Leslie LA 56
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie LA 56
Leslie LA56 – Laure, le journal intime - Aventure dans le train, de Toulouse à Nice, l’inconnu
Après ma visite à Toulouse, je me suis rendue à Nice par le train de nuit, un intercité direct en compartiment en première classe couchette. Comme cela était possible, pour ma tranquillité, j’ai réservé pour un prix forfaitaire le compartiment complet.
Après avoir remarqué le peu de monde sur le quai, je me suis dit que le train serait bien vide et après être montée dans mon wagon, je me suis installée dans le compartiment comportant quatre couchettes, mais que pour moi, le pied.
Puis je suis ressortie sur le quai dans l’attente du départ.
Peu de temps après, deux jeunes hommes, quelque peu bruyants, sont venus s’installer dans le compartiment à côté du mien…
Suivi peu de temps après par un très bel homme qui est monté dans le wagon et en le suivant discrètement des yeux, j’ai remarqué qu’il avait le même compartiment que les deux jeunes hommes.
L’homme a marqué un temps d’arrêt, mais n’est pas entré dans son compartiment se plaçant devant la porte du mien.
Le départ étant proche, je suis montée à mon tour pour rejoindre mon compartiment…
- Excusez-moi, mais je crois que vous êtes devant mon compartiment, dis-je.
- Oh, mais c’est à moi de m’excuser, je vous empêche d’accéder à votre espace.
- Merci, dis-je.
J’allais ouvrir la porte de mon compartiment, mais il m’avait devancé et nos mains se sont rencontrées sur la poignée de la porte. Sa main était aussi chaude que la mienne était fraîche.
Le train venait juste de partir et au passage des aiguillages, nous avons été bousculés et je me suis retrouvée tout contre lui. J’ai pu sentir son parfum, un peu musqué, mais très agréable et aussi sentir son corps musclé.
Il a posé sa main sur ma hanche pour me retenir et j’ai ressenti comme une décharge électrique, il a ouvert la porte de mon compartiment en me disant :
- Un grand compartiment pour vous toute seule, vous risquez de vous ennuyer !
- Si c’est le cas, je viendrais vous trouver et vous me tiendrez compagnie.
- Avec joie, répondit-il.
Je me suis installée et j’ai pris un magazine en pensant à cet homme et à sa proposition de me tenir compagnie.
C’est vrai qu’il était bel homme, la quarantaine, un visage régulier, brun, les yeux marron, le regard franc, direct. Autant que j’ai pu en juger quand nous étions l’un contre l’autre, il était un peu plus grand que moi et devait mesurer un mètre quatre-vingt. De plus sous sa veste et sa chemise blanche, on devinait des pectoraux puissants. En y pensant je me sentais un peu troublée…
Alors que je lisais, j’ai entendu du bruit dans le compartiment d’à côté, les deux jeunes rigolaient et faisaient un bruit d’enfer, pas très reposante la compagnie de mon inconnu.
Peu de temps après, on a frappé à la porte de mon compartiment et comme j’avais tiré les rideaux pour être tranquille, il m’a fallu ouvrir pour savoir qui se tenait derrière la porte.
L’homme se tenait là devant moi et à aussitôt dit :
- Mon compartiment est trop bruyant, puis-je partager le vôtre ?
Troublée devant cet homme, je n’ai pu que répondre :
- Pourquoi pas !
Il s’est donc installé en face de moi et après avoir ouvert son ordinateur à commencer à pianoter dessus…
Je le regardais par-dessus mon magazine, le détaillant et imaginant cette force qui émanait de lui, mais à un moment, il a levé les yeux et a croisé mon regard.
Je me suis sentie comme une petite fille prise en faute et j’ai piqué un fard avant de baisser les yeux.
- Savez-vous ce que je suis en train d’écrire ? me demanda-t-il.
- Pourquoi me posez-vous cette question ?
- Parce que cela vous concerne…
- Comment ça, ça me concerne ?
- Oui, je suis en train de commencer à écrire ce qui va nous arriver dans ce train.
- Ce qui va nous arriver ?
- J’ai bien senti que vous étiez, disons, émue, quand je vous ai ouvert la porte tout à l’heure. Alors, je crois que nous allons avoir une aventure ensemble, courte et sans lendemain, mais quelque chose de violent et passionnel.
- Vous croyez ? dis-je, dans un souffle.
- Ne le sentez-vous pas ?
Je voyais très bien à quoi il faisait allusion et son regard comme un trait de feu ne quittait pas le mien semblant lire la moindre de mes pensées. Comme souvent lors de mes déplacements, j’étais en tailleur strict avec une jupe assez courte, un chemisier blanc transparent qui laissait deviner mon soutien-gorge en dentelle. Je portais des dim'up qui s’arrêtaient en haut des cuisses et un string en dentelle assorti à mon soutien-gorge. Et son regard a mis directement le feu dans mon ventre, une vraie boule de chaleur qui est descendue dans mon string.
Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire, j’étais là, comme une imbécile, complètement perdue et ce regard qui continuait à me transpercer.
- Allons laissez-vous aller, vous en avez envie !
Mais pourquoi avait-il fallu que j’accepte que cet homme si désirable vienne s’installer en face de moi dans mon compartiment que j’avais réservé rien que pour moi, maintenant je me sentais piégée par mes désirs…
Alors, j’ai fermé les yeux et je n’ai plus bougé. Et là, j’ai senti son pied nu qui écartait mes genoux, mon premier réflexe a été de serrer les genoux et de rouvrir les yeux, et à nouveau son regard a trouvé le mien, et en plus il souriait…
- Laissez-vous faire, nous sommes seuls, abandonnez-vous à vos envies et refermez vos jolis yeux…
Je me suis laissée bercer par sa voix et j’ai fermé les yeux.
Son pied s’est fait insistant et j’ai écarté légèrement les genoux. Son pied a repris sa progression, je sentais sa chaleur à l’intérieur de mes cuisses, d’abord sur les bas puis sur ma peau nue, puis son pied est arrivé à mon string et je l’ai senti contre ma vulve sur laquelle il a appuyé doucement.
Et son pied est resté sans bouger, simplement posé sur mon intimité, ma respiration s’est faite plus courte, j’avais chaud, je m’abandonnais.
Puis, son pied s’est déplacé, et c’est son gros orteil qui s’est fait plus précis et j’ai senti mes grandes lèvres qui s’écartaient et qui ensuite a trouvé mon clitoris peut-être un peu au hasard parce que je doute qu’un pied soit assez sensible pour trouver un bouton aussi petit, même si déjà je le sentais dressé hors de sa protection.
Toujours est-il qu’il a commencé à bouger son orteil de bas en haut et que mon sexe s’est ouvert comme une fleur et est devenu une vraie fontaine. Je sentais ma cyprine inonder ma petite culotte et certainement mouiller son pied nu.
J’ai senti le plaisir monter en moi et je me suis mordue les lèvres pour ne pas me manifester trop bruyamment et j’ai eu un premier orgasme…
Il avait vu que j’avais joui et son pied complet a repris sa place sur ma vulve.
On a frappé à la porte du compartiment et le contrôleur a passé la tête en disant :
- Contrôle des billets s’il vous plaît.
Je n’ai pas compris tout de suite encore sous le coup de l’orgasme qui m’avait transpercé quelques minutes plus tôt, le contrôleur était dans le compartiment et son regard était posé sur mes jambes.
Je m’étais laissée glisser au bord du fauteuil et ma jupe était remontée sur mes cuisses et l’on pouvait voir le liseré plus foncé de mes dim'up. J’avais les jambes écartées et le pied de mon inconnu toujours entre mes cuisses, posé sur mon sexe.
- Madame, je crois que le contrôleur vous demande votre billet.
Le contrôleur a composté nos billets, le regard fixé sur mon entrecuisse, comme hypnotisé. Puis après un clin d’œil appuyé à mon inconnu il s’est éloigné, non sans dire :
- Bon voyage messieurs dames, et surtout bonne nuit !
Aussitôt la porte refermée, mon inconnu a retiré son pied de mon entrecuisse, et s’est levé en disant :
- Je vais installer une des couchettes du bas !
- Comme vous voulez, dis-je.
Quand il s’est redressé j’ai bien vu que son pied luisait, certainement mouillé…
Je me suis levée, j’ai rabaissé ma jupe et je l’ai laissé déplier la couchette, blottie dans un coin.
Puis il a refermé la porte du compartiment et s’est appuyé contre elle, de dos.
Puis m’attrapant pas la main, il m’a plaquée contre lui, mais de dos moi aussi.
Je sentais la bosse de son sexe contre mes fesses, et j’ai senti soudainement que j’étais prête à tout accepter de la part de cet homme, comme dans un état second.
La veste de mon tailleur n’était pas boutonnée et il a commencé à déboutonner mon chemisier, doucement sans précipitation. Il faisait ça de sa main gauche, sa main droite posée sur mon ventre me plaquant contre lui, contre sa virilité dressée contre ma raie.
J’avais mis mes bras en arrière et j’avais empoigné ses fesses, je voulais sentir encore plus son sexe contre les miennes. Ce faisant, je bombais le torse faisant ressortir ma poitrine, j’avais la tête rejetée en arrière posée sur son épaule, totalement abandonnée. Il a baissé mon soutien-gorge découvrant mes seins aux tétons déjà très érigés. Il les a pris dans ses mains et a commencé à les parcourir puis il a fait rouler les pointes entre ses doigts, très doucement, délicatement.
Je me suis à nouveau embrasée et mon ventre réclamait de nouvelles caresses.
J’ai pris sa main droite et je l’ai posée sur mon pubis à travers la jupe. Il a alors remonté ma jupe sur ma taille avec ses deux mains découvrant mes dim'up et mon string blanc en dentelle.
Il a continué de caresser mes seins avec sa main gauche pendant que sa main droite descendait sur mon ventre, entrait dans mon string et atteignait mon pubis, prenant possession de mon sexe.
Il a fini par baisser mon string à mi-cuisse pour être plus à l’aise.
J’avais maintenant les fesses nues directement en contact avec son pantalon de toile fine et je sentais son érection comme s’il n’y avait plus rien entre nous. Son sexe me semblait de bonne taille et il avait trouvé sa place dans le sillon de mes fesses. Ses doigts ont écarté les lèvres de mon sexe et se sont introduits sans difficulté dans mon vagin. Je mouillais tellement que je sentais mes cuisses humides de cyprine.
D’abord un doigt puis deux et enfin trois se sont introduits dans mon vagin à la recherche de mon plaisir. À un moment, j’ai ouvert les yeux et je me suis vue dans la petite glace du compartiment et je ne me suis pas reconnue.
Était-ce bien moi la jeune femme plaquée contre cet homme qui me fouillait, le chemisier ouvert, le soutien-gorge baissé, la jupe remontée et la culotte à mi-cuisse, jambes écartées, offerte, abandonnée au plaisir des sens…
Oui, c’était bien moi et je me suis trouvée désirable.
Ses doigts trempés étaient sortis de mon vagin et s’étaient posés sur mon clitoris complètement sorti de son capuchon. Il devait avoir l’habitude de cette caresse car il a tout de suite trouvé le rythme qui me convenait. Mon bassin s’est mis à onduler au même rythme et de nouveau, j’ai senti le plaisir m’envahir. Ses mains sur mes seins, dans mon sexe m’ont une deuxième fois envoyés au septième ciel, un orgasme puissant est monté de mes reins, de mon sexe et de mes seins, balayant tout sur son passage.
J’ai crié mon plaisir…
Un peu assommée, je me suis assise sur la couchette qu’il avait auparavant dépliée.
- Vous êtes une vraie jouisseuse ?
- Oui, je crois, enfin, je ne sais pas, c’était tellement fort.
- Vous en aviez tellement envie, une aventure improbable, peut-être même un fantasme ?
A suivre…
Après ma visite à Toulouse, je me suis rendue à Nice par le train de nuit, un intercité direct en compartiment en première classe couchette. Comme cela était possible, pour ma tranquillité, j’ai réservé pour un prix forfaitaire le compartiment complet.
Après avoir remarqué le peu de monde sur le quai, je me suis dit que le train serait bien vide et après être montée dans mon wagon, je me suis installée dans le compartiment comportant quatre couchettes, mais que pour moi, le pied.
Puis je suis ressortie sur le quai dans l’attente du départ.
Peu de temps après, deux jeunes hommes, quelque peu bruyants, sont venus s’installer dans le compartiment à côté du mien…
Suivi peu de temps après par un très bel homme qui est monté dans le wagon et en le suivant discrètement des yeux, j’ai remarqué qu’il avait le même compartiment que les deux jeunes hommes.
L’homme a marqué un temps d’arrêt, mais n’est pas entré dans son compartiment se plaçant devant la porte du mien.
Le départ étant proche, je suis montée à mon tour pour rejoindre mon compartiment…
- Excusez-moi, mais je crois que vous êtes devant mon compartiment, dis-je.
- Oh, mais c’est à moi de m’excuser, je vous empêche d’accéder à votre espace.
- Merci, dis-je.
J’allais ouvrir la porte de mon compartiment, mais il m’avait devancé et nos mains se sont rencontrées sur la poignée de la porte. Sa main était aussi chaude que la mienne était fraîche.
Le train venait juste de partir et au passage des aiguillages, nous avons été bousculés et je me suis retrouvée tout contre lui. J’ai pu sentir son parfum, un peu musqué, mais très agréable et aussi sentir son corps musclé.
Il a posé sa main sur ma hanche pour me retenir et j’ai ressenti comme une décharge électrique, il a ouvert la porte de mon compartiment en me disant :
- Un grand compartiment pour vous toute seule, vous risquez de vous ennuyer !
- Si c’est le cas, je viendrais vous trouver et vous me tiendrez compagnie.
- Avec joie, répondit-il.
Je me suis installée et j’ai pris un magazine en pensant à cet homme et à sa proposition de me tenir compagnie.
C’est vrai qu’il était bel homme, la quarantaine, un visage régulier, brun, les yeux marron, le regard franc, direct. Autant que j’ai pu en juger quand nous étions l’un contre l’autre, il était un peu plus grand que moi et devait mesurer un mètre quatre-vingt. De plus sous sa veste et sa chemise blanche, on devinait des pectoraux puissants. En y pensant je me sentais un peu troublée…
Alors que je lisais, j’ai entendu du bruit dans le compartiment d’à côté, les deux jeunes rigolaient et faisaient un bruit d’enfer, pas très reposante la compagnie de mon inconnu.
Peu de temps après, on a frappé à la porte de mon compartiment et comme j’avais tiré les rideaux pour être tranquille, il m’a fallu ouvrir pour savoir qui se tenait derrière la porte.
L’homme se tenait là devant moi et à aussitôt dit :
- Mon compartiment est trop bruyant, puis-je partager le vôtre ?
Troublée devant cet homme, je n’ai pu que répondre :
- Pourquoi pas !
Il s’est donc installé en face de moi et après avoir ouvert son ordinateur à commencer à pianoter dessus…
Je le regardais par-dessus mon magazine, le détaillant et imaginant cette force qui émanait de lui, mais à un moment, il a levé les yeux et a croisé mon regard.
Je me suis sentie comme une petite fille prise en faute et j’ai piqué un fard avant de baisser les yeux.
- Savez-vous ce que je suis en train d’écrire ? me demanda-t-il.
- Pourquoi me posez-vous cette question ?
- Parce que cela vous concerne…
- Comment ça, ça me concerne ?
- Oui, je suis en train de commencer à écrire ce qui va nous arriver dans ce train.
- Ce qui va nous arriver ?
- J’ai bien senti que vous étiez, disons, émue, quand je vous ai ouvert la porte tout à l’heure. Alors, je crois que nous allons avoir une aventure ensemble, courte et sans lendemain, mais quelque chose de violent et passionnel.
- Vous croyez ? dis-je, dans un souffle.
- Ne le sentez-vous pas ?
Je voyais très bien à quoi il faisait allusion et son regard comme un trait de feu ne quittait pas le mien semblant lire la moindre de mes pensées. Comme souvent lors de mes déplacements, j’étais en tailleur strict avec une jupe assez courte, un chemisier blanc transparent qui laissait deviner mon soutien-gorge en dentelle. Je portais des dim'up qui s’arrêtaient en haut des cuisses et un string en dentelle assorti à mon soutien-gorge. Et son regard a mis directement le feu dans mon ventre, une vraie boule de chaleur qui est descendue dans mon string.
Je ne savais plus quoi dire, plus quoi faire, j’étais là, comme une imbécile, complètement perdue et ce regard qui continuait à me transpercer.
- Allons laissez-vous aller, vous en avez envie !
Mais pourquoi avait-il fallu que j’accepte que cet homme si désirable vienne s’installer en face de moi dans mon compartiment que j’avais réservé rien que pour moi, maintenant je me sentais piégée par mes désirs…
Alors, j’ai fermé les yeux et je n’ai plus bougé. Et là, j’ai senti son pied nu qui écartait mes genoux, mon premier réflexe a été de serrer les genoux et de rouvrir les yeux, et à nouveau son regard a trouvé le mien, et en plus il souriait…
- Laissez-vous faire, nous sommes seuls, abandonnez-vous à vos envies et refermez vos jolis yeux…
Je me suis laissée bercer par sa voix et j’ai fermé les yeux.
Son pied s’est fait insistant et j’ai écarté légèrement les genoux. Son pied a repris sa progression, je sentais sa chaleur à l’intérieur de mes cuisses, d’abord sur les bas puis sur ma peau nue, puis son pied est arrivé à mon string et je l’ai senti contre ma vulve sur laquelle il a appuyé doucement.
Et son pied est resté sans bouger, simplement posé sur mon intimité, ma respiration s’est faite plus courte, j’avais chaud, je m’abandonnais.
Puis, son pied s’est déplacé, et c’est son gros orteil qui s’est fait plus précis et j’ai senti mes grandes lèvres qui s’écartaient et qui ensuite a trouvé mon clitoris peut-être un peu au hasard parce que je doute qu’un pied soit assez sensible pour trouver un bouton aussi petit, même si déjà je le sentais dressé hors de sa protection.
Toujours est-il qu’il a commencé à bouger son orteil de bas en haut et que mon sexe s’est ouvert comme une fleur et est devenu une vraie fontaine. Je sentais ma cyprine inonder ma petite culotte et certainement mouiller son pied nu.
J’ai senti le plaisir monter en moi et je me suis mordue les lèvres pour ne pas me manifester trop bruyamment et j’ai eu un premier orgasme…
Il avait vu que j’avais joui et son pied complet a repris sa place sur ma vulve.
On a frappé à la porte du compartiment et le contrôleur a passé la tête en disant :
- Contrôle des billets s’il vous plaît.
Je n’ai pas compris tout de suite encore sous le coup de l’orgasme qui m’avait transpercé quelques minutes plus tôt, le contrôleur était dans le compartiment et son regard était posé sur mes jambes.
Je m’étais laissée glisser au bord du fauteuil et ma jupe était remontée sur mes cuisses et l’on pouvait voir le liseré plus foncé de mes dim'up. J’avais les jambes écartées et le pied de mon inconnu toujours entre mes cuisses, posé sur mon sexe.
- Madame, je crois que le contrôleur vous demande votre billet.
Le contrôleur a composté nos billets, le regard fixé sur mon entrecuisse, comme hypnotisé. Puis après un clin d’œil appuyé à mon inconnu il s’est éloigné, non sans dire :
- Bon voyage messieurs dames, et surtout bonne nuit !
Aussitôt la porte refermée, mon inconnu a retiré son pied de mon entrecuisse, et s’est levé en disant :
- Je vais installer une des couchettes du bas !
- Comme vous voulez, dis-je.
Quand il s’est redressé j’ai bien vu que son pied luisait, certainement mouillé…
Je me suis levée, j’ai rabaissé ma jupe et je l’ai laissé déplier la couchette, blottie dans un coin.
Puis il a refermé la porte du compartiment et s’est appuyé contre elle, de dos.
Puis m’attrapant pas la main, il m’a plaquée contre lui, mais de dos moi aussi.
Je sentais la bosse de son sexe contre mes fesses, et j’ai senti soudainement que j’étais prête à tout accepter de la part de cet homme, comme dans un état second.
La veste de mon tailleur n’était pas boutonnée et il a commencé à déboutonner mon chemisier, doucement sans précipitation. Il faisait ça de sa main gauche, sa main droite posée sur mon ventre me plaquant contre lui, contre sa virilité dressée contre ma raie.
J’avais mis mes bras en arrière et j’avais empoigné ses fesses, je voulais sentir encore plus son sexe contre les miennes. Ce faisant, je bombais le torse faisant ressortir ma poitrine, j’avais la tête rejetée en arrière posée sur son épaule, totalement abandonnée. Il a baissé mon soutien-gorge découvrant mes seins aux tétons déjà très érigés. Il les a pris dans ses mains et a commencé à les parcourir puis il a fait rouler les pointes entre ses doigts, très doucement, délicatement.
Je me suis à nouveau embrasée et mon ventre réclamait de nouvelles caresses.
J’ai pris sa main droite et je l’ai posée sur mon pubis à travers la jupe. Il a alors remonté ma jupe sur ma taille avec ses deux mains découvrant mes dim'up et mon string blanc en dentelle.
Il a continué de caresser mes seins avec sa main gauche pendant que sa main droite descendait sur mon ventre, entrait dans mon string et atteignait mon pubis, prenant possession de mon sexe.
Il a fini par baisser mon string à mi-cuisse pour être plus à l’aise.
J’avais maintenant les fesses nues directement en contact avec son pantalon de toile fine et je sentais son érection comme s’il n’y avait plus rien entre nous. Son sexe me semblait de bonne taille et il avait trouvé sa place dans le sillon de mes fesses. Ses doigts ont écarté les lèvres de mon sexe et se sont introduits sans difficulté dans mon vagin. Je mouillais tellement que je sentais mes cuisses humides de cyprine.
D’abord un doigt puis deux et enfin trois se sont introduits dans mon vagin à la recherche de mon plaisir. À un moment, j’ai ouvert les yeux et je me suis vue dans la petite glace du compartiment et je ne me suis pas reconnue.
Était-ce bien moi la jeune femme plaquée contre cet homme qui me fouillait, le chemisier ouvert, le soutien-gorge baissé, la jupe remontée et la culotte à mi-cuisse, jambes écartées, offerte, abandonnée au plaisir des sens…
Oui, c’était bien moi et je me suis trouvée désirable.
Ses doigts trempés étaient sortis de mon vagin et s’étaient posés sur mon clitoris complètement sorti de son capuchon. Il devait avoir l’habitude de cette caresse car il a tout de suite trouvé le rythme qui me convenait. Mon bassin s’est mis à onduler au même rythme et de nouveau, j’ai senti le plaisir m’envahir. Ses mains sur mes seins, dans mon sexe m’ont une deuxième fois envoyés au septième ciel, un orgasme puissant est monté de mes reins, de mon sexe et de mes seins, balayant tout sur son passage.
J’ai crié mon plaisir…
Un peu assommée, je me suis assise sur la couchette qu’il avait auparavant dépliée.
- Vous êtes une vraie jouisseuse ?
- Oui, je crois, enfin, je ne sais pas, c’était tellement fort.
- Vous en aviez tellement envie, une aventure improbable, peut-être même un fantasme ?
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