Leslie LA49
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie LA49
Leslie LA49 – Laure, le journal intime - Tendres voisines
Une semaine au club en formule tout compris, je vais m’éclater !
J’occupe un studio au rez de chaussée, au bord de la piscine et il suffit juste de passer son maillot pour aller se baigner…
Arrivée le samedi en fin de matinée, une fois installée je me suis baignée et allongée pour profiter du soleil, puis un léger diner et je suis retournée dans mon petit studio, me déshabillée, prendre une douche et me coucher.
Pas question pour cette première nuit d’aller danser et renter crevée, me reposer du voyage et de mes premières heures de repos, pour profiter au mieux de la prochaine journée, les sorties nocturnes seront pour plus tard.
Alors que je venais de me coucher et commençais à m’endormir, j’ai été sortie de mon sommeil par de drôles de bruit, aussitôt ma curiosité fut exacerbée par des gémissements puis par des cris qui trahissent un plaisir charnel manifeste !
Sortit de mon sommeil par les gémissements, je l’avoue, je décide de coller mon oreille à la paroi qui me sépare du studio mitoyen pour en percevoir davantage …mais ne parviens finalement pas à distinguer ce qu’ils se disent…
Même si je peux aisément imaginer ce qu’ils se font, tout ce que j’arrive à reconnaître c’est que je n’entends que des voix féminines… mais qui s’arrêtent presque aussitôt après que je me sois cognée à la cloison de séparation…
Zut, m’auraient-ils entendu me lever ? Et les aurais-je dérangés et freinés dans leur élan ?
Plus rien, à nouveau, c’est le silence le plus total…
Un peu déçue de n’avoir finalement rien découvert, je décide donc de me recoucher et tente de me rendormir.
Mais à peine me suis-je replongée sous les draps que les bruits reprennent de plus belle, plus forts, plus présents et plus envoûtants que jamais…
Evidemment, je suis passablement excitée par ces bruits subjectifs de femme, ou de jeune fille, se donnant du plaisir et c’est donc sans fausse pudeur que je laisse ma main se diriger vers le haut de mes cuisses…
Une caresse manuelle que je connais bien et qui me fait du bien à chaque fois que je la pratique. Je me laisse donc aller à me caresser sensuellement, comme j’en ai l’habitude…
Et, très vite, mes doigts s’insinuent hardiment dans ma fente d’où je sens poindre une délicieuse et chaude humidité complice…
Voilà, mon majeur est maintenant entièrement enfoui dans mon vagin !
Calquant le rythme de mes vas et viens à celui des bruits qui me parviennent à nouveau, dans la pièce d’à côté, je ne tarde pas à me satisfaire à un point tel que j’explose bientôt d’un plaisir certes solitaire mais au combien réel et délicieux, je ressens une rassurante chaleur qui s’échappe de mon entrejambes et m’endors bientôt dans un profond sommeil réparateur…
Le lendemain, la journée a été particulièrement éprouvante, profitant au maximum du forfait je n’ai pas arrêté un seul instant de me baigner et c’est particulièrement fatiguée, qu’après avoir diné vite fait je suis retournée vers mon petit studio, regrettant un peu que personne ne m’attende…
Personne pour me prendre dans ces bras et me faire passer une nuit de délices…
Bref, c’est complètement absorbé par mes pensées que j’aboutis dans le hall d’entrée du chalet et que je découvre une jolie jeune fille assise par terre, dos à la porte de mes voisines…
Elle a l’air un peu malheureuse, toute recroquevillée sur elle-même, les jambes serrées et les genoux ramenés sous son menton, elle a la mine boudeuse d’une gamine que l’on vient de contrarier.
Visage angélique de femme-enfant encadré par une longue et lisse chevelure d’un blond doré comme les blés, tout le portrait d’une très jeune fille diaphane dans le plus pur style des naïades d’un photographe connu…
Pas si juvénile que cela d’ailleurs, car l’allure qu’elle m’offre n’a rien à voir avec une jeune fille se régalant de sucettes… Mais en y regardant de plus près, je la trouve franchement mignonne !
De fines bretelles laissent bailler légèrement le haut de la robe d’où deux petits seins arrogants pointent impudiquement leurs bouts…
Mon regard interrogatif déclenche une réponse immédiate de sa part :
- Bonjour, je suis votre voisine et je m’appelle Sophie, j’ai oublié les clefs du studio et Dominique n’est pas encore rentrée…
Dominique, voilà, c’est le nom de son copain
- Bonjour, moi c’est Laure. Vous n’allez tout de même pas l’attendre ici, venez attendre votre compagnon chez moi, je vous offre un verre, nous pourrons mieux faire connaissance…
La voyant esquisser un large sourire, je la laisse passer devant moi et l’invite à prendre place dans le petit canapé du studio et sans se faire prier, elle s’y allonge carrément non sans prendre soin de bien m’exhiber ses fines jambes décidément superbes…
Mon trouble augmente, je ressens désormais l’envie de faire l’amour avec cette fille, mais se laisserait-elle aller et s’abandonner dans mes bras, elle, cette inconnue de prime abord si excitante ?
Tout en entamant la conversation par quelques banalités, je nous sers un premier Martini que nous buvons rapidement, certainement pour nous mettre à l’aise. L’alcool me monte immédiatement à la tête et m’incite, sans la moindre gêne, à lui parler des cris de jouissance que je peux entendre chaque nuit venant de son appartement…
Elle rougit à peine en m’expliquant simplement :
- Avec Dominique nous adorons faire l’amour et on s’entend à merveille, tu sais. Et puis, on s’est rendu compte que tu nous écoutais, hier soir, alors, j’étais encore plus excitée à l’idée de savoir que tu étais là, juste à côté de nous…
Tout en discutant de leurs prouesses amoureuses nocturnes, on continue à vider la bouteille et à un moment donné, je m’absente quelques instants, juste le temps de prendre une douche et me changer.
Rapidement, je quitte mes vêtements de ski, me lave et, désormais tout à fait grisée par les apéritifs que je viens d’avaler d’un trait, décide de ne pas me rhabiller et de ne pas mettre de sous-vêtements, juste un petit peignoir, c’est tout !
Cette courte sortie de bain en éponge doit mettre mes formes en valeur car le regard de Sophie s’allume soudainement dès mon retour au salon.
- Tu es très mignonne comme cela, viens t’asseoir près de moi, me dit-elle.
J’obéis et viens m’installer tout contre elle.
Sans la moindre hésitation, elle pose une main sur mon genou et remonte progressivement le long de ma jambe, sa caresse électrise l’intérieur de mes cuisses et j’en ressens des frissons jusqu’au pubis.
Son visage s’approche de mon cou pour y déposer de petits baisers très sensuels…
- Tu sors de ta douche, tu es toute fraîche et tu sens très bon, me dit-elle tendrement.
C’est le moment qu’elle choisit pour ouvrir mon peignoir d’un geste décidé et en faire jaillir mes seins nus qu’elle s’empresse de porter à sa bouche…
- Tu as de beaux seins, ma chérie ! Me dit-elle avec admiration.
Elle commence alors à me les sucer avidement en mordillant les tétons qu’elle s’amuse à faire ressortir au maximum.
Ses mains pétrissent me seins et s’égarent aussi sur mes anches, elle entreprend bien vite de retirer mon maigre vêtement, je suis maintenant complètement nue à côté d’elle…
Elle se penche vers moi pour me caresser le ventre et descendre plus bas…
Je sens ses lèvres qui courent vers mon nombril et s’approchent de mon pubis, et j’entrouvre mes cuisses pour lui faciliter l’accès à mon intimité.
- Petite coquine, me dit-elle.
Elle se redresse un peu et rajoute :
- Tu es une petite garce absolument délicieuse, je vais te couvrir de caresses et de baisers puis, je te mangerais la chatte !
Cette sentence me fait trembler de désir au plus profond de moi-même.
Je n’ai pas le temps de souffler qu’elle colle sa bouche à mon bas-ventre, sa langue s’immisçant immédiatement au plus profond de mon intimité.
J’adore cette caresse, mais là, j’avoue que la tendresse et l’application de cette langue de velours qui s’insinue si bien dans mes chairs intimes me fait de l’effet.
Instinctivement, je m’allonge dans le canapé et m’offre, et je sens le souffle chaud de Sophie sur mes lèvres vaginales et je me laisse aller à écarter les jambes au maximum.
Les mouvements de langue de Sophie se font de plus en plus précis et pénétrants, tantôt elle s’enfonce au plus profond de mon intimité, tantôt elle s’en éloigne pour me lécher l’intérieur des cuisses jusqu’aux genoux …
Je suis comblée par l’action de sa langue si agile autour de mon petit bouton d’amour et je commence à mouiller sérieusement. Je ne souhaite plus qu’une chose, qu’elle approfondisse ses caresses et qu’elle me mette vite un doigt.
Mais Sophie se retire quelques instants pour se déshabiller, sans la moindre pudeur, et cependant avec une grâce infinie, elle soulève sa petite robe et me dévoile un mignon petit corps parfaitement bronzé sans les traces de maillot, elle ne porte pas de sous-vêtements !
Elle me parle toujours avec la même et douce féminité :
- Je te plais ? Tu me trouves jolies, j’espère…
- Oui, dis-je dans un souffle.
- Regarde ma petite chatte, elle est toute épilée et douce comme de la soie ! Tu peux me toucher tu sais !
Je vais lui sauter dessus lorsque, soudain, On frappe à la porte d’entrée.
- Ne bouge pas, me dit-elle doucement, c’est Dominique qui arrive, elle va se joindre à nous !
Je ne comprends plus rien, moi qui pensais que Dominique était son mec, la voici qui me dit « elle » va se joindre à nous…
Elle m’abandonne pendant quelques instants et se dirige vers la porte d’entrée pour aller ouvrir, Dominique entre triomphalement d’un pas décidé et c’est la copie conforme de Sophie. Les mêmes longs cheveux blonds, elle a aussi un visage mutin et un sourire ravageur. Elle est plus grande que Sophie et aussi mieux formée. Ses beaux seins débordent d’un minuscule corset de dentelle blanche et ses cuisses ne sont en rien couvertes que par une minuscule jupe, par ailleurs très transparente.
Des jambes impeccablement bronzées que terminent de légères sandales lui donnant l’effet d’à peine effleurer le sol lorsqu’elle marche.
- Regard, Dominique, dis Sophie, notre vicieuse voisine est déjà en train de se masturber à deux mains alors que je viens à peine de commencer à lui lécher le minou, s’écrie Sophie.
C’est vrai que je me suis laissée aller à me caresser vigoureusement en attendant
D’un ton direct, elle s’adresse à moi pour me dire :
- Salut, moi c’est Dominique, j’adore les petites blondes sexy comme toi, je t’assure que tu vas prendre ton pied avec moi…
- Avec nous … " ajoute Sophie d’un petit air malicieux.
A suivre…
Une semaine au club en formule tout compris, je vais m’éclater !
J’occupe un studio au rez de chaussée, au bord de la piscine et il suffit juste de passer son maillot pour aller se baigner…
Arrivée le samedi en fin de matinée, une fois installée je me suis baignée et allongée pour profiter du soleil, puis un léger diner et je suis retournée dans mon petit studio, me déshabillée, prendre une douche et me coucher.
Pas question pour cette première nuit d’aller danser et renter crevée, me reposer du voyage et de mes premières heures de repos, pour profiter au mieux de la prochaine journée, les sorties nocturnes seront pour plus tard.
Alors que je venais de me coucher et commençais à m’endormir, j’ai été sortie de mon sommeil par de drôles de bruit, aussitôt ma curiosité fut exacerbée par des gémissements puis par des cris qui trahissent un plaisir charnel manifeste !
Sortit de mon sommeil par les gémissements, je l’avoue, je décide de coller mon oreille à la paroi qui me sépare du studio mitoyen pour en percevoir davantage …mais ne parviens finalement pas à distinguer ce qu’ils se disent…
Même si je peux aisément imaginer ce qu’ils se font, tout ce que j’arrive à reconnaître c’est que je n’entends que des voix féminines… mais qui s’arrêtent presque aussitôt après que je me sois cognée à la cloison de séparation…
Zut, m’auraient-ils entendu me lever ? Et les aurais-je dérangés et freinés dans leur élan ?
Plus rien, à nouveau, c’est le silence le plus total…
Un peu déçue de n’avoir finalement rien découvert, je décide donc de me recoucher et tente de me rendormir.
Mais à peine me suis-je replongée sous les draps que les bruits reprennent de plus belle, plus forts, plus présents et plus envoûtants que jamais…
Evidemment, je suis passablement excitée par ces bruits subjectifs de femme, ou de jeune fille, se donnant du plaisir et c’est donc sans fausse pudeur que je laisse ma main se diriger vers le haut de mes cuisses…
Une caresse manuelle que je connais bien et qui me fait du bien à chaque fois que je la pratique. Je me laisse donc aller à me caresser sensuellement, comme j’en ai l’habitude…
Et, très vite, mes doigts s’insinuent hardiment dans ma fente d’où je sens poindre une délicieuse et chaude humidité complice…
Voilà, mon majeur est maintenant entièrement enfoui dans mon vagin !
Calquant le rythme de mes vas et viens à celui des bruits qui me parviennent à nouveau, dans la pièce d’à côté, je ne tarde pas à me satisfaire à un point tel que j’explose bientôt d’un plaisir certes solitaire mais au combien réel et délicieux, je ressens une rassurante chaleur qui s’échappe de mon entrejambes et m’endors bientôt dans un profond sommeil réparateur…
Le lendemain, la journée a été particulièrement éprouvante, profitant au maximum du forfait je n’ai pas arrêté un seul instant de me baigner et c’est particulièrement fatiguée, qu’après avoir diné vite fait je suis retournée vers mon petit studio, regrettant un peu que personne ne m’attende…
Personne pour me prendre dans ces bras et me faire passer une nuit de délices…
Bref, c’est complètement absorbé par mes pensées que j’aboutis dans le hall d’entrée du chalet et que je découvre une jolie jeune fille assise par terre, dos à la porte de mes voisines…
Elle a l’air un peu malheureuse, toute recroquevillée sur elle-même, les jambes serrées et les genoux ramenés sous son menton, elle a la mine boudeuse d’une gamine que l’on vient de contrarier.
Visage angélique de femme-enfant encadré par une longue et lisse chevelure d’un blond doré comme les blés, tout le portrait d’une très jeune fille diaphane dans le plus pur style des naïades d’un photographe connu…
Pas si juvénile que cela d’ailleurs, car l’allure qu’elle m’offre n’a rien à voir avec une jeune fille se régalant de sucettes… Mais en y regardant de plus près, je la trouve franchement mignonne !
De fines bretelles laissent bailler légèrement le haut de la robe d’où deux petits seins arrogants pointent impudiquement leurs bouts…
Mon regard interrogatif déclenche une réponse immédiate de sa part :
- Bonjour, je suis votre voisine et je m’appelle Sophie, j’ai oublié les clefs du studio et Dominique n’est pas encore rentrée…
Dominique, voilà, c’est le nom de son copain
- Bonjour, moi c’est Laure. Vous n’allez tout de même pas l’attendre ici, venez attendre votre compagnon chez moi, je vous offre un verre, nous pourrons mieux faire connaissance…
La voyant esquisser un large sourire, je la laisse passer devant moi et l’invite à prendre place dans le petit canapé du studio et sans se faire prier, elle s’y allonge carrément non sans prendre soin de bien m’exhiber ses fines jambes décidément superbes…
Mon trouble augmente, je ressens désormais l’envie de faire l’amour avec cette fille, mais se laisserait-elle aller et s’abandonner dans mes bras, elle, cette inconnue de prime abord si excitante ?
Tout en entamant la conversation par quelques banalités, je nous sers un premier Martini que nous buvons rapidement, certainement pour nous mettre à l’aise. L’alcool me monte immédiatement à la tête et m’incite, sans la moindre gêne, à lui parler des cris de jouissance que je peux entendre chaque nuit venant de son appartement…
Elle rougit à peine en m’expliquant simplement :
- Avec Dominique nous adorons faire l’amour et on s’entend à merveille, tu sais. Et puis, on s’est rendu compte que tu nous écoutais, hier soir, alors, j’étais encore plus excitée à l’idée de savoir que tu étais là, juste à côté de nous…
Tout en discutant de leurs prouesses amoureuses nocturnes, on continue à vider la bouteille et à un moment donné, je m’absente quelques instants, juste le temps de prendre une douche et me changer.
Rapidement, je quitte mes vêtements de ski, me lave et, désormais tout à fait grisée par les apéritifs que je viens d’avaler d’un trait, décide de ne pas me rhabiller et de ne pas mettre de sous-vêtements, juste un petit peignoir, c’est tout !
Cette courte sortie de bain en éponge doit mettre mes formes en valeur car le regard de Sophie s’allume soudainement dès mon retour au salon.
- Tu es très mignonne comme cela, viens t’asseoir près de moi, me dit-elle.
J’obéis et viens m’installer tout contre elle.
Sans la moindre hésitation, elle pose une main sur mon genou et remonte progressivement le long de ma jambe, sa caresse électrise l’intérieur de mes cuisses et j’en ressens des frissons jusqu’au pubis.
Son visage s’approche de mon cou pour y déposer de petits baisers très sensuels…
- Tu sors de ta douche, tu es toute fraîche et tu sens très bon, me dit-elle tendrement.
C’est le moment qu’elle choisit pour ouvrir mon peignoir d’un geste décidé et en faire jaillir mes seins nus qu’elle s’empresse de porter à sa bouche…
- Tu as de beaux seins, ma chérie ! Me dit-elle avec admiration.
Elle commence alors à me les sucer avidement en mordillant les tétons qu’elle s’amuse à faire ressortir au maximum.
Ses mains pétrissent me seins et s’égarent aussi sur mes anches, elle entreprend bien vite de retirer mon maigre vêtement, je suis maintenant complètement nue à côté d’elle…
Elle se penche vers moi pour me caresser le ventre et descendre plus bas…
Je sens ses lèvres qui courent vers mon nombril et s’approchent de mon pubis, et j’entrouvre mes cuisses pour lui faciliter l’accès à mon intimité.
- Petite coquine, me dit-elle.
Elle se redresse un peu et rajoute :
- Tu es une petite garce absolument délicieuse, je vais te couvrir de caresses et de baisers puis, je te mangerais la chatte !
Cette sentence me fait trembler de désir au plus profond de moi-même.
Je n’ai pas le temps de souffler qu’elle colle sa bouche à mon bas-ventre, sa langue s’immisçant immédiatement au plus profond de mon intimité.
J’adore cette caresse, mais là, j’avoue que la tendresse et l’application de cette langue de velours qui s’insinue si bien dans mes chairs intimes me fait de l’effet.
Instinctivement, je m’allonge dans le canapé et m’offre, et je sens le souffle chaud de Sophie sur mes lèvres vaginales et je me laisse aller à écarter les jambes au maximum.
Les mouvements de langue de Sophie se font de plus en plus précis et pénétrants, tantôt elle s’enfonce au plus profond de mon intimité, tantôt elle s’en éloigne pour me lécher l’intérieur des cuisses jusqu’aux genoux …
Je suis comblée par l’action de sa langue si agile autour de mon petit bouton d’amour et je commence à mouiller sérieusement. Je ne souhaite plus qu’une chose, qu’elle approfondisse ses caresses et qu’elle me mette vite un doigt.
Mais Sophie se retire quelques instants pour se déshabiller, sans la moindre pudeur, et cependant avec une grâce infinie, elle soulève sa petite robe et me dévoile un mignon petit corps parfaitement bronzé sans les traces de maillot, elle ne porte pas de sous-vêtements !
Elle me parle toujours avec la même et douce féminité :
- Je te plais ? Tu me trouves jolies, j’espère…
- Oui, dis-je dans un souffle.
- Regarde ma petite chatte, elle est toute épilée et douce comme de la soie ! Tu peux me toucher tu sais !
Je vais lui sauter dessus lorsque, soudain, On frappe à la porte d’entrée.
- Ne bouge pas, me dit-elle doucement, c’est Dominique qui arrive, elle va se joindre à nous !
Je ne comprends plus rien, moi qui pensais que Dominique était son mec, la voici qui me dit « elle » va se joindre à nous…
Elle m’abandonne pendant quelques instants et se dirige vers la porte d’entrée pour aller ouvrir, Dominique entre triomphalement d’un pas décidé et c’est la copie conforme de Sophie. Les mêmes longs cheveux blonds, elle a aussi un visage mutin et un sourire ravageur. Elle est plus grande que Sophie et aussi mieux formée. Ses beaux seins débordent d’un minuscule corset de dentelle blanche et ses cuisses ne sont en rien couvertes que par une minuscule jupe, par ailleurs très transparente.
Des jambes impeccablement bronzées que terminent de légères sandales lui donnant l’effet d’à peine effleurer le sol lorsqu’elle marche.
- Regard, Dominique, dis Sophie, notre vicieuse voisine est déjà en train de se masturber à deux mains alors que je viens à peine de commencer à lui lécher le minou, s’écrie Sophie.
C’est vrai que je me suis laissée aller à me caresser vigoureusement en attendant
D’un ton direct, elle s’adresse à moi pour me dire :
- Salut, moi c’est Dominique, j’adore les petites blondes sexy comme toi, je t’assure que tu vas prendre ton pied avec moi…
- Avec nous … " ajoute Sophie d’un petit air malicieux.
A suivre…
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