Leslie HD55
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HD55
Leslie HD55 – En déplacement, Sophie et Valérie, suite
C’est la sonnette de la porte d’entrée, le matin à huit heures, qui nous a réveillées,
Sophie s’est levée et m’a dit :
- Ne bouge pas, ça doit être Valérie, je vais aller lui ouvrir.
Sophie est partie à poil ouvrir à sa copine. Pour une entrée en matière avec son
éventuelle future amante, celle-ci allait être servie et certainement heureuse de voir
sa conquête lui ouvrir dans le plus simple appareil.
J’ai entendu des murmures et peu de temps après, ayant eue juste le temps de me
couvrir du drap, je voyais Sophie et Valérie entrées dans la chambre.
Sophie fit les présentations.
Valérie devait faire dans les un mètre-soixante, mince avec des hanches étroites, ses
seins paraissaient assez petits sous le tee-shirt porté sans soutien-gorge. Elle était
brune aux cheveux courts à la garçonne et avait de grands yeux verts clairs. Elle
portait une mini-jupe ultra courte et des tennis blancs. Elle paraissait frêle, mais
c’était un beau petit lot de gonzesse.
Valérie ne put s’empêcher de dire, en employant directement le tutoiement :
- Je crois que vous l’avez bien délurée la prude petite Sophie.
- Je n’ai fait que répondre à ses demandes, répondis-je.
- Et bien je n’ai qu’à vous féliciter, dit Valérie.
- Bon, dit Sophie, et si nous déjeunions ?
- Il me faudrait m’habiller, dis-je.
Sophie le regard lubrique dit :
- Pas la peine, viens comme ça.
- Mais…
- Ah oui, dit Sophie, Leslie est une transexuelle.
- Et alors, dit Valérie.
- Ça ne te dérange pas ? Demandais-je.
- Pas du tout, dit Valérie, d’ailleurs moi aussi je vais me mettre à poil !
Elle a enlevé son tee-shirt, nous laissant découvrir sa petite poitrine aux aréoles
foncées et aux bouts dressés, puis à enlever sa mini-jupe pour se retrouver nue devant
nous, la salope ne portait pas de culotte ?
Le pubis entièrement glabre avec des lèvres bien dessinées et légèrement proéminentes,
Valérie était vraiment bien foutue et de toute évidence cette jeune fille n’était pas
trop pudique, ses amants avaient dus bien la délurer.
D’ailleurs une fois à poil, en s’adressant à moi elle me dit :
- Alors belle Leslie, tu me montre ton corps où je dos venir moi-même te
découvrir.
Je me suis levée pour apparaitre nue devant elle, en émettant un petit sifflement elle
dit à Valérie :
- Tu ne t’es certainement pas ennuyée avec Leslie.
- Je te confirme que c’est un bon coup, dit Sophie.
- Avec un sexe comme le tiens, me dit Valérie, tu dois en rendre plus d’une
heureuse.
Nous sommes parties toutes les trois déjeuners, nues, dans l’escalier Valérie ne put
s’empêcher de toucher discrètement mon membre en disant :
Je vais prendre soin de ce beau membre.
Pendant le petit-déjeuner, Valérie regardait Sophie avec envie et les yeux plein de
désirs, parfois elle posait sa main sur les cuisses de Sophie en disant :
Depuis le temps que je te désire, il faut Leslie pour que tu t’offres à moi.
Le café terminé, nous sommes allées au salon où Sophie s’est assise dans le canapé en
me demandant de la rejoindre.
Elle a demandé à Valérie de s’asseoir en face d’elle et de regarder, puis elle m’a dit
:
- Viens me sucer.
Elle a écarté les cuisses pour m’offrir son sexe et m’en faciliter l’accès, Valérie ne
perdait rien du spectacle offert et regardait attentivement sa copine, de son côté
attendant mes caresses, Sophie regardait Valérie droit dans les yeux.
J’ai glissé une main sous les fesses de Sophie pour lui relever un peu le pubis, puis
je me suis attaquée à sa vulve et à son clitoris déjà sortit de sa protection avec ma
langue et mes lèvres. Aussitôt Sophie à feuler et soupirer de plaisir.
Valérie a aussitôt posée sa main sur son sexe pour se caresser.
- Fais-moi jouir avec tes doigts que Valérie puisse me voir ! m’a demandé
Sophie.
Relevant la tête j’ai laissé Valérie regarder le sexe de Sophie avec attention.
Agaçant son clitoris et passant un doigt sur sa fente, Valérie ne pouvait pas manquer
de voir l’état d’excitation de Sophie.
Son sexe était grand ouvert et sa fente ruisselait de mouille.
J’ai regardé le sexe de Valérie, qui avait largement ouvert ses cuisses afin de me
montrer sa fente brune aussi trempée que celle de Sophie. Valérie se doigtait la vulve
en poussant de petits cris.
C’est à ce moment que Sophie s’est mise à avoir des spasmes sous mes doigts, elle a
écarté les cuisses encore plus et a ondulé du bassin montrant que l’orgasme était
proche. Valérie en face a fait de même.
D’un coup Sophie a fermé les cuisses en soufflant dans un râle :
- Je jouis.
Valérie a jouit, elle aussi en poussant toujours ses petits cris
Sophie m’a embrassé et a dit :
- C’était divin, j’ai pris un pied d’enfer.
Elle m’a fait mettre debout devant elle, toujours regardé par Valérie et elle a saisi
ma queue et a commencé à me masturber.
J’ai regardé Valérie qui continuait de se masturber en ayant un doigt enfoncé dans son
anus, puis Sophie a passé sa langue sur ses lèvres avant de les poser sur mon gland.
En fixant Valérie, elle a lentement fait pénétrer mon sexe dans sa bouche, l’a fait
ressortir, a léché mon gland avant de me reprendre en bouche. Valérie continuait à se
branler, tandis que Sophie me suçait avidement.
Valérie ne put s’empêcher de dire :
- Ohhh, ma salope, comment tu es devenue.
Valérie a semblé hésiter un moment, mais elle est venue nous rejoindre pour me prendre
elle aussi en bouche.
Pendant un moment mon sexe est allé d’un bouche à l’autre, les deux complices
profitant de ces instants pour se rouler des pelles, elle prenaient garde à ne pas me
faire jouir voulant certainement profiter de moi le plus longtemps possible.
Puis elle ses sont arrêtées et Sophie m’a demandé :
- Ça t’a plu ?
- Oui, dis-je, divin.
- Valérie est à ton goût ?
- Elle est géniale, sa bouche est douce et chaude, ta copine est très bandante,
comme toi d’ailleurs.
- Et toi, tu as aimé ?
- Ohhh oui, j’étais trempée de te sucer devant Valérie, et quand elle venue me
rejoindre, j’ai pris un pied d’enfer, maintenant je vais plus me gêner de me mettre
dans ses bras.
A suivre…
C’est la sonnette de la porte d’entrée, le matin à huit heures, qui nous a réveillées,
Sophie s’est levée et m’a dit :
- Ne bouge pas, ça doit être Valérie, je vais aller lui ouvrir.
Sophie est partie à poil ouvrir à sa copine. Pour une entrée en matière avec son
éventuelle future amante, celle-ci allait être servie et certainement heureuse de voir
sa conquête lui ouvrir dans le plus simple appareil.
J’ai entendu des murmures et peu de temps après, ayant eue juste le temps de me
couvrir du drap, je voyais Sophie et Valérie entrées dans la chambre.
Sophie fit les présentations.
Valérie devait faire dans les un mètre-soixante, mince avec des hanches étroites, ses
seins paraissaient assez petits sous le tee-shirt porté sans soutien-gorge. Elle était
brune aux cheveux courts à la garçonne et avait de grands yeux verts clairs. Elle
portait une mini-jupe ultra courte et des tennis blancs. Elle paraissait frêle, mais
c’était un beau petit lot de gonzesse.
Valérie ne put s’empêcher de dire, en employant directement le tutoiement :
- Je crois que vous l’avez bien délurée la prude petite Sophie.
- Je n’ai fait que répondre à ses demandes, répondis-je.
- Et bien je n’ai qu’à vous féliciter, dit Valérie.
- Bon, dit Sophie, et si nous déjeunions ?
- Il me faudrait m’habiller, dis-je.
Sophie le regard lubrique dit :
- Pas la peine, viens comme ça.
- Mais…
- Ah oui, dit Sophie, Leslie est une transexuelle.
- Et alors, dit Valérie.
- Ça ne te dérange pas ? Demandais-je.
- Pas du tout, dit Valérie, d’ailleurs moi aussi je vais me mettre à poil !
Elle a enlevé son tee-shirt, nous laissant découvrir sa petite poitrine aux aréoles
foncées et aux bouts dressés, puis à enlever sa mini-jupe pour se retrouver nue devant
nous, la salope ne portait pas de culotte ?
Le pubis entièrement glabre avec des lèvres bien dessinées et légèrement proéminentes,
Valérie était vraiment bien foutue et de toute évidence cette jeune fille n’était pas
trop pudique, ses amants avaient dus bien la délurer.
D’ailleurs une fois à poil, en s’adressant à moi elle me dit :
- Alors belle Leslie, tu me montre ton corps où je dos venir moi-même te
découvrir.
Je me suis levée pour apparaitre nue devant elle, en émettant un petit sifflement elle
dit à Valérie :
- Tu ne t’es certainement pas ennuyée avec Leslie.
- Je te confirme que c’est un bon coup, dit Sophie.
- Avec un sexe comme le tiens, me dit Valérie, tu dois en rendre plus d’une
heureuse.
Nous sommes parties toutes les trois déjeuners, nues, dans l’escalier Valérie ne put
s’empêcher de toucher discrètement mon membre en disant :
Je vais prendre soin de ce beau membre.
Pendant le petit-déjeuner, Valérie regardait Sophie avec envie et les yeux plein de
désirs, parfois elle posait sa main sur les cuisses de Sophie en disant :
Depuis le temps que je te désire, il faut Leslie pour que tu t’offres à moi.
Le café terminé, nous sommes allées au salon où Sophie s’est assise dans le canapé en
me demandant de la rejoindre.
Elle a demandé à Valérie de s’asseoir en face d’elle et de regarder, puis elle m’a dit
:
- Viens me sucer.
Elle a écarté les cuisses pour m’offrir son sexe et m’en faciliter l’accès, Valérie ne
perdait rien du spectacle offert et regardait attentivement sa copine, de son côté
attendant mes caresses, Sophie regardait Valérie droit dans les yeux.
J’ai glissé une main sous les fesses de Sophie pour lui relever un peu le pubis, puis
je me suis attaquée à sa vulve et à son clitoris déjà sortit de sa protection avec ma
langue et mes lèvres. Aussitôt Sophie à feuler et soupirer de plaisir.
Valérie a aussitôt posée sa main sur son sexe pour se caresser.
- Fais-moi jouir avec tes doigts que Valérie puisse me voir ! m’a demandé
Sophie.
Relevant la tête j’ai laissé Valérie regarder le sexe de Sophie avec attention.
Agaçant son clitoris et passant un doigt sur sa fente, Valérie ne pouvait pas manquer
de voir l’état d’excitation de Sophie.
Son sexe était grand ouvert et sa fente ruisselait de mouille.
J’ai regardé le sexe de Valérie, qui avait largement ouvert ses cuisses afin de me
montrer sa fente brune aussi trempée que celle de Sophie. Valérie se doigtait la vulve
en poussant de petits cris.
C’est à ce moment que Sophie s’est mise à avoir des spasmes sous mes doigts, elle a
écarté les cuisses encore plus et a ondulé du bassin montrant que l’orgasme était
proche. Valérie en face a fait de même.
D’un coup Sophie a fermé les cuisses en soufflant dans un râle :
- Je jouis.
Valérie a jouit, elle aussi en poussant toujours ses petits cris
Sophie m’a embrassé et a dit :
- C’était divin, j’ai pris un pied d’enfer.
Elle m’a fait mettre debout devant elle, toujours regardé par Valérie et elle a saisi
ma queue et a commencé à me masturber.
J’ai regardé Valérie qui continuait de se masturber en ayant un doigt enfoncé dans son
anus, puis Sophie a passé sa langue sur ses lèvres avant de les poser sur mon gland.
En fixant Valérie, elle a lentement fait pénétrer mon sexe dans sa bouche, l’a fait
ressortir, a léché mon gland avant de me reprendre en bouche. Valérie continuait à se
branler, tandis que Sophie me suçait avidement.
Valérie ne put s’empêcher de dire :
- Ohhh, ma salope, comment tu es devenue.
Valérie a semblé hésiter un moment, mais elle est venue nous rejoindre pour me prendre
elle aussi en bouche.
Pendant un moment mon sexe est allé d’un bouche à l’autre, les deux complices
profitant de ces instants pour se rouler des pelles, elle prenaient garde à ne pas me
faire jouir voulant certainement profiter de moi le plus longtemps possible.
Puis elle ses sont arrêtées et Sophie m’a demandé :
- Ça t’a plu ?
- Oui, dis-je, divin.
- Valérie est à ton goût ?
- Elle est géniale, sa bouche est douce et chaude, ta copine est très bandante,
comme toi d’ailleurs.
- Et toi, tu as aimé ?
- Ohhh oui, j’étais trempée de te sucer devant Valérie, et quand elle venue me
rejoindre, j’ai pris un pied d’enfer, maintenant je vais plus me gêner de me mettre
dans ses bras.
A suivre…
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