Leslie HD03
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Leslie HD03
Leslie HD03 – Week-end
Je dois me rendre à Montpellier pour passer une semaine chez une amie, transexuelle comme moi, que je n’ai pas vue depuis longtemps. Malheureusement n’ayant plus de voiture en ce moment je dois trouver un moyen pour me rendre dans le sud de la France.
C’est mon amie Laure qui, comme d’habitude, va m’a trouver une solution pour me dépanner, son oncle, Paul, devant descendre à Béziers pouvait me conduire à Montpellier puisque c’était presque sa route.
Rendez-vous est pris pour six heures, vendredi matin, au pied de l’immeuble de Laure.
Vendredi, je me retrouve à l’heure en bas de l’immeuble de Laure, Laure à tenue à ce que je dorme chez elle.
Au bout de cinq minutes, une voiture s’arrête, une Mercedes blanche aux vitres teintées et tout. La portière du passager s’ouvre et une voie à l’intérieur dit :
- Si vous êtes Leslie, vous pouvez monter.
Je monte et m’assoie pour découvrir un homme d’environ quarante-cinq ans, très grand avec les cheveux grisonnants, soigné de sa personne, il a un charme fou.
Assise à côté de lui je suis impressionnée, mais il me sourit en tendant sa main et en disant :
- Bonjour, Leslie, je suis Paul, l’oncle de Laure.
Une nouvelle fois il me sourit et démarre.
C’est bon, je suis en confiance, dans cette voiture puissante le parcours va être agréable et de plus le tonton est bel homme et parait sympa.
Il me demande :
- Vous allez à Montpellier ?
- Oui et vous à Béziers m’a dit Laure ?
- Oui, je vous déposerai où cela vous arrange.
- Merci, c’est vraiment gentil à vous !
- C’est normal vous êtes l’amie de ma nièce.
En plus, il est vraiment sympa ! Lorsque je lui parle je regarde son marqué, qui laisse apparaitre un bon fond et par moment il me regarde et nos yeux se croisent.
Son regard est profond et sombre.
Nous discutons ainsi une bonne demi-heure. Il était marié avec deux enfants, mais il est divorcé depuis cinq ans compte tenu de son travail qui le mène aux quatre coins de la France, car ayant sa propre société il est obligé de tout surveiller et découche souvent pour raisons professionnelles.
Je suis détendue car il m’inspire confiance. Je me sens bien près de lui. Nous discutons de tout et de rien, bref on fait connaissance dans une ambiance feutrée avec une musique classique de fond.
Au bout d’un moment il me demande de le tutoyer et il en fait de même. Il me dit :
- Tu sais que tu es très jolie.
Cette petite phrase provoque en moi un frisson, cet homme me trouve jolie, c’est flatteur et je sens monter en moi la température. Aussitôt je lui réponds :
Il parait car on me le dit, mais c’est gentil de me le signaler, je te remercie.
- Pourquoi ?
- De me dire que je suis jolie et c’est flatteur venant d’un homme comme toi.
- Pourquoi un homme comme moi ? Que veux-tu dire ?
- Je dis que tu es classe et bel homme et que je trouve que tu as charme.
Il rigole et me dit :
- Mais tu me drague en ce moment !
- Euh non, enfin oui, un peu !
- Et cela ne te gêne pas ?
- Non pourquoi ?
- Eh bien j’ai vingt ans de plus que toi, je suis l’oncle de ton amie, et je sais que vous êtes amantes car elle me l’a dit et tu me drague, aurais-je oublié quelque chose ?
Il a raison sur tout ce qu’il dit, sauf qu’il ne sait peut-être pas que je ne suis pas une vraie femme et que je me demande comment il va réagir. Sinon il a dû voir qu’il m’attirait et que peut-être je l’attire aussi, car n’a-t-il pas dit qu’il me trouvait jolie. Mais il ne me laisse pas répondre, il pose sa main sur mon genou et me dit :
- Tu sais, étant l’oncle préféré de Laure je suis un peu son confident et de ce fait je suis au courant de beaucoup de chose sur toi. J’ai vu que tu me regardais beaucoup, et ton regard exprimait autre chose que du respect, je me trompe peut-être mais je crois que la situation t’excite.
- Mais euh…
- Mais je te l’avoue, moi aussi, cette situation m’excite beaucoup !
Là, je suis bluffée et je ne sais quoi répondre. Je suis très excitée, et je sais qu’il le sent, maintenant je désire plus qu’une simple discussion dans cette voiture avec lui. Mais compte tenu de mon physique ira-t-il jusqu’au bout.
Comme toi, me dit-il, je suis très excité et depuis le départ je me demandais si tu allais assumée et aller jusqu’au bout.
Pourquoi je n’irais pas jusqu’au bout et que je n’assumerais pas, pourquoi avait-il dit ça et qu’est-ce cela cachait.
Pour toute réponse Paul me dit :
- Découvre par toi-même ce qui peut t’empêcher d’assumer.
En disant cela il prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son pantalon en me regardant avec un sourire rassurant. Sourire que je lui rends en sentant une chaleur monter en moi, l’excitation me gagne et je me sens fondre par la chaleur qui m’envahie.
Je ne peux pas quitter Paul des yeux, alors que je commence à caresser délicatement son entrejambe, je sens son membre sous ma main, déjà gonflé de désirs.
Paul fixe la route tandis que je m’aperçois que le membre de Paul est déjà d’une taille imposante et que sous mes caresses son sexe continu de gonfler.
Je me décide d’ouvrir sa braguette en grand pour découvrir l’engin de Paul, et ce que je découvre me fait frémir. J’ai dans les mains un sexe impressionnant, très long il fait plus de vingt centimètres et surtout très large car ma main n’en fait pas le tour !
Ce sexe circoncis a une grosse veine sur le côté et un gros gland brun, ce sexe dégage une impression de puissance et parait presque menaçant.
Je subjuguée en fixant ce membre qui est là dans ma main, Paul me dit alors :
- Alors tu as peur ou tu vas assumer ?
Je rigole et lui réponds :
- Paul, Laure as du te dire que je suis une coquine.
- Ohhh, que oui !
- Et maintenant moi aussi je peux te dire que tu ne vas peut-être pas assumer.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre et je me penche pour enfourner son énorme gland dans ma bouche, il me la remplit entièrement et je ne peux pas m’en enfoncer plus de la moitié. Paul gémit de sentir mes lèvres autour de son membre, sa verge est douce et raide, j’ai l’impression que rien ne peut la tordre, mais qui peux prendre une telle verge dans sa chatte ou dans son cul.
Ma main branle cette énorme verge et je joue sur le gland avec mes lèvres et ma langue, je l’entends doucement gémir, alors j’accélère le rythme de ma main et prend le maximum de sa verge dans ma bouche.
Le souffle de Paul, soudain, s’accélère je sens deux jets de semence remplir le fond de ma gorge, deux autres suivent et j’avale toute cette jouissance qui à exploser me remplissant la bouche. Le sperme de Paul est sucré et chaud et après avoir tout aval », j’embrasse le gland qui m’est offert en serrant sa verge encore raide. Puis je range le sexe de très difficilement dans son pantalon et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi.
- Alors, tu vois, moi j’ai assumée et assurer, lui dis-je.
- Oui, tu suces comme une malade et à merveille et en plus, tu as l’air d’aimer ça.
- Je t’avoue que j’aime sucer les mecs et de les faire jouir avec ma bouche, je me sens cochonne quand ils jouissent entre mes lèvres, mais là c’est impressionnant, tu as un engin comme jamais je n’ai vue, ça ne doit pas être facile à encaisser !
- Effectivement, beaucoup de mes partenaires n’encaissent pas.
Pendant l’instant qui suit, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, mais je suis encore très excitée et je bande comme une folle. Je sens encore le goût de Paul dans ma bouche, je veux le garder en moi, comme un souvenir fou en passant à son sexe.
Paul me sort de mes pensées en reprenant la parole :
- Et toi, tu crois que tu pourrais encaisser ?
- Euh, oui, certainement.
- J’ai très envie de toi alors si tu voulais…
- Il faudra assumer, lui dis-je.
- Assumer quoi ?
- Laure ne t’a rien dit.
Paul rigole et me dit :
- Si c’est de ton corps dont tu parles bien-sûr que Laure m’a dit que tu es une transexuelle.
- Ok, dis-je, un peu surprise.
- Et je dois t’avouer, rajoute Paul, que c’est pour cela que tu es en ce moment près de moi dans la voiture, je voudrais que tu sois ma maîtresse pour le week-end.
- Alors trouvons nous un hôtel maintenant, passons un bon moment et une nuit et voyons si j’encaisse, demain matin nous verrons.
A suivre…
Je dois me rendre à Montpellier pour passer une semaine chez une amie, transexuelle comme moi, que je n’ai pas vue depuis longtemps. Malheureusement n’ayant plus de voiture en ce moment je dois trouver un moyen pour me rendre dans le sud de la France.
C’est mon amie Laure qui, comme d’habitude, va m’a trouver une solution pour me dépanner, son oncle, Paul, devant descendre à Béziers pouvait me conduire à Montpellier puisque c’était presque sa route.
Rendez-vous est pris pour six heures, vendredi matin, au pied de l’immeuble de Laure.
Vendredi, je me retrouve à l’heure en bas de l’immeuble de Laure, Laure à tenue à ce que je dorme chez elle.
Au bout de cinq minutes, une voiture s’arrête, une Mercedes blanche aux vitres teintées et tout. La portière du passager s’ouvre et une voie à l’intérieur dit :
- Si vous êtes Leslie, vous pouvez monter.
Je monte et m’assoie pour découvrir un homme d’environ quarante-cinq ans, très grand avec les cheveux grisonnants, soigné de sa personne, il a un charme fou.
Assise à côté de lui je suis impressionnée, mais il me sourit en tendant sa main et en disant :
- Bonjour, Leslie, je suis Paul, l’oncle de Laure.
Une nouvelle fois il me sourit et démarre.
C’est bon, je suis en confiance, dans cette voiture puissante le parcours va être agréable et de plus le tonton est bel homme et parait sympa.
Il me demande :
- Vous allez à Montpellier ?
- Oui et vous à Béziers m’a dit Laure ?
- Oui, je vous déposerai où cela vous arrange.
- Merci, c’est vraiment gentil à vous !
- C’est normal vous êtes l’amie de ma nièce.
En plus, il est vraiment sympa ! Lorsque je lui parle je regarde son marqué, qui laisse apparaitre un bon fond et par moment il me regarde et nos yeux se croisent.
Son regard est profond et sombre.
Nous discutons ainsi une bonne demi-heure. Il était marié avec deux enfants, mais il est divorcé depuis cinq ans compte tenu de son travail qui le mène aux quatre coins de la France, car ayant sa propre société il est obligé de tout surveiller et découche souvent pour raisons professionnelles.
Je suis détendue car il m’inspire confiance. Je me sens bien près de lui. Nous discutons de tout et de rien, bref on fait connaissance dans une ambiance feutrée avec une musique classique de fond.
Au bout d’un moment il me demande de le tutoyer et il en fait de même. Il me dit :
- Tu sais que tu es très jolie.
Cette petite phrase provoque en moi un frisson, cet homme me trouve jolie, c’est flatteur et je sens monter en moi la température. Aussitôt je lui réponds :
Il parait car on me le dit, mais c’est gentil de me le signaler, je te remercie.
- Pourquoi ?
- De me dire que je suis jolie et c’est flatteur venant d’un homme comme toi.
- Pourquoi un homme comme moi ? Que veux-tu dire ?
- Je dis que tu es classe et bel homme et que je trouve que tu as charme.
Il rigole et me dit :
- Mais tu me drague en ce moment !
- Euh non, enfin oui, un peu !
- Et cela ne te gêne pas ?
- Non pourquoi ?
- Eh bien j’ai vingt ans de plus que toi, je suis l’oncle de ton amie, et je sais que vous êtes amantes car elle me l’a dit et tu me drague, aurais-je oublié quelque chose ?
Il a raison sur tout ce qu’il dit, sauf qu’il ne sait peut-être pas que je ne suis pas une vraie femme et que je me demande comment il va réagir. Sinon il a dû voir qu’il m’attirait et que peut-être je l’attire aussi, car n’a-t-il pas dit qu’il me trouvait jolie. Mais il ne me laisse pas répondre, il pose sa main sur mon genou et me dit :
- Tu sais, étant l’oncle préféré de Laure je suis un peu son confident et de ce fait je suis au courant de beaucoup de chose sur toi. J’ai vu que tu me regardais beaucoup, et ton regard exprimait autre chose que du respect, je me trompe peut-être mais je crois que la situation t’excite.
- Mais euh…
- Mais je te l’avoue, moi aussi, cette situation m’excite beaucoup !
Là, je suis bluffée et je ne sais quoi répondre. Je suis très excitée, et je sais qu’il le sent, maintenant je désire plus qu’une simple discussion dans cette voiture avec lui. Mais compte tenu de mon physique ira-t-il jusqu’au bout.
Comme toi, me dit-il, je suis très excité et depuis le départ je me demandais si tu allais assumée et aller jusqu’au bout.
Pourquoi je n’irais pas jusqu’au bout et que je n’assumerais pas, pourquoi avait-il dit ça et qu’est-ce cela cachait.
Pour toute réponse Paul me dit :
- Découvre par toi-même ce qui peut t’empêcher d’assumer.
En disant cela il prend ma main pour la poser délicatement sur la braguette de son pantalon en me regardant avec un sourire rassurant. Sourire que je lui rends en sentant une chaleur monter en moi, l’excitation me gagne et je me sens fondre par la chaleur qui m’envahie.
Je ne peux pas quitter Paul des yeux, alors que je commence à caresser délicatement son entrejambe, je sens son membre sous ma main, déjà gonflé de désirs.
Paul fixe la route tandis que je m’aperçois que le membre de Paul est déjà d’une taille imposante et que sous mes caresses son sexe continu de gonfler.
Je me décide d’ouvrir sa braguette en grand pour découvrir l’engin de Paul, et ce que je découvre me fait frémir. J’ai dans les mains un sexe impressionnant, très long il fait plus de vingt centimètres et surtout très large car ma main n’en fait pas le tour !
Ce sexe circoncis a une grosse veine sur le côté et un gros gland brun, ce sexe dégage une impression de puissance et parait presque menaçant.
Je subjuguée en fixant ce membre qui est là dans ma main, Paul me dit alors :
- Alors tu as peur ou tu vas assumer ?
Je rigole et lui réponds :
- Paul, Laure as du te dire que je suis une coquine.
- Ohhh, que oui !
- Et maintenant moi aussi je peux te dire que tu ne vas peut-être pas assumer.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre et je me penche pour enfourner son énorme gland dans ma bouche, il me la remplit entièrement et je ne peux pas m’en enfoncer plus de la moitié. Paul gémit de sentir mes lèvres autour de son membre, sa verge est douce et raide, j’ai l’impression que rien ne peut la tordre, mais qui peux prendre une telle verge dans sa chatte ou dans son cul.
Ma main branle cette énorme verge et je joue sur le gland avec mes lèvres et ma langue, je l’entends doucement gémir, alors j’accélère le rythme de ma main et prend le maximum de sa verge dans ma bouche.
Le souffle de Paul, soudain, s’accélère je sens deux jets de semence remplir le fond de ma gorge, deux autres suivent et j’avale toute cette jouissance qui à exploser me remplissant la bouche. Le sperme de Paul est sucré et chaud et après avoir tout aval », j’embrasse le gland qui m’est offert en serrant sa verge encore raide. Puis je range le sexe de très difficilement dans son pantalon et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi.
- Alors, tu vois, moi j’ai assumée et assurer, lui dis-je.
- Oui, tu suces comme une malade et à merveille et en plus, tu as l’air d’aimer ça.
- Je t’avoue que j’aime sucer les mecs et de les faire jouir avec ma bouche, je me sens cochonne quand ils jouissent entre mes lèvres, mais là c’est impressionnant, tu as un engin comme jamais je n’ai vue, ça ne doit pas être facile à encaisser !
- Effectivement, beaucoup de mes partenaires n’encaissent pas.
Pendant l’instant qui suit, nous ne disons pas un mot, je regarde la route, mais je suis encore très excitée et je bande comme une folle. Je sens encore le goût de Paul dans ma bouche, je veux le garder en moi, comme un souvenir fou en passant à son sexe.
Paul me sort de mes pensées en reprenant la parole :
- Et toi, tu crois que tu pourrais encaisser ?
- Euh, oui, certainement.
- J’ai très envie de toi alors si tu voulais…
- Il faudra assumer, lui dis-je.
- Assumer quoi ?
- Laure ne t’a rien dit.
Paul rigole et me dit :
- Si c’est de ton corps dont tu parles bien-sûr que Laure m’a dit que tu es une transexuelle.
- Ok, dis-je, un peu surprise.
- Et je dois t’avouer, rajoute Paul, que c’est pour cela que tu es en ce moment près de moi dans la voiture, je voudrais que tu sois ma maîtresse pour le week-end.
- Alors trouvons nous un hôtel maintenant, passons un bon moment et une nuit et voyons si j’encaisse, demain matin nous verrons.
A suivre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire,leslie c'est un phantasme qui me plaitaît que d'avoir une relation intime avec une transexuelle, le récit est plaisant et que dire, je suppose qu'ils ont bien assumer, bien à toi, de la part d'un belge de Liège