Leslie HS04 - histoire érotique

Leslie HS04 - Hors-série - Amant d’un soir

Je suis en déplacement dans le sud de la France, juste un aller et retour à Biarritz, où un client veut quelques explications sur le projet d’aménagement de son magasin, mais la journée de travail a été longue et terminant tard notre journée, je suis obligée de passer une nuit à l’hôtel avant de prendre mon train qui me ramènera demain matin à la première heure à Paris.

Il fait chaud ce soir, allongée nue sur le lit dans ma chambre d’hôtel, la sueur couvre mon corps, alors je me lève et passe à nouveau sous la douche histoire de me rafraichir un peu.
Il est bientôt minuit et je serais censée dormir, complètement épuisée par la journée harassante que je viens de vivre, mais avec cette chaleur je ne dors pas.
Demain je dois me lever tôt et c’est bien pour ça que je me suis couchée vers vingt-deux heures, après un diner au restaurant de l’hôtel.

Alors que je dinais seule au restaurant de l’hôtel, un homme, à la table voisine de la mienne, m’a dragué, me proposant même un verre à la fin du repas au bar afin de passer un moment avant de rejoindre nos chambres.
Aux regards qu’il me lançait et aux propos qu’il tenait, aucune ambiguïté sur la tournure que devait prendre la suite de la soirée, son intention était que finissions la nuit ensemble et qu’il me baise, un one-shoot sans lendemain.
Véritablement fatiguée, j’ai refusé et je dois avouer que c’est assez rare que je le fasse, surtout que cet homme était fort beau.
Pour ne pas me laisser distraire par la beauté de cet homme et succomber à ses charmes, j’ai refusé rapidement le désir de me coucher tôt.
C’est dommage, me dit-il, nous aurions certainement passé un agréable moment.
Après lui avoir souhaité bonne nuit, je suis montée dans ma chambre…

Maintenant, dans la semi-obscurité de ma chambre éclairée par la faible lumière de la lampe de chevet, je suis sous la douche sans éclairage, n’ayant pas daigné allumer la salle de bains et me concentrant sur le plaisir de l’eau qui coule sur mon corps.
Je reste un long moment ainsi, prenant du plaisir, en me caressant un peu pour augmenter les sensations et me détendre complètement, puis après m’être séchée, je vais me rallonger sur le lit.
Je repose sur le ventre au-dessus des draps, dans le noir, me concentrant sur un point imaginaire essayant de trouver le sommeil,
Quand je suis sur le point d’y arriver, je sens une présence près de moi sur le lit et une main qui se pose sur mes fesses et commence à explorer l’intérieur de mes cuisses, par derrière.
C’est si soudain que je n’ai pas le réflexe de faire quoi que ce soit, trop pressée de me coucher, aurais-je oublié de fermer à clef la porte de me chambre ?
Avant que je puisse réagir un corps lourd et poilu monte sur moi et se plaque contre le mien.
La chaleur que dégage le corps de cet inconnu me surchauffe et me fait chavirer, mon corps se réveille par les désirs qui le submergent.



J’ai chaud si chaud, je sens le corps de l’inconnu se positionner au-dessus de moi jusqu’au moment où je sens quelque chose de dur palpiter juste au-dessus de mes fesses.
Tout se passe si vite, l’homme qui me chevauche ne me laisse pas le temps de refuser l’étreinte, sa bite raide commence à se glisser entre mes fesses de sorte que le bout de son gland vienne appuyer sur mon intimité anale.
Le salaud, il va m’enculer…
Je sais par expérience et par les sensations que j’éprouve que j’ai un morceau très convenable coincé entre mes fesses et palpitant contre mon cul, mais à cet instant et compte tenu de la situation je ne peux m’empêcher de ressentir et prendre du plaisir.

Je bouge doucement mon cul que je cambre vers lui, comme dans un état d’acceptation et de soumission, ce qui a pour effet de masser son membre à l’intérieur de mes fesses en allant d’avant en arrière et profitant, le faisant bander comme un taureau et afin que ses sécrétions naturelles soient vraiment abondantes et qu’elle me lubrifient un peu l’anus.
Son precum coule sur mon cul et m’excite au point que je perde toutes réticence de me faire posséder, et je sens que la bite de mon futur enculeur est de plus en plus chaude mais aussi de plus en plus raide
J’ai l’impression d’avoir un fer chaud entre mes fesses, à l’orée de mon cul et je me surprends à espérer qu’il s’enfonce en moi rapidement.

Soudain, d’un coup de reins mon inconnu m’enfile sa bite dans mon anus entrouvert.
Je devais être bien lubrifiée et ouverte car pas un seul tiraillement de mes chairs intimes, je n’ai rien senti et il m’a enfilé son membre jusqu’aux couilles.
Maintenant, complètement relaxée, je me laisse faire pendant qu’un inconnu me sodomise très lentement.
Je me dis à cet instant que je n’ai pas vu son visage et que même, comme je le suppose, c’est l’homme du restaurant, je ne connais pas plus son prénom.

C’est la première fois que je suis sodomiser de la sorte, je me laisse enculer naturellement, sans que j’ai permis de me prendre le cul, c’est presque un viol que je subis. Mon sexe est raide et mon anus complètement dilatée et je me sens heureuse.
Sans le vouloir je m’entends dire :
- Oui, vas-y, sodomise moi bien !
Alors il y va de toute sa force jusqu’à ce que ses couilles tapent fort sur mes fesses.
Je ressens un immense plaisir pendant que sa bite me lime le petit trou, qui se dilate chaque fois plus.
Pendant que l’homme me pénètre, je glisse ma main sous moi pour me tripoter le sexe, j’aimerais tellement me branler, devant sentir mon désir l’homme me saisit par les hanches et remonte mes reins vers lui, libérant mon sexe que j’attrape de la main pour le branler au rythme des pénétrations de mon amant d’un soir.

Je ne sais pas combien de temps il m’a limé l’anus, mais je suis partie deux fois dans la jouissance rependant mon sperme sur les draps lors de la deuxième jouissance.
Longtemps, longtemps il m’a enculé sans un mot, me faisant hurler, puis sa jouissance est venue et m’a fait monter au septième ciel, au moment même où complètement hors de lui, il éjaculer au fond de mon cul.
Il est resté un long moment en moi sans débander, bougeant en moi dans mon conduit lubrifié par sa jouissance, puis lorsqu’il m’a abandonné, me laissant le cul ouvert et sa jouissance coulant sur mes cuisses, je l’ai entendu me dire, juste avant de sortir :
- Tu vois salope que tu avais le temps de te faire enculer !

A cet instant, j’ai su que c’était l’homme du restaurant, et que même si je ne savais rien de plus sur lui, lui ne savait pas qu’il venait d’enculer une femme à queue.

A suivre…