Leslie LA48

- Par l'auteur HDS Leslie -
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Leslie LA48 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(9.0 / 10)

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Leslie LA48
Leslie LA48 – Laure, le journal intime - Au bord de la route, suite et fin

Au bout de quelques minutes de silence, je tournais le regard vers elle, elle était détendue, les yeux clos, abandonnée. Je pris alors conscience d’un geste machinal qu’elle avait déjà eu dans la voiture lorsqu’elle avait adopté cette position de décontraction. Les mains à plat sur ses cuisses, elle faisait aller et venir l’ongle de son pouce droit sur le léger renflement de son slip pour une caresse d’une totale impudeur.
Je regardais ce geste de papillon sans pouvoir détacher mon regard.

Quand elle a rouvert les yeux, je lui ai dit :
- Il y a un restaurant juste à côté, nous allons manger une grosse salade et boire deux bouteilles de Tavel, on va faire les folles et prendre du bon temps.
- Impeccable !
Elle avait l’air content et cela me fit plaisir.
Le soir était tombé. Le frais commençait à venir. Nous nous sommes levées ensemble pour entrer dans le mobil-home et passer un lainage, puis j'ai allumé quelques bougies pour rendre l’atmosphère sympa et feutrée
- Bon, je vais téléphoner à mes parents avant d’aller diner, vous permettez ?
- Ok, pas de problèmes, prenez votre temps.
Elle partit dans la chambre et ferma la porte derrière elle. J’entrai dans ma chambre, juste à coté

Le crépuscule était venu, l’air était doux et les cigales s’étaient tues, remplacées par des grillons et la vieille chouette du bois qui poussait ses houhou, remplissant le silence de la nuit naissante.
A peine le temps de passer une robe légère et Miel était là, dans l’encadrement de la porte, je l’ai regardée et là, j’ai vu que nos portions exactement la même chose, une petite robe légère en coton avec des bretelles, elle noire et moi blanche, comme à la piscine.
Nous avons ri en faisant la même observation.
Nous avons mangé et bu chacune notre bouteille, puis après une coupe de glace à la vanille, des pêches de vigne accompagnées de feuilles de menthe, nous sommes retournées dans notre petit chez nous et là, nous nous sommes allongées sur deux transat mitoyens face à la piscine, les yeux perdus dans les étoiles.
On n’entendait qu’un grillon et la chouette. L’air était doux et pur. Miel respira profondément, si profondément qu’elle eut comme un sanglot.
- Vous êtes mariée ? Me demanda-t-elle.
- Non, dis-je.
- Moi non plus, d’ailleurs telle vous me voyez, telle je suis née.
- À vingt ans ? Pas d’aventures, ça existe encore ?
- J’en suis la preuve vivante, je n’ai pas rencontré le prince charmant et puis cela ne m’intéresse pas !
- Vous avez pourtant l’air…
- Informée ? Oui, je le suis, vous savez, j’ai des copines, enfin ce sont plus que de copines, si vous voyez…
- Je vois, dis-je dans un souffle.
Et là, elle se redresse, se penche vers moi, et rapidement elle dépose un baiser sur mes lèvres et en se rallongeant, elle me dit :
- Vous me plaisez, Laure.
- Vous me plaisez aussi, Miel !

Allongée de nouveau, la robe un peu retroussée découvrait la pointe de son slip et je n’arrivais pas à détacher mon regard de ses jambes immenses et de ce petit triangle de coton blanc, incongru sous la robe noire.
Elle ne remarqua rien, enfin fit en sorte. Elle avait les yeux perdus au ciel et je vis, une fois encore, sa main droite glisser lentement vers le triangle blanc et le pouce refaire le même geste machinal, caressant de l’ongle l’emplacement exact de son sexe, sans appuyer et s’assoupit dans sa caresse quasi-indécente.
Je fus stupéfaite de découvrir que j’étais émue. Ma gorge se serrait, je sentais la pointe de mes seins durcir et comme malgré moi, ma main se porta vers mon bas ventre. Je réalisais seulement alors que, j’avais passé ma robe blanche sans même songer à mettre une culotte. Incroyable !
J’étais vraiment en train de devenir folle, je couvris mon sexe nu avec un pan de ma robe, à moitié par pudeur à moitié pour apaiser la chaleur que je sentais monter.
J’étais totalement désemparée, avec l’irrépressible envie de me caresser là tout de suite même devant Miel. Surtout devant elle, sachant son attirance pour les femmes.
Ce soir, dans la fraîcheur et la pénombre tempérée par le seul éclairage de la lune, à côté de cette créature éblouissante et troublante qui m’était apparue comme un garçonnet avant de se révéler une femme et dont, encore à présent, l’absence totale de pilosité à l’exception de l’arc de sourcils parfaits, me plongeait dans la confusion.

Elle eut un gémissement presque inaudible. Je me tournais vers elle et je vis qu’elle avait glissé sa main sous le coton de son slip et qu’elle se caressait vraiment d’un mouvement doux et lent.
Elle avait les yeux fermés, la tête levée vers le ciel, donnant à son cou un arrondi de cygne et ses lèvres humides, entrouvertes laissaient passer un minuscule bout de langue.
C’était charmant, elle feulait très doucement, d’une façon presque inaudible. C’était si excitant que, n’y tenant plus, je me mis à l’imiter.
Mon sexe était tout humide et je n’eus aucune peine à y glisser le majeur et l’index, pour un va-et-vient très lent et très profond cependant que mon pouce caressait la hampe de mon clitoris.
Très vite, le plaisir monta et à mon tour, je fermais à demi les yeux et tendant le visage vers le ciel, je me mis à gémir sourdement en cadence.
Je sentis une boule de pur plaisir pulser en moi, puis irradier jusqu’à envahir tout mon corps.

À l’instant du plaisir ultime, machinalement, je tournais le regard vers Miel et découvris que les yeux grands ouverts, elle me regardait, elle planta son regard dans le mien, sans ciller, et nous jouîmes ensembles, les yeux dans les yeux, avec un bonheur décuplé par cette complicité dans l’exhibitionnisme et le voyeurisme mêlés.
Puis nous nous laissâmes aller sur nos transat et, machinalement, sa main chercha la mienne et nos doigts encore humides de notre plaisir se joignirent, nous étions toutes tremblantes des derniers effets de la jouissance.
- Ohhh, pardonnez-moi, me dit-elle doucement, je me suis laissé aller, mais j’en avais besoin après toutes ces émotions.
- Ce n’est rien, dis-je, un moment d’abandon, tout au plus.
- Vous me plaisez vraiment !
Elle se leva d’un bond, se pencha encore vers moi, et déposa ses lèvres sur les miennes, pour un doux baiser.
- Bon, je vais prendre une bonne douche et au lit, je suis crevée, dit-elle, demain sera un autre jour.
Puis elle disparue dans sa chambre.

Je restais quelques instants interdite, découvrant que mon cœur battait la chamade et que je passais machinalement la langue sur mes lèvres comme pour retrouver le goût de son baiser. Miel avait mis mon corps en émoi et en pensant à elle, j’ai continué de caresser mon sexe qui en demandait encore.
Puis je gagnais ma chambre en espérant trouver le sommeil rapidement...
Je me suis couchée nue, et aussitôt allongée, j’ai éteins et j’ai sombré, écrasée de sommeil.
Dans la nuit, je me suis réveillée, sentant près de moi une présence et, dans le halo de la lune éclairant ma chambre, je l’ai vu, elle était allongée, nue près de moi.
Là, me voyant réveillée, tranquillement avec une magnifique impudeur, elle écarta ses jambes, dévoilant son pubis et une fente parfaite, sans lèvres apparentes, comme le pubis d’une fillette, d’un rose nacré et dénué de tout duvet
Alors, elle commença avec calme et méthode à se masturber en faisant tourner son majeur droit qu’elle avait humecté autour de son clitoris qu’elle faisait jaillir en appuyant l’index et le majeur de la main gauche écartée sur le haut de sa fente.
Elle faisait cela avec sérieux, cherchant visiblement le maximum de plaisir, sans relâche mais sans hâte. Le doigt allait et venait le long de la fente qui s’humectait d’une fine rosée. Parfois, elle l’enfonçait profondément dans son vagin, le retirait peu après pour le replonger en compagnie de l’index, puis le retirait avant de recommencer en joignant l’annulaire aux deux autres doigts, lentement, profondément.
Elle restait alors un moment les doigts perdus dans le sexe, son regard dans le mien, comme pour me provoquer et venir la rejoindre, le ventre parcouru de frissons.
Puis elle recommençait toujours avec la même détermination lente, humectant de temps en temps ses doigts qu’elle suçait avec une sorte de gourmandise.
Bientôt, elle humecta abondamment son majeur gauche qui, jusque-là avait titillé ses seins et, elle s’arc bouta sur ses pieds, souleva le bassin et entama une lente caresse circulaire autour de son anus tout rose, gardant trois doigts de la main droite enfoncés dans le sexe. Puis, résolument, elle poussa le majeur gauche en avant en agitant violemment la main droite
Elle avait fermé les yeux, se léchait les lèvres et poussait de petits gémissements. D’un ultime coup de rein, elle s’effondra sur le lit secoué par des spasmes d’une belle intensité
C’est à cet instant que je l’entendis murmurer :
- Laure, ohhh, Laure, comme vous me plaisez !

Puis le regard fixé sur mon sexe, elle lança :
- Vous permettez ?
Je ne bougeais pas, ni ne prononçais un mot, alors elle approcha son visage de mon bas ventre et rajouta :
- Qui ne dit mot, consent !
Et sans attendre, posant ses lèvres sur mon sexe elle darda une petite langue rose qui lécha mes grandes lèvres.
De surprise et de plaisir, j’ai empoigné les draps et j’ai serré très fort pour ne pas hurler.
Elle leva les yeux, et me dit :
- Je savais que vous en aviez envie !
Elle remit sa tête entre mes cuisses et commença à laper mon sexe, aussitôt, je fus prise de tremblements incoercibles et j’écartais encore plus les jambes pour m’ouvrir mieux à sa caresse. Mes seins étaient douloureux et je ne songeais qu’à en serrer les pointes entre mes doigts, mais mes doigts restaient crispés sur le drap.
Elle enfonça la langue plus profondément encore et, posant ses lèvres sur celles de mon sexe, elle m’embrassa avec passion.
J’étais brûlante, je n’en pouvais palus et me laissais aller dans un orgasme dévastateur, hurlant et inondant son visage de ma jouissance.

- C’était bon ? Me demanda Miel.
- Trop bon, tu es le diable.
- Non, je suis une petite lesbienne qui aime donner du plaisir.
- Et toi, tu en prends ?
J’entendis son souffle s’accélérer, comme si je venais de poser une question incongrue, quelque chose qui lui faisait peur, alors elle me dit :
- Oui, mais je suis si sensible, que je perds connaissance à chaque fois, c’est comme une petite mort et ça me fait peur, et en plus je suis une vraie fontaine…
Alors doucement, à mon tour, je me suis occupée de Miel, sa petite fente et douce et sucrée, lentement je l’ai lapé, léché, c’était si bon, que j’aurais voulu que cet instant ne cessa jamais.
- Pas trop vite mon amour, souffla Miel, je t’en prie, pas trop vite.
Elle jouissait, mouillait énormément, puis, alors que je lui branlais la chatte de mes trois doigts réunis, elle émit un jet de jouissance en hurlant et perdit connaissance.

Je l’ai serré dans mes bars pour qu’elle se sente protégé, et en revenant à elle, elle me dit :
- Tu vois c’est ainsi, mais c’est trop bon, encore…
- Mets-toi à plat ventre, dis-je.
Elle s’exécuta.
- Lève légèrement ton bassin que je puisse glisser ma langue entre tes fesses et t’embrasser ici comme je t’ai embrassé tout à l’heure de l’autre côté.
Elle était dans un état second, mais fit ce que je lui demandais.
Elle sentit ma langue jouer avec sa petite chatte puis avec son anus, puis dardant ma langue et la tenant par les hanches, j’ai poussé mon visage en avant et forcé l’entrée de son petit anneau. Elle hurlait de plaisir.
J’embrassais son sexe et son cul avec frénésie, laissant sa fente nue et toute trempée. J’y bu comme à une source, mordillant les chairs tendres, suçant son clitoris jusqu’à l’aspirer, enfonçant ma langue au fond du vagin. Pénétrant de mon doigt humecté son anus tout rose et tout serré.
Et une nouvelle fois dans un hurlement de démence, elle perdit connaissance…

- Miel, ma chérie, revient, je suis là…
Au bout d’un long moment, elle retrouva assez de calme pour me répondre.
- Tout va bien mon amour, j’ai joui comme jamais.
Elle me regarda dans les yeux, me caressa la joue et lança ;
- Si tu étais un homme, je t’aurais demandé de me sodomiser… Mais je te préviens, je suis vierge aussi de ce côté-là et tu me plais tellement que je t’en aurais fait cadeau.
Elle ne savait pas que j’étais équipée, et lorsqu’elle a vu le gode ceinture, elle a compris que je pouvais exhausser son souhait, elle s’est offerte et a pris du plaisir.

Nous sommes restées ensemble, pendant le restant de la semaine, sans presque sortir du mobil-home, juste la piscine et les courses vite faites, nous laissant le maximum de temps pour faire l’amour.
Miel, amoureuse a voulu renter avec moi à Paris et nous avons passés le restant des vacances ensemble, deux mois à nous aimer et découvrir nos corps et le plaisir.
Mais avec le mois de septembre, arriva la séparation, Miel devait rentrer au Canada, elle a beaucoup pleuré, mais elle a emporté avec elle un petit bout de moi, comme une petite déchirure que je n’arrive pas a soigné, des souvenirs d’une intensité folle, mais Miel, ma Miel m’a offert les deux plus beaux joyaux qu’une femme puisse faire, en amour.
Des trésors qui, une fois offerts, ne se retrouvent jamais…

A suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe! Vivement la prochaine histoire.



Texte coquin : Leslie LA48
Histoire sexe : Une rose rouge
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