Leslie AR57
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Leslie AR57
LESLIE AR57 – Vacances chez Caroline, ça continue
Mes vacances chez Caroline continuent…
Je viens de me faire rapidement enculée par Thomas, et je suis encore dans le désir, mais j’ai failli être surprise, presque en flagrant délit, par Caroline.
En passant sous la douche, avant de m’habiller, je pense encore à ce moment avec Thomas, si soudain, mais si bien préparé et je suis loin de rester insensible au fait qu’il m’a dit qu’il reviendrait.
Des picotements surgissent le long de mon échine et aussi à des endroits beaucoup plus intimes. Tout cela me laisse le goût de revenez-y, avec un soupçon de regret pour la rapidité, mais sans aucune culpabilité.
Non, décidément j’ai beau y réfléchir de nouveau, j’ai juste une envie de revivre cela sous une forme ou sous une autre, ce petit jeune m’a complètement émoustillé et la vigueur de sa jeunesse m’a bien plu. Je ne sais pas quand l’occasion se représentera, mais je me dis qu’il est inutile de se torturer l’esprit, peu importe le flacon tant que l’on a l’ivresse ! On verra bien.
Après la douche, je m’habille et me voilà prête pour une virée avec Caroline, peut-être un peu de shopping ou une ballade en cette fin d’après-midi, je suis tellement excitée que je me dis que si elle voulait…
J’hésite un moment pour savoir si je dois me maquiller, mais décide de rester naturelle, je suis en vacances alors cela me parait inutile.
En arrivant dans le salon pour retrouver Caroline, je la découvre en tailleur veste jupe très sobre de couleur claire
Nous partons rapidement, Caroline me regarde toujours d’un air soupçonneux et je sens que ce soir je ne pourrais pas échapper à lui faire des confidences.
Ensemble nous faisons un peu de lèche-vitrine et dans un magasin, Caroline rencontre une ancienne amante, Patty, qui est d’après Caroline une bisexuelle convaincue.
Elles sont très intimes et se racontent toutes leurs expériences.
Patty voulant raconter son dernier exploit à Caroline, nous nous retrouvons installées à la table d’un café pour écouter les confidences de Patty.
- Tu peux y aller, Leslie est une trans comme moi et à l’esprit très ouvert, dit Caroline à son amie.
- Bon dit Patty, en s’adressant à Caroline, figures toi :
« L’autre jour j’ai eu la visite de ma conseillère en assurances et placements, une jeune fille débutante, fraiche et belle comme le jour. Nous avions pris rendez-vous, et j’avoue que j’avais flashé sur elle, mais comme d’habitude j’ai complètement zappée. Quand elle s’est pointée, j’étais en string avec juste un kimono sur moi.
Tu me connais, je ne fais pas de chichi et je reçois comme j’en ai envie, sauf que là, je recevais une jeune fille que je voulais emmener dans mon lit.
Après l’avoir installée dans le canapé, je lui ai fait mon numéro habituel de charme, et peu de temps après son arrivée, elle était dans un état pas possible ne cessant de reluquer mes seins et mon entre jambes que je lui dévoilais volontiers histoire de la faire chavirer et l’emmener dans mes bras et aussi dans mon lit.
A un certain moment, je me suis levée prétextant une envie pressante et une fois aux toilettes j’ai rajustée ma tenue, enfin rajustée est un bien grand mot.
Oui, j’ai profité de cet isolement pour tirer sur mon string et écarter les lèvres de mon sexe déjà bien ouvertes. Je voulais lui en montrer un maximum à cette petite.
Le tissu m’a pénétrer alors aussi profondément que possible ne laissant qu’une simple ligne de dentelle dévorée par mon sexe gonflé de désir.
Mon petit buisson bien taillé court au-dessus de mes lèvres débordait un peu sur le bas, pour retrouver plus haut la protection du string qui avait toujours sa forme de triangle un peu plus sage, amis ne cachant rien de mon intimité.
Je vous avoue que même si d’habitude sentir un string te rentrer dans le sexe n’est pas toujours agréable, ce n’était pas le cas à cet instant. Cette sensation décupla mon excitation montante et je mourrais d’envie de faire un mouvement de va-et-vient avec pour aller encore plus loin dans mon excitation.
Lorsque je suis revenue m’installer auprès de Carole, je me suis positionnée contre le dossier du fauteuil, mais au lieu de refermer sagement mes jambes, j’ai laissé celles-ci entrouvertes.
Juste ce qu’il fallait pour laisser l’écartement entre mes genoux, et exposer ainsi tout mon bas-ventre à son regard, d’autant plus qu’en m’adossant, j’ai un peu glissé en avant et la veste de mon kimono est remontée sur mes cuisses.
Puis, lentement en me laissant aller comme si cela pouvait m’aider à mieux réfléchir, j’ai écarté plus franchement mes jambes dans une position donnant l’impression d’être plus confortable. Faisant dans cette nouvelle posture pénétrer encore plus profondément le tissu de mon string en moi.
Carole est maintenant sur des braises, elle s’agite sur le canapé avec des gestes nerveux et visiblement involontaires, montrant ouvertement son trouble.
Elle garde ses yeux braqués sur mon intimité, faisant passer sa langue sur ses lèvres.
Je suis moi aussi en proie à de fortes bouffées de chaleur. Je sens que j’ai les joues qui brûlent et le reste de mon être qui s’embrase de plus en plus. Je ne sais si Carole peut le voir, mais ma chatte doit être une vraie fontaine et le brin de tissu qui me pénètre doit être complètement trempé par mon jus.
Carole, inconsciemment écarte ses jambes pour me dévoiler sa petite culotte en coton de couleur rouge très pâle, où une belle auréole d’humidité forme un cercle sombre à la pace de sa chatte. Ma petite voyeuse a l’air d’avoir bien mouillé sa culotte, signe indéniable qu’elle apprécie ce que je lui montre.
Trouvant ainsi une nouvelle occasion d’afficher mes charmes, j’écarte franchement les jambes tout en continuant de regarder son entre jambes. Une fois encore je sens le string me couper le sexe en deux. J’imagine aisément que Carole doit voir mes lèvres gonflées par mon excitation pendre de chaque côté du mince bout de lingerie passablement enfoncé dans ma chatte.
Je commence à être à bout, j’ai une furieuse envie de glisser ma main entre mes jambes et de me jeter sur mon sexe, de me caresser devant elle en lui disant des mots cochons.
Je n’en peux plus, il faut aller au bout maintenant, alors je laisse tomber la documentation, pour n’avoir que le motif de pouvoir les ramasser et m’exhiber un peu plus.
Je la regarde droit dans les yeux pour lui faire voir mes désirs, écartant impudiquement mes jambes pour lui offrir le spectacle de mon sexe qui a dévoré mon string, si bien qu’elle doit avoir l’impression que je suis nue. Mes lèvres gonflées débordent de chaque côté et luisent de mon humidité intime.
De son côté mue par un désir incontrôlable, elle écarte sa jambe comme si elle voulait me faciliter l’accès, en ouvrant la bouche comme si elle voulait parler, mais aucun son ne sort. »
A suivre…
Mes vacances chez Caroline continuent…
Je viens de me faire rapidement enculée par Thomas, et je suis encore dans le désir, mais j’ai failli être surprise, presque en flagrant délit, par Caroline.
En passant sous la douche, avant de m’habiller, je pense encore à ce moment avec Thomas, si soudain, mais si bien préparé et je suis loin de rester insensible au fait qu’il m’a dit qu’il reviendrait.
Des picotements surgissent le long de mon échine et aussi à des endroits beaucoup plus intimes. Tout cela me laisse le goût de revenez-y, avec un soupçon de regret pour la rapidité, mais sans aucune culpabilité.
Non, décidément j’ai beau y réfléchir de nouveau, j’ai juste une envie de revivre cela sous une forme ou sous une autre, ce petit jeune m’a complètement émoustillé et la vigueur de sa jeunesse m’a bien plu. Je ne sais pas quand l’occasion se représentera, mais je me dis qu’il est inutile de se torturer l’esprit, peu importe le flacon tant que l’on a l’ivresse ! On verra bien.
Après la douche, je m’habille et me voilà prête pour une virée avec Caroline, peut-être un peu de shopping ou une ballade en cette fin d’après-midi, je suis tellement excitée que je me dis que si elle voulait…
J’hésite un moment pour savoir si je dois me maquiller, mais décide de rester naturelle, je suis en vacances alors cela me parait inutile.
En arrivant dans le salon pour retrouver Caroline, je la découvre en tailleur veste jupe très sobre de couleur claire
Nous partons rapidement, Caroline me regarde toujours d’un air soupçonneux et je sens que ce soir je ne pourrais pas échapper à lui faire des confidences.
Ensemble nous faisons un peu de lèche-vitrine et dans un magasin, Caroline rencontre une ancienne amante, Patty, qui est d’après Caroline une bisexuelle convaincue.
Elles sont très intimes et se racontent toutes leurs expériences.
Patty voulant raconter son dernier exploit à Caroline, nous nous retrouvons installées à la table d’un café pour écouter les confidences de Patty.
- Tu peux y aller, Leslie est une trans comme moi et à l’esprit très ouvert, dit Caroline à son amie.
- Bon dit Patty, en s’adressant à Caroline, figures toi :
« L’autre jour j’ai eu la visite de ma conseillère en assurances et placements, une jeune fille débutante, fraiche et belle comme le jour. Nous avions pris rendez-vous, et j’avoue que j’avais flashé sur elle, mais comme d’habitude j’ai complètement zappée. Quand elle s’est pointée, j’étais en string avec juste un kimono sur moi.
Tu me connais, je ne fais pas de chichi et je reçois comme j’en ai envie, sauf que là, je recevais une jeune fille que je voulais emmener dans mon lit.
Après l’avoir installée dans le canapé, je lui ai fait mon numéro habituel de charme, et peu de temps après son arrivée, elle était dans un état pas possible ne cessant de reluquer mes seins et mon entre jambes que je lui dévoilais volontiers histoire de la faire chavirer et l’emmener dans mes bras et aussi dans mon lit.
A un certain moment, je me suis levée prétextant une envie pressante et une fois aux toilettes j’ai rajustée ma tenue, enfin rajustée est un bien grand mot.
Oui, j’ai profité de cet isolement pour tirer sur mon string et écarter les lèvres de mon sexe déjà bien ouvertes. Je voulais lui en montrer un maximum à cette petite.
Le tissu m’a pénétrer alors aussi profondément que possible ne laissant qu’une simple ligne de dentelle dévorée par mon sexe gonflé de désir.
Mon petit buisson bien taillé court au-dessus de mes lèvres débordait un peu sur le bas, pour retrouver plus haut la protection du string qui avait toujours sa forme de triangle un peu plus sage, amis ne cachant rien de mon intimité.
Je vous avoue que même si d’habitude sentir un string te rentrer dans le sexe n’est pas toujours agréable, ce n’était pas le cas à cet instant. Cette sensation décupla mon excitation montante et je mourrais d’envie de faire un mouvement de va-et-vient avec pour aller encore plus loin dans mon excitation.
Lorsque je suis revenue m’installer auprès de Carole, je me suis positionnée contre le dossier du fauteuil, mais au lieu de refermer sagement mes jambes, j’ai laissé celles-ci entrouvertes.
Juste ce qu’il fallait pour laisser l’écartement entre mes genoux, et exposer ainsi tout mon bas-ventre à son regard, d’autant plus qu’en m’adossant, j’ai un peu glissé en avant et la veste de mon kimono est remontée sur mes cuisses.
Puis, lentement en me laissant aller comme si cela pouvait m’aider à mieux réfléchir, j’ai écarté plus franchement mes jambes dans une position donnant l’impression d’être plus confortable. Faisant dans cette nouvelle posture pénétrer encore plus profondément le tissu de mon string en moi.
Carole est maintenant sur des braises, elle s’agite sur le canapé avec des gestes nerveux et visiblement involontaires, montrant ouvertement son trouble.
Elle garde ses yeux braqués sur mon intimité, faisant passer sa langue sur ses lèvres.
Je suis moi aussi en proie à de fortes bouffées de chaleur. Je sens que j’ai les joues qui brûlent et le reste de mon être qui s’embrase de plus en plus. Je ne sais si Carole peut le voir, mais ma chatte doit être une vraie fontaine et le brin de tissu qui me pénètre doit être complètement trempé par mon jus.
Carole, inconsciemment écarte ses jambes pour me dévoiler sa petite culotte en coton de couleur rouge très pâle, où une belle auréole d’humidité forme un cercle sombre à la pace de sa chatte. Ma petite voyeuse a l’air d’avoir bien mouillé sa culotte, signe indéniable qu’elle apprécie ce que je lui montre.
Trouvant ainsi une nouvelle occasion d’afficher mes charmes, j’écarte franchement les jambes tout en continuant de regarder son entre jambes. Une fois encore je sens le string me couper le sexe en deux. J’imagine aisément que Carole doit voir mes lèvres gonflées par mon excitation pendre de chaque côté du mince bout de lingerie passablement enfoncé dans ma chatte.
Je commence à être à bout, j’ai une furieuse envie de glisser ma main entre mes jambes et de me jeter sur mon sexe, de me caresser devant elle en lui disant des mots cochons.
Je n’en peux plus, il faut aller au bout maintenant, alors je laisse tomber la documentation, pour n’avoir que le motif de pouvoir les ramasser et m’exhiber un peu plus.
Je la regarde droit dans les yeux pour lui faire voir mes désirs, écartant impudiquement mes jambes pour lui offrir le spectacle de mon sexe qui a dévoré mon string, si bien qu’elle doit avoir l’impression que je suis nue. Mes lèvres gonflées débordent de chaque côté et luisent de mon humidité intime.
De son côté mue par un désir incontrôlable, elle écarte sa jambe comme si elle voulait me faciliter l’accès, en ouvrant la bouche comme si elle voulait parler, mais aucun son ne sort. »
A suivre…
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