Leslie HD86
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie HD86
Leslie HD86 – Vacances espagnoles, suite
Pilar est partie aux toilettes et en revenant elle se rallonge près de moi, insatiable s’est rapprochée de moi et m’embrassant à nouveau elle à saisit mon sexe en disant :
Je vais lui redonner de la vigueur.
Et elle se penche vers mon bas ventre pour prendre mon sexe entre ses lèvres et me sucer.
Mon sexe a rapidement rebandé, mais Pilar a continué sa fellation, comme une vraie professionnelle, entourant mon gland de sa langue et jouant avec à l’intérieur de sa bouche.
Puis elle m’a offert un grand baiser d'amour, nos langues se sont entremêlées comme des serpents en cage, j'ai descendu ma main vers ses fesses et j’ai glissé un doigt dans sa raie encore humide de ma jouissance précédente.
Elle a gémi à ce contact et a recommencé à me sucer, elle a engouffré tout mon membre dans sa bouche et a recommencé a me pomper, je lui ai pris la tête et je lui ai baisé la bouche, je lui touchais le fond de la gorge, j'étais déchainé, j'allais et venais dans sa bouche.
Au moment où j'ai senti que j'allais venir, j'ai retiré mon sexe de sa bouche et on s'est allongé l’une sur l’autre en soixante-neuf. Elle s'est mise à l'envers sur moi, amenant sa chatte vers mes lèvres et engloutissant mon sexe.
J'ai commencé à lui lécher la chatte, elle s’est mise à gémir, et lorsque j’ai aspiré son
- Ohhh, aggrr.
Elle partait dans une jouissance en m’inondant la bouche de sa cyprine, puis elle s'est remise à l'ouvrage sur mon sexe, pompant et gémissant en même temps.
Prête à jouir je lui ai demandé d’arrêter pour faire retomber la pression, et elle m’a dit :
- Casses-moi le cul, je suis prête !
Elle se positionne en levrette, les coudes sur le lit et la tête dans l’oreiller, inutile de lui lubrifier le trou qui d’ailleurs est resté entrouvert, et sans pudeur elle me dit :
- Tu vois je suis prête et je suis sûre que mon petit trou est ouvert.
En disant cela, Pilar resserre son sphincter et son anus se referme, comme pour me faire un clin d’œil, un véritable appel au viol consentant de son anus.
Je lui ai mis mon gland sur sa rosette, et elle s’est mise à gémir avant même l’introduction, je suis allé doucement profitant au maximum de cette occasion qui pourrait être la dernière de visiter cet endroit.
Je faisais des va et viens lents tout en caressant le dos de Pilar, elle gémissait en me disant qu’elle va regretter ces moments de plaisir, parce qu’elle ne va pas demander au premier venu l’enculer.
Elle haletait et j’ai senti son sphincter se serrer et s’ouvrir, m’enserrant la queue, elle était sur le point de jouir, elle me demanda d’aller plus vite et plus profond ce que j’ai fait d’ailleurs tout en m’arrimant bien à ses hanches.
Puis elle lâche un râle avec moi et nous jouissons tous les deux à l’unisson, lâchant le restant de mon foutre dans ses intestins avant qu’elle ne s’effondre sur le lit prise de soubresauts.
Je me suis retirée d’elle, nous nous sommes embrassées avant de nous endormir.
Vers deux heures du matin, j’ai été réveillé par du bruit, on pousse la porte et une ombre se faufile à l’intérieur de la chambre, Pilar a dû oublier de refermer à clé en revenant tout à l’heure.
C’est Alejandra s’approche doucement, arrivée près de moi elle me prends la main et me dit :
- Viens !
Elle m’a guidé jusqu'à sa chambre et la porte une fois refermée, elle se tourne vers moi en disant :
- J’ai envie de toi et nous n’avons pas beaucoup de temps.
- Et les autres ?
- Tout le monde dort, et puis tu ne peux pas rester longtemps Pilar risque de se réveiller et remarquer ton absence.
- C’est vrai, bon approche on va se faire plaisir.
- Je suis à toi et mon petit cul aussi.
On commence à s’embrasser, nos langues s’entremêlent, elle feulait et avait une envie folle de sexe, nue elle s’agenouilla pour prendre mon sexe en bouche et entamer une fellation d’enfer. Allant jusqu’à engloutir mon sexe jusqu’au fond de sa gorge.
Puis elle s’est étendue sur le lit, sur le dos, je me suis mis entre ses jambes sur et elle a guidé ma bite vers son vagin et je l’ai enfourné.
Sa chatte était bien lubrifiée, j’ai commencé des va et viens lents et ample la faisant haleter en soupirant des :
- Ouiii, continues, ohhh, que c’est bon.
- Doucement tu vas ameuter la maison.
Hors d’elle, elle s’arrêta le souffle manquant et elle jouis.
Je l’ai embrassé sur la bouche et je l’ai retourné sur le ventre elle a compris ce que je voulais, alors elle a écarté ses fesses avec ses main laissant à ma disposition son trou du cul, en disant :
- Fais vite !
Elle a relevé le cul et je me suis mis sur elle pointant mon gland vers son anus, je l’ai pénétré facilement, elle était vraiment prête pour l’enculade, ma bite est partie en elle jusqu’aux couilles, faisant lâcher a Alejandra un gémissement de plaisir.
- Ohhh, ouiii, casses moi le cul, que c’est délicieux.
J’ai commencé à faire mes va et viens et elle venait à ma rencontre pour mieux être pénétrée, en gémissant.
Puis, sa respiration devient saccadée, et elle lâche un râle et jouit avant que je lui lâche le reste de ma jouissance dans ses entrailles.
Nous nous sommes embrassées et je suis retournée dans ma chambre où dormait toujours Pilar.
En me rendormant je me suis dit : « Qu’elle nuit ! »
A suivre…
Pilar est partie aux toilettes et en revenant elle se rallonge près de moi, insatiable s’est rapprochée de moi et m’embrassant à nouveau elle à saisit mon sexe en disant :
Je vais lui redonner de la vigueur.
Et elle se penche vers mon bas ventre pour prendre mon sexe entre ses lèvres et me sucer.
Mon sexe a rapidement rebandé, mais Pilar a continué sa fellation, comme une vraie professionnelle, entourant mon gland de sa langue et jouant avec à l’intérieur de sa bouche.
Puis elle m’a offert un grand baiser d'amour, nos langues se sont entremêlées comme des serpents en cage, j'ai descendu ma main vers ses fesses et j’ai glissé un doigt dans sa raie encore humide de ma jouissance précédente.
Elle a gémi à ce contact et a recommencé à me sucer, elle a engouffré tout mon membre dans sa bouche et a recommencé a me pomper, je lui ai pris la tête et je lui ai baisé la bouche, je lui touchais le fond de la gorge, j'étais déchainé, j'allais et venais dans sa bouche.
Au moment où j'ai senti que j'allais venir, j'ai retiré mon sexe de sa bouche et on s'est allongé l’une sur l’autre en soixante-neuf. Elle s'est mise à l'envers sur moi, amenant sa chatte vers mes lèvres et engloutissant mon sexe.
J'ai commencé à lui lécher la chatte, elle s’est mise à gémir, et lorsque j’ai aspiré son
- Ohhh, aggrr.
Elle partait dans une jouissance en m’inondant la bouche de sa cyprine, puis elle s'est remise à l'ouvrage sur mon sexe, pompant et gémissant en même temps.
Prête à jouir je lui ai demandé d’arrêter pour faire retomber la pression, et elle m’a dit :
- Casses-moi le cul, je suis prête !
Elle se positionne en levrette, les coudes sur le lit et la tête dans l’oreiller, inutile de lui lubrifier le trou qui d’ailleurs est resté entrouvert, et sans pudeur elle me dit :
- Tu vois je suis prête et je suis sûre que mon petit trou est ouvert.
En disant cela, Pilar resserre son sphincter et son anus se referme, comme pour me faire un clin d’œil, un véritable appel au viol consentant de son anus.
Je lui ai mis mon gland sur sa rosette, et elle s’est mise à gémir avant même l’introduction, je suis allé doucement profitant au maximum de cette occasion qui pourrait être la dernière de visiter cet endroit.
Je faisais des va et viens lents tout en caressant le dos de Pilar, elle gémissait en me disant qu’elle va regretter ces moments de plaisir, parce qu’elle ne va pas demander au premier venu l’enculer.
Elle haletait et j’ai senti son sphincter se serrer et s’ouvrir, m’enserrant la queue, elle était sur le point de jouir, elle me demanda d’aller plus vite et plus profond ce que j’ai fait d’ailleurs tout en m’arrimant bien à ses hanches.
Puis elle lâche un râle avec moi et nous jouissons tous les deux à l’unisson, lâchant le restant de mon foutre dans ses intestins avant qu’elle ne s’effondre sur le lit prise de soubresauts.
Je me suis retirée d’elle, nous nous sommes embrassées avant de nous endormir.
Vers deux heures du matin, j’ai été réveillé par du bruit, on pousse la porte et une ombre se faufile à l’intérieur de la chambre, Pilar a dû oublier de refermer à clé en revenant tout à l’heure.
C’est Alejandra s’approche doucement, arrivée près de moi elle me prends la main et me dit :
- Viens !
Elle m’a guidé jusqu'à sa chambre et la porte une fois refermée, elle se tourne vers moi en disant :
- J’ai envie de toi et nous n’avons pas beaucoup de temps.
- Et les autres ?
- Tout le monde dort, et puis tu ne peux pas rester longtemps Pilar risque de se réveiller et remarquer ton absence.
- C’est vrai, bon approche on va se faire plaisir.
- Je suis à toi et mon petit cul aussi.
On commence à s’embrasser, nos langues s’entremêlent, elle feulait et avait une envie folle de sexe, nue elle s’agenouilla pour prendre mon sexe en bouche et entamer une fellation d’enfer. Allant jusqu’à engloutir mon sexe jusqu’au fond de sa gorge.
Puis elle s’est étendue sur le lit, sur le dos, je me suis mis entre ses jambes sur et elle a guidé ma bite vers son vagin et je l’ai enfourné.
Sa chatte était bien lubrifiée, j’ai commencé des va et viens lents et ample la faisant haleter en soupirant des :
- Ouiii, continues, ohhh, que c’est bon.
- Doucement tu vas ameuter la maison.
Hors d’elle, elle s’arrêta le souffle manquant et elle jouis.
Je l’ai embrassé sur la bouche et je l’ai retourné sur le ventre elle a compris ce que je voulais, alors elle a écarté ses fesses avec ses main laissant à ma disposition son trou du cul, en disant :
- Fais vite !
Elle a relevé le cul et je me suis mis sur elle pointant mon gland vers son anus, je l’ai pénétré facilement, elle était vraiment prête pour l’enculade, ma bite est partie en elle jusqu’aux couilles, faisant lâcher a Alejandra un gémissement de plaisir.
- Ohhh, ouiii, casses moi le cul, que c’est délicieux.
J’ai commencé à faire mes va et viens et elle venait à ma rencontre pour mieux être pénétrée, en gémissant.
Puis, sa respiration devient saccadée, et elle lâche un râle et jouit avant que je lui lâche le reste de ma jouissance dans ses entrailles.
Nous nous sommes embrassées et je suis retournée dans ma chambre où dormait toujours Pilar.
En me rendormant je me suis dit : « Qu’elle nuit ! »
A suivre…
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