Leslie LA47
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA47
Leslie LA47 – Laure, le journal intime - Au bord de la route
Ce jour-là, en vacances, je roulais une petite route du sud de la France.
Ciel bleu, soleil éclatant, un léger vent frais et moi au milieu de ces merveilles, conduisant d’un doigt ma Triumph TR5 cabriolet, vert anglais, une folie dont j’avais toujours rêvé, et que je m’étais offerte peu de temps auparavant.
J’avais loué pour une semaine un petit mobil-home dans un camping à Sainte-Maime, un petit salon, deux chambres et un petit cabinet de toilettes, dans les Alpes de haute Provence, au passage charmant petit camping, calme et bien tenu, idéal pour la tranquillité.
J’étais allée faire un tour au marché de Forcalquier, typiquement provençal et très prisé en saison, j’avais suivant la coutume locale pris un pastis au bar du commerce, installée sur la terrasse dans des sièges en rotin. Puis j’avais déjeuné tranquillement en regardant les vendeurs du marché replier leurs affaires.
C’était le début des vacances et je rentrais, par les petites routes, en profitant du paysage, avec l’air frais sur mon visage et le soleil dont la brûlure augmentait encore le plaisir anticipé de me jeter dans la piscine en arrivant au camping.
Au loin, sur le bord de la petite route, j’ai vu quelqu’un qui faisait de l’auto-stop, bizarre sur cette petite route loin de tous axes de communication, mais bon…
Sur le bas-côté, se tenait une forme humaine avec un grand sac à dos à ses pieds, apparemment, un jeune homme, grand et de mince, le doigt pointé vers le ciel, enveloppé dans un grand manteau de toile écrue, genre cache poussière comme ceux que portaient les cow-boys des westerns et un grand chapeau de cuir beige enfoncé sur la tête, plongeant le visage dans l’ombre.
Quand je me suis arrêtée à sa hauteur, il m’a regardé alors que je lui demandais :
- Je vous avance un peu ?
Il s’est penché en posant sa main longue et fine sur la portière en disant :
- Je veux bien, merci !
Sa voix était douce et féminine, il s’est penché pour attraper la bretelle de son sac à dos et son manteau s’est ouvert.
J’ai compris pourquoi j’avais une étrange sensation, en fait mon grand auto-stoppeur était une fille longiligne à peau de blonde. Elle n’avait pas vingt ans et elle portait un short et le buste était couvert d’un débardeur était chaussée de pompes pour la grande randonnée.
Mais le plus curieux, c’est qu’en s’installant près de moi dans la voiture, après avoir posé son sac sur la banquette arrière, elle a ôté son chapeau pour me faire découvrir, son crâne complètement rasé.
Pas l’ombre d’un cheveu, ça lui donnait une espèce d’allure nickelée des personnages d’un autre monde, mais avec son visage très régulier et de beaux yeux fris clair, elle était vraiment jolie…
Elle était belle, indiscutablement, mince et des jambes interminables et une frêle poitrine que je pouvais deviner sous son débardeur.
- Merci, madame, me redit-elle d’une petite vois remplie d’émotions
J’ai souri. La "madame" devait avoir cinq ans de plus qu’elle, tout au plus.
- Vous allez loin ? Lui demandais-je.
Elle a juste fait un signe de la main, vers l’avant, montrant l’horizon où un endroit lointain.
- Je vais vous conduire au carrefour de la nationale, c’est à six kilomètres, et là, je pense qu’une autre voiture vous prendra rapidement car il y a beaucoup de passage et les gens sont plutôt sympas par ici.
Elle a regardé ses mains, puis à dit :
- Je n’aimerais mieux pas !
- Ah, et pourquoi ?
Et d’un air plein de déception et d’angoisse, elle me dit :
- C’est de là que je viens. Un type m’a embarquée à la sortie du village et il a pris cette petite route, prétextant que « ça vaut le coup d’œil » et, bien entendu, il m’a débarquée là où vous m’avez trouvé et il est parti.
- Comment ça ? Il ne vous a pas "débarquée" comme ça. Il a essayé de…
- Oui, mais je ne me suis pas laissée faire, mais ce n’est rien, c’est fini.
Un type venait d’essayer de la violer et elle trouvait que ce n’était rien. En voyant que j’étais choquée, elle a posé sa main sur mon bras en disant :
J’ai l’habitude, l’auto-stop à ses risques, mais c’est fini, je voudrais me reposer…
Elle a serré sa main sur mon bras en rajoutant :
- Flippez pas, ce n’est rien, il a juste eu le temps de se montrer un peu entreprenant, alors pour bien lui faire comprendre que je n’étais pas d’accord, j’ai attrapé son matériel à pleine main, avant qu’il ne le sorte, et j’ai tordu de toutes mes forces. Ça l’a calmé tout de suite et le temps qu’il s’en remette, j’étais sortie, et voilà, mais il doit s’en souvenir…
J’ai éclaté de rire et elle aussi et du coup l’atmosphère s’est détendue.
Quand elle riait, son visage se transformait d’une façon stupéfiante, c’était une jeune fille, candide et belle comme un cœur.
- Ecoutez, vous savez ce qu’on va faire si vous avez le temps ? Dis-je. Je vous emmène au camping où je suis, on se rafraîchit, on se baigne à la piscine et vous prenez le temps qu’il vous faut avant de repartir.
- C’est sympa comme proposition, et j’avoue ne pas avoir envie de retourner sur la route, alors j’accepte volontiers. Je suis vraiment crevée et je voudrais bien prendre un peu de bon temps et aussi, je voudrais appeler mes parents.
- Pas de problème, on fait comme ça !
Elle a encore éclaté de rire, certainement le fait de se sentir à l’aise. Elle avait des dents splendides, puis elle s’est penchée pour délacer ses chaussures, alors j’ai vu qu’elle n’était pas une obsédée de la pudeur et qu’elle avait une toute petite poitrine.
Elle a enlevé les chaussures, puis les chaussettes de belle laine et enfin les minuscules socquettes de fil d’Ecosse qui protégeaient ses pieds. Une vraie randonneuse.
- Je peux ?
- Vous pouvez !
Et elle a posé ses pieds nus sur la ronce de noyer du tableau de bord.
- Ouah ! Ça fait un bien fou.
Elle s’est calée contre le dossier, a levé les bras derrière sa tête dans un grand étirement, puis a posées les mains bien à plat sur ses cuisses et elle a fermé les yeux.
En alternance, je regardais la route et ma passagère, un œil sur la route et l’autre pour la belle au crâne rasé.
Elle était longue, fine, légèrement dorée, un visage d’une régularité grecque que son crâne rasé rendait plus strict encore. Belle bouche finement ourlée, longs membres parfaitement dessinés, mollets hauts, cuisses fuselées, fines attaches. Et pas l’ombre d’un duvet, ni sur les jambes ni sur et sous les bras.
Elle s’était assoupie et je me disais que c’était vraiment une gosse superbe.
Le crissement des pneus sur le gravier de l’allée d’entrée du camping l’a réveillée. Je me suis garée devant mon mobile-home et nous sommes descendues. Elle s’est étirée avec un gémissement de plaisir puis elle a levé les yeux pour regarder le mobil-home en disant :
- C’est mignon !
Je l’ai fait entrer et nous nous sommes assises à l’ombre de la terrasse dans les fauteuils en rotin, pour boire un rafraichissement, puis après avoir bu, elle à regarder la piscine en demandant :
- Je peux.
- Le temps de se changer et on y va !
Je me suis levée, je l’ai conduite vers sa chambre, avec son sac, pour qu’elle se change pendant que je me changeais dans la mienne.
J’ai enfilé un deux pièces en stretch blanc, relativement minimaliste et elle en sortant de la chambre arborait un maillot noir une pièce, échancré haut sur les hanches, moulant parfaitement ses petites fesses musclées et ses petits seins. Un maillot à faire pâlir plus d’un mâle…
Je lui ai donné une serviette de bain et je nous sommes partie vers les cabines de douches près de la piscine, le temps de nous rincer, nous étions au bord de la piscine et nous avons plongé ensemble.
Une petite demi-heure plus tard nous étions de retour au mobil-home et je la voyais sourire de toutes ses dents, apparemment heureuse.
En buvant à nouveau, je lui ai dit :
- Je m’appelle Laure, et vous ?
- Miel.
- Miel ? Ce n’est pas un prénom !
- Tout le monde m’appelle ainsi, c’est mon père qui m’a appelé Miel depuis toujours et c’est resté.
- Alors je peux vous appeler Miel.
- Sans problème, sinon c’est Joyce.
- Je préfère Miel, quoique Joyce c’est joli !
Nous nous sommes assises. La fin de l’après-midi arrivait. L’air était doré d’un or un peu rose. Le chèvrefeuille embaumait.
Nous avons causé un peu, de choses et d’autres, qu’elle était Québécoise et faisait une visite de la France et aussi afin de parfaire la pratique de la langue française.
- Vous avez quel âge ? Lui ai-je demandé.
- Vingt ans pile, mon anniversaire est demain, et vous ?
- Vingt-quatre.
Elle me glissa un regard plein de tendresse, s’allongea et ferma les yeux.
A suivre…
Ce jour-là, en vacances, je roulais une petite route du sud de la France.
Ciel bleu, soleil éclatant, un léger vent frais et moi au milieu de ces merveilles, conduisant d’un doigt ma Triumph TR5 cabriolet, vert anglais, une folie dont j’avais toujours rêvé, et que je m’étais offerte peu de temps auparavant.
J’avais loué pour une semaine un petit mobil-home dans un camping à Sainte-Maime, un petit salon, deux chambres et un petit cabinet de toilettes, dans les Alpes de haute Provence, au passage charmant petit camping, calme et bien tenu, idéal pour la tranquillité.
J’étais allée faire un tour au marché de Forcalquier, typiquement provençal et très prisé en saison, j’avais suivant la coutume locale pris un pastis au bar du commerce, installée sur la terrasse dans des sièges en rotin. Puis j’avais déjeuné tranquillement en regardant les vendeurs du marché replier leurs affaires.
C’était le début des vacances et je rentrais, par les petites routes, en profitant du paysage, avec l’air frais sur mon visage et le soleil dont la brûlure augmentait encore le plaisir anticipé de me jeter dans la piscine en arrivant au camping.
Au loin, sur le bord de la petite route, j’ai vu quelqu’un qui faisait de l’auto-stop, bizarre sur cette petite route loin de tous axes de communication, mais bon…
Sur le bas-côté, se tenait une forme humaine avec un grand sac à dos à ses pieds, apparemment, un jeune homme, grand et de mince, le doigt pointé vers le ciel, enveloppé dans un grand manteau de toile écrue, genre cache poussière comme ceux que portaient les cow-boys des westerns et un grand chapeau de cuir beige enfoncé sur la tête, plongeant le visage dans l’ombre.
Quand je me suis arrêtée à sa hauteur, il m’a regardé alors que je lui demandais :
- Je vous avance un peu ?
Il s’est penché en posant sa main longue et fine sur la portière en disant :
- Je veux bien, merci !
Sa voix était douce et féminine, il s’est penché pour attraper la bretelle de son sac à dos et son manteau s’est ouvert.
J’ai compris pourquoi j’avais une étrange sensation, en fait mon grand auto-stoppeur était une fille longiligne à peau de blonde. Elle n’avait pas vingt ans et elle portait un short et le buste était couvert d’un débardeur était chaussée de pompes pour la grande randonnée.
Mais le plus curieux, c’est qu’en s’installant près de moi dans la voiture, après avoir posé son sac sur la banquette arrière, elle a ôté son chapeau pour me faire découvrir, son crâne complètement rasé.
Pas l’ombre d’un cheveu, ça lui donnait une espèce d’allure nickelée des personnages d’un autre monde, mais avec son visage très régulier et de beaux yeux fris clair, elle était vraiment jolie…
Elle était belle, indiscutablement, mince et des jambes interminables et une frêle poitrine que je pouvais deviner sous son débardeur.
- Merci, madame, me redit-elle d’une petite vois remplie d’émotions
J’ai souri. La "madame" devait avoir cinq ans de plus qu’elle, tout au plus.
- Vous allez loin ? Lui demandais-je.
Elle a juste fait un signe de la main, vers l’avant, montrant l’horizon où un endroit lointain.
- Je vais vous conduire au carrefour de la nationale, c’est à six kilomètres, et là, je pense qu’une autre voiture vous prendra rapidement car il y a beaucoup de passage et les gens sont plutôt sympas par ici.
Elle a regardé ses mains, puis à dit :
- Je n’aimerais mieux pas !
- Ah, et pourquoi ?
Et d’un air plein de déception et d’angoisse, elle me dit :
- C’est de là que je viens. Un type m’a embarquée à la sortie du village et il a pris cette petite route, prétextant que « ça vaut le coup d’œil » et, bien entendu, il m’a débarquée là où vous m’avez trouvé et il est parti.
- Comment ça ? Il ne vous a pas "débarquée" comme ça. Il a essayé de…
- Oui, mais je ne me suis pas laissée faire, mais ce n’est rien, c’est fini.
Un type venait d’essayer de la violer et elle trouvait que ce n’était rien. En voyant que j’étais choquée, elle a posé sa main sur mon bras en disant :
J’ai l’habitude, l’auto-stop à ses risques, mais c’est fini, je voudrais me reposer…
Elle a serré sa main sur mon bras en rajoutant :
- Flippez pas, ce n’est rien, il a juste eu le temps de se montrer un peu entreprenant, alors pour bien lui faire comprendre que je n’étais pas d’accord, j’ai attrapé son matériel à pleine main, avant qu’il ne le sorte, et j’ai tordu de toutes mes forces. Ça l’a calmé tout de suite et le temps qu’il s’en remette, j’étais sortie, et voilà, mais il doit s’en souvenir…
J’ai éclaté de rire et elle aussi et du coup l’atmosphère s’est détendue.
Quand elle riait, son visage se transformait d’une façon stupéfiante, c’était une jeune fille, candide et belle comme un cœur.
- Ecoutez, vous savez ce qu’on va faire si vous avez le temps ? Dis-je. Je vous emmène au camping où je suis, on se rafraîchit, on se baigne à la piscine et vous prenez le temps qu’il vous faut avant de repartir.
- C’est sympa comme proposition, et j’avoue ne pas avoir envie de retourner sur la route, alors j’accepte volontiers. Je suis vraiment crevée et je voudrais bien prendre un peu de bon temps et aussi, je voudrais appeler mes parents.
- Pas de problème, on fait comme ça !
Elle a encore éclaté de rire, certainement le fait de se sentir à l’aise. Elle avait des dents splendides, puis elle s’est penchée pour délacer ses chaussures, alors j’ai vu qu’elle n’était pas une obsédée de la pudeur et qu’elle avait une toute petite poitrine.
Elle a enlevé les chaussures, puis les chaussettes de belle laine et enfin les minuscules socquettes de fil d’Ecosse qui protégeaient ses pieds. Une vraie randonneuse.
- Je peux ?
- Vous pouvez !
Et elle a posé ses pieds nus sur la ronce de noyer du tableau de bord.
- Ouah ! Ça fait un bien fou.
Elle s’est calée contre le dossier, a levé les bras derrière sa tête dans un grand étirement, puis a posées les mains bien à plat sur ses cuisses et elle a fermé les yeux.
En alternance, je regardais la route et ma passagère, un œil sur la route et l’autre pour la belle au crâne rasé.
Elle était longue, fine, légèrement dorée, un visage d’une régularité grecque que son crâne rasé rendait plus strict encore. Belle bouche finement ourlée, longs membres parfaitement dessinés, mollets hauts, cuisses fuselées, fines attaches. Et pas l’ombre d’un duvet, ni sur les jambes ni sur et sous les bras.
Elle s’était assoupie et je me disais que c’était vraiment une gosse superbe.
Le crissement des pneus sur le gravier de l’allée d’entrée du camping l’a réveillée. Je me suis garée devant mon mobile-home et nous sommes descendues. Elle s’est étirée avec un gémissement de plaisir puis elle a levé les yeux pour regarder le mobil-home en disant :
- C’est mignon !
Je l’ai fait entrer et nous nous sommes assises à l’ombre de la terrasse dans les fauteuils en rotin, pour boire un rafraichissement, puis après avoir bu, elle à regarder la piscine en demandant :
- Je peux.
- Le temps de se changer et on y va !
Je me suis levée, je l’ai conduite vers sa chambre, avec son sac, pour qu’elle se change pendant que je me changeais dans la mienne.
J’ai enfilé un deux pièces en stretch blanc, relativement minimaliste et elle en sortant de la chambre arborait un maillot noir une pièce, échancré haut sur les hanches, moulant parfaitement ses petites fesses musclées et ses petits seins. Un maillot à faire pâlir plus d’un mâle…
Je lui ai donné une serviette de bain et je nous sommes partie vers les cabines de douches près de la piscine, le temps de nous rincer, nous étions au bord de la piscine et nous avons plongé ensemble.
Une petite demi-heure plus tard nous étions de retour au mobil-home et je la voyais sourire de toutes ses dents, apparemment heureuse.
En buvant à nouveau, je lui ai dit :
- Je m’appelle Laure, et vous ?
- Miel.
- Miel ? Ce n’est pas un prénom !
- Tout le monde m’appelle ainsi, c’est mon père qui m’a appelé Miel depuis toujours et c’est resté.
- Alors je peux vous appeler Miel.
- Sans problème, sinon c’est Joyce.
- Je préfère Miel, quoique Joyce c’est joli !
Nous nous sommes assises. La fin de l’après-midi arrivait. L’air était doré d’un or un peu rose. Le chèvrefeuille embaumait.
Nous avons causé un peu, de choses et d’autres, qu’elle était Québécoise et faisait une visite de la France et aussi afin de parfaire la pratique de la langue française.
- Vous avez quel âge ? Lui ai-je demandé.
- Vingt ans pile, mon anniversaire est demain, et vous ?
- Vingt-quatre.
Elle me glissa un regard plein de tendresse, s’allongea et ferma les yeux.
A suivre…
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