Leslie LA55
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie LA55
Leslie LA55 – Laure, le journal intime – Aventure dans le train, de Paris à Toulouse, drôle de voyage
Décidément j’ai le chic pour me mettre dans des situations pas possibles, enfin dans de drôles de situations…
J’avais pris quelques jours de congé, une semaine, et j’avais décidé de faire des petites visites à mes copines que je n’avais pas vues depuis longtemps. En fait j’allais faire un périple qui me conduirait de Paris à Toulouse, puis ensuite je me rendrais à Nice, puis je rentrerais à Paris.
La première étape était d’aller à Toulouse, j’étais folle de joie de retrouver une copine pour deux jours, donc je suis partie un vendredi matin, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y avait pas foule dans le train. Je n’ai eu aucune peine à m’installer dans un compartiment vide, côté fenêtre, pour pouvoir lire en paix.
Un type est entré avant le départ du train et s’est installé juste en face de moi. Il aurait pu s’asseoir ailleurs, ce n’est pas la place qui manquait. J’ai branché mon walkman et me suis replongée dans la lecture.
C’était un type d’une quarantaine d’années, plutôt beau mec. Il a sorti un magazine de son sac de voyage et s’est mis à lire.
A partir de Vierzon, j’en avais un peu assez de lire, je me suis un peu assoupie, mais j’ai bien remarqué que le type en face de moi me détaillait avec insistance…
A la hauteur de Limoges, il est sorti pour aller certainement aux toilettes et quand il est revenu, j’étais debout dans le couloir pour me dégourdir les jambes, et maintenant je regardais le paysage.
Puis quand nous sommes retournés dans le compartiment, le type à engager la conversation et nous avons commencé à bavarder…
Il s’appelait Claude, et travaillait dans une boîte de production télé. Il s’est mis à m’expliquer comment se fabriquaient les émissions et comment participer aux castings.
Je me suis vite aperçue qu’il ne pouvait s’empêcher de jeter parfois un coup d’œil sur mes cuisses. Il faut dire que je portais une robe très courte. Mais curieusement, ça ne me gênait pas qu’il cherche à mater ma petite culotte. Je sentais même une sensation très agréable me parcourir le bas des reins.
Peut-être le fait que j’avais une terrible envie de faire l’amour…
A un moment, il s’est placé à côté de moi, on s’est remis à discuter, mais c’est vite devenu des choses plus personnelles.
L’ambiance était vraiment sympa et sans interrompre le fil de la conversation, il a relevé mes cheveux, s’est penché vers moi et m’a fait une bise dans le cou. Ça m’a fait drôle cette soudaineté d’intimité et du coup, j’ai cessé de parler. J’étais comme… pétrifiée.
Et j’ai laissé faire Claude lorsqu’il a posé une main sur ma poitrine, tout en continuant de m’embrasser dans le cou, puis j’ai senti son autre main qui se posait sur ma jambe et commençait à remonter lentement sous ma robe.
Arrivée à la limite de mon string, sa main a arrêté sa progression, caressant la peau nue du haut de ma cuisse à la limite de mon string, puis il a fait glisser un peu mon string et sa main a lentement voyagé sur mes reins, a caressé mes fesses, fureté entre mes cuisses.
Un de ses doigts s’est frayé un passage entre les lèvres de mon sexe. C’était vraiment très bon.
Je n’ai pas hésité une seconde à ouvrir mes cuisses lorsque ses doigts sont entrés en contact avec ma vulve et là, il m’a embrassé à pleines lèvres.
Claude a vite enfilé un doigt dans mon sexe tout en caressant mon clitoris, il m’excitait comme une folle, comme s’il voulait m’emmener rapidement au point de non-retour, l’instant où je ne pourrais plus rien lui refuser…
Puis, d’un geste rapide, il a dégrafé son pantalon gris pour sortir son sexe, qui m’apparut assez long et épais.
Il m’a fait signe de le prendre en main pour le branler, alors sans me faire prier j’ai pris son membre pour le branler…
Je me suis mis à le branler activement car pour tout dire, j’essayais de le faire jouir le plus vite possible de cette façon, car, même si j’en avais très envie, je ne désirais pas plus que ça qu’il me prenne, là dans ce train au risque de nous faire surprendre.
De plus, faire ça avec ce type que je ne connaissais presque pas… et dans le train en plus, même si la situation m’excitait, le branler et le faire jouir de ma main me paraissaient suffisant.
En même temps, ses caresses faisaient monter en moi le désir et voir sa queue si grosse et si dure dans ma main me mettait dans un tel état, que je me suis demandée si je pourrai résister longtemps si je n’arrivai pas à le faire jouir rapidement…
Mais au bout d’un long moment, je n’ai pas pu faire autrement que de me relever pour relever ma robe, baisser mon string et lui présenter mes fesses et lui offrir.
Je pensais qu’il allait se déchaîner d’entrée et que rapidement il allait me faire jouir.
Au contraire, alors que j’étais en appui, les mains sur la banquette d’en face, cambrée et offerte, prête à le recevoir, il a commencé à me caresser les fesses d’une main et l’autre passé par devant continuait d’exciter mon clitoris, que je sentais gonfler sous la caresse de ses doigts.
Puis me sentant bien chaude, il n’a enfilé qu’une partie de sa queue et il est resté en moi, sans bouger. En revanche de ses mains, il ne se privait pas pour froisser mes seins et titiller mon clitoris.
Ça me rendait folle, de le sentir à moitié en moi, ne bougeant pas, me laissant dans l’attente d’être pénétrée totalement, je voulais qu’il bouge.
Du coup, c’est moi qui me suis mise à bouger, car j’avais trop envie de sentir toute la longueur de sa queue en moi, alors j’ai reculé mon cul pour m’empaler complètement sur son membre.
A cet instant, dans cette position indécente, prise comme une chienne, j’ai pensé que si quelqu’un ouvrait la porte du compartiment, il verrait et penserait que je suis une belle salope.
Puis, prenant certainement plaisir à me voir me donner entièrement, il a commencé à me pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Il a craché sur mon petit trou et a commencé le masser du bout d’un doigt, sans ralentir ses coups de reins.
Pendant un long moment il m’a prise ainsi, la jouissance montait en moi et je me suis mise à jouir comme une dingue, c’est à ce moment que Claude me voyant jouir et gémir de plaisir, s’est empressé de se retirer.
Je l’ai supplié pour qu’il continu et qu’il me remette vite sa queue en moi, mais au lieu de la planter dans mon vagin trempé, il a présenté son gros gland à l’entrée de mon anus, abondamment lubrifié de sa salive et de mes sécrétions.
De ses deux mains, il a écarté mes fesses et son membre s’est engouffré dans mon petit trou et là, je crois que j’ai hurlé.
En fait, j’avais un peu mal et en même temps la sensation de sa queue qui fouillait mes entrailles a déclenché un nouvel orgasme, mais ce n’est pas pour autant qu’il à cesser de me prendre l’anus à grands coups de reins.
Juste avant de jouir, il s’est alors retiré et a jouit sur mes reins…
Après un brin de toilette avec des lingettes, nous sommes redevenus présentables et le train a commencé à ralentir. On arrivait en gare de Toulouse, alors je me suis levée, en disant :
- Claude, il faut que j’y aille, peut-être à bientôt...
Il m’a regardé, sachant que le bientôt serait jamais et s’est contenté de sourire alors que je quittais le compartiment.
Sur le quai, mon amie m’attendait, et quand nous nous sommes embrassées pour nous dire bonjour, Claude m’a légèrement bousculée en disant sur un ton quelque peu distant :
- Pardon madame…!
Tout ça, comme s’il ne s’était rien passé…
A suivre…
Décidément j’ai le chic pour me mettre dans des situations pas possibles, enfin dans de drôles de situations…
J’avais pris quelques jours de congé, une semaine, et j’avais décidé de faire des petites visites à mes copines que je n’avais pas vues depuis longtemps. En fait j’allais faire un périple qui me conduirait de Paris à Toulouse, puis ensuite je me rendrais à Nice, puis je rentrerais à Paris.
La première étape était d’aller à Toulouse, j’étais folle de joie de retrouver une copine pour deux jours, donc je suis partie un vendredi matin, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y avait pas foule dans le train. Je n’ai eu aucune peine à m’installer dans un compartiment vide, côté fenêtre, pour pouvoir lire en paix.
Un type est entré avant le départ du train et s’est installé juste en face de moi. Il aurait pu s’asseoir ailleurs, ce n’est pas la place qui manquait. J’ai branché mon walkman et me suis replongée dans la lecture.
C’était un type d’une quarantaine d’années, plutôt beau mec. Il a sorti un magazine de son sac de voyage et s’est mis à lire.
A partir de Vierzon, j’en avais un peu assez de lire, je me suis un peu assoupie, mais j’ai bien remarqué que le type en face de moi me détaillait avec insistance…
A la hauteur de Limoges, il est sorti pour aller certainement aux toilettes et quand il est revenu, j’étais debout dans le couloir pour me dégourdir les jambes, et maintenant je regardais le paysage.
Puis quand nous sommes retournés dans le compartiment, le type à engager la conversation et nous avons commencé à bavarder…
Il s’appelait Claude, et travaillait dans une boîte de production télé. Il s’est mis à m’expliquer comment se fabriquaient les émissions et comment participer aux castings.
Je me suis vite aperçue qu’il ne pouvait s’empêcher de jeter parfois un coup d’œil sur mes cuisses. Il faut dire que je portais une robe très courte. Mais curieusement, ça ne me gênait pas qu’il cherche à mater ma petite culotte. Je sentais même une sensation très agréable me parcourir le bas des reins.
Peut-être le fait que j’avais une terrible envie de faire l’amour…
A un moment, il s’est placé à côté de moi, on s’est remis à discuter, mais c’est vite devenu des choses plus personnelles.
L’ambiance était vraiment sympa et sans interrompre le fil de la conversation, il a relevé mes cheveux, s’est penché vers moi et m’a fait une bise dans le cou. Ça m’a fait drôle cette soudaineté d’intimité et du coup, j’ai cessé de parler. J’étais comme… pétrifiée.
Et j’ai laissé faire Claude lorsqu’il a posé une main sur ma poitrine, tout en continuant de m’embrasser dans le cou, puis j’ai senti son autre main qui se posait sur ma jambe et commençait à remonter lentement sous ma robe.
Arrivée à la limite de mon string, sa main a arrêté sa progression, caressant la peau nue du haut de ma cuisse à la limite de mon string, puis il a fait glisser un peu mon string et sa main a lentement voyagé sur mes reins, a caressé mes fesses, fureté entre mes cuisses.
Un de ses doigts s’est frayé un passage entre les lèvres de mon sexe. C’était vraiment très bon.
Je n’ai pas hésité une seconde à ouvrir mes cuisses lorsque ses doigts sont entrés en contact avec ma vulve et là, il m’a embrassé à pleines lèvres.
Claude a vite enfilé un doigt dans mon sexe tout en caressant mon clitoris, il m’excitait comme une folle, comme s’il voulait m’emmener rapidement au point de non-retour, l’instant où je ne pourrais plus rien lui refuser…
Puis, d’un geste rapide, il a dégrafé son pantalon gris pour sortir son sexe, qui m’apparut assez long et épais.
Il m’a fait signe de le prendre en main pour le branler, alors sans me faire prier j’ai pris son membre pour le branler…
Je me suis mis à le branler activement car pour tout dire, j’essayais de le faire jouir le plus vite possible de cette façon, car, même si j’en avais très envie, je ne désirais pas plus que ça qu’il me prenne, là dans ce train au risque de nous faire surprendre.
De plus, faire ça avec ce type que je ne connaissais presque pas… et dans le train en plus, même si la situation m’excitait, le branler et le faire jouir de ma main me paraissaient suffisant.
En même temps, ses caresses faisaient monter en moi le désir et voir sa queue si grosse et si dure dans ma main me mettait dans un tel état, que je me suis demandée si je pourrai résister longtemps si je n’arrivai pas à le faire jouir rapidement…
Mais au bout d’un long moment, je n’ai pas pu faire autrement que de me relever pour relever ma robe, baisser mon string et lui présenter mes fesses et lui offrir.
Je pensais qu’il allait se déchaîner d’entrée et que rapidement il allait me faire jouir.
Au contraire, alors que j’étais en appui, les mains sur la banquette d’en face, cambrée et offerte, prête à le recevoir, il a commencé à me caresser les fesses d’une main et l’autre passé par devant continuait d’exciter mon clitoris, que je sentais gonfler sous la caresse de ses doigts.
Puis me sentant bien chaude, il n’a enfilé qu’une partie de sa queue et il est resté en moi, sans bouger. En revanche de ses mains, il ne se privait pas pour froisser mes seins et titiller mon clitoris.
Ça me rendait folle, de le sentir à moitié en moi, ne bougeant pas, me laissant dans l’attente d’être pénétrée totalement, je voulais qu’il bouge.
Du coup, c’est moi qui me suis mise à bouger, car j’avais trop envie de sentir toute la longueur de sa queue en moi, alors j’ai reculé mon cul pour m’empaler complètement sur son membre.
A cet instant, dans cette position indécente, prise comme une chienne, j’ai pensé que si quelqu’un ouvrait la porte du compartiment, il verrait et penserait que je suis une belle salope.
Puis, prenant certainement plaisir à me voir me donner entièrement, il a commencé à me pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Il a craché sur mon petit trou et a commencé le masser du bout d’un doigt, sans ralentir ses coups de reins.
Pendant un long moment il m’a prise ainsi, la jouissance montait en moi et je me suis mise à jouir comme une dingue, c’est à ce moment que Claude me voyant jouir et gémir de plaisir, s’est empressé de se retirer.
Je l’ai supplié pour qu’il continu et qu’il me remette vite sa queue en moi, mais au lieu de la planter dans mon vagin trempé, il a présenté son gros gland à l’entrée de mon anus, abondamment lubrifié de sa salive et de mes sécrétions.
De ses deux mains, il a écarté mes fesses et son membre s’est engouffré dans mon petit trou et là, je crois que j’ai hurlé.
En fait, j’avais un peu mal et en même temps la sensation de sa queue qui fouillait mes entrailles a déclenché un nouvel orgasme, mais ce n’est pas pour autant qu’il à cesser de me prendre l’anus à grands coups de reins.
Juste avant de jouir, il s’est alors retiré et a jouit sur mes reins…
Après un brin de toilette avec des lingettes, nous sommes redevenus présentables et le train a commencé à ralentir. On arrivait en gare de Toulouse, alors je me suis levée, en disant :
- Claude, il faut que j’y aille, peut-être à bientôt...
Il m’a regardé, sachant que le bientôt serait jamais et s’est contenté de sourire alors que je quittais le compartiment.
Sur le quai, mon amie m’attendait, et quand nous nous sommes embrassées pour nous dire bonjour, Claude m’a légèrement bousculée en disant sur un ton quelque peu distant :
- Pardon madame…!
Tout ça, comme s’il ne s’était rien passé…
A suivre…
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