Leslie LA 30
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie LA 30
Leslie LA30 – Laure, le journal intime - Rencontre
Vous le savez, je suis sexuellement libre et malgré mon jeune-âge, j’ai déjà eu mon lot d’expériences, avec des femmes ou des hommes, mais dès le début de mes aventures je n’ai rien caché à ma mère, elle est au courant que j’aime le sexe, tout comme elle d’ailleurs et bien qu’elle me comprenne et ne me fait aucun reproches, je ne me sens aussi libre que je le voudrais.
Il avait été convenu qu’à ma majorité, je m’installerais chez mon oncle, un grand et bel appartement qu’il me réservait, d’ailleurs j’y vis toujours avec Leslie, et la promesse a été tenu, et me voilà installée depuis deux semaines chez moi. Enfin libre, libre d’invité et de recevoir qui je veux, surfer sur internet quand je veux et sortir jusqu’au bout de la nuit quand j’en ai envie ?
La belle vie, mais la condition est de réussir mes études, mon oncle est là pour veiller, mais avouez que ce n’est pas courant, pour une fille faisant ses études, à dix-huit ans d’être chez soi.
Mais ce nouveau statut n’explique pas d’avoir des aventures à chaque occasion et continuellement chercher le bon coup et pourquoi pas l’exceptionnel, je ne vais pas ramener n’importe qui à la maison.
Mon oncle, homme d’expérience, qui connait ma vie, me disait à ce propos :
- Moins t’en ramène, moins tu seras emmerder !
Néanmoins j’étais libre, installée chez mon oncle, pouvant vivre ma vie, et faire à peu-près ce que je désirais.
Le soir, je surfais régulièrement sur internet, à la recherche de l’annonce qui retiendrait mon attention, je savais que je pouvais trouver des femmes et ces rencontres étaient sans trop de risques, mais pour les hommes il fallait faire attention et surtout ne pas tomber sur un désaxée et avoir à le regretter.
Un jour, je suis tombée sur un monsieur qui me contacte, le courant passe et j’accroche dans l’échange cybernétique.
Mon annonce sur mon profil était ainsi rédigée :
« Jeune fille, très libre, désire parfaire ses connaissances. »
Vous comprenez que sur un site de rencontres, mon annonce était suffisamment explicite, d’ailleurs j’avais beaucoup de réponses en tout genre, d’hommes comme de femmes voulant plus jouer avec moi et profiter de ma jeunesse que de me séduire et accrocher mon attention.
Je refusais toutes les propositions qui ne me convenaient pas et qui laissaient le doute et la suspicion sur leurs intentions réelles, mais là je fus séduite par la franchise et la simplicité du message.
« La cinquantaine bien tassée, veuf, mais joyeux, charmant juste ce qu’il faut, ayant une bonne situation, aimerait rendre une jeune fille heureuse et retrouver sa jeunesse près d’elle en lui prodiguant les conseils d’usage. Ce, dans l’élégance et la subtilité. Un brin de culture sera de mise, le respect mutuel sera obligatoire. Contactez-moi, si intéressée… »
Il avait signé et ajouter ses horaires de connexion.
En lisant cette réponse, je me suis dit qu’il fallait que je prenne contact, j’ai vérifié ses horaires de connexion et je me suis aperçue qu’à cet instant il devait être en ligne, sans perdre de temps je lui ai envoyé :
« Intéressée, contact effectué… »
Deux minutes plus tard, j’avais une réponse :
« Bonsoir, serais-je l’élu ? »
Et la conversation via les messages cybernétique s’est établie.
« Il se pourrait que oui, mais pourriez-vous m’en dire un peu plus ? »
« Seul dans la vie, je recherche l’impossible… »
« Sauriez-vous me faire vivre cet impossible ? »
« Possible, si je vous plais. »
Et des photos de lui sont jointes au message, je prends le temps de les regarder pour me faire une idée de son physique et prendre la décision de continuer ou d’en rester là.
Pour son âge, il n’est pas mal du tout, un physique entretenu, svelte et un charme fou…
Un autre message tombe pendant que je regarde les photos.
« Et vous comment êtes-vous ? »
Il doit vouloir des photos de moi, alors je lui envoi trois de moi, une sage, une autre coquine et une autre un peu osée, en fait la dernière me présente en lingerie qui ne cache que l’essentiel de mon intimité.
La réponse ne se fait pas attendre.
« Vous êtes superbe, et si jeune, je crois rêver »
L’échange de messages continu, et j’apprends qu’il habite en proche banlieue à l’Ouest de Paris, Saint-Cloud, dans une grande maison avec un parc, facile d’accès, idéal pour me recevoir, être tranquilles et ne pas être dérangés, si toutefois nous nous entendons sur la suite à donner à notre échange de message, car certainement pris d’un doute il m’envoie un message très explicite.
« Je garde l’espoir que vous n’êtes pas une allumeuse et que vous êtes sérieuse. »
« Rassurez-vous, je le suis, sérieuse ! »
« Bien, il nous reste dons de fixer un rendez-vous pour que vous veniez me retrouver. »
« Dites-moi quand et je serais là ! »
« Au fait, Laure, vous acceptez tout en amour ?
Ah, le vicieux, on y est et je le vois venir, sodomie, j’en passe et des meilleures, je n’ai pas tout essayé, mais je ne suis pas prête à tout.
« Je n’ai pas vraiment de tabous, du moment qu’il n’y a pas de violence et beaucoup de respect. »
« Je le disais dans mon annonce et en plus je suis un être très doux. »
« D’accord, c’est le minimum, dans le cas contraire je pars aussitôt. »
« Cela va de soi. »
« Bon, que diriez-vous pour vendredi soir ? »
« Cela est parfait. »
« Alors à vendredi, vingt heures. »
Et il se déconnecte, après m’avoir envoyé un baiser…
Vendredi, vingt heures, me voilà donc à l’heure dite devant cette grande maison bourgeoise, un peu en retrait de la rue au fond d’un grand parc arboré, l’endroit est charmant.
Mon hôte m’accueille avec galanterie, osant même un baisemain respectueux, en accord avec les traditions, un bon début dans le respect et la galanterie, nous nous installons sur la terrasse et m’offre une boisson, je prends un coca avec un peu de gin.
Puis la conversation s’engage dans une discussion anodine, il se veut et se fait séducteur :
- Je vous trouve ravissante, Laure, encore plus belle que sur les photos et vous avez une très jolie robe et vous êtes maquillée avec goût.
Il faut dire que j’ai fait fort ce soir, perchée sur des escarpins à talons aiguilles, avec une jupe courte fendue sur le côté, porte-jarretelles et bas coutures, poitrine nue sous un corsage quasi transparent et un petit string fendu et maquillée juste ce qu’il faut.
Je le remercie de tant d’attentions et du compliment en croisant lentement les jambes devant lui pour me dévoiler un peu, ma jupe s’ouvre sur mes jarretelles et peut-être à t-il aperçu mon string.
Louis, me sourit et en connaisseur je vois que rien ne lui a échappé de mon manège, et il me demande simplement :
- Croyez-vous que je vais être à la hauteur de vos attentes ?
- Oui, je l’espère, sinon je ne serais pas là, dis-je.
- Alors pourriez-vous me dire si vous êtes sensuelle et si les bouts de vos seins sont sensibles.
Je lui réponds par l’affirmatif et il continue :
- Plutôt clitoridienne ou vaginale ?
- Les deux.
- Aimez-vous les longues caresses ou les pénétrations profondes et puissantes ?
Et là j’ose être provocatrice.
- Vous n’avez qu’à m’essayer, et vous verrez !
Satisfait, il m’entraîne dans le living et pose un baiser sur ma bouche, puis se recule en disant :
- Laissez-moi vous regarder Laure et faites-moi plaisir, effeuillée vous devant moi ?
Un petit strip pour le mettre en forme, langoureux et sensuel, pourquoi pas.
Mais, alors que je commence mon strip-tease, il me dit :
- Non, pas comme ça, soyez naturelle, Laure, offrez-vous sans manières.
- Bien, Monsieur, je vais suivre vos conseils.
- C’est bien Laure, vous comprenez, à l’écoute sans être docile, rebelle et pas soumise.
Il vient de saisir une baguette et je frémis en pensant au pire, alors je lui dis :
- Si vous me faites mal, je m’en vais, j’ai horreur de la violence.
Mais, il ne me frappe pas et devant mon regard inquiet, il se veut rassurant et me dit :
- Ne vous en faites pas, Laure, je n’ai encore jamais frappé personne et la badine c’est pour bien autre chose…
Je me retrouve devant lui, avec juste mes chaussures et mon string fendu, mon porte-jarretelles et mes bas, alors il dit :
- Et ça, vous les gardez pour dormir ? Vous dormez comment la nuit ?
- Entièrement nue
- Eh bien, mettez-vous entièrement nue.
Il tourne autour de moi et de sa badine il caresse mes hanches, puis mes seins et enfin mon sexe, me faisant frémir à chaque contact, et il ajoute :
- Le plaisir ne vient pas que de la pénétration, je vais vous montrez qu’avec cette simple baguette je peux vous faire jouir…
Et du bout de sa baguette il caresse le bout de mes seins les faisant durcir.
- Vous avez de beaux seins, dit-il, et sensibles par ce que je vois.
Pendant que j’enlève mes bas et le porte-jarretelles, il utilise le bout de sa baguette pour titiller mes tétons, le contact les fait s’ériger un peu plus, puis il vient derrière moi et, toujours avec la badine, me caresse les cuisses afin que je les écarte légèrement.
Le bout glisse le long de ma raie et il me dit ;
- Et ce petit string, vous décidez-vous à l’enlever ?
Je m’exécute et sitôt enlevé, il passe devant moi et de même sur ma vulve, la caressant du bout de sa baguette, je frémis et sens que je commence à mouiller, et je l’entends me demander :
- Quel est le plus gros sexe que vous ayez eu en vous ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas mesuré.
- Mais vous vous souvenez de cette personne ? Et des circonstances ?
- Oui, c’était un inconnu sur la plage.
- Et vous avez bien joui ?
- Oui, mais je jouis toujours bien en général.
- Mais plus que d’habitude ?
- Je n’ai que le souvenir d’avoir été bien possédée et bien remplie.
- Vous aimeriez qu’un sexe énorme vous pénètre ?
- Vous savez, la grosseur ne fait pas tout.
- Je sais, mais cela y contribue et répondez-moi, Laure, aimeriez-vous qu’un sexe énorme vous pénètre ?
- Toutes les femmes aimeraient que leurs hommes soient plus gros, plus vigoureux et plus performants, elles aimeraient les sentir en elles.
- Mais vous, Laure, aimeriez-vous sentir en vous un sexe surdimensionné ?
- Pourquoi ne pas essayer.
A suivre…
Vous le savez, je suis sexuellement libre et malgré mon jeune-âge, j’ai déjà eu mon lot d’expériences, avec des femmes ou des hommes, mais dès le début de mes aventures je n’ai rien caché à ma mère, elle est au courant que j’aime le sexe, tout comme elle d’ailleurs et bien qu’elle me comprenne et ne me fait aucun reproches, je ne me sens aussi libre que je le voudrais.
Il avait été convenu qu’à ma majorité, je m’installerais chez mon oncle, un grand et bel appartement qu’il me réservait, d’ailleurs j’y vis toujours avec Leslie, et la promesse a été tenu, et me voilà installée depuis deux semaines chez moi. Enfin libre, libre d’invité et de recevoir qui je veux, surfer sur internet quand je veux et sortir jusqu’au bout de la nuit quand j’en ai envie ?
La belle vie, mais la condition est de réussir mes études, mon oncle est là pour veiller, mais avouez que ce n’est pas courant, pour une fille faisant ses études, à dix-huit ans d’être chez soi.
Mais ce nouveau statut n’explique pas d’avoir des aventures à chaque occasion et continuellement chercher le bon coup et pourquoi pas l’exceptionnel, je ne vais pas ramener n’importe qui à la maison.
Mon oncle, homme d’expérience, qui connait ma vie, me disait à ce propos :
- Moins t’en ramène, moins tu seras emmerder !
Néanmoins j’étais libre, installée chez mon oncle, pouvant vivre ma vie, et faire à peu-près ce que je désirais.
Le soir, je surfais régulièrement sur internet, à la recherche de l’annonce qui retiendrait mon attention, je savais que je pouvais trouver des femmes et ces rencontres étaient sans trop de risques, mais pour les hommes il fallait faire attention et surtout ne pas tomber sur un désaxée et avoir à le regretter.
Un jour, je suis tombée sur un monsieur qui me contacte, le courant passe et j’accroche dans l’échange cybernétique.
Mon annonce sur mon profil était ainsi rédigée :
« Jeune fille, très libre, désire parfaire ses connaissances. »
Vous comprenez que sur un site de rencontres, mon annonce était suffisamment explicite, d’ailleurs j’avais beaucoup de réponses en tout genre, d’hommes comme de femmes voulant plus jouer avec moi et profiter de ma jeunesse que de me séduire et accrocher mon attention.
Je refusais toutes les propositions qui ne me convenaient pas et qui laissaient le doute et la suspicion sur leurs intentions réelles, mais là je fus séduite par la franchise et la simplicité du message.
« La cinquantaine bien tassée, veuf, mais joyeux, charmant juste ce qu’il faut, ayant une bonne situation, aimerait rendre une jeune fille heureuse et retrouver sa jeunesse près d’elle en lui prodiguant les conseils d’usage. Ce, dans l’élégance et la subtilité. Un brin de culture sera de mise, le respect mutuel sera obligatoire. Contactez-moi, si intéressée… »
Il avait signé et ajouter ses horaires de connexion.
En lisant cette réponse, je me suis dit qu’il fallait que je prenne contact, j’ai vérifié ses horaires de connexion et je me suis aperçue qu’à cet instant il devait être en ligne, sans perdre de temps je lui ai envoyé :
« Intéressée, contact effectué… »
Deux minutes plus tard, j’avais une réponse :
« Bonsoir, serais-je l’élu ? »
Et la conversation via les messages cybernétique s’est établie.
« Il se pourrait que oui, mais pourriez-vous m’en dire un peu plus ? »
« Seul dans la vie, je recherche l’impossible… »
« Sauriez-vous me faire vivre cet impossible ? »
« Possible, si je vous plais. »
Et des photos de lui sont jointes au message, je prends le temps de les regarder pour me faire une idée de son physique et prendre la décision de continuer ou d’en rester là.
Pour son âge, il n’est pas mal du tout, un physique entretenu, svelte et un charme fou…
Un autre message tombe pendant que je regarde les photos.
« Et vous comment êtes-vous ? »
Il doit vouloir des photos de moi, alors je lui envoi trois de moi, une sage, une autre coquine et une autre un peu osée, en fait la dernière me présente en lingerie qui ne cache que l’essentiel de mon intimité.
La réponse ne se fait pas attendre.
« Vous êtes superbe, et si jeune, je crois rêver »
L’échange de messages continu, et j’apprends qu’il habite en proche banlieue à l’Ouest de Paris, Saint-Cloud, dans une grande maison avec un parc, facile d’accès, idéal pour me recevoir, être tranquilles et ne pas être dérangés, si toutefois nous nous entendons sur la suite à donner à notre échange de message, car certainement pris d’un doute il m’envoie un message très explicite.
« Je garde l’espoir que vous n’êtes pas une allumeuse et que vous êtes sérieuse. »
« Rassurez-vous, je le suis, sérieuse ! »
« Bien, il nous reste dons de fixer un rendez-vous pour que vous veniez me retrouver. »
« Dites-moi quand et je serais là ! »
« Au fait, Laure, vous acceptez tout en amour ?
Ah, le vicieux, on y est et je le vois venir, sodomie, j’en passe et des meilleures, je n’ai pas tout essayé, mais je ne suis pas prête à tout.
« Je n’ai pas vraiment de tabous, du moment qu’il n’y a pas de violence et beaucoup de respect. »
« Je le disais dans mon annonce et en plus je suis un être très doux. »
« D’accord, c’est le minimum, dans le cas contraire je pars aussitôt. »
« Cela va de soi. »
« Bon, que diriez-vous pour vendredi soir ? »
« Cela est parfait. »
« Alors à vendredi, vingt heures. »
Et il se déconnecte, après m’avoir envoyé un baiser…
Vendredi, vingt heures, me voilà donc à l’heure dite devant cette grande maison bourgeoise, un peu en retrait de la rue au fond d’un grand parc arboré, l’endroit est charmant.
Mon hôte m’accueille avec galanterie, osant même un baisemain respectueux, en accord avec les traditions, un bon début dans le respect et la galanterie, nous nous installons sur la terrasse et m’offre une boisson, je prends un coca avec un peu de gin.
Puis la conversation s’engage dans une discussion anodine, il se veut et se fait séducteur :
- Je vous trouve ravissante, Laure, encore plus belle que sur les photos et vous avez une très jolie robe et vous êtes maquillée avec goût.
Il faut dire que j’ai fait fort ce soir, perchée sur des escarpins à talons aiguilles, avec une jupe courte fendue sur le côté, porte-jarretelles et bas coutures, poitrine nue sous un corsage quasi transparent et un petit string fendu et maquillée juste ce qu’il faut.
Je le remercie de tant d’attentions et du compliment en croisant lentement les jambes devant lui pour me dévoiler un peu, ma jupe s’ouvre sur mes jarretelles et peut-être à t-il aperçu mon string.
Louis, me sourit et en connaisseur je vois que rien ne lui a échappé de mon manège, et il me demande simplement :
- Croyez-vous que je vais être à la hauteur de vos attentes ?
- Oui, je l’espère, sinon je ne serais pas là, dis-je.
- Alors pourriez-vous me dire si vous êtes sensuelle et si les bouts de vos seins sont sensibles.
Je lui réponds par l’affirmatif et il continue :
- Plutôt clitoridienne ou vaginale ?
- Les deux.
- Aimez-vous les longues caresses ou les pénétrations profondes et puissantes ?
Et là j’ose être provocatrice.
- Vous n’avez qu’à m’essayer, et vous verrez !
Satisfait, il m’entraîne dans le living et pose un baiser sur ma bouche, puis se recule en disant :
- Laissez-moi vous regarder Laure et faites-moi plaisir, effeuillée vous devant moi ?
Un petit strip pour le mettre en forme, langoureux et sensuel, pourquoi pas.
Mais, alors que je commence mon strip-tease, il me dit :
- Non, pas comme ça, soyez naturelle, Laure, offrez-vous sans manières.
- Bien, Monsieur, je vais suivre vos conseils.
- C’est bien Laure, vous comprenez, à l’écoute sans être docile, rebelle et pas soumise.
Il vient de saisir une baguette et je frémis en pensant au pire, alors je lui dis :
- Si vous me faites mal, je m’en vais, j’ai horreur de la violence.
Mais, il ne me frappe pas et devant mon regard inquiet, il se veut rassurant et me dit :
- Ne vous en faites pas, Laure, je n’ai encore jamais frappé personne et la badine c’est pour bien autre chose…
Je me retrouve devant lui, avec juste mes chaussures et mon string fendu, mon porte-jarretelles et mes bas, alors il dit :
- Et ça, vous les gardez pour dormir ? Vous dormez comment la nuit ?
- Entièrement nue
- Eh bien, mettez-vous entièrement nue.
Il tourne autour de moi et de sa badine il caresse mes hanches, puis mes seins et enfin mon sexe, me faisant frémir à chaque contact, et il ajoute :
- Le plaisir ne vient pas que de la pénétration, je vais vous montrez qu’avec cette simple baguette je peux vous faire jouir…
Et du bout de sa baguette il caresse le bout de mes seins les faisant durcir.
- Vous avez de beaux seins, dit-il, et sensibles par ce que je vois.
Pendant que j’enlève mes bas et le porte-jarretelles, il utilise le bout de sa baguette pour titiller mes tétons, le contact les fait s’ériger un peu plus, puis il vient derrière moi et, toujours avec la badine, me caresse les cuisses afin que je les écarte légèrement.
Le bout glisse le long de ma raie et il me dit ;
- Et ce petit string, vous décidez-vous à l’enlever ?
Je m’exécute et sitôt enlevé, il passe devant moi et de même sur ma vulve, la caressant du bout de sa baguette, je frémis et sens que je commence à mouiller, et je l’entends me demander :
- Quel est le plus gros sexe que vous ayez eu en vous ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas mesuré.
- Mais vous vous souvenez de cette personne ? Et des circonstances ?
- Oui, c’était un inconnu sur la plage.
- Et vous avez bien joui ?
- Oui, mais je jouis toujours bien en général.
- Mais plus que d’habitude ?
- Je n’ai que le souvenir d’avoir été bien possédée et bien remplie.
- Vous aimeriez qu’un sexe énorme vous pénètre ?
- Vous savez, la grosseur ne fait pas tout.
- Je sais, mais cela y contribue et répondez-moi, Laure, aimeriez-vous qu’un sexe énorme vous pénètre ?
- Toutes les femmes aimeraient que leurs hommes soient plus gros, plus vigoureux et plus performants, elles aimeraient les sentir en elles.
- Mais vous, Laure, aimeriez-vous sentir en vous un sexe surdimensionné ?
- Pourquoi ne pas essayer.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
excellente histoire
Laure commence à prendre en main sa formation