Leslie LA33
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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Leslie LA33
Leslie LA33 – Laure, le journal intime - Au bois avec Louis
Le vendredi suivant comme convenu, je me suis rendue chez Louis.
Je me suis habillée presque pareil que la semaine dernière, sauf que ce soir j’ai des bas auto-fixant, perchée sur mes escarpins à talons aiguilles, ma jupe courte fendue sur le côté, poitrine nue sous le corsage quasi transparent.
Louis m’attendait et nous sommes allés diner dans un restaurant au pont de Neuilly, chez Jarrasse, l’écailler de Paris. Nous y avons fort bien diné, bonne cuisine et service impeccable, en sortant Louis me voyant tendue me dit :
- Qu’avez-vous belle Laure, vous avez l’air soucieux ?
- Disons que cela doit être le fait que je ne sais pas ce que vous me réservé pour le restant de la soirée.
- Détendez-vous, ce sera une expérience, ne vous en faites pas, restez dans la confiance.
Il m’a emmené à pied prendre un cocktail au Martini bar, non loin du restaurant où nous venions de diner, et l’atmosphère sympathique de ce bar m’a quelque peu détendue.
Puis nous avons pris la voiture et là, il m’a demandé de monter à l’arrière et c’est le front appuyé contre la vitre arrière de la voiture que j’ai regardé la nuit percée çà et là du halo nébuleux des réverbères, ne sachant pas ou Louis me conduisait…
Il n’y a pas beaucoup de circulation, sur l’avenue principale, mais très rapidement j’ai compris que Louis m’emmenait vers le bois.
La voiture sentait bon le cuir et le bois ciré, Louis conduisait d’une main, sûr de lui sachant où il va, sans un mot. Puis à un moment il a pris une rue transversale et s’est arrêté sous la lueur d’un réverbère.
Il a jeté un œil par la vitre et une jeune femme est sortie de l’ombre s’est immédiatement approchée de la voiture, tandis que Louis descendait la vitre
Une Africaine mince à l’excès, aux jambes interminables s’est avancée vers la voiture, avec une robe très courte fendue sur le devant, un corsage largement ouvert sur une petite poitrine et des bottes lui montant aux genoux.
Quand elle s’est pliée vers Louis, par la vitre ouverte, son corsage ouvert a dévoilé entièrement sa poitrine libre et nue.
- Alors ma belle, dit Louis comment vas-tu ?
Apparemment une habituée que Louis devait connaitre, car elle lui a répondu :
- Bien mon bébé, je suis occupée pour le moment, repasse dans un moment.
- Ok, je repasse plus tard, dit Louis.
Elle disparue aussitôt dans le sous-bois et Louis démarra pour repartir vers un autre endroit.
Peu de temps après, arrivé certainement à destination, après avoir emprunté une allée jalonnée d’arbres, il gare sa voiture, dans un chemin de traverse, et il me fait descendre du véhicule, la fraîcheur humide de la végétation me donne le frisson, l’endroit semble désert. Je me dis qu’il va me prendre contre un arbre, me faire l’amour sauvagement, voir m’enculer sans un mot, mais rien n’est jamais sûr avec Louis, et comme il reste dans son mutisme, je ne peux que supposer de ce qui va se passer dans un instant…
Je frissonne un peu car je dois vous dire que deux jours auparavant, j’ai passé une nuit dans une débauche inavouable, et au petit matin, je ne savais plus qui j’étais, sauf que mon petit trou me rappelait que je venais de subir des sodomies à répétition et que j’en avais pris du plaisir.
- Je flippe un peu, dis-je.
- Détends-toi, ce sera cool, dit Louis.
Aussitôt une jeune femme est sortie du sous-bois, enfin une presque jeune femme, nous sommes là en plein milieu du chemin de traverse, j’avoue que l’apparence de cette créature sous la faible lumière des réverbères est incroyable.
Elle est plate, sans poitrine, complètement nue et tellement mince, elle doit être sud-américaine à la vue de sa peau ambrée, je remarque ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules, et le bas de son ventre orné d’un sexe male en érection, de dimensions raisonnables, sur un pubis aux poils crépusculaires.
Elle avance dans ma direction, animée d’un désir évident et non dissimulé.
Je ne sais pourquoi, mais soudain je ne suis pas très à l’aise.
- Tu m’as amenée une jeune salope ? demande la jeune femme..
- On dirait que bien que oui, réponds Louis.
Louis allume les phares de l’Alfa et la jeune transexuelle se met contre un arbre dans le halo de lumière et me fait signe de venir.
Je comprends soudain que les phares vont éclairer la scène en rase-motte, pendant que Louis se branlera en nous regardant.
- Il y bien longtemps que tu ne m’as pas amené une jolie et aussi jeune fille, dit la jeune transexuelle.
Elle doit avoir vingt-cinq ans, certainement moins, mais de près, dans la lumière des phares, elle est très mignonne.
La fille m’attire à elle et m’embrasse à pleine bouche, sans réfléchir, je lui rends son baiser et une douce chaleur se fixe dans mon bas-ventre.
Louis est appuyé sur sa portière, nous regardant sans nous quitter des yeux, il soupire, la chemise ouverte et le pantalon aux chevilles, le sexe en main se masturbant.
Elle ne fait rien d’autre que de promener ses doigts sur mes mamelons, jouant à les ériger en les pétrissant, je me sens vibrer de plus en plus, puis s’écartant un peu de moi, elle m’ouvre les jambes et me cambre vers l’avant, et me dit :
- Tu es trempée, je vais te prendre maintenant !
C’est elle le mâle qui domine, c’est pour cela que Louis m’a amené ici, pour me voir me faire prendre par une jeune transexuelle.
Aussitôt, elle me place dos à elle et me fait appuyer les mains sur une grosse branche, dans cette position je lui présente mes reins, la tête enfouie entre mes bras, je la sens retrousser ma jupe sur mon dos, je frissonne ne sachant pas ce qui va m’arriver.
Dans un dernier refus, je tente de m’esquiver, mais je sens mon anus palpiter.
- Te voir bouger ainsi, ça m’affole ! Me dit-elle.
L’insolente, me caresse du vagin au rectum, mes petites lèvres sont caressées et étirées, et je sens que mon vagin dégouline.
Puis d’un coup, je me sens pénétrée, enfin enculée, c’est facile, mon anus est prêt et souple. Je sens son ventre cogne r contre mes fesses à chaque fois que son long braquemart me pénètre, les contractions de mon sphincter s’accélèrent, et je jouis en étouffant mes cris.
Puis elle se retire et me laisse ainsi…
En guise d’excuses, elle me souffle à l’oreille :
- Il faut que je ménage, la nuit risque d’être longue…
- Rien d’autre ? C’est tout ! Dis-je.
- Oui, ça suffit ! Dit Louis, maintenant nous allons retrouver mon amie africaine !
Nous remontons dans l’Alfa Roméo, et laissons la jeune transexuelle vaquée à ses occupations nocturnes.
Nous stoppons au même endroit que la première fois où se trouvait l’africaine.
Louis me fait descendre de l’Alpha et m’entraine dans le sous-bois, nous retrouvons notre africaine, qui tient en main un sexe d’homme, mais de belles dimensions.
- Comme d’habitude, Monsieur Louis ? Demande l’africaine.
- Comme d’habitude ! Dit Louis.
Et à mon étonnement, je vois Louis descendre son pantalon et prendre appui, le cul nu, contre un tronc d’arbre en se cambrant un maximum.
Sans un mot, l’africaine se place derrière lui et se met à l’enculer comme une sauvage, tout va très vite et en mon de cinq minute j’entends Louis hurler son plaisir.
Sur le chemin du retour, Louis me dit juste :
- On ne se refait pas !
A suivre…
Le vendredi suivant comme convenu, je me suis rendue chez Louis.
Je me suis habillée presque pareil que la semaine dernière, sauf que ce soir j’ai des bas auto-fixant, perchée sur mes escarpins à talons aiguilles, ma jupe courte fendue sur le côté, poitrine nue sous le corsage quasi transparent.
Louis m’attendait et nous sommes allés diner dans un restaurant au pont de Neuilly, chez Jarrasse, l’écailler de Paris. Nous y avons fort bien diné, bonne cuisine et service impeccable, en sortant Louis me voyant tendue me dit :
- Qu’avez-vous belle Laure, vous avez l’air soucieux ?
- Disons que cela doit être le fait que je ne sais pas ce que vous me réservé pour le restant de la soirée.
- Détendez-vous, ce sera une expérience, ne vous en faites pas, restez dans la confiance.
Il m’a emmené à pied prendre un cocktail au Martini bar, non loin du restaurant où nous venions de diner, et l’atmosphère sympathique de ce bar m’a quelque peu détendue.
Puis nous avons pris la voiture et là, il m’a demandé de monter à l’arrière et c’est le front appuyé contre la vitre arrière de la voiture que j’ai regardé la nuit percée çà et là du halo nébuleux des réverbères, ne sachant pas ou Louis me conduisait…
Il n’y a pas beaucoup de circulation, sur l’avenue principale, mais très rapidement j’ai compris que Louis m’emmenait vers le bois.
La voiture sentait bon le cuir et le bois ciré, Louis conduisait d’une main, sûr de lui sachant où il va, sans un mot. Puis à un moment il a pris une rue transversale et s’est arrêté sous la lueur d’un réverbère.
Il a jeté un œil par la vitre et une jeune femme est sortie de l’ombre s’est immédiatement approchée de la voiture, tandis que Louis descendait la vitre
Une Africaine mince à l’excès, aux jambes interminables s’est avancée vers la voiture, avec une robe très courte fendue sur le devant, un corsage largement ouvert sur une petite poitrine et des bottes lui montant aux genoux.
Quand elle s’est pliée vers Louis, par la vitre ouverte, son corsage ouvert a dévoilé entièrement sa poitrine libre et nue.
- Alors ma belle, dit Louis comment vas-tu ?
Apparemment une habituée que Louis devait connaitre, car elle lui a répondu :
- Bien mon bébé, je suis occupée pour le moment, repasse dans un moment.
- Ok, je repasse plus tard, dit Louis.
Elle disparue aussitôt dans le sous-bois et Louis démarra pour repartir vers un autre endroit.
Peu de temps après, arrivé certainement à destination, après avoir emprunté une allée jalonnée d’arbres, il gare sa voiture, dans un chemin de traverse, et il me fait descendre du véhicule, la fraîcheur humide de la végétation me donne le frisson, l’endroit semble désert. Je me dis qu’il va me prendre contre un arbre, me faire l’amour sauvagement, voir m’enculer sans un mot, mais rien n’est jamais sûr avec Louis, et comme il reste dans son mutisme, je ne peux que supposer de ce qui va se passer dans un instant…
Je frissonne un peu car je dois vous dire que deux jours auparavant, j’ai passé une nuit dans une débauche inavouable, et au petit matin, je ne savais plus qui j’étais, sauf que mon petit trou me rappelait que je venais de subir des sodomies à répétition et que j’en avais pris du plaisir.
- Je flippe un peu, dis-je.
- Détends-toi, ce sera cool, dit Louis.
Aussitôt une jeune femme est sortie du sous-bois, enfin une presque jeune femme, nous sommes là en plein milieu du chemin de traverse, j’avoue que l’apparence de cette créature sous la faible lumière des réverbères est incroyable.
Elle est plate, sans poitrine, complètement nue et tellement mince, elle doit être sud-américaine à la vue de sa peau ambrée, je remarque ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules, et le bas de son ventre orné d’un sexe male en érection, de dimensions raisonnables, sur un pubis aux poils crépusculaires.
Elle avance dans ma direction, animée d’un désir évident et non dissimulé.
Je ne sais pourquoi, mais soudain je ne suis pas très à l’aise.
- Tu m’as amenée une jeune salope ? demande la jeune femme..
- On dirait que bien que oui, réponds Louis.
Louis allume les phares de l’Alfa et la jeune transexuelle se met contre un arbre dans le halo de lumière et me fait signe de venir.
Je comprends soudain que les phares vont éclairer la scène en rase-motte, pendant que Louis se branlera en nous regardant.
- Il y bien longtemps que tu ne m’as pas amené une jolie et aussi jeune fille, dit la jeune transexuelle.
Elle doit avoir vingt-cinq ans, certainement moins, mais de près, dans la lumière des phares, elle est très mignonne.
La fille m’attire à elle et m’embrasse à pleine bouche, sans réfléchir, je lui rends son baiser et une douce chaleur se fixe dans mon bas-ventre.
Louis est appuyé sur sa portière, nous regardant sans nous quitter des yeux, il soupire, la chemise ouverte et le pantalon aux chevilles, le sexe en main se masturbant.
Elle ne fait rien d’autre que de promener ses doigts sur mes mamelons, jouant à les ériger en les pétrissant, je me sens vibrer de plus en plus, puis s’écartant un peu de moi, elle m’ouvre les jambes et me cambre vers l’avant, et me dit :
- Tu es trempée, je vais te prendre maintenant !
C’est elle le mâle qui domine, c’est pour cela que Louis m’a amené ici, pour me voir me faire prendre par une jeune transexuelle.
Aussitôt, elle me place dos à elle et me fait appuyer les mains sur une grosse branche, dans cette position je lui présente mes reins, la tête enfouie entre mes bras, je la sens retrousser ma jupe sur mon dos, je frissonne ne sachant pas ce qui va m’arriver.
Dans un dernier refus, je tente de m’esquiver, mais je sens mon anus palpiter.
- Te voir bouger ainsi, ça m’affole ! Me dit-elle.
L’insolente, me caresse du vagin au rectum, mes petites lèvres sont caressées et étirées, et je sens que mon vagin dégouline.
Puis d’un coup, je me sens pénétrée, enfin enculée, c’est facile, mon anus est prêt et souple. Je sens son ventre cogne r contre mes fesses à chaque fois que son long braquemart me pénètre, les contractions de mon sphincter s’accélèrent, et je jouis en étouffant mes cris.
Puis elle se retire et me laisse ainsi…
En guise d’excuses, elle me souffle à l’oreille :
- Il faut que je ménage, la nuit risque d’être longue…
- Rien d’autre ? C’est tout ! Dis-je.
- Oui, ça suffit ! Dit Louis, maintenant nous allons retrouver mon amie africaine !
Nous remontons dans l’Alfa Roméo, et laissons la jeune transexuelle vaquée à ses occupations nocturnes.
Nous stoppons au même endroit que la première fois où se trouvait l’africaine.
Louis me fait descendre de l’Alpha et m’entraine dans le sous-bois, nous retrouvons notre africaine, qui tient en main un sexe d’homme, mais de belles dimensions.
- Comme d’habitude, Monsieur Louis ? Demande l’africaine.
- Comme d’habitude ! Dit Louis.
Et à mon étonnement, je vois Louis descendre son pantalon et prendre appui, le cul nu, contre un tronc d’arbre en se cambrant un maximum.
Sans un mot, l’africaine se place derrière lui et se met à l’enculer comme une sauvage, tout va très vite et en mon de cinq minute j’entends Louis hurler son plaisir.
Sur le chemin du retour, Louis me dit juste :
- On ne se refait pas !
A suivre…
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