Leslie HD 34
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HD 34
Leslie HD34 - Week-end en Bretagne, suite & fin
A notre réveil, le soleil était déjà haut. Laure nous avait gentiment préparé le petit déjeuner.
Aucun doute, à son réveil, elle nous avait vues, enlacées avec Cathy, sous la même couette. Elle nous accueillit avec un super sourire :
- Vous avez passé une bonne nuit.
Nous ne pûmes nous empêcher de rire.
Le petit déjeuner fut très jovial.
Nous avions décidé de traîner en ville pour faire les boutiques, avant de rentrer à Paris.
Ramener quelques souvenirs, une ou deux fringues sympas et rester encore un moment avec Cathy, qui restait encore une semaine.
Nous avons déambulées dans cette petite ville, faisant les vitrines, s’arrêtant un instant pour boire un café en terrasse, nous étions heureuses de vivre.
Une petite boutique, au fond d’une impasse, nous attira, elle exposait quelques modèles de robes, jupes, hauts et pièces de lingerie encore sages, mais surtout, quelques affichettes manuscrites nous invitaient à venir découvrir une collection complète à l’intérieur.
Le magasin était désert, pas âme qui vive, plein de petites fringues sympa, sexy en diable. Nous prenions plaisir à partager bruyamment les découvertes que nous pouvions faire à chaque instant.
Ce raffut attira très certainement la vendeuse qui sortit de l’arrière-boutique en souriant. Une mignonne petite blonde, mince, d’environ 25 ans, en mini-jupe rose et chemisier blanc qui nous offrit de suite son aide, nous proposant de passer à notre guise, les vêtements qui nous tentaient.
La vendeuse prenait le temps de nous conseiller, donnait son avis qui semblait sincère, sans jamais perdre patience.
Elle parut néanmoins un peu ennuyée lorsque nous demandâmes la permission d’essayer la lingerie.
- Vous savez, c’est interdit normalement, je dois demander à la patronne.
Elle se dirigea vers le comptoir, parla un petit moment au téléphone et revint en souriant.
- C’est d’accord, mais pas dans le magasin, suivez-moi derrière. Je pense que ce que nous avons en réserve vous plaira.
Après avoir fermée la boutique, elle nous entraîna dans l’arrière-boutique avec un sourire complice. J’eus l’impression que tout venait de basculer, et la suite prouva que je ne me trompais pas.
A peine la porte refermée, la vendeuse nous indiqua un portant sur lequel se trouvait ce qu’elle nous présenta comme étant une collection plus osée, difficilement présentable au grand jour dans un magasin d’une petite ville de province, mais très appréciée par une clientèle fidèle.
Il est vrai que pour être osé, c’était osé.
Des robes hyper moulantes, des jupes très courtes et pour certaines fendues très haut, des dessous affriolants noirs et rouges, des strings ouverts, des guêpières, en fait une véritable caverne d’Ali-Baba pour jeunes filles et femmes délurées voulant être sexy, voir même aguicheuses.
Delphine, la vendeuse, nous invita à laisser nos envies s’exprimer, ce que nous fîmes.
Chacune, de nous trois, choisit une tenue sexy avant de se diriger vers les cabines.
Une fois habillées, nous nous retrouvâmes habillées dans nos tenues faisant face à Delphine. La situation était excitante et pour sûr, elle allait déraper.
Delphine commença par Laure, qui avait choisi une robe entièrement blanche, dos nu presque jusqu’au haut des fesses, deux fines bretelles nouées dans le dos retenant le haut, cintrée à la taille et s’évasant dessous, arrivant à peine à mi cuisses. Portée sans soutien-gorge, ses mamelons tendus pointaient sous le tissu un peu transparent, laissant aussi deviner ses aréoles.
Delphine s’approcha de Laure, la fit se retourner, et sous prétexte d’ajuster la robe, posa ses mains sur ses hanches. Un peu surprise, mais surtout très excitée, Laure se cambra, offrant ses fesses.
Delphine, devant cette provocation laissa ses doigts descendre à travers la robe, sur les deux globes fermes, puis entama un massage insistant.
Laure se pencha vers l’avant, prenant appui des deux mains sur un portant. Delphine porta sa caresse vers le bas des fesses, les mains disparurent sous la robe, et s’activèrent.
Je les voyais distinctement bouger sous le tissu, dans une série de gestes explicites. Laure l’aida un peu en écartant les jambes.
Sa position était tout à fait indécente, mais si excitante, Laure était en train de se faire masturber par la petite vendeuse, particulièrement rodée à ces essayages particuliers.
Habilement, elle fit glisser la culotte que Laure avait choisie et nous découvrîmes un superbe string en dentelle blanche, Delphine, sans mot dire, se remit à masturber Laure, au soupir que poussais Laure, il était évident qu’elle appréciait les caresses de Delphine.
Je sentais mon sexe raidir à la vue de ce spectacle et une furieuse envie de me caresser monta en moi.
Je n’eus pas le temps d’esquisser le moindre mouvement. Cathy, qui s’était glissée derrière moi, passa ses bras sous les miens et posa ses mains sur mes seins aux pointes dardées. J’avais choisi une mini robe moulante en lycra que je portais sans soutien-gorge. Le contact de ses doigts à travers le tissu m’électrisa littéralement. Je reculai pour me coller à elle, poussant mes fesses contre son pubis.
Elle descendit vers mon ventre et ne s’arrêta que lorsqu’elle atteignit mon sexe, pour le masser avec vigueur. Ses gestes rapides et précipités trahissaient son excitation. Elle fit remonter ma robe pour découvrir ma culotte en dentelle noire et me caressa le membre à travers elle sous le regard étonné de Delphine.
- On dirait que ça t’excite de voir Laure se faire caresser, me dit Cathy, à moins que ce ne soit ma main qui te fasse bander ainsi.
Cathy me caressait sans pudeur sous les yeux attentifs de Delphine, je ne pouvais me dérober et surtout je ne le souhaitais pas. Je m’abandonnais entre les mains de Cathy.
Je m’entendis lui répondre comme dans un rêve :
- Ohhh oui, Cathy branle moi, fais-moi jouir.
Je ne pouvais plus me contrôler. Je voulais jouir.
Cathy s’enhardit encore. Ses mains se firent plus pressantes sur mon sexe. Sa caresse se mua en une franche masturbation à travers la dentelle.
Puis soudain, elle fit glisser la fermeture éclair qui fermait la robe, partant d’entre mes omoplates pour arriver au creux de mes reins. Je me cambrai, parcourue par un frisson.
J’accompagnais son mouvement lorsqu’elle fit glisser tout d’abord la robe, puis la culotte à mes pieds.
J’étais nue, offerte le sexe raide entre mes jambes.
- Viens, me dit Cathy.
Elle m’entraîna et m’allongea sur un matelas qui n’était sûrement pas là par hasard, les essayages devaient être souvent sulfureux. Elle s’agenouilla et écarta mes cuisses, prenant le temps de poser un regard insistant sur mon sexe dressé. Penchée en avant comme elle l’était, son débardeur baillait largement, dévoilant sa poitrine emprisonnée dans un superbe soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche.
Elle plongea sa tête entre mes cuisses pour prendre mon sexe entre ses lèvres, comme pour l’encourager, j’appuyai sur sa tête en caressant ses cheveux.
Puis après m’avoir sucée un instant, Cathy s’empara de mes jambes et les passa sur ses épaules. De la langue elle se dirigeait vers mon œillet et le temps de réaliser ce qu’elle faisait, sa langue s’enfonçait dans ma rondelle.
Je ne fus pas longue à me détendre. Sa langue virevoltait sur les plis de ma rosette. Je ne pensais plus qu’à offrir mon intimité à sa bouche. Elle se dégagea pour mieux reprendre l’initiative, me guidant lentement pour me positionner à quatre pattes.
Placée comme je l’étais, je pouvais voir Laure allongée sur le dos, cuisses ouvertes, se faisant dévorer la vulve par la vendeuse.
La bouche de Delphine n’était plus qu’une ventouse collée sur la chatte de Laure qui se tortillait, subjuguée par le plaisir. La jupe de Delphine était relevée, découvrant une superbe culotte blanche, fendue.
Par la fente, Delphine se masturbait, son index et son majeur en proie à un va-et-vient effréné entre ses lèvres. Mon excitation redoubla, et ce fut comme une délivrance lorsque Cathy, d’un doigt toucha mon trou plissé, j’écartais mes genoux pour lui faciliter la tâche et ouvrir mes fesses.
Enhardie par ce geste, Cathy enduisit largement mon petit trou de gel intime et y posa son auriculaire. Branlant mon sexe de la main gauche, elle pressa doucement sur ma rosette qui me céda sans aucune difficulté. Son petit doigt écartait mes plis chaque fois un peu plus sous l’effet d’aller-retour rapides, m’ouvrant petit à petit le trou du cul.
J’haletais, le nez dans le matelas.
Delphine me força l’œillet de plus en plus vite, dilatant un peu plus mon sphincter. Sa main gauche continuant de me branler.
L’action conjuguée de toutes ces caresses ne se fit pas attendre, je ne pus résister au plaisir qui montait en moi et je jouis arrosant le matelas de ma jouissance.
Je m’effondrais sur le ventre, en nage et haletante.
À côté de nous, Delphine et Laure, enlacées, se câlinaient doucement.
Puis Delphine se releva en disant que sa patronne n’allait pas tarder.
Nous quittâmes le magasin après nous être rhabillées en nous échangeant encore quelques tendres caresses.
Chacune ayant fait ses achats nous sommes allées déjeuner.
Les vacances se terminaient.
A suivre…
A notre réveil, le soleil était déjà haut. Laure nous avait gentiment préparé le petit déjeuner.
Aucun doute, à son réveil, elle nous avait vues, enlacées avec Cathy, sous la même couette. Elle nous accueillit avec un super sourire :
- Vous avez passé une bonne nuit.
Nous ne pûmes nous empêcher de rire.
Le petit déjeuner fut très jovial.
Nous avions décidé de traîner en ville pour faire les boutiques, avant de rentrer à Paris.
Ramener quelques souvenirs, une ou deux fringues sympas et rester encore un moment avec Cathy, qui restait encore une semaine.
Nous avons déambulées dans cette petite ville, faisant les vitrines, s’arrêtant un instant pour boire un café en terrasse, nous étions heureuses de vivre.
Une petite boutique, au fond d’une impasse, nous attira, elle exposait quelques modèles de robes, jupes, hauts et pièces de lingerie encore sages, mais surtout, quelques affichettes manuscrites nous invitaient à venir découvrir une collection complète à l’intérieur.
Le magasin était désert, pas âme qui vive, plein de petites fringues sympa, sexy en diable. Nous prenions plaisir à partager bruyamment les découvertes que nous pouvions faire à chaque instant.
Ce raffut attira très certainement la vendeuse qui sortit de l’arrière-boutique en souriant. Une mignonne petite blonde, mince, d’environ 25 ans, en mini-jupe rose et chemisier blanc qui nous offrit de suite son aide, nous proposant de passer à notre guise, les vêtements qui nous tentaient.
La vendeuse prenait le temps de nous conseiller, donnait son avis qui semblait sincère, sans jamais perdre patience.
Elle parut néanmoins un peu ennuyée lorsque nous demandâmes la permission d’essayer la lingerie.
- Vous savez, c’est interdit normalement, je dois demander à la patronne.
Elle se dirigea vers le comptoir, parla un petit moment au téléphone et revint en souriant.
- C’est d’accord, mais pas dans le magasin, suivez-moi derrière. Je pense que ce que nous avons en réserve vous plaira.
Après avoir fermée la boutique, elle nous entraîna dans l’arrière-boutique avec un sourire complice. J’eus l’impression que tout venait de basculer, et la suite prouva que je ne me trompais pas.
A peine la porte refermée, la vendeuse nous indiqua un portant sur lequel se trouvait ce qu’elle nous présenta comme étant une collection plus osée, difficilement présentable au grand jour dans un magasin d’une petite ville de province, mais très appréciée par une clientèle fidèle.
Il est vrai que pour être osé, c’était osé.
Des robes hyper moulantes, des jupes très courtes et pour certaines fendues très haut, des dessous affriolants noirs et rouges, des strings ouverts, des guêpières, en fait une véritable caverne d’Ali-Baba pour jeunes filles et femmes délurées voulant être sexy, voir même aguicheuses.
Delphine, la vendeuse, nous invita à laisser nos envies s’exprimer, ce que nous fîmes.
Chacune, de nous trois, choisit une tenue sexy avant de se diriger vers les cabines.
Une fois habillées, nous nous retrouvâmes habillées dans nos tenues faisant face à Delphine. La situation était excitante et pour sûr, elle allait déraper.
Delphine commença par Laure, qui avait choisi une robe entièrement blanche, dos nu presque jusqu’au haut des fesses, deux fines bretelles nouées dans le dos retenant le haut, cintrée à la taille et s’évasant dessous, arrivant à peine à mi cuisses. Portée sans soutien-gorge, ses mamelons tendus pointaient sous le tissu un peu transparent, laissant aussi deviner ses aréoles.
Delphine s’approcha de Laure, la fit se retourner, et sous prétexte d’ajuster la robe, posa ses mains sur ses hanches. Un peu surprise, mais surtout très excitée, Laure se cambra, offrant ses fesses.
Delphine, devant cette provocation laissa ses doigts descendre à travers la robe, sur les deux globes fermes, puis entama un massage insistant.
Laure se pencha vers l’avant, prenant appui des deux mains sur un portant. Delphine porta sa caresse vers le bas des fesses, les mains disparurent sous la robe, et s’activèrent.
Je les voyais distinctement bouger sous le tissu, dans une série de gestes explicites. Laure l’aida un peu en écartant les jambes.
Sa position était tout à fait indécente, mais si excitante, Laure était en train de se faire masturber par la petite vendeuse, particulièrement rodée à ces essayages particuliers.
Habilement, elle fit glisser la culotte que Laure avait choisie et nous découvrîmes un superbe string en dentelle blanche, Delphine, sans mot dire, se remit à masturber Laure, au soupir que poussais Laure, il était évident qu’elle appréciait les caresses de Delphine.
Je sentais mon sexe raidir à la vue de ce spectacle et une furieuse envie de me caresser monta en moi.
Je n’eus pas le temps d’esquisser le moindre mouvement. Cathy, qui s’était glissée derrière moi, passa ses bras sous les miens et posa ses mains sur mes seins aux pointes dardées. J’avais choisi une mini robe moulante en lycra que je portais sans soutien-gorge. Le contact de ses doigts à travers le tissu m’électrisa littéralement. Je reculai pour me coller à elle, poussant mes fesses contre son pubis.
Elle descendit vers mon ventre et ne s’arrêta que lorsqu’elle atteignit mon sexe, pour le masser avec vigueur. Ses gestes rapides et précipités trahissaient son excitation. Elle fit remonter ma robe pour découvrir ma culotte en dentelle noire et me caressa le membre à travers elle sous le regard étonné de Delphine.
- On dirait que ça t’excite de voir Laure se faire caresser, me dit Cathy, à moins que ce ne soit ma main qui te fasse bander ainsi.
Cathy me caressait sans pudeur sous les yeux attentifs de Delphine, je ne pouvais me dérober et surtout je ne le souhaitais pas. Je m’abandonnais entre les mains de Cathy.
Je m’entendis lui répondre comme dans un rêve :
- Ohhh oui, Cathy branle moi, fais-moi jouir.
Je ne pouvais plus me contrôler. Je voulais jouir.
Cathy s’enhardit encore. Ses mains se firent plus pressantes sur mon sexe. Sa caresse se mua en une franche masturbation à travers la dentelle.
Puis soudain, elle fit glisser la fermeture éclair qui fermait la robe, partant d’entre mes omoplates pour arriver au creux de mes reins. Je me cambrai, parcourue par un frisson.
J’accompagnais son mouvement lorsqu’elle fit glisser tout d’abord la robe, puis la culotte à mes pieds.
J’étais nue, offerte le sexe raide entre mes jambes.
- Viens, me dit Cathy.
Elle m’entraîna et m’allongea sur un matelas qui n’était sûrement pas là par hasard, les essayages devaient être souvent sulfureux. Elle s’agenouilla et écarta mes cuisses, prenant le temps de poser un regard insistant sur mon sexe dressé. Penchée en avant comme elle l’était, son débardeur baillait largement, dévoilant sa poitrine emprisonnée dans un superbe soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche.
Elle plongea sa tête entre mes cuisses pour prendre mon sexe entre ses lèvres, comme pour l’encourager, j’appuyai sur sa tête en caressant ses cheveux.
Puis après m’avoir sucée un instant, Cathy s’empara de mes jambes et les passa sur ses épaules. De la langue elle se dirigeait vers mon œillet et le temps de réaliser ce qu’elle faisait, sa langue s’enfonçait dans ma rondelle.
Je ne fus pas longue à me détendre. Sa langue virevoltait sur les plis de ma rosette. Je ne pensais plus qu’à offrir mon intimité à sa bouche. Elle se dégagea pour mieux reprendre l’initiative, me guidant lentement pour me positionner à quatre pattes.
Placée comme je l’étais, je pouvais voir Laure allongée sur le dos, cuisses ouvertes, se faisant dévorer la vulve par la vendeuse.
La bouche de Delphine n’était plus qu’une ventouse collée sur la chatte de Laure qui se tortillait, subjuguée par le plaisir. La jupe de Delphine était relevée, découvrant une superbe culotte blanche, fendue.
Par la fente, Delphine se masturbait, son index et son majeur en proie à un va-et-vient effréné entre ses lèvres. Mon excitation redoubla, et ce fut comme une délivrance lorsque Cathy, d’un doigt toucha mon trou plissé, j’écartais mes genoux pour lui faciliter la tâche et ouvrir mes fesses.
Enhardie par ce geste, Cathy enduisit largement mon petit trou de gel intime et y posa son auriculaire. Branlant mon sexe de la main gauche, elle pressa doucement sur ma rosette qui me céda sans aucune difficulté. Son petit doigt écartait mes plis chaque fois un peu plus sous l’effet d’aller-retour rapides, m’ouvrant petit à petit le trou du cul.
J’haletais, le nez dans le matelas.
Delphine me força l’œillet de plus en plus vite, dilatant un peu plus mon sphincter. Sa main gauche continuant de me branler.
L’action conjuguée de toutes ces caresses ne se fit pas attendre, je ne pus résister au plaisir qui montait en moi et je jouis arrosant le matelas de ma jouissance.
Je m’effondrais sur le ventre, en nage et haletante.
À côté de nous, Delphine et Laure, enlacées, se câlinaient doucement.
Puis Delphine se releva en disant que sa patronne n’allait pas tarder.
Nous quittâmes le magasin après nous être rhabillées en nous échangeant encore quelques tendres caresses.
Chacune ayant fait ses achats nous sommes allées déjeuner.
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