Leslie HD28 - histoire érotique

Leslie HD28 – Week-end en Bretagne

Nous partons avec Laure pour un long week-end en Bretagne, nous avons réservé un bungalow dans un camp du cap Coz, pas très loin de Concarneau. Désirant un dépaysement total nous allons nous y rendre en train et nous faire, ensuite, conduire en taxi jusqu’à notre lieu de vacances.
C’est donc sur le quai de la gare Montparnasse quand en ce vendredi soir, billets dans une main et petit sac de sport dans l’autre nous nous retrouvons, excitées comme des puces en attendant le train de nuit qui allait nous emmener vers l’air vivifiant et ioder de Bretagne.
Le beau temps devait être au rendez-vous. C’est dans la décontraction totale et avec des tenues légères que nous allions prendre place dans le train de nuit.
Laure était comme d’habitude très belle, excitante même.

Elle portait une robe d’été à fines bretelles, très décolletée, courte et évasée, moi
Nous portions des T-shirts blancs, longs, couvrant presque nos shorts en jean moulants, nous avions pour être plus à l’aise laissées nos soutiens gorges à la maison.

Nous nous sommes installées dans notre compartiment et comme à notre habitude nous avons parlées de choses coquines, un homme d’allure élégante, la trentaine, vint nous rejoindre dans le compartiment juste avant le départ du train.
Il s’assit à côté de Laure, sortit aussitôt un ordinateur portable et se mit à pianoter, l’air studieux.
L’arrivée de cet intrus nous a incitées à stopper net notre conversation, à cet instant Laure nous racontait sa dernière aventure, avec en plus des détails un intimes. Nous avons donc sortis un magazine de jeux de plages et dans une bonne humeur évidente, nous avons commencé une grille de mots fléchés.
Notre compagnon de voyage fut vite distrait par nos rires, et à la moindre occasion il matait régulièrement Laure par-dessus son écran, visiblement attiré par ses formes mises en évidence par le T-shirt moulant, sans se gêner de regarder aussi ses cuisses.
Laure adore affoler les hommes en se montrant provocante. Elle se doutait qu’il la regardait, et elle n’hésitait pas montrer juste ce qu’il faut pour le mettre dans tous ses états.
Ce manège continua un bon moment, jusqu’à ce que, gagnées par la fatigue, nous décidions d’arrêter.
Après avoir fait notre couche mutuelle nous tombâmes presque aussitôt dans les bras de Morphée, aidées en cela par le bruit du train et la nuit.

Je fus soudain réveillée par un bruit, encore entre deux eaux, j’ouvris les yeux pour regarder l’intérieur du compartiment où luisait la veilleuse, sa faible lumière était bien suffisante pour que je puisse me rendre compte de ce qui se passait.
Mon regard fut attiré par une situation incroyable, sur le lit face à moi, je voyais distinctement Laure, assise, jambes ouvertes sur le lit, le short aux chevilles et la tête de l’homme entre ses cuisses.
Je compris de suite ce qui avait pu se passer, sacrée Laure, continuant à faire semblant de dormir, je ne perdais pas une miette du spectacle qui se déroulait sous mes yeux. L’homme s’activait, léchant sans retenue le sexe imberbe de Laure, elle lui tenait la tête, poussant parfois de légers gémissements qu’elle tentait d’étouffer. Ce manège dura plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’elle se raidisse en poussant un long râle qu’elle s’efforça de taire.
Elle venait de jouir sous la langue de cet inconnu, si près de moi. Son râle déclencha en moi une envie encore plus forte. Un creux au ventre se fit sentir et mon sexe se raidit appelant les caresses. Je sentais mon sexe durcir irrésistiblement.

L’homme se leva, se plaça devant Laure. Elle dégrafa son pantalon et baissa son slip et il s’allongea sur la couchette. Je ne voyais plus rien d’autre que son sexe dressé vers le ciel, gros et très épais, semblant si dur. Laure passa un genou de chaque côté de ses jambes et se pencha vers lui, approchant ses lèvres de cette lance de chair. Elle le lécha du bout de la langue, l’homme se tortillait de plaisir, quand soudain, elle plongea sur lui l’engloutissant totalement d’un coup.
J’eus un frisson, mon membre était raide et je l’enviais de la voir ainsi se jeter à pleine bouche sur ce dard bandé. Je ne pus résister à de telles images, ma main glissa le long de mon ventre, vers mon short que j’ouvris, en oubliant d’être discrète. Mon brusque mouvement attira l’attention de Laure et nos regards se croisèrent.
Je me sentis gênée d’âtre démasquée, mais le sourire et le clin d’œil que m’adressa Laure me fit vite retrouver mes esprits. Enhardie, je me caressai le sexe à travers le fin coton blanc de ma culotte tandis qu’elle continuait à faire entrer et ressortir de sa bouche ce membre qui me paraissait si énorme.
Ma main s’activait, ma culotte était maintenant auréolée de mon miel. Je sentais le plaisir monter en moi, j’aurais voulu que ces minutes durent une éternité, j’en étais excitée à un point que je n’aurais pu imaginer et j’aurais souhaité être avec Laure, ou à sa place pour m’occuper de ce membre énorme.

L’homme se cambra soudain, pressa ses mains sur la tête de Laure et s’enfonça jusqu’à la garde dans la bouche de Laure. Elle sembla suffoquer un court instant, l’homme émit un long soupir, sa queue prise de soubresauts. Laure toussa, il venait d’éjaculer dans sa bouche au fond de sa gorge
Ils se rajustèrent et j’en profitai pour refermer discrètement mon short, y emprisonnant la moiteur de mon plaisir. L’homme ralluma son ordinateur et se remit à pianoter, tandis qu’à ma grande surprise, Laure vint s’installer à mes côtés. Elle se lova contre moi et me chuchota ces quelques mots qui me troublèrent au possible :
Tu as été géniale, j’ai adorée que tu te caresses en me regardant. Mais maintenant, il faut te reposer, ma chérie.
Elle posa sa tête sur mon épaule et s’endormit vite, me laissant avec toutes ces images qui n’en finissaient pas de traverser mon esprit. Je finis par sombrer, moi aussi, troublée mais heureuse.

Notre voyage en train s’achevait. Pendant notre sommeil, l’inconnu était descendu sans bruit, tout du moins ne l’avais-je pas entendu. Laure se réveilla la première et entreprit de nous sortir du sommeil. Inutile de préciser que Laure et moi avions bien du mal à émerger. Il restait à peine quelques minutes avant notre arrivée, nous sortîmes donc dans le couloir avec nos gros sacs sur le dos.
Evidemment, Laure se fit encore remarquer. En ondulant des fesses en sortant du compartiment elle attira les regards de deux garçons d’une bonne vingtaine d’années qui s’y trouvaient. Leurs yeux et leurs sourires ne pouvaient pas tromper, ils appréciaient. Laure les dévisagea et sans baisser les yeux elle sourit et il est clair qu’elle leur avait mis le feu.

A la descente du train, un taxi nous attendait pour nous emmener au camp. Puis nous défîmes tranquillement nos sacs, rangeant nos vêtements chacune dans une armoire.
Laure et moi étions si proches physiquement que nous pouvions sans aucun problème échanger nos vêtements, ce que nous faisions souvent.

A suivre…