Leslie AR61
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR61
LESLIE AR61 – Vacances chez Caroline, toujours la suite
C’est vendredi, je me suis levée tôt enfin, et je me suis installée au bord de la piscine pour bronzer, Caroline s’est rendue à Marseille, pour régler quelques obligations, me laissant la garde de la maison.
J’en ai profité pour me mettre entièrement nue et profiter un maximum du soleil matinal.
Il doit être dix heures quand je suis sortie de ma solitude et de ma torpeur par Thomas, l’ami du neveu de Caroline.
- Bonjour Leslie.
- Bonjour Thomas, comment tu vas ?
- Bien, bien, dit-t-il, tout en m’observant.
Lentement il s’approche de moi et vient m’embrasser à pleine bouche, puis me quittant il me dit :
- J’ai pensé à toi depuis l’autre fois et j’avais envie de te revoir.
Flattée, je lui réponds :
- Tu as bien fait de passer, car notre dernière rencontre a été des plus brèves.
- Je pense que nous pourrions de cet instant pour prendre notre temps, me dit-il.
- Alors ne le gaspillons pas, dis-je.
Levant les yeux vers lui, je vois que son visage arbore un large sourire, il sait que je suis prête et disponible. Il prend une profonde respiration, les narines tremblantes et il me répond après quelques secondes de silence.
- Oui je vois…
Il suspend sa phrase l’espace d’un instant pour mieux me détailler et s’apercevoir que mon sexe à légèrement gonflé par le désir qui me gagne, puis il ajoute :
- Je pense que je vais aimer !
Sa phrase est dite sans l’ombre d’un doute, lui aussi est prêt, prêt à reprendre la petite transexuelle que je suis et qui s’offre à ses désirs et qui sait, peut-être aussi à se faire sodomiser, puisque nous sommes seuls à l’abri de tout regard indiscret.
- Bien, suis-moi, dis-je, on a assez perdu de temps comme ça !
Je me lève, toujours nue sans même prendre le temps de me couvrir et l’emmène vers la maison, il me suit sans un mot.
Nous rentrons chez Caroline et je l’attire directement dans ma chambre.
Il me suit docilement, et je m’aperçois que son short est déformé par son sexe en érection.
Il s’allongea sur mon lit et baissa son short pour m’exhiber son érection, m’allongeant à mon tour près de lui, nous prîmes la verge de l’autre dans notre main.
Elle était dure et pleine de désirs, je me mis à le branler, pendant qu’il me caressait le gland. Mon sexe semblait beaucoup l’attirer, aurait-il des désirs de se faire sodomiser ou était-il juste curieux.
Se penchant vers moi, il m’a embrassé, un baiser passionné ou nos langues se sont mêlées…
J’ai commencé à lécher ses tétons et à caresser ses fesses, il s’est mis à frémir de plaisir, puis j’ai malaxé ses bourses à pleine main…
Après lui avoir enfoncé doucement la langue dans le nombril, je me mis à lui lécher le gland… Le sentir frémir me rendait folle
Je suis revenu au gland que j’ai commencé à le sucer
Puis j’ai progressivement enfoncé sa verge dans ma bouche en le retenant car il tentait de la pousser en avant, au fond de ma gorge… À un moment je dus arrêter car il gémissait fort… Je ne voulais pas qu’il vienne trop vite… Puis j’ai recommencé doucement…
Nous nous sommes mis en soixante-neuf, mais sur le côté. J’ai commencé à lécher ses couilles et lui s’est mis immédiatement à sucer mon gland, à le téter plutôt, comme un bébé… Cela m’a fortement excité… J’ai pris un de ses testicules dans la bouche… Mais je n’ai pas réussi à prendre l’autre… Lui, continuait à me téter en jouant avec mes boules qui durcissaient… Puis j’ai pris sa verge que j’ai commencé à faire coulisser dans ma bouche… Nos gémissements montraient l’ampleur de notre excitation… J’ai titillé le méat, tourné ma langue autour de son gland. J’ai mordillé la couronne le faisant gémir de plus en plus fort…
Je ne voulais pas qu’il éjacule avant moi car je voulais qu’il me boive… Et je me disais, pour cela, qu’il valait mieux qu’il soit excité au plus haut point…
J’ai arrêté de le sucer et je l’ai regardé me sucer, m’absorber jusqu’au fond de sa bouche… Puis j’ai senti monter un plaisir nouveau, quelque chose de très fort qui venait du fond de mes entrailles… Et j’ai giclé fortement dans sa bouche… Il a continué à me sucer comme si sa vie en dépendait… Du coup, je suis resté très excité même si ma verge s’est un peu dégonflée…
J’ai repris sa queue en bouche et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule… J’ai adoré sentir son sperme couler sur ma langue même si le goût était un peu amer… Nous sommes restés ainsi tête-bêche, les yeux fermés, la respiration saccadée…
Après quelques instants, je me suis un peu redressé et je me suis mis à lui lécher les testicules doucement… Il s’est mis à gémir, je lui ai demandé de se mettre au-dessus de moi à quatre pattes et j’ai continué ainsi à lécher ses bourses qui pendaient au-dessus de me tête. Je léchais aussi son périnée. Puis j’ai pas léché son anus, qui légèrement ouvert s’offrait à moi, puis j’ai tâté avec mon doigt et j’ai senti qu’il aimait, alors je lui ai enfoncé dedans…
Ensuite, nous nous sommes reposés un peu, je savais que si j’insistais un peu il se laisserait allé à se faire sodomiser, alors j’ai attendu, puis, je me suis relevé pour le regarder…
Il reposait couché sur le dos, les yeux fermés, nu sur les draps, ses attributs reposent sur leur nid douillet de poils fins. Je m’agenouille et approche ma tête de son bas-ventre, il doit sentir le souffle de ma respiration sur ses attributs.
Sa respiration s’accélère mais il n’ouvre pas les yeux. Il préfère goûter son plaisir en attendant que je le prenne en bouche. Je me penche pour souffler doucement sur ses bourses.
Son corps réagit, sa verge se gonfle, le gland est beau, avec une belle couleur rubis, légèrement plus claire au pourtour, sur la couronne, et plus foncée sur le frein…
Ma bouche remonte vers l’extrémité de la queue en soufflant doucement… Maintenant, je ne souffle que sur le gland. J’attends la première petite perle de plaisir. Elle est là… Je sors la langue et la cueille. C’est bon, plutôt salé… Moins âcre que le sperme. Je lèche doucement l’extrémité du gland. J’introduis ma langue dans son méat. Il gémit alors que je suis penchée sur lui
Je pose la tête doucement sur son ventre. J’aspire le gland qui a bien grossi… Je le suce très lentement maintenant… pour faire durer. Ma langue s’attarde sur la couronne, en fait le tour, de nombreuses fois. Il halète… Je veux que sucer le gland. Plus tard, je le prendrais. Il est très gros maintenant.
Je sens que Thomas est maintenant abandonné, prêt à aller plus loin, alors tendrement je lui demande :
- Tu veux bien te retourner.
Il me regarde et les yeux brillants de désir, il me dit :
- Tu veux m’enculer.
- Oui ! Enfin si tu le désires.
- Je ne suis revenu que pour cela !
Il se retourne pour se mettre sur le ventre et relève ses fesses pour s’offrir en disant :
- Soit douce tu es la première…
Je me mets à lécher doucement la raie de ses fesses. Il apprécie, il pousse ses fesses en arrière contre mon visage, alors de mes mains j’écarte doucement, mais fermement, ses fesses pour découvrir son anus.
Il est joli, dépourvu de poils et les bords plissés sont sombres. Je pointe la langue pour lécher le pourtour de l’anus. Il gémit. Je tente d’enfoncer ma langue dans son trou mais je ne vais pas loin, j’enfonce juste la pointe dardée.
Humm, dit-il en gémissant doucement.
Je lèche, j’aspire son anus entre mes lèvres. Il halète, il aime vraiment. Je le lèche ainsi pendant de longues minutes puis je me positionne sur lui, sur son dos.
Je me rapproche mon sexe de son anus et positionne mon gland à l’entrée de son conduit, attrape ses deux hanches, alors que mon gland s’incruste dans son petit trou déjà entrouvert.
Lorsque je donne un léger coup de reins, mon gland est absorbé facilement et je coulisse aisément entre ses fesses jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses, lui arrachant un gémissement de plaisir. Le maintenant fortement aux hanches, j’entame des va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en plus rapides. Thomas contracte parfaitement son sphincter et cette pénétration est délicieuse.
Mon excitation est à son paroxysme et je ne tarde pas, dans un dernier mouvement qui me fait m’empaler au fond de lui, à décharger un volume impressionnant de sperme dans ses entrailles. Au même moment, Thomas jouit et éjacule sur les draps.
Toujours fiché au plus profond de son rectum, j’attends de dégonfler complètement pour me retirer de son conduit.
Alors que nous reposons après son dépucelage, les mains de Thomas, viennent effleurer mes fesses, puis s’attarder dans ma raie à la recherche de mon petit œillet.
Les frôlements de ses mains sur mon corps laissaient mon être parcouru d’un long frisson, me terrassant de désirs et me faisant à nouveau bander comme une folle.
Je tournais la tête vers lui et d’une petite voix suppliante je lui demandais d’aller plus loin et de me prendre comme la première fois.
Il me sourit, alors qu’il soulevait légèrement la tête vers moi pour prendre mes lèvres, je me laissais faire et, fermant les yeux, m’abandonnais à la troublante sensation de ce tendre baiser.
Effleurant ma poitrine, caressant mon ventre avec insistance avant de se glisser vers mon sexe et le branler doucement.
Progressivement, j’ouvrais les fesses, me laissant aller au plaisir, et me mis à gémir comme une vraie petite salope.
Il me sentait visiblement très excitée, ouverte à ses désirs, alors c’est tout naturellement que son sexe entra simplement dans mon cul, il avait bien sentit que j’étais prête à l’accueillir.
Il est partit heureux après deux heures de sexe non-stop, dépucelé et prêt à revenir très prochainement pour une autre partie de cul.
A suivre…
C’est vendredi, je me suis levée tôt enfin, et je me suis installée au bord de la piscine pour bronzer, Caroline s’est rendue à Marseille, pour régler quelques obligations, me laissant la garde de la maison.
J’en ai profité pour me mettre entièrement nue et profiter un maximum du soleil matinal.
Il doit être dix heures quand je suis sortie de ma solitude et de ma torpeur par Thomas, l’ami du neveu de Caroline.
- Bonjour Leslie.
- Bonjour Thomas, comment tu vas ?
- Bien, bien, dit-t-il, tout en m’observant.
Lentement il s’approche de moi et vient m’embrasser à pleine bouche, puis me quittant il me dit :
- J’ai pensé à toi depuis l’autre fois et j’avais envie de te revoir.
Flattée, je lui réponds :
- Tu as bien fait de passer, car notre dernière rencontre a été des plus brèves.
- Je pense que nous pourrions de cet instant pour prendre notre temps, me dit-il.
- Alors ne le gaspillons pas, dis-je.
Levant les yeux vers lui, je vois que son visage arbore un large sourire, il sait que je suis prête et disponible. Il prend une profonde respiration, les narines tremblantes et il me répond après quelques secondes de silence.
- Oui je vois…
Il suspend sa phrase l’espace d’un instant pour mieux me détailler et s’apercevoir que mon sexe à légèrement gonflé par le désir qui me gagne, puis il ajoute :
- Je pense que je vais aimer !
Sa phrase est dite sans l’ombre d’un doute, lui aussi est prêt, prêt à reprendre la petite transexuelle que je suis et qui s’offre à ses désirs et qui sait, peut-être aussi à se faire sodomiser, puisque nous sommes seuls à l’abri de tout regard indiscret.
- Bien, suis-moi, dis-je, on a assez perdu de temps comme ça !
Je me lève, toujours nue sans même prendre le temps de me couvrir et l’emmène vers la maison, il me suit sans un mot.
Nous rentrons chez Caroline et je l’attire directement dans ma chambre.
Il me suit docilement, et je m’aperçois que son short est déformé par son sexe en érection.
Il s’allongea sur mon lit et baissa son short pour m’exhiber son érection, m’allongeant à mon tour près de lui, nous prîmes la verge de l’autre dans notre main.
Elle était dure et pleine de désirs, je me mis à le branler, pendant qu’il me caressait le gland. Mon sexe semblait beaucoup l’attirer, aurait-il des désirs de se faire sodomiser ou était-il juste curieux.
Se penchant vers moi, il m’a embrassé, un baiser passionné ou nos langues se sont mêlées…
J’ai commencé à lécher ses tétons et à caresser ses fesses, il s’est mis à frémir de plaisir, puis j’ai malaxé ses bourses à pleine main…
Après lui avoir enfoncé doucement la langue dans le nombril, je me mis à lui lécher le gland… Le sentir frémir me rendait folle
Je suis revenu au gland que j’ai commencé à le sucer
Puis j’ai progressivement enfoncé sa verge dans ma bouche en le retenant car il tentait de la pousser en avant, au fond de ma gorge… À un moment je dus arrêter car il gémissait fort… Je ne voulais pas qu’il vienne trop vite… Puis j’ai recommencé doucement…
Nous nous sommes mis en soixante-neuf, mais sur le côté. J’ai commencé à lécher ses couilles et lui s’est mis immédiatement à sucer mon gland, à le téter plutôt, comme un bébé… Cela m’a fortement excité… J’ai pris un de ses testicules dans la bouche… Mais je n’ai pas réussi à prendre l’autre… Lui, continuait à me téter en jouant avec mes boules qui durcissaient… Puis j’ai pris sa verge que j’ai commencé à faire coulisser dans ma bouche… Nos gémissements montraient l’ampleur de notre excitation… J’ai titillé le méat, tourné ma langue autour de son gland. J’ai mordillé la couronne le faisant gémir de plus en plus fort…
Je ne voulais pas qu’il éjacule avant moi car je voulais qu’il me boive… Et je me disais, pour cela, qu’il valait mieux qu’il soit excité au plus haut point…
J’ai arrêté de le sucer et je l’ai regardé me sucer, m’absorber jusqu’au fond de sa bouche… Puis j’ai senti monter un plaisir nouveau, quelque chose de très fort qui venait du fond de mes entrailles… Et j’ai giclé fortement dans sa bouche… Il a continué à me sucer comme si sa vie en dépendait… Du coup, je suis resté très excité même si ma verge s’est un peu dégonflée…
J’ai repris sa queue en bouche et je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule… J’ai adoré sentir son sperme couler sur ma langue même si le goût était un peu amer… Nous sommes restés ainsi tête-bêche, les yeux fermés, la respiration saccadée…
Après quelques instants, je me suis un peu redressé et je me suis mis à lui lécher les testicules doucement… Il s’est mis à gémir, je lui ai demandé de se mettre au-dessus de moi à quatre pattes et j’ai continué ainsi à lécher ses bourses qui pendaient au-dessus de me tête. Je léchais aussi son périnée. Puis j’ai pas léché son anus, qui légèrement ouvert s’offrait à moi, puis j’ai tâté avec mon doigt et j’ai senti qu’il aimait, alors je lui ai enfoncé dedans…
Ensuite, nous nous sommes reposés un peu, je savais que si j’insistais un peu il se laisserait allé à se faire sodomiser, alors j’ai attendu, puis, je me suis relevé pour le regarder…
Il reposait couché sur le dos, les yeux fermés, nu sur les draps, ses attributs reposent sur leur nid douillet de poils fins. Je m’agenouille et approche ma tête de son bas-ventre, il doit sentir le souffle de ma respiration sur ses attributs.
Sa respiration s’accélère mais il n’ouvre pas les yeux. Il préfère goûter son plaisir en attendant que je le prenne en bouche. Je me penche pour souffler doucement sur ses bourses.
Son corps réagit, sa verge se gonfle, le gland est beau, avec une belle couleur rubis, légèrement plus claire au pourtour, sur la couronne, et plus foncée sur le frein…
Ma bouche remonte vers l’extrémité de la queue en soufflant doucement… Maintenant, je ne souffle que sur le gland. J’attends la première petite perle de plaisir. Elle est là… Je sors la langue et la cueille. C’est bon, plutôt salé… Moins âcre que le sperme. Je lèche doucement l’extrémité du gland. J’introduis ma langue dans son méat. Il gémit alors que je suis penchée sur lui
Je pose la tête doucement sur son ventre. J’aspire le gland qui a bien grossi… Je le suce très lentement maintenant… pour faire durer. Ma langue s’attarde sur la couronne, en fait le tour, de nombreuses fois. Il halète… Je veux que sucer le gland. Plus tard, je le prendrais. Il est très gros maintenant.
Je sens que Thomas est maintenant abandonné, prêt à aller plus loin, alors tendrement je lui demande :
- Tu veux bien te retourner.
Il me regarde et les yeux brillants de désir, il me dit :
- Tu veux m’enculer.
- Oui ! Enfin si tu le désires.
- Je ne suis revenu que pour cela !
Il se retourne pour se mettre sur le ventre et relève ses fesses pour s’offrir en disant :
- Soit douce tu es la première…
Je me mets à lécher doucement la raie de ses fesses. Il apprécie, il pousse ses fesses en arrière contre mon visage, alors de mes mains j’écarte doucement, mais fermement, ses fesses pour découvrir son anus.
Il est joli, dépourvu de poils et les bords plissés sont sombres. Je pointe la langue pour lécher le pourtour de l’anus. Il gémit. Je tente d’enfoncer ma langue dans son trou mais je ne vais pas loin, j’enfonce juste la pointe dardée.
Humm, dit-il en gémissant doucement.
Je lèche, j’aspire son anus entre mes lèvres. Il halète, il aime vraiment. Je le lèche ainsi pendant de longues minutes puis je me positionne sur lui, sur son dos.
Je me rapproche mon sexe de son anus et positionne mon gland à l’entrée de son conduit, attrape ses deux hanches, alors que mon gland s’incruste dans son petit trou déjà entrouvert.
Lorsque je donne un léger coup de reins, mon gland est absorbé facilement et je coulisse aisément entre ses fesses jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses, lui arrachant un gémissement de plaisir. Le maintenant fortement aux hanches, j’entame des va-et-vient de plus en plus profonds et de plus en plus rapides. Thomas contracte parfaitement son sphincter et cette pénétration est délicieuse.
Mon excitation est à son paroxysme et je ne tarde pas, dans un dernier mouvement qui me fait m’empaler au fond de lui, à décharger un volume impressionnant de sperme dans ses entrailles. Au même moment, Thomas jouit et éjacule sur les draps.
Toujours fiché au plus profond de son rectum, j’attends de dégonfler complètement pour me retirer de son conduit.
Alors que nous reposons après son dépucelage, les mains de Thomas, viennent effleurer mes fesses, puis s’attarder dans ma raie à la recherche de mon petit œillet.
Les frôlements de ses mains sur mon corps laissaient mon être parcouru d’un long frisson, me terrassant de désirs et me faisant à nouveau bander comme une folle.
Je tournais la tête vers lui et d’une petite voix suppliante je lui demandais d’aller plus loin et de me prendre comme la première fois.
Il me sourit, alors qu’il soulevait légèrement la tête vers moi pour prendre mes lèvres, je me laissais faire et, fermant les yeux, m’abandonnais à la troublante sensation de ce tendre baiser.
Effleurant ma poitrine, caressant mon ventre avec insistance avant de se glisser vers mon sexe et le branler doucement.
Progressivement, j’ouvrais les fesses, me laissant aller au plaisir, et me mis à gémir comme une vraie petite salope.
Il me sentait visiblement très excitée, ouverte à ses désirs, alors c’est tout naturellement que son sexe entra simplement dans mon cul, il avait bien sentit que j’étais prête à l’accueillir.
Il est partit heureux après deux heures de sexe non-stop, dépucelé et prêt à revenir très prochainement pour une autre partie de cul.
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurais tant aimé une histoire sur Caroline et Thomas.
Vivement qu'il revienne et que tu nous racontes, j'aimerai bien prendre sa place.
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