Leslie HS13
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie HS13
Leslie HS13 – Hors-série – Christine, l’amie de Laura
C’est vers vingt et une heure que Christine est venue me rejoindre, elle me dit bonsoir en m’embrassant et en profite pour ôter son chemisier afin de libérer sa poitrine libre de toute autre entrave.
Dépoitraillée, elle me fait face, poitrine nue, et demande mon avis sur ses seins.
- Comment trouves-tu mes seins ?
- Ils sont magnifiques, dis-je, tes seins sont superbes et n’ont rien à envier à ta chatte rasée que j’ai aperçu cet après midi !
- Alors je te plais ? Me demande-t-elle.
- Je n’avais qu’une envie tout à l’heure, celle d’être avec toi et de te faire l’amour !
- Alors ne perdons pas de temps…
Christine possède une poitrine magnifique avec deux seins pas trop gros mais bien formés, et chose incroyable pour son âge, ils ne tombent pas et les bouts restent pointés en avant, les tétons sont gros comme de petites perles et ses seins ont la particularité d’avoir des aréoles et des tétons très foncés.
Je suis pleine d’excitation et mon membre en érection ne demande qu’à être caressé, alors pour lui montrer l’état dans lequel je suis j’ouvre mon peignoir pour lui apparaitre en combinaison résille ouverte laissant mon sexe libre.
Christine semble flattée par l’effet qu’elle me fait et s’approchant de moi elle me prend mon membre en main en disant :
- Voilà un joli début ma chérie !
Alors Christine se montre entreprenante, active, après s’être mise totalement nue, elle se met à genoux devant moi, sur le tapis du salon, m’attrape le sexe et le tenant d’une main, se l’enfourne dans sa bouche sensuelle, de l’autre main elle presse mes couilles.
Je sens ses lèvres chaudes coulisser sur mon gland qu’elle prend bien profond en bouche. Elle pompe ainsi en experte pendant plusieurs minutes, retardant mon éjaculation en serrant fort mon sexe à la base quand elle sent le moment de jouir arriver, elle ne désire pas me faire jouir, juste m’excitée pour son plaisir.
Pour la remercier je la relève et l’enserre dans mes bras pour lui dire :
- Tu es vraiment incroyable !
- Attends un peu et tu vas voir…
A cet instant je sens que Christine veut me dire quelque chose, alors j’attends et elle me dit :
- Tu sais tout à l’heure, j’aurais aimé être à la place de Sylvie et prendre du plaisir avec toi, c’est pourquoi je suis venue ce soir pour que tu me fasses jouir, comme tu as fait jouir Sylvie, je veux crier de plaisir sous tes assauts et que tu exploses en moi et j’ai aussi envie que tu me prennes partout, devant, derrière comme la salope que je suis.
- Tu veux que...
- Oui, j’ai envie que je tu me sodomises, voilà bien longtemps que je ne pratique plus cette pénétration mais le plaisir de Sylvie à réveiller mes vieux démons.
- Tu refusais cette pratique à tes amants ?
- Oui car ils ne pensent qu’à cela et ne s’occupe pas de mon plaisir, mais ta sensibilité et ta douceur mon émue et je suis certaine que tu réussiras à me satisfaire, mais avant je vais te montrer comment je me donne du plaisir…
Sur ces paroles, Christine n’en dit pas plus. Elle me plante au milieu du salon, j’ai la queue tendue à l’extrême, parallèle au sol. Elle s’allonge sur le dos, remonte ses genoux en prenant appui sur les talons qu’elle pose au niveau des fesses et ouvre les jambes au maximum comme une femme qui accouche. Elle est ainsi complètement offerte, mais je me garde bien de venir la rejoindre, préférant m’asseoir sur un fauteuil dans l’angle de la pièce pour mieux l’observer. De cet endroit, j’ai une vue de face sur sa chatte largement ouverte.
Elle ferme les yeux et commence avec le majeur de la main droite à se caresser le petit bouton du plaisir, pendant que sa main gauche s’attarde à serrer ses seins pour les peloter avant de faire rouler les tétons entre le pouce et l’index. Quand elle juge qu’un sein a eu suffisamment d’excitation, elle change pour l’autre. Elle n’arrête pas de titiller son clitoris, caressant aussi de haut en bas et de bas en haut les petites lèvres jusqu’au vagin, petites lèvres que je devine bien faites car parfois elle les pince entre deux doigts pour se donner encore plus de sensations.
La scène dure, dure longtemps. Christine a toujours les yeux clos, concentrée dans ses pensées, elle remue le corps de gauche à droite, caresse le tapis avec ses fesses qu’elle soulève légèrement, ouvre encore plus largement les cuisses en appuyant sur ses talons en se tortillant et en poussant de petits gémissements de plaisir. Je suis à mon maximum d’excitation mais je me refuse de toucher ma queue de crainte de ne pas pouvoir arrêter de me masturber et jouir avant de lui avoir donné du plaisir.
Plusieurs minutes se passent ainsi avant que Christine, reprenant un instant ses esprits, ouvre les yeux et dise :
- Tu n’aurais pas un gode, par hasard ?
- Bien sûr que j’en ai un, regarde dans le tiroir de la table du salon.
Elle ouvre le tiroir et sort la pochette souple en toile contenant mon gode préféré, elle le sort de son étui et s’extasie dessus en disant :
- Waouh, il est magnifique !
C’est un gode noir d’environ vingt centimètres de long pour quatre de diamètre, il représente un vrai membre et à certainement été moulé sur une vraie verge, hormis le fait qu’il a les des veines proéminentes comme un vrai avec un beau gland bien décalotté, il est aussi vibrant grâce à un variateur de vitesse.
- Il te plait ? Demandais-je.
- Il est parfait, trop réaliste et je pense qu’il va bien me faire jouir !
Ne faisant ni une, ni deux, Christine mouille de gland du gode d’un peu de salive et s’introduit l’engin dans le vagin. Après quelques va-et-vient et quelques gémissements de plaisir, le gode bien enfoncé dans son orifice intime, elle attrape la télécommande et met en marche le vibrateur, ce qui déclenche en elle quelques frémissements supplémentaires. Elle semble s’abandonner à ce bien-être, détendue et offerte.
Christine tire sur le gode toujours vibrant dans son vagin puis le repousse plus profond. Elle ne jouit pas mais son plaisir semble immense. Elle ouvre les yeux et son regard vers moi est vide, comme lointain.
Puis se levant le gode toujours dans son intimité elle me demande de l’accompagner dans ma chambre et là allongée sur le lit elle me demande de m’asseoir près d’elle et de jouer avec le variateur de vitesse.
L’effet ne se fait pas attendre, Christine apprécie, les yeux fermés, un bras au-dessus de la tête et avec l’autre elle titille ses bouts de seins.
Maintenant je fais aller et venir le gode sur toute sa longueur, sa chatte est écartée et ses petites lèvres gorgées de plaisir, tandis que son clitoris sortit de son capuchon est dardé attendant des caresses plus précises.
Christine hurle de plaisir en disant :
- Aaaah ! Encore, je t’en supplie ! Continue ma chérie, je vais bientôt jouir.
Et bientôt sous mon action de va et vient conjuguée aux vibrations, c’est le paradis et l’abandon pour Christine.
Christine ne peut plus se retenir et dans des râles et des cris de jouissance extrêmes, elle s’abandonne sans se retenir, je retire d’un coup le gode de sa chatte et plonge mon visage entre les cuisses pour lui administrer un cunnilingus.
- C’est divin ma Leslie, fais-moi jouir avec ta bouche !
J’aspire son clitoris gonflé et je passe ma langue le long des petites lèvres gonflées par l’excitation, puis je l’enfonce le plus possible dans son vagin et récupère toute son intime sécrétion qui abonde dans son intimité. Je sens son plaisir intense arriver au point de non-retour lorsque j’introduis deux doigts dans la chatte et là encore le résultat ne se fait pas attendre, dans un hurlement de jouissance et d’orgasme, Christine se libère totalement. L’explosion de sa jouissance propulse un jet de liquide visqueux, Christine est une femme-fontaine, et elle vient de jouir.
- Ne t’arrête pas ! M’ordonne Christine, c’est trop bon.
Je ne peux pas dire si Christine a eu plusieurs fois du plaisir. Je pense plutôt qu’elle jouit d’un orgasme continu avec par moment des pulsions positives qui libèrent des petits jets de jouissance.
Christine, les bras en croix, tente de récupérer, elle se dit épuisée, mais entre deux reprises de respiration, elle en demande plus :
- Maintenant, sodomises-moi !
Sans plus attendre, Christine se met à quatre pattes, les fesses en l’air me proposant ses fesses, mais ma surprise est encore plus grande, lorsque, écartant ses fesses pour accéder à sa pastille plissée, je découvre un anus tout brun, comme ses tétons et ses petites lèvres vaginales.
- Remets le gode dans ma chatte, ainsi j’aurais l’impression d’être pénétrée par mes deux amants en même temps.
Je m’exécute en introduisant le gode dans sa chatte, puis j’approche ensuite ma verge à l’entrée de sa rosette, pousse légèrement pour bien sentir la résistance avant de l’introduire. Christine est soumise, nullement contractée par cette première pénétration anale, elle se laisse faire, offerte, alors je pousse mon membre à l’intérieur, au plus profond de son rectum, jusqu’à la garde. Je sens le gode de l’autre côté de la paroi. Christine trouve agréable de sentir le gode appuyer sur ses parois intimes au rythme de mes va-et-vient.
- Ohhh oui, continue doucement et lentement, c’est trop bon et je crois que tu vas encore me faire jouir et du cul cette fois-ci.
Dans la glace de l’armoire, j’ai le film de nos ébats, Christine en travers du lit à quatre pattes, les bras allongés loin devant, et moi debout sur le sol, face à l’armoire, la queue dans son cul.
Entre ses jambes pend le variateur de vitesse et entre ses bras, je vois les deux seins se balancer en rythme avec les tétons qui caressent le drap du lit. Le spectacle est sublime et mériterait d’en faire une vidéo, mais je ne pense pas trop à cela ni au cul que je pénètre, pour me concentrer plus sur l’acte lui-même car, pour cette première, je voudrais jouir simultanément avec Christine.
Il ne faut pas longtemps pour que Christine explose dans un nouvel orgasme. Je m’allonge sur son dos, attrape ses seins pour les serrer dans mes mains, j’enfonce encore plus mon sexe dans son cul, puis je ne bouge plus pour laisser mon éjaculation se propulser loin dans son rectum. C’est dans des cris de jouissances partagées que nous restons ainsi collés l’un à l’autre sans bouger pour savourer l’instant divin.
- Tu m’as fait retrouver le plaisir de la sodomie et maintenant je vais en profiter, j’aimerais finir la nuit chez toi.
Elle est restée et nous avons refait l’amour, elle est partie au petit matin, épuisée et heureuse, avec l’anus entrouvert prêt pour d’autres pénétrations…
A suivre…
C’est vers vingt et une heure que Christine est venue me rejoindre, elle me dit bonsoir en m’embrassant et en profite pour ôter son chemisier afin de libérer sa poitrine libre de toute autre entrave.
Dépoitraillée, elle me fait face, poitrine nue, et demande mon avis sur ses seins.
- Comment trouves-tu mes seins ?
- Ils sont magnifiques, dis-je, tes seins sont superbes et n’ont rien à envier à ta chatte rasée que j’ai aperçu cet après midi !
- Alors je te plais ? Me demande-t-elle.
- Je n’avais qu’une envie tout à l’heure, celle d’être avec toi et de te faire l’amour !
- Alors ne perdons pas de temps…
Christine possède une poitrine magnifique avec deux seins pas trop gros mais bien formés, et chose incroyable pour son âge, ils ne tombent pas et les bouts restent pointés en avant, les tétons sont gros comme de petites perles et ses seins ont la particularité d’avoir des aréoles et des tétons très foncés.
Je suis pleine d’excitation et mon membre en érection ne demande qu’à être caressé, alors pour lui montrer l’état dans lequel je suis j’ouvre mon peignoir pour lui apparaitre en combinaison résille ouverte laissant mon sexe libre.
Christine semble flattée par l’effet qu’elle me fait et s’approchant de moi elle me prend mon membre en main en disant :
- Voilà un joli début ma chérie !
Alors Christine se montre entreprenante, active, après s’être mise totalement nue, elle se met à genoux devant moi, sur le tapis du salon, m’attrape le sexe et le tenant d’une main, se l’enfourne dans sa bouche sensuelle, de l’autre main elle presse mes couilles.
Je sens ses lèvres chaudes coulisser sur mon gland qu’elle prend bien profond en bouche. Elle pompe ainsi en experte pendant plusieurs minutes, retardant mon éjaculation en serrant fort mon sexe à la base quand elle sent le moment de jouir arriver, elle ne désire pas me faire jouir, juste m’excitée pour son plaisir.
Pour la remercier je la relève et l’enserre dans mes bras pour lui dire :
- Tu es vraiment incroyable !
- Attends un peu et tu vas voir…
A cet instant je sens que Christine veut me dire quelque chose, alors j’attends et elle me dit :
- Tu sais tout à l’heure, j’aurais aimé être à la place de Sylvie et prendre du plaisir avec toi, c’est pourquoi je suis venue ce soir pour que tu me fasses jouir, comme tu as fait jouir Sylvie, je veux crier de plaisir sous tes assauts et que tu exploses en moi et j’ai aussi envie que tu me prennes partout, devant, derrière comme la salope que je suis.
- Tu veux que...
- Oui, j’ai envie que je tu me sodomises, voilà bien longtemps que je ne pratique plus cette pénétration mais le plaisir de Sylvie à réveiller mes vieux démons.
- Tu refusais cette pratique à tes amants ?
- Oui car ils ne pensent qu’à cela et ne s’occupe pas de mon plaisir, mais ta sensibilité et ta douceur mon émue et je suis certaine que tu réussiras à me satisfaire, mais avant je vais te montrer comment je me donne du plaisir…
Sur ces paroles, Christine n’en dit pas plus. Elle me plante au milieu du salon, j’ai la queue tendue à l’extrême, parallèle au sol. Elle s’allonge sur le dos, remonte ses genoux en prenant appui sur les talons qu’elle pose au niveau des fesses et ouvre les jambes au maximum comme une femme qui accouche. Elle est ainsi complètement offerte, mais je me garde bien de venir la rejoindre, préférant m’asseoir sur un fauteuil dans l’angle de la pièce pour mieux l’observer. De cet endroit, j’ai une vue de face sur sa chatte largement ouverte.
Elle ferme les yeux et commence avec le majeur de la main droite à se caresser le petit bouton du plaisir, pendant que sa main gauche s’attarde à serrer ses seins pour les peloter avant de faire rouler les tétons entre le pouce et l’index. Quand elle juge qu’un sein a eu suffisamment d’excitation, elle change pour l’autre. Elle n’arrête pas de titiller son clitoris, caressant aussi de haut en bas et de bas en haut les petites lèvres jusqu’au vagin, petites lèvres que je devine bien faites car parfois elle les pince entre deux doigts pour se donner encore plus de sensations.
La scène dure, dure longtemps. Christine a toujours les yeux clos, concentrée dans ses pensées, elle remue le corps de gauche à droite, caresse le tapis avec ses fesses qu’elle soulève légèrement, ouvre encore plus largement les cuisses en appuyant sur ses talons en se tortillant et en poussant de petits gémissements de plaisir. Je suis à mon maximum d’excitation mais je me refuse de toucher ma queue de crainte de ne pas pouvoir arrêter de me masturber et jouir avant de lui avoir donné du plaisir.
Plusieurs minutes se passent ainsi avant que Christine, reprenant un instant ses esprits, ouvre les yeux et dise :
- Tu n’aurais pas un gode, par hasard ?
- Bien sûr que j’en ai un, regarde dans le tiroir de la table du salon.
Elle ouvre le tiroir et sort la pochette souple en toile contenant mon gode préféré, elle le sort de son étui et s’extasie dessus en disant :
- Waouh, il est magnifique !
C’est un gode noir d’environ vingt centimètres de long pour quatre de diamètre, il représente un vrai membre et à certainement été moulé sur une vraie verge, hormis le fait qu’il a les des veines proéminentes comme un vrai avec un beau gland bien décalotté, il est aussi vibrant grâce à un variateur de vitesse.
- Il te plait ? Demandais-je.
- Il est parfait, trop réaliste et je pense qu’il va bien me faire jouir !
Ne faisant ni une, ni deux, Christine mouille de gland du gode d’un peu de salive et s’introduit l’engin dans le vagin. Après quelques va-et-vient et quelques gémissements de plaisir, le gode bien enfoncé dans son orifice intime, elle attrape la télécommande et met en marche le vibrateur, ce qui déclenche en elle quelques frémissements supplémentaires. Elle semble s’abandonner à ce bien-être, détendue et offerte.
Christine tire sur le gode toujours vibrant dans son vagin puis le repousse plus profond. Elle ne jouit pas mais son plaisir semble immense. Elle ouvre les yeux et son regard vers moi est vide, comme lointain.
Puis se levant le gode toujours dans son intimité elle me demande de l’accompagner dans ma chambre et là allongée sur le lit elle me demande de m’asseoir près d’elle et de jouer avec le variateur de vitesse.
L’effet ne se fait pas attendre, Christine apprécie, les yeux fermés, un bras au-dessus de la tête et avec l’autre elle titille ses bouts de seins.
Maintenant je fais aller et venir le gode sur toute sa longueur, sa chatte est écartée et ses petites lèvres gorgées de plaisir, tandis que son clitoris sortit de son capuchon est dardé attendant des caresses plus précises.
Christine hurle de plaisir en disant :
- Aaaah ! Encore, je t’en supplie ! Continue ma chérie, je vais bientôt jouir.
Et bientôt sous mon action de va et vient conjuguée aux vibrations, c’est le paradis et l’abandon pour Christine.
Christine ne peut plus se retenir et dans des râles et des cris de jouissance extrêmes, elle s’abandonne sans se retenir, je retire d’un coup le gode de sa chatte et plonge mon visage entre les cuisses pour lui administrer un cunnilingus.
- C’est divin ma Leslie, fais-moi jouir avec ta bouche !
J’aspire son clitoris gonflé et je passe ma langue le long des petites lèvres gonflées par l’excitation, puis je l’enfonce le plus possible dans son vagin et récupère toute son intime sécrétion qui abonde dans son intimité. Je sens son plaisir intense arriver au point de non-retour lorsque j’introduis deux doigts dans la chatte et là encore le résultat ne se fait pas attendre, dans un hurlement de jouissance et d’orgasme, Christine se libère totalement. L’explosion de sa jouissance propulse un jet de liquide visqueux, Christine est une femme-fontaine, et elle vient de jouir.
- Ne t’arrête pas ! M’ordonne Christine, c’est trop bon.
Je ne peux pas dire si Christine a eu plusieurs fois du plaisir. Je pense plutôt qu’elle jouit d’un orgasme continu avec par moment des pulsions positives qui libèrent des petits jets de jouissance.
Christine, les bras en croix, tente de récupérer, elle se dit épuisée, mais entre deux reprises de respiration, elle en demande plus :
- Maintenant, sodomises-moi !
Sans plus attendre, Christine se met à quatre pattes, les fesses en l’air me proposant ses fesses, mais ma surprise est encore plus grande, lorsque, écartant ses fesses pour accéder à sa pastille plissée, je découvre un anus tout brun, comme ses tétons et ses petites lèvres vaginales.
- Remets le gode dans ma chatte, ainsi j’aurais l’impression d’être pénétrée par mes deux amants en même temps.
Je m’exécute en introduisant le gode dans sa chatte, puis j’approche ensuite ma verge à l’entrée de sa rosette, pousse légèrement pour bien sentir la résistance avant de l’introduire. Christine est soumise, nullement contractée par cette première pénétration anale, elle se laisse faire, offerte, alors je pousse mon membre à l’intérieur, au plus profond de son rectum, jusqu’à la garde. Je sens le gode de l’autre côté de la paroi. Christine trouve agréable de sentir le gode appuyer sur ses parois intimes au rythme de mes va-et-vient.
- Ohhh oui, continue doucement et lentement, c’est trop bon et je crois que tu vas encore me faire jouir et du cul cette fois-ci.
Dans la glace de l’armoire, j’ai le film de nos ébats, Christine en travers du lit à quatre pattes, les bras allongés loin devant, et moi debout sur le sol, face à l’armoire, la queue dans son cul.
Entre ses jambes pend le variateur de vitesse et entre ses bras, je vois les deux seins se balancer en rythme avec les tétons qui caressent le drap du lit. Le spectacle est sublime et mériterait d’en faire une vidéo, mais je ne pense pas trop à cela ni au cul que je pénètre, pour me concentrer plus sur l’acte lui-même car, pour cette première, je voudrais jouir simultanément avec Christine.
Il ne faut pas longtemps pour que Christine explose dans un nouvel orgasme. Je m’allonge sur son dos, attrape ses seins pour les serrer dans mes mains, j’enfonce encore plus mon sexe dans son cul, puis je ne bouge plus pour laisser mon éjaculation se propulser loin dans son rectum. C’est dans des cris de jouissances partagées que nous restons ainsi collés l’un à l’autre sans bouger pour savourer l’instant divin.
- Tu m’as fait retrouver le plaisir de la sodomie et maintenant je vais en profiter, j’aimerais finir la nuit chez toi.
Elle est restée et nous avons refait l’amour, elle est partie au petit matin, épuisée et heureuse, avec l’anus entrouvert prêt pour d’autres pénétrations…
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas surpris par ce récit, car ma maîtresse, qui est mariée, a le même comportement, une vraie chienne en chaleur des qu'elle a une bite dans le cul,avec elle ,rien ne la rebute,bien au contraire ses initiatives sont toujours surprenantes. Écrasé une banane avec les muscles de sa chatte, remplie jusqu'aux couilles,elle pisse en jouissant, s'introduit n'importe quoi dans le vagin pourvu que ce soit énorme et a chaque cela rentre, elle jouie en criant sans aucune retenue, cela fait parfois désordre a l'hôtel.
Si la moitié de ce que vous racontez se passe réellement vous devez avoir une vie sexuelle hors du commun ! Mais réel ou vécu, merci beaucoup de nous raconter toutes ces aventures au combien excitantes.
Toujours très bien, c'est vraiment agréable de vous lire