Leslie HS07
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie HS07
Leslie HS07 – Hors-série – Première sodomie
Laurent, une relation de travail que j’avais rencontré sur un chantier et avec qui j’avais sympathisé avait une nouvelle copine, il m’en fit part un jour que nous prenions un verre dans un petit bistrot près de l’agence.
Il était au courant de ma transsexualité et montrait me montrait un profond respect, car jamais il n’avait essayé de me séduire, étant lui-même un hétéro convaincu, amis respectait mon choix et mon état
Laurent avait rencontré Janie, trois mois plus tôt, d’après lui, ils s’entendaient très bien et Janie l’adorait et était heureuse d’être sa meuf, son amante.
Laurent, grand et de belle stature, toujours soigné sur lui, est ce qu’on appelle un beau jeune et il avait du succès auprès des femmes. Je savais, par les confidences qu’il m’avait faites, qu’il sortait surtout avec des cougars. Adorant le sexe sous toutes ses formes il m’avait avoué un jour adoré la sodomie et prendre du plaisir quand elle lui demandait la chose.
Laurent m’avait expliqué qu’à dix-neuf ans, Janie avait déjà eu des petits amis, mais qu’étant plus âgé qu’elle, il avait vingt-cinq ans, il n’était pas intéressé par les aventures qu’elle avait eue avec les copains de son âge, et les petites caresses à la sauvette, il avait vécu et fait des rencontres de femmes qui se donnaient entièrement sans tabous.
Laurent disait qu’en regardant Janie, il sentait qu’il la mettait mal à l’aise et lorsqu’il la touchait de façon différente que ses anciens petits amis elle se braquait et se recroquevillait sur elle-même.
Bien sûr il aurait aimé coucher avec elle, lui faire l’amour et la déflorer, car Janie était encore vierge, mais cela Janie ne le voulait pas car elle savait que Laurent espérait qu’elle se donne complètement.
Par exemple, un jour, il lui avait demandé de se branler et de lui permettre de la regarder, elle s’en était offusquée et l’avait traité de malade.
Elle n’acceptait pas de se dévoiler, pas plus que de faire l’amour, même comme des vieux dans le noir, et cela pesait à Laurent qui avait d’autres habitudes.
Avec les autres femmes, Laurent pouvait se branler devant elles et elle pouvait aussi le faire, elles lui administraient de merveilleuses fellations alors que Janie n’acceptait même pas d’essayer de déposer un baiser sur le bout de son gland, d’ailleurs elle n’avait jamais vu sa queue.
Il était prêt à rompre et arrêter sa relation, mais cela le rendait malade, Janie était si belle et il m’en fit la description.
« Janie est une fille mince et cambrée aux yeux gris-bleus, elle a les cheveux châtain foncé, souvent portés en natte tressée et elle a un joli petit postérieur que je me langui de découvrir. »
- Tu vois, me dit-il, quel gâchis, nous pourrions être si heureux et encore je ne te parle de ce que je connais, mais les trésors cachés…
Je le sentais triste de ne pas pouvoir vivre une merveilleuse aventure avec sa Janie qu’il aimait tant et pour qui il était prêt de tout quitter, tout arrêter.
- Tu sais, lui répondis-je, je suis certaine qu’elle a des désirs et des envies et qu’elle vivre dans son corps, mais ton expérience lui fait peur et elle est encore jeune.
- Oui mais à son âge, beaucoup de filles ne sont plus vierges.
- Oui, mais ce sont pour la plupart des salopes qui couchent sans lendemain.
- T’as raison, mais que puis-je faire ?
- On va se retrouver demain ici pour boire un verre et tu me présenteras à Janie, puis prétextant que tu as un rendez-vous tu nous laisseras seule et je lui parlerais, et tu verras bien…
- Ok, me dit-il on va faire comme ça.
Le lendemain je me suis rendu au rendez-vous, ils étaient déjà installés et Laurent, après m’avoir fait la bise, me présenta Janie, qui en effet est un beau brin de fille .
Nous avons un peu parlé puis Laurent est parti comme prévu, prétextant un rendez-vous urgent, il avait même pris soin de se faire téléphoner par un ami pour appuyer son excuse.
Après un petit silence, Janie me demanda :
- Il y a longtemps que tu connais Laurent ?
- Cela doit faire deux ans, nous nous sommes connus dans le cadre du travail et nous sommes devenus amis.
- T’es une ancienne à lui, me demanda Janie.
J’ai rigolé en disant :
- Tu n’y es pas du tout, je suis transexuelle et je n’intéresse pas du tout Laurent.
- C’est quoi ça, transexuelle ?
- C’est que je suis biologiquement un homme, mais que je me sens femme et que je vis comme, d’ailleurs tu vois je m’habille et je vis en femme et de plus j’ai de la poitrine.
- Et… tu as…toujours…
- Oui, j’ai un sexe d’homme comme Laurent !
Je sentais Janie intéressée, pas du tout choquée par mes propos, bien au contraire je voyais dans son regard une lueur et en parlant du sexe de Laurent, Janie frémit un peu.
Alors je lui dis :
- Dis-moi, tu as si peur de franchir le pas avec Laurent ?
- C’est que je ne sais pas comment faire, je n’ai pas l’habitude et je ne sais quoi dire…
- Alors laisses-toi aller, guider, Laurent est un mec super et il ne te décevra pas, il est fou amoureux de toi.
- Oui, mais…
- Et puis il vaut mieux vivre de déception que de regrets, alors provoque le un peu, il ne demande que cela…
Nous avons parlé un moment encore et Janie m’a quitté pour aller retrouver Laurent dans le parc Monceau, près de chez lui.
La suite c’est Laurent qui me la raconté deux jours plus tard.
Alors qu’elle était installée dans l’herbe, des bruits de pas résonnèrent derrière elle, Janie sourit, mais ne se retourna pas, en disant juste :
- Bonsoir, étranger.
Elle le sentit l’embrasser sur la tête et ensuite la frôler, lorsqu’il s’assit près d’elle et il répondit :
- Belle nuit, n’est-ce pas ?
- Je regardais les étoiles en pensant à toi.
- En pensant à moi ?
- Oui, dit-elle en souriant.
Et elle se tourna pour l’embrasser et il répondit à son baiser en passant doucement sa langue sur ses lèvres, puis prenant sa main dans la sienne, elle dit :
- Je voulais te dire…
- Je crois savoir ce que tu vas me dire !
- Non tu ne sais rien, car je vais te parler comme jamais je ne t’ai parlé.
- Tu sais, dit-il tu n’es pas obligée…
- Chut, et écoutes moi. Je ne sais pas si c’est honteux, sale ou même dégueulasse, mais depuis que je suis petite j’adore me branler et me donner du plaisir, mais le faire devant toi c’est autre chose, jamais personne ne m’as regardé me donner du plaisir, c’est tabou chez moi, mais j’ai envie de le faire. Que tu puisses voir mon doigt caresser mon bouton, s’insérer entre mes lèvres et s’enfoncer en moi pendant que je verrais ta bite devenir dure…
Laurent regardait Janie avec des yeux d’étonnement, jamais elle ne lui avait parlé ainsi, Leslie l’aurait-elle fait boire au point d’effacer ses inhibitions, Laurent voulut parler, mais Janie l’en empêcha pour continuer.
- Je crois que ce serait génial, Janie frissonnait en y pensant, elle l’attira vers elle et passa ses bras autour de son cou en lui disant qu’elle était prête à se laisser conduire vers les terres du bonheur et de la jouissance, mais que ce n’était pas l’endroit idéal pour se toucher et aller plus loin dans le plaisir des corps.
Laurent lui proposa d’aller chez lui et à sa grande surprise Janie accepta et en le regardant droit dans les yeux, elle lui demanda :
- Tu seras gentil avec moi ?
- Ohhh, oui, dit-il.
- Tu t’occuperas de mon corps et me feras découvrir les plaisirs encore inconnus ?
- Ohhh, oui, dit-il encore.
- En me t’occupant de tout mon corps ?
- De tout, de tout, répondit Laurent complètement abasourdit.
- De tout comme quoi ? Dit Janie provoquante.
- Comme ton cul !
- Va-t’en, obsédé, dit-elle en riant.
- Mais tu aimeras, beaucoup de filles aiment ça.
- Je ne te crois pas, dit Janie nerveusement mais déjà excitée. Aimer comment ?
- Jusqu'à en perdre la raison et t’évanouir dans mes bras !
Le regard de Janie était à présent teint de lubricité, un regard comme jamais Laurent n’avait vu chez sa chérie, ils se levèrent et sur tout en marchant Janie insista en demandant à Laurent :
- Et comment t’y prendras-tu, mon amour ?
Janie devenait vraiment vicieuse, alors Laurent décida de ne pas feindre et de lui expliquer en détails ce qu’elle voulait savoir, elle l’avait bien chauffé, elle allait entendre ce qu’elle lui avait toujours refusé.
- D’abord, je te doigterais la chatte jusqu’à ce que tu mouilles et puis, lorsque tu seras mouillée et excitée, je passerais mon doigt pour caresser ton trou du cul. Dans un premier temps je n’essaierais pas de l’introduire dedans, juste te caresser les bords pour que tu t’habitue à cette présence étrangère et puis peut-être que je te le lècherais avec ma langue, en faisant des petit ronds autour de ton petit trou. Si tu en as envie tu te toucheras la chatte pendant que je caresserais ton cul avec mon doigt mouillé ou ma langue, puis quand je te sentirais vibrer de plaisir ton petit trou s’ouvrira tout seul et j’introduirais mon doigt dedans, tu gémiras en te branlant un peu plus le clitoris en te cambrant pour t’offrir un peu plus à la caresse et alors à cet instant, mais seulement à cet instant me suppliant de te prendre, je te sodomiserais…
Janie le regarda et chercha à cacher son excitation, ils étaient arrivés et entrait dans l’appartement de Laurent, alors se penchant en avant vers elle, il l’embrassa sur les lèvres, avant de murmurer à son oreille :
- Tu aimeras, Janie, tu aimeras.
A suivre…
Laurent, une relation de travail que j’avais rencontré sur un chantier et avec qui j’avais sympathisé avait une nouvelle copine, il m’en fit part un jour que nous prenions un verre dans un petit bistrot près de l’agence.
Il était au courant de ma transsexualité et montrait me montrait un profond respect, car jamais il n’avait essayé de me séduire, étant lui-même un hétéro convaincu, amis respectait mon choix et mon état
Laurent avait rencontré Janie, trois mois plus tôt, d’après lui, ils s’entendaient très bien et Janie l’adorait et était heureuse d’être sa meuf, son amante.
Laurent, grand et de belle stature, toujours soigné sur lui, est ce qu’on appelle un beau jeune et il avait du succès auprès des femmes. Je savais, par les confidences qu’il m’avait faites, qu’il sortait surtout avec des cougars. Adorant le sexe sous toutes ses formes il m’avait avoué un jour adoré la sodomie et prendre du plaisir quand elle lui demandait la chose.
Laurent m’avait expliqué qu’à dix-neuf ans, Janie avait déjà eu des petits amis, mais qu’étant plus âgé qu’elle, il avait vingt-cinq ans, il n’était pas intéressé par les aventures qu’elle avait eue avec les copains de son âge, et les petites caresses à la sauvette, il avait vécu et fait des rencontres de femmes qui se donnaient entièrement sans tabous.
Laurent disait qu’en regardant Janie, il sentait qu’il la mettait mal à l’aise et lorsqu’il la touchait de façon différente que ses anciens petits amis elle se braquait et se recroquevillait sur elle-même.
Bien sûr il aurait aimé coucher avec elle, lui faire l’amour et la déflorer, car Janie était encore vierge, mais cela Janie ne le voulait pas car elle savait que Laurent espérait qu’elle se donne complètement.
Par exemple, un jour, il lui avait demandé de se branler et de lui permettre de la regarder, elle s’en était offusquée et l’avait traité de malade.
Elle n’acceptait pas de se dévoiler, pas plus que de faire l’amour, même comme des vieux dans le noir, et cela pesait à Laurent qui avait d’autres habitudes.
Avec les autres femmes, Laurent pouvait se branler devant elles et elle pouvait aussi le faire, elles lui administraient de merveilleuses fellations alors que Janie n’acceptait même pas d’essayer de déposer un baiser sur le bout de son gland, d’ailleurs elle n’avait jamais vu sa queue.
Il était prêt à rompre et arrêter sa relation, mais cela le rendait malade, Janie était si belle et il m’en fit la description.
« Janie est une fille mince et cambrée aux yeux gris-bleus, elle a les cheveux châtain foncé, souvent portés en natte tressée et elle a un joli petit postérieur que je me langui de découvrir. »
- Tu vois, me dit-il, quel gâchis, nous pourrions être si heureux et encore je ne te parle de ce que je connais, mais les trésors cachés…
Je le sentais triste de ne pas pouvoir vivre une merveilleuse aventure avec sa Janie qu’il aimait tant et pour qui il était prêt de tout quitter, tout arrêter.
- Tu sais, lui répondis-je, je suis certaine qu’elle a des désirs et des envies et qu’elle vivre dans son corps, mais ton expérience lui fait peur et elle est encore jeune.
- Oui mais à son âge, beaucoup de filles ne sont plus vierges.
- Oui, mais ce sont pour la plupart des salopes qui couchent sans lendemain.
- T’as raison, mais que puis-je faire ?
- On va se retrouver demain ici pour boire un verre et tu me présenteras à Janie, puis prétextant que tu as un rendez-vous tu nous laisseras seule et je lui parlerais, et tu verras bien…
- Ok, me dit-il on va faire comme ça.
Le lendemain je me suis rendu au rendez-vous, ils étaient déjà installés et Laurent, après m’avoir fait la bise, me présenta Janie, qui en effet est un beau brin de fille .
Nous avons un peu parlé puis Laurent est parti comme prévu, prétextant un rendez-vous urgent, il avait même pris soin de se faire téléphoner par un ami pour appuyer son excuse.
Après un petit silence, Janie me demanda :
- Il y a longtemps que tu connais Laurent ?
- Cela doit faire deux ans, nous nous sommes connus dans le cadre du travail et nous sommes devenus amis.
- T’es une ancienne à lui, me demanda Janie.
J’ai rigolé en disant :
- Tu n’y es pas du tout, je suis transexuelle et je n’intéresse pas du tout Laurent.
- C’est quoi ça, transexuelle ?
- C’est que je suis biologiquement un homme, mais que je me sens femme et que je vis comme, d’ailleurs tu vois je m’habille et je vis en femme et de plus j’ai de la poitrine.
- Et… tu as…toujours…
- Oui, j’ai un sexe d’homme comme Laurent !
Je sentais Janie intéressée, pas du tout choquée par mes propos, bien au contraire je voyais dans son regard une lueur et en parlant du sexe de Laurent, Janie frémit un peu.
Alors je lui dis :
- Dis-moi, tu as si peur de franchir le pas avec Laurent ?
- C’est que je ne sais pas comment faire, je n’ai pas l’habitude et je ne sais quoi dire…
- Alors laisses-toi aller, guider, Laurent est un mec super et il ne te décevra pas, il est fou amoureux de toi.
- Oui, mais…
- Et puis il vaut mieux vivre de déception que de regrets, alors provoque le un peu, il ne demande que cela…
Nous avons parlé un moment encore et Janie m’a quitté pour aller retrouver Laurent dans le parc Monceau, près de chez lui.
La suite c’est Laurent qui me la raconté deux jours plus tard.
Alors qu’elle était installée dans l’herbe, des bruits de pas résonnèrent derrière elle, Janie sourit, mais ne se retourna pas, en disant juste :
- Bonsoir, étranger.
Elle le sentit l’embrasser sur la tête et ensuite la frôler, lorsqu’il s’assit près d’elle et il répondit :
- Belle nuit, n’est-ce pas ?
- Je regardais les étoiles en pensant à toi.
- En pensant à moi ?
- Oui, dit-elle en souriant.
Et elle se tourna pour l’embrasser et il répondit à son baiser en passant doucement sa langue sur ses lèvres, puis prenant sa main dans la sienne, elle dit :
- Je voulais te dire…
- Je crois savoir ce que tu vas me dire !
- Non tu ne sais rien, car je vais te parler comme jamais je ne t’ai parlé.
- Tu sais, dit-il tu n’es pas obligée…
- Chut, et écoutes moi. Je ne sais pas si c’est honteux, sale ou même dégueulasse, mais depuis que je suis petite j’adore me branler et me donner du plaisir, mais le faire devant toi c’est autre chose, jamais personne ne m’as regardé me donner du plaisir, c’est tabou chez moi, mais j’ai envie de le faire. Que tu puisses voir mon doigt caresser mon bouton, s’insérer entre mes lèvres et s’enfoncer en moi pendant que je verrais ta bite devenir dure…
Laurent regardait Janie avec des yeux d’étonnement, jamais elle ne lui avait parlé ainsi, Leslie l’aurait-elle fait boire au point d’effacer ses inhibitions, Laurent voulut parler, mais Janie l’en empêcha pour continuer.
- Je crois que ce serait génial, Janie frissonnait en y pensant, elle l’attira vers elle et passa ses bras autour de son cou en lui disant qu’elle était prête à se laisser conduire vers les terres du bonheur et de la jouissance, mais que ce n’était pas l’endroit idéal pour se toucher et aller plus loin dans le plaisir des corps.
Laurent lui proposa d’aller chez lui et à sa grande surprise Janie accepta et en le regardant droit dans les yeux, elle lui demanda :
- Tu seras gentil avec moi ?
- Ohhh, oui, dit-il.
- Tu t’occuperas de mon corps et me feras découvrir les plaisirs encore inconnus ?
- Ohhh, oui, dit-il encore.
- En me t’occupant de tout mon corps ?
- De tout, de tout, répondit Laurent complètement abasourdit.
- De tout comme quoi ? Dit Janie provoquante.
- Comme ton cul !
- Va-t’en, obsédé, dit-elle en riant.
- Mais tu aimeras, beaucoup de filles aiment ça.
- Je ne te crois pas, dit Janie nerveusement mais déjà excitée. Aimer comment ?
- Jusqu'à en perdre la raison et t’évanouir dans mes bras !
Le regard de Janie était à présent teint de lubricité, un regard comme jamais Laurent n’avait vu chez sa chérie, ils se levèrent et sur tout en marchant Janie insista en demandant à Laurent :
- Et comment t’y prendras-tu, mon amour ?
Janie devenait vraiment vicieuse, alors Laurent décida de ne pas feindre et de lui expliquer en détails ce qu’elle voulait savoir, elle l’avait bien chauffé, elle allait entendre ce qu’elle lui avait toujours refusé.
- D’abord, je te doigterais la chatte jusqu’à ce que tu mouilles et puis, lorsque tu seras mouillée et excitée, je passerais mon doigt pour caresser ton trou du cul. Dans un premier temps je n’essaierais pas de l’introduire dedans, juste te caresser les bords pour que tu t’habitue à cette présence étrangère et puis peut-être que je te le lècherais avec ma langue, en faisant des petit ronds autour de ton petit trou. Si tu en as envie tu te toucheras la chatte pendant que je caresserais ton cul avec mon doigt mouillé ou ma langue, puis quand je te sentirais vibrer de plaisir ton petit trou s’ouvrira tout seul et j’introduirais mon doigt dedans, tu gémiras en te branlant un peu plus le clitoris en te cambrant pour t’offrir un peu plus à la caresse et alors à cet instant, mais seulement à cet instant me suppliant de te prendre, je te sodomiserais…
Janie le regarda et chercha à cacher son excitation, ils étaient arrivés et entrait dans l’appartement de Laurent, alors se penchant en avant vers elle, il l’embrassa sur les lèvres, avant de murmurer à son oreille :
- Tu aimeras, Janie, tu aimeras.
A suivre…
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