Leslie HD04
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie HD04
Leslie HD04 – Week-end, suite
Paul me regarde, ses yeux brillent, il parait heureux que j’ai acceptée d’essayer de faire l’amour avec lui.
- Ok, belle Leslie, nous allons sortir de l’autoroute et trouver un hôtel pour nous aimer.
Maintenant je sens la pression monter, faire l’amour avec Paul, j’en ai très envie mais j’ai aussi peur. Et après tout si moi non plus je ne pouvais pas l’encaisser.
Les idées me trottent dans la tête et les souvenirs du passé ressurgissent de ma mémoire. Bien sûr que j’ai déjà été sodomisée par des membres imposants, mais peut-être pas aussi énorme que celui de Paul, en pensant à cela un frisson me parcours, mi peur et mi envie, je sais que je vais déguster mais l’envie est trop forte, je n’aurais qu’à serrer les dents un moment.
- Tu parais songeuse, me dit Paul.
- Je pensais à ce qui va se passer entre nous, franchement j’ai bien peur que ton sexe ne rentre pas ou me déchire.
- Je comprends ma chérie, mais j’ai ce qu’il faut avec moi, ne t’inquiètes pas pour ça.
- Mais comprends que j’ai vraiment peur, mais j’ai aussi vraiment envie d’essayer.
Paul ne dit plus rien et je vois son sexe gonfler à nouveau sous sa braguette. Ce vicieux doit être en train d’imaginer mon derrière et son sexe en train de me pénétrer.
Quelques kilomètres plus loin, Paul sort de l’autoroute, et me dit :
- Nous allons aller à Saint-Flour et chercher un hôtel.
Paul se gare sur le parking de l’hôtel le plus chic de la ville et en ouvrant sa portière il me dit :
- Dans cet hôtel il me connaisse et j’ai mes habitudes, nous n’aurons pas de soucis.
Il prend ce qu’il faut dans son coffre, moi mon sac de sport, et nous entrons dans l’hôtel.
Comme prévu tout se passe sans problème et Paul récupère la clé de notre chambre au premier étage. En allant vers l’escalier j’entends une voix dire :
- Bon séjour, mademoiselle et monsieur.
Je tremble de partout en montant les marches qui conduisent à la chambre et sitôt entrés dans la chambre je dépose mon sac et entre dans les toilettes.
Je sens que je mouille depuis un bon moment et que mon sexe a besoin de caresses, alors je passe ma main dans mon jean et caresse mon sexe gonflé comme jamais. Je quitte mon jeans pour me retrouver en string et je me branle rapidement pour me calmer. Au bout de quelques secondes je sens déjà la pression monter dans mon membre raide, les frissons remontent le long de mon dos et mon corps commence à trembler, je laisse le plaisir m’envahir et je jouis comme une dingue, un plaisir vraiment très fort.
A peine ai-je finie que j’entends Paul derrière la porte :
- Leslie ? Tu es là ?
- Attends chéri, deux minutes.
Je me refais une beauté et rajuste mon string, puis j’enlève mon soutif pour rester la poitrine nue sous mon débardeur, je me regarde dans la glace et me trouve désirable, alors appuyée au lavabo je dis :
- Entre, maintenant c’est ouvert.
Paul ne se fait pas prier, entre et se place dans mon dos. Il est tout contre moi et je remarque dans le reflet de la glace qu’il est plus grand que moi. Il est torse nu avec un caleçon et sa musculature donne à penser qu’il s’entretient en faisant du sport.
Il prend mes seins dans ses mains en disant :
- Tu es très belle, ta poitrine est vraiment magnifique.
Il me caresse en me serrant contre lui, il m’enlève mon débardeur et nos peaux entre en contact, un frisson me parcours et Paul s’en aperçois.
- Tu as froid, ma chérie, ou tu as peur, me demande-t-il.
Je ne réponds pas et me laisse aller sous ses caresses, je le sens dans mon dos baisser son caleçon qui termine à ses pieds et aussitôt il plaque son sexe dur sur mes fesses me faisant une nouvelle fois frémir.
- Mets tes mains sur le lavabo et écartes bien tes jambes.
Je lui obéis. Je pose mes mains sur le lavabo et écarte mes jambes, je me sens soumise et salope et je bande comme une malade.
- Cambres-toi bien et montres moi tes fesses.
Je m’exécute, mais j’ai une envie folle de me branler. Paul ne perd pas une seconde, il abaisse mon string jusqu’aux genoux et m’oblige à m’en séparer, je suis nue à présent et à sa merci.
- Tu as un cul magnifique ! Me dit-il.
Il écarte mes fesses de ses deux mains et découvre mon œillet plissé qui, à cet instant, est légèrement ouvert frémissant d’impatience et de peur.
- Ton petit trou est magnifique, me dit-il, je vais bien te préparer.
Je sens un liquide froid dans ma raie du cul, Paul doit m’enduire l’anus de gel, puis un doigt se promène sur le pourtour de ma rosette afin d’étaler le lubrifiant et sans prévenir il l’introduit en moi me faisant sursauter.
- Tu es prêtes ma chérie, tu vas découvrir la sensation d’être remplie et ne sois pas surprise, ça risque d’être difficile au début.
Ces propos ne m’ont pas rassuré, même si je suis ouverte, j’ai peur, je l’entends lubrifier son sexe et je sais que c’est pour très bientôt.
Malgré la peur, je n’ai jamais été autant excitée et soumise. Je me cambre encore plus et tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter et lui faire sentir mon désir.
Paul met une main sur ma fesse gauche et du pouce l’écarte pour faire apparaitre mon petit trou, s’aidant de l’autre main il guise son sexe vers mon cul, puis je sens son gland sur mon anus. A ce moment je ferme les yeux.
Aussitôt je sens une pression sur mon œillet qui commence s’ouvrir un peu, Paul continue de pousser pour entrer son gland en moi et passer le sphincter. Mon muscle résiste, Paul me prend à deux mains par les hanches et pousse doucement son sexe en moi, le gland s’enfonce alors, un peu, en moi en distendant mon anus et provoquant une décharge électrique dans mes reins. Et je hurle comme une damnée.
Le gland, non sans difficulté, est passé et mon muscle anal l’enserre au niveau de la couronne, Paul ne bouge plus attendant un signe de moi lui demandant de continuer, je sens en moi les soubresauts d’impatience de son gland qui ne demande que d’aller plus profondément en moi.
Je sens mon anus ouvert comme jamais avec cette présence qui à ce moment-là ne me donne aucun plaisir, sinon que le fait d’être remplie et de me faire posséder par un membre hors normes.
Cette intrusion, pour l’instant est douloureuse et me fait mal, une larme perle sur ma joue accompagnée d’un long gémissement.
J’envisage de me retirer, admettre que je peux encaisser le membre de mon amant et me sauver comme toutes les autres, j’ai trop envie de ce membre juste entré en moi, je bande comme jamais. En plus, Paul a été doux et je suis certaine que je vais jouir de cette queue de folie.
Comme pour me rassurer et me calmer Paul se penche vers moi et passant sa main par devant moi, prend mon sexe dans sa main droite et le caresse délicatement en disant :
- Tu bandes comme une reine, ma chérie !
Puis il se met à me branler doucement en me tenant fermement dans sa main, le plaisir monte en moi me faisant oublier la douleur qui vrille mes reins et mon anus. Paul est délicat, il joue avec ma queue en restant planté dans mon cul et des frissons parcourent mon corps, je me sens prête à m’ouvrir pour mon amant.
Paul s’arrête de me branler et pose sa main sur ma hanche droite, maintenant il me tient fermement et avec puissance, et cela me fait frémir.
Je comprends que maintenant je n’y échapperai pas, mais en même temps j’en ai envie et je veux encaisser, comme le dit Paul.
A suivre…
Paul me regarde, ses yeux brillent, il parait heureux que j’ai acceptée d’essayer de faire l’amour avec lui.
- Ok, belle Leslie, nous allons sortir de l’autoroute et trouver un hôtel pour nous aimer.
Maintenant je sens la pression monter, faire l’amour avec Paul, j’en ai très envie mais j’ai aussi peur. Et après tout si moi non plus je ne pouvais pas l’encaisser.
Les idées me trottent dans la tête et les souvenirs du passé ressurgissent de ma mémoire. Bien sûr que j’ai déjà été sodomisée par des membres imposants, mais peut-être pas aussi énorme que celui de Paul, en pensant à cela un frisson me parcours, mi peur et mi envie, je sais que je vais déguster mais l’envie est trop forte, je n’aurais qu’à serrer les dents un moment.
- Tu parais songeuse, me dit Paul.
- Je pensais à ce qui va se passer entre nous, franchement j’ai bien peur que ton sexe ne rentre pas ou me déchire.
- Je comprends ma chérie, mais j’ai ce qu’il faut avec moi, ne t’inquiètes pas pour ça.
- Mais comprends que j’ai vraiment peur, mais j’ai aussi vraiment envie d’essayer.
Paul ne dit plus rien et je vois son sexe gonfler à nouveau sous sa braguette. Ce vicieux doit être en train d’imaginer mon derrière et son sexe en train de me pénétrer.
Quelques kilomètres plus loin, Paul sort de l’autoroute, et me dit :
- Nous allons aller à Saint-Flour et chercher un hôtel.
Paul se gare sur le parking de l’hôtel le plus chic de la ville et en ouvrant sa portière il me dit :
- Dans cet hôtel il me connaisse et j’ai mes habitudes, nous n’aurons pas de soucis.
Il prend ce qu’il faut dans son coffre, moi mon sac de sport, et nous entrons dans l’hôtel.
Comme prévu tout se passe sans problème et Paul récupère la clé de notre chambre au premier étage. En allant vers l’escalier j’entends une voix dire :
- Bon séjour, mademoiselle et monsieur.
Je tremble de partout en montant les marches qui conduisent à la chambre et sitôt entrés dans la chambre je dépose mon sac et entre dans les toilettes.
Je sens que je mouille depuis un bon moment et que mon sexe a besoin de caresses, alors je passe ma main dans mon jean et caresse mon sexe gonflé comme jamais. Je quitte mon jeans pour me retrouver en string et je me branle rapidement pour me calmer. Au bout de quelques secondes je sens déjà la pression monter dans mon membre raide, les frissons remontent le long de mon dos et mon corps commence à trembler, je laisse le plaisir m’envahir et je jouis comme une dingue, un plaisir vraiment très fort.
A peine ai-je finie que j’entends Paul derrière la porte :
- Leslie ? Tu es là ?
- Attends chéri, deux minutes.
Je me refais une beauté et rajuste mon string, puis j’enlève mon soutif pour rester la poitrine nue sous mon débardeur, je me regarde dans la glace et me trouve désirable, alors appuyée au lavabo je dis :
- Entre, maintenant c’est ouvert.
Paul ne se fait pas prier, entre et se place dans mon dos. Il est tout contre moi et je remarque dans le reflet de la glace qu’il est plus grand que moi. Il est torse nu avec un caleçon et sa musculature donne à penser qu’il s’entretient en faisant du sport.
Il prend mes seins dans ses mains en disant :
- Tu es très belle, ta poitrine est vraiment magnifique.
Il me caresse en me serrant contre lui, il m’enlève mon débardeur et nos peaux entre en contact, un frisson me parcours et Paul s’en aperçois.
- Tu as froid, ma chérie, ou tu as peur, me demande-t-il.
Je ne réponds pas et me laisse aller sous ses caresses, je le sens dans mon dos baisser son caleçon qui termine à ses pieds et aussitôt il plaque son sexe dur sur mes fesses me faisant une nouvelle fois frémir.
- Mets tes mains sur le lavabo et écartes bien tes jambes.
Je lui obéis. Je pose mes mains sur le lavabo et écarte mes jambes, je me sens soumise et salope et je bande comme une malade.
- Cambres-toi bien et montres moi tes fesses.
Je m’exécute, mais j’ai une envie folle de me branler. Paul ne perd pas une seconde, il abaisse mon string jusqu’aux genoux et m’oblige à m’en séparer, je suis nue à présent et à sa merci.
- Tu as un cul magnifique ! Me dit-il.
Il écarte mes fesses de ses deux mains et découvre mon œillet plissé qui, à cet instant, est légèrement ouvert frémissant d’impatience et de peur.
- Ton petit trou est magnifique, me dit-il, je vais bien te préparer.
Je sens un liquide froid dans ma raie du cul, Paul doit m’enduire l’anus de gel, puis un doigt se promène sur le pourtour de ma rosette afin d’étaler le lubrifiant et sans prévenir il l’introduit en moi me faisant sursauter.
- Tu es prêtes ma chérie, tu vas découvrir la sensation d’être remplie et ne sois pas surprise, ça risque d’être difficile au début.
Ces propos ne m’ont pas rassuré, même si je suis ouverte, j’ai peur, je l’entends lubrifier son sexe et je sais que c’est pour très bientôt.
Malgré la peur, je n’ai jamais été autant excitée et soumise. Je me cambre encore plus et tends mes fesses vers l’arrière comme pour l’inviter et lui faire sentir mon désir.
Paul met une main sur ma fesse gauche et du pouce l’écarte pour faire apparaitre mon petit trou, s’aidant de l’autre main il guise son sexe vers mon cul, puis je sens son gland sur mon anus. A ce moment je ferme les yeux.
Aussitôt je sens une pression sur mon œillet qui commence s’ouvrir un peu, Paul continue de pousser pour entrer son gland en moi et passer le sphincter. Mon muscle résiste, Paul me prend à deux mains par les hanches et pousse doucement son sexe en moi, le gland s’enfonce alors, un peu, en moi en distendant mon anus et provoquant une décharge électrique dans mes reins. Et je hurle comme une damnée.
Le gland, non sans difficulté, est passé et mon muscle anal l’enserre au niveau de la couronne, Paul ne bouge plus attendant un signe de moi lui demandant de continuer, je sens en moi les soubresauts d’impatience de son gland qui ne demande que d’aller plus profondément en moi.
Je sens mon anus ouvert comme jamais avec cette présence qui à ce moment-là ne me donne aucun plaisir, sinon que le fait d’être remplie et de me faire posséder par un membre hors normes.
Cette intrusion, pour l’instant est douloureuse et me fait mal, une larme perle sur ma joue accompagnée d’un long gémissement.
J’envisage de me retirer, admettre que je peux encaisser le membre de mon amant et me sauver comme toutes les autres, j’ai trop envie de ce membre juste entré en moi, je bande comme jamais. En plus, Paul a été doux et je suis certaine que je vais jouir de cette queue de folie.
Comme pour me rassurer et me calmer Paul se penche vers moi et passant sa main par devant moi, prend mon sexe dans sa main droite et le caresse délicatement en disant :
- Tu bandes comme une reine, ma chérie !
Puis il se met à me branler doucement en me tenant fermement dans sa main, le plaisir monte en moi me faisant oublier la douleur qui vrille mes reins et mon anus. Paul est délicat, il joue avec ma queue en restant planté dans mon cul et des frissons parcourent mon corps, je me sens prête à m’ouvrir pour mon amant.
Paul s’arrête de me branler et pose sa main sur ma hanche droite, maintenant il me tient fermement et avec puissance, et cela me fait frémir.
Je comprends que maintenant je n’y échapperai pas, mais en même temps j’en ai envie et je veux encaisser, comme le dit Paul.
A suivre…
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