Leslie HS14
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Leslie HS14
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Leslie HS14 – Hors-série – Christine, confidences sur l’oreiller
Nous venions de faire l’amour, plusieurs fois, Christine voulant jouir par devant et par derrière une nouvelle fois m’offrit ses deux trous, elle me sodomisa avec le gode ceinture de Laure et épuisées nous nous sommes endormies, mais avant Christine me fit cette confidence :
« Tu sais Leslie, c’est vrai que j’adore le sexe, sous toutes ses formes, avec les femmes comme les hommes, tu es ma première transexuelle et j’avoue que j’ai aimé.
J’aime sodomiser mes compagnes ou faire l’amour de façon traditionnelle, je ne manque jamais une occasion, il en va de même avec les hommes, mais avant toi ce soir, je n’acceptais plus de me faire sodomiser, cela est suite à une aventure il y a trois ans.
Ce jour-là, en vacances Cannes, je suis sortie au casino pour passer une soirée et éventuellement terminer en boite pour faire une éventuelle rencontre.
J’étais à peine arrivée au casino, que je me suis fait draguer au bandit manchot par un mec qui avait bien vingt ans de moins que moi.
Le genre sportif, jean et baskets, beau mec pas déplaisant, on a pris un verre et le courant est passé tout de suite. J’aimais ses yeux, ses mains. Bon, d’accord, il était un peu jeune, j’avais presque l’impression d’être sa maman, car avec mes quarante ans il aurait pu être mon fils, mais en même temps je me sentais flattée d’intéresser un beau gars bien foutu capable d’emballer des filles de son âge. Mais lui, apparemment, il préférait les femmes mûres et je n’allais pas me gêner, j’allais faire la cougar.
J’ai voulu l’emmener danser dans la boîte mais on ne l’a pas laissé entrer, pas assez bien fringué. Alors, on s’est baladé au bord de la mer, il me complimentait sur ma beauté, mon corps de rêve, enfin tout ce qu’un homme peut dire dans ce cas-là.
La nuit était magnifique et la lune se reflétait sur l’eau, je me suis soudain sentie très romantique, nous nous sommes assis sur le bout de la plage, dans l’obscurité de la nuit et j’ai laissé ma tête reposer sur son épaule.
Il m’a caressée gentiment les cheveux puis sa main s’est égarée dans mon décolleté. Il a senti mes pointes de sein durcir, je ronronnais comme une chatte et j’ai commencé à déboutonner sa braguette.
Quel ne fut pas mon étonnement, il n’avait pas de slip et quand j’ai vu son engin, je me suis jetée dessus comme une furie, un membre long et épais, je ne sais pas les dimensions mais il avait un sexe bien au-dessus de la moyenne et le plus monstrueux que ceux de tous mes amants.
Je l’ai pompé longuement avec difficulté, ma bouche complètement dilatée avait du mal à l’absorber tellement il était épais, mais je continuais de le sucer tout en tirant son jean vers le bas pour libérer ses couilles et jouer un peu avec.
Pendant ce temps, il avait dégrafé mon soutien-gorge et ôté mon boléro. J’étais torse nu sur la grève de la plage et lui cul nu, ça faisait une moyenne.
Prenant ma tête dans ses mains, il a tenté que je lui fasse une gorge profonde, mais au bord de l’étouffement j’ai décliné. Il a paru déçu et j’aurais à cet instant du me méfier sur la suite de la soirée, mais toute à mon plaisir, je continuais de le pomper comme je pouvais.
On s’est mis à poil et je peux te dire que les préliminaires ont été vite expédiés. Le temps de m’assurer qu’il avait bien une capote, tirée de je ne sais où, et il était en moi, bien enfoncé. J’avais les jambes croisées dans son dos le mec entre les cuisses, très virulent, très performant. Il me remplissait complètement et je me sentais complètement dilatée, je n’avais jamais ressenti une pénétration aussi énorme, mais il est passé d’entrée la surmultipliée et je me suis demandée un instant s’il n’allait pas gicler prématurément. C’est un peu le problème avec les jeunes. Mais non, c’était un vaillant et il m’a prise ensuite en levrette.
Je ne savais plus trop où j’habitais. Heureusement il n’y avait personne dans le coin car mes hurlements auraient déchainés les foules.
On a fini nos ébats, moi en levrette face au large, appuyée sur mes deux mains et lui derrière en train de me pilonner.
Après avoir jouit, on a plongé dans la mer pour se laver.
C’est en rentrant que tour a basculé, Pierre, me demanda de l’accompagner pour aller boire un verre avec des amis, complètement stone du plaisir qu’il m’avait donné, sans réfléchir, j’ai accepté, en fait il m’emmenait à une tournante où j’allais être un objet sexuelle pour lui et ses copains.
Aussitôt arrivés dans un bungalow de vacances, ils m’ont mise nue et attaché les mains dans le dos et la tournante a commencé…
Le premier, était plutôt grand, mince, le teint halé, musclé, une vraie caricature de beau gosse. Le deuxième, un black baraqué, grand lui aussi mais membré comme un âne, encore plus imposant que mon salopard d’amant sur la plage. Le troisième était le plus petit, mince mais un sexe court mais épais.
Je frémis en imaginant ce qui allait m’arriver, moi une salope qui aimait le sexe, j’alais me faire partouzer, sans mon accord, par trois salopards sous les yeux d’un autre qui venait de me baiser…
Un baiser fougueux du premier, un sexe collé dans mon dos, le troisième qui, tout en me caressant un sein, aurait bien voulu lui aussi, conquérir mes lèvres. Les corps se frottaient contre moi. Six mains pour deux seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, six mains pour me fouiller le sexe et trois membres pour me pénétrer et l’autre qui regardait, content de m’avoir prise au piège.
Perdue entre ses mâles que je ne désirais pas, je restais les lèvres closes, refusant tous baisers, ne voulant pas être complice et leur donner du plaisir, ils allaient me violer, je n’allais pas en plus être consentante.
Mais une baffe me ramena à la dure réalité, suivi d’un ordre du black :
- Où tu fais ce qu’on te dit, où tu vas passer un sale moment !
- Tu vas nous sucer, dit le premier, sinon tu vas te souvenir de cet instant.
Je n’avais pas le choix, de toutes façons j’allais passer un sale moment, alors mieux valait en finir au plus vite et être docile, mon corps allait subir tous les outrages, mieux valait éviter les coups.
C’est vrai que j’étais déjà une salope, mais je ne m’imaginais pas être un jour dans une telle situation.
J’avais les yeux fermés. Je les embrassais tour à tour sans savoir qui j’embrassais, sans plaisir juste pour les contenter et les calmer. Mes mains, libérées des entraves, branlaient deux membres déjà bien durcis. Ils allaient me baiser comme une chienne
Tandis que leurs caresses continuaient, j’avais des visions dans la tête plein la tête, je me voyais déjà prise en étau comme une salope, comme une chienne en chaleur sans être consentante, défoncée par leurs bites qui allaient pénétrer mes orifices, cette vision de moi-même me dégouta, même si je prenais du plaisir, je me dis qu’après plus rien ne serait pareil.
Soudain un doigt me pénétra la vulve et un sexe forçait mes lèvres, j’étais à leur merci et ils allaient me violer. Ils me forcèrent à m’allonger sur le lit par-dessus un des hommes qui y était déjà et sans préliminaires il m’introduisit son sexe en moi, alors même que je commençais à crier mon refus, une bite s’enfourna dans ma bouche pour me faire taire tandis qu’une autre se posait sur ma rondelle.
Ils allaient me pendre par mes trois orifices en même temps et je sentis aussitôt le membre pénétrer tout au fond de mon cul.
J’ai hurlé, bien sûr, une douleur fulgurante venait de me vriller le cul, à la limite du supportable.
Les allées et venues dans mes orifices me faisaient pousser des cris au rythme des pénétrations, j’étais en train de me faire enculer par derrière, un autre se masturbait dans ma bouche, et le troisième possédait ma chatte.
Mon corps se résumait à l’essentiel de mes orifices, un vagin, un cul et une bouche pour crier lorsqu’elle n’était pas pleine. Je pris conscience soudain qu’aucun ne s’était protégé et j’allais être souillée comme la dernière des trainées.
Soudain, le premier jouit m’inondant la bouche et le visage de son sperme, tandis que je sentais la puissance des deux autres dans mon ventre.
Enfoncée avec puissance, un pieu me démolissait l’arrière-train, j’avais la tête penchée en arrière, les yeux fermés, sentant le sperme couler lentement le long de mon visage.
Je sentais que le moment venait pour les deux autres, mon anus sentait que le sexe qui me pénétrait se gonflait de façon de plus en plus précipitée, augmentant encore la pression sur ma rondelle qui allait exploser, et il jouit dans une pénétration plus profonde que les autres ! Une éjaculation qui semblait ne plus finir, qui me déchirait les entrailles et me remplissait le cul dans un acte non consenti.
Ma chatte ne fut pas oublier, redoublant d’intensité de son sexe puissant qui continuaient à faire vivre le sexe dans mon cul qui ne débandait plus, il fit lui aussi par jouir dans mon ventre.
Je pensais que s’en était fini, mais déjà des mains sur mon corps me firent comprendre que ce n’était que le début de la soirée.
Je te laisse imaginer leurs sourires, le plaisir que ces hommes avaient eu à violer une femme plus âgée qu’eux, à se partager une salope qui avait baisé avec leur copains, à la voir prise par tous ses orifices et ils se préparaient à me faire subir les pires outrages.
Après avoir été défoncée comme une chienne, ils remirent cela en changeant d’orifices, l’un après l’autre ils visitèrent mes trois trous, et alors que je jour se levait le quatrième, celui qui m’avait amené là, m’encula sous les yeux de ses copains.
Je suis rentrée à l’hôtel, souillée, les orifices remplis de foutre et je suis restée longtemps sous la douche, espérant laver le souvenir de cette nuit. Mais rien n’y fit, voilà maintenant trois ans que je ne m’étais pas faite sodomisée…
A suivre…
Leslie HS14 – Hors-série – Christine, confidences sur l’oreiller
Nous venions de faire l’amour, plusieurs fois, Christine voulant jouir par devant et par derrière une nouvelle fois m’offrit ses deux trous, elle me sodomisa avec le gode ceinture de Laure et épuisées nous nous sommes endormies, mais avant Christine me fit cette confidence :
« Tu sais Leslie, c’est vrai que j’adore le sexe, sous toutes ses formes, avec les femmes comme les hommes, tu es ma première transexuelle et j’avoue que j’ai aimé.
J’aime sodomiser mes compagnes ou faire l’amour de façon traditionnelle, je ne manque jamais une occasion, il en va de même avec les hommes, mais avant toi ce soir, je n’acceptais plus de me faire sodomiser, cela est suite à une aventure il y a trois ans.
Ce jour-là, en vacances Cannes, je suis sortie au casino pour passer une soirée et éventuellement terminer en boite pour faire une éventuelle rencontre.
J’étais à peine arrivée au casino, que je me suis fait draguer au bandit manchot par un mec qui avait bien vingt ans de moins que moi.
Le genre sportif, jean et baskets, beau mec pas déplaisant, on a pris un verre et le courant est passé tout de suite. J’aimais ses yeux, ses mains. Bon, d’accord, il était un peu jeune, j’avais presque l’impression d’être sa maman, car avec mes quarante ans il aurait pu être mon fils, mais en même temps je me sentais flattée d’intéresser un beau gars bien foutu capable d’emballer des filles de son âge. Mais lui, apparemment, il préférait les femmes mûres et je n’allais pas me gêner, j’allais faire la cougar.
J’ai voulu l’emmener danser dans la boîte mais on ne l’a pas laissé entrer, pas assez bien fringué. Alors, on s’est baladé au bord de la mer, il me complimentait sur ma beauté, mon corps de rêve, enfin tout ce qu’un homme peut dire dans ce cas-là.
La nuit était magnifique et la lune se reflétait sur l’eau, je me suis soudain sentie très romantique, nous nous sommes assis sur le bout de la plage, dans l’obscurité de la nuit et j’ai laissé ma tête reposer sur son épaule.
Il m’a caressée gentiment les cheveux puis sa main s’est égarée dans mon décolleté. Il a senti mes pointes de sein durcir, je ronronnais comme une chatte et j’ai commencé à déboutonner sa braguette.
Quel ne fut pas mon étonnement, il n’avait pas de slip et quand j’ai vu son engin, je me suis jetée dessus comme une furie, un membre long et épais, je ne sais pas les dimensions mais il avait un sexe bien au-dessus de la moyenne et le plus monstrueux que ceux de tous mes amants.
Je l’ai pompé longuement avec difficulté, ma bouche complètement dilatée avait du mal à l’absorber tellement il était épais, mais je continuais de le sucer tout en tirant son jean vers le bas pour libérer ses couilles et jouer un peu avec.
Pendant ce temps, il avait dégrafé mon soutien-gorge et ôté mon boléro. J’étais torse nu sur la grève de la plage et lui cul nu, ça faisait une moyenne.
Prenant ma tête dans ses mains, il a tenté que je lui fasse une gorge profonde, mais au bord de l’étouffement j’ai décliné. Il a paru déçu et j’aurais à cet instant du me méfier sur la suite de la soirée, mais toute à mon plaisir, je continuais de le pomper comme je pouvais.
On s’est mis à poil et je peux te dire que les préliminaires ont été vite expédiés. Le temps de m’assurer qu’il avait bien une capote, tirée de je ne sais où, et il était en moi, bien enfoncé. J’avais les jambes croisées dans son dos le mec entre les cuisses, très virulent, très performant. Il me remplissait complètement et je me sentais complètement dilatée, je n’avais jamais ressenti une pénétration aussi énorme, mais il est passé d’entrée la surmultipliée et je me suis demandée un instant s’il n’allait pas gicler prématurément. C’est un peu le problème avec les jeunes. Mais non, c’était un vaillant et il m’a prise ensuite en levrette.
Je ne savais plus trop où j’habitais. Heureusement il n’y avait personne dans le coin car mes hurlements auraient déchainés les foules.
On a fini nos ébats, moi en levrette face au large, appuyée sur mes deux mains et lui derrière en train de me pilonner.
Après avoir jouit, on a plongé dans la mer pour se laver.
C’est en rentrant que tour a basculé, Pierre, me demanda de l’accompagner pour aller boire un verre avec des amis, complètement stone du plaisir qu’il m’avait donné, sans réfléchir, j’ai accepté, en fait il m’emmenait à une tournante où j’allais être un objet sexuelle pour lui et ses copains.
Aussitôt arrivés dans un bungalow de vacances, ils m’ont mise nue et attaché les mains dans le dos et la tournante a commencé…
Le premier, était plutôt grand, mince, le teint halé, musclé, une vraie caricature de beau gosse. Le deuxième, un black baraqué, grand lui aussi mais membré comme un âne, encore plus imposant que mon salopard d’amant sur la plage. Le troisième était le plus petit, mince mais un sexe court mais épais.
Je frémis en imaginant ce qui allait m’arriver, moi une salope qui aimait le sexe, j’alais me faire partouzer, sans mon accord, par trois salopards sous les yeux d’un autre qui venait de me baiser…
Un baiser fougueux du premier, un sexe collé dans mon dos, le troisième qui, tout en me caressant un sein, aurait bien voulu lui aussi, conquérir mes lèvres. Les corps se frottaient contre moi. Six mains pour deux seins, trois bouches pour souffler le chaud et le froid dans mon cou, six mains pour me fouiller le sexe et trois membres pour me pénétrer et l’autre qui regardait, content de m’avoir prise au piège.
Perdue entre ses mâles que je ne désirais pas, je restais les lèvres closes, refusant tous baisers, ne voulant pas être complice et leur donner du plaisir, ils allaient me violer, je n’allais pas en plus être consentante.
Mais une baffe me ramena à la dure réalité, suivi d’un ordre du black :
- Où tu fais ce qu’on te dit, où tu vas passer un sale moment !
- Tu vas nous sucer, dit le premier, sinon tu vas te souvenir de cet instant.
Je n’avais pas le choix, de toutes façons j’allais passer un sale moment, alors mieux valait en finir au plus vite et être docile, mon corps allait subir tous les outrages, mieux valait éviter les coups.
C’est vrai que j’étais déjà une salope, mais je ne m’imaginais pas être un jour dans une telle situation.
J’avais les yeux fermés. Je les embrassais tour à tour sans savoir qui j’embrassais, sans plaisir juste pour les contenter et les calmer. Mes mains, libérées des entraves, branlaient deux membres déjà bien durcis. Ils allaient me baiser comme une chienne
Tandis que leurs caresses continuaient, j’avais des visions dans la tête plein la tête, je me voyais déjà prise en étau comme une salope, comme une chienne en chaleur sans être consentante, défoncée par leurs bites qui allaient pénétrer mes orifices, cette vision de moi-même me dégouta, même si je prenais du plaisir, je me dis qu’après plus rien ne serait pareil.
Soudain un doigt me pénétra la vulve et un sexe forçait mes lèvres, j’étais à leur merci et ils allaient me violer. Ils me forcèrent à m’allonger sur le lit par-dessus un des hommes qui y était déjà et sans préliminaires il m’introduisit son sexe en moi, alors même que je commençais à crier mon refus, une bite s’enfourna dans ma bouche pour me faire taire tandis qu’une autre se posait sur ma rondelle.
Ils allaient me pendre par mes trois orifices en même temps et je sentis aussitôt le membre pénétrer tout au fond de mon cul.
J’ai hurlé, bien sûr, une douleur fulgurante venait de me vriller le cul, à la limite du supportable.
Les allées et venues dans mes orifices me faisaient pousser des cris au rythme des pénétrations, j’étais en train de me faire enculer par derrière, un autre se masturbait dans ma bouche, et le troisième possédait ma chatte.
Mon corps se résumait à l’essentiel de mes orifices, un vagin, un cul et une bouche pour crier lorsqu’elle n’était pas pleine. Je pris conscience soudain qu’aucun ne s’était protégé et j’allais être souillée comme la dernière des trainées.
Soudain, le premier jouit m’inondant la bouche et le visage de son sperme, tandis que je sentais la puissance des deux autres dans mon ventre.
Enfoncée avec puissance, un pieu me démolissait l’arrière-train, j’avais la tête penchée en arrière, les yeux fermés, sentant le sperme couler lentement le long de mon visage.
Je sentais que le moment venait pour les deux autres, mon anus sentait que le sexe qui me pénétrait se gonflait de façon de plus en plus précipitée, augmentant encore la pression sur ma rondelle qui allait exploser, et il jouit dans une pénétration plus profonde que les autres ! Une éjaculation qui semblait ne plus finir, qui me déchirait les entrailles et me remplissait le cul dans un acte non consenti.
Ma chatte ne fut pas oublier, redoublant d’intensité de son sexe puissant qui continuaient à faire vivre le sexe dans mon cul qui ne débandait plus, il fit lui aussi par jouir dans mon ventre.
Je pensais que s’en était fini, mais déjà des mains sur mon corps me firent comprendre que ce n’était que le début de la soirée.
Je te laisse imaginer leurs sourires, le plaisir que ces hommes avaient eu à violer une femme plus âgée qu’eux, à se partager une salope qui avait baisé avec leur copains, à la voir prise par tous ses orifices et ils se préparaient à me faire subir les pires outrages.
Après avoir été défoncée comme une chienne, ils remirent cela en changeant d’orifices, l’un après l’autre ils visitèrent mes trois trous, et alors que je jour se levait le quatrième, celui qui m’avait amené là, m’encula sous les yeux de ses copains.
Je suis rentrée à l’hôtel, souillée, les orifices remplis de foutre et je suis restée longtemps sous la douche, espérant laver le souvenir de cette nuit. Mais rien n’y fit, voilà maintenant trois ans que je ne m’étais pas faite sodomisée…
A suivre…
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