
Une fois dans ma chambre, je laisse les volets suffisamment entrouverts pour avoir assez de lumière.
Rapidement, je me mets à poil et je m’allonge sur le lit complètement nue.
Les cuisses ouvertes, ma main est déjà sur mon membre tendu, chaque branle m’envoie une décharge dans le corps. Je me pénètre l’anus, d’abord d’un doigt qui rentre profondément en moi et puis deux, sans pouvoir me retenir de gémir.
Comme c’est bon de se branler en se doigtant le cul !

Dans un demi-état de conscience, je perçois qu’il y a une ombre au milieu des volets entrouverts et je vois que Thomas est là, en tarin de me mater entre les volets.
Mon excitation redouble, je me tourne sur le lit pour faire face à la porte-fenêtre et lui offrir la meilleure vue possible en disant :
- Alors, le spectacle te plait ?
San un mot, Thomas ouvre les volets et rentre dans la chambre, la caleçon sur les genoux et son sexe en main en disant :
- T’as l’air super bonne !
- Viens, lui dis-je.
J’écarte les jambes pour lui montre mon anus bien ouvert et je lui demande :
- T’as envie de moi ?
- Ohhh oui, tu me branches un max !
Thomas s’approche de moi et monte sur le lit, me prend les jambes pour les relever et dégager au mieux mon petit trou qu’il pénètre d’un coup de reins.
Il me lime un moment et s’exclame :
- Putain, qu’est-ce que t’es bonne.
Il me pistonne un moment et jouis au fond de moi, il se lève et disparait par là où il est arrivé, me laissant le cul ouvert et gluant.
T’es trop bonne, me dit-il juste avant de disparaitre, je reviendrais…

- Leslie, je peux venir te voir ?
C’est Caroline qui rentre dans la chambre et me trouve nue sur le lit, le sexe encore dressé. Elle me regarde surprise et dit :
- Toi avec la tête que tu fais, tu viens de t’en prendre un coup !
Prise un peu de court, je cherche une explication à donner.
- Euh… non, je me suis endormie quelques minutes, je crois.
- Je vois ça, mais tu as l’air encore toute chose. Allez, habille-toi qu’on sorte un peu prendre l’air, tu m’expliqueras cela ce soir.
Caroline est sortie de la chambre, et sa dernière phrase résonne encore dans ma tête, je pense que la soirée va être chaude et ce n’est que le début des vacances...

A suivre…