Leslie LA60
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie LA60
Leslie LA60 - Laure, le journal intime - Le gros sexe du copain de mon amie Perle
Bon, c’est vrai que j’attire souvent les regards des hommes avec mon physique de rêve et j’avoue que cela me plaît.
Je venais de quitter mon dernier petit ami, beau gosse mais qui ne valait rien au lit et n’arrivait pas à assouvir ma libido débordante de l’époque…
Enfin ma libido tout court, car ça ne s’est pas calmé.
Mais laissez-moi plutôt vous raconter ce qui s’est passé après…
Je fus invitée à une soirée où comme d’habitude les hommes s’étaient rapidement retrouvés, un verre à la main en train de parler de leurs passions, tandis que leurs épouses, compagnes ou petites amies du moment se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant de leurs fantasmes sur les célébrités plus ou moins connues.
Moi, je m’emmerdais et j’allais d’un groupe à l’autre essayant de tuer le temps et attendre le moment opportun de tous les planter là et retrouver mon chez moi…
Cette soirée m’était pénible, ne trouvant pas ma place dans l’un, ni dans l’autre groupe.
En tout cas, je songeais sérieusement à partir et aller me coucher avant même la fin de l’apéritif, lorsqu’une conversation accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion.
Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool du petit vin d’oranges maison, avaient dévié des sempiternelles coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant, le sexe tout court et comment elles voyaient cela dans leur vie.
Lorsque je m’approchais d’une oreille attentive, je compris qu’elles en étaient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne se doutaient pas que leurs attributs étaient le centre de la conversation, décrits publiquement avec force détails et à grand renfort de gestes.
Un peu à l’écart de la discussion, je riais doucement en sirotant mon verre de vin, en observant chacune de ces femmes vanter les mérites de leurs apollons, les soupçonnant d’en rajouter un peu, voire beaucoup, sur les détails techniques.
Pour ma part, je me disais qu’il valait mieux que je n’entre pas dans la conversation, car mes expériences passées m’avaient donné d’en voir de toutes sortes, je parle de queues, et j’ai pensé que certaines femmes exagéraient sans complexe sur la taille du membre de leur compagnon.
C’est à ce moment-là que je me rendis compte, qu’isolée dans son coin, la timide Perle rougissait, et ne participait pas à la conversation, je fis donc le tour du groupe pour me rapprocher d’elle et me poser sur le transat laissé libre à ses côtés et je lui murmurais :
- Ça n’a pas l’air d’aller toi, qu’est-ce qui t’arrive ?
Perle est vraiment une amie et nous allons souvent au cinéma ensemble, quand son homme est en déplacement pour son travail.
Perle, vit avec son compagnon, Karl, un bel homme, grand et fin, blond à la peau très blanche et elle est une femme mince et blonde comme les blés, sans trop de formes, presque garçonne.
- Je ne comprends pas pourquoi parler de l’anatomie de nos hommes, comme s’il n’y avait pas de discussions plus intéressantes, me répondit-elle. Et de plus avec tous leurs gestes, cela devient vraiment indécent.
Je lui souris d’un air entendu, en demandant ;
- Nous sommes entre nous, dis-moi, ton Karl, il est comment ?
Elle se mit à rougir et n’osa pas répondre.
- Allez ! Tu ne vas pas faire ta timide avec moi, ça restera entre nous.
Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler, mais pas à tout le monde.
Timidement, elle jeta un coup d’œil circulaire pour voir si personne ne la regardait et, rapidement, m’indiqua avec ses deux mains un engin d’une bonne vingtaine de centimètres.
- Non, j’y crois pas, dis-je.
- Attends ce n’est pas le pire, me dit-elle.
Et regardant autour d’elle à nouveau, elle m’indiqua, avec ses deux mains, un diamètre trop large pour une seule main !
- Waouh, mais comment fais-tu pour t’occuper d’un tel engin ? lui demandai-je.
- Bah, j’ai un peu de mal avec la bouche, mais ça m’excite tellement, que par le bas ça passe très bien, mais je n’accepte pas la sodomie, enfin pas encore...
Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles, je ne pouvais détacher mes yeux de ses mains, qui avaient décrit un engin pareil. Soudain, je me tournais vers le groupe des garçons et je vis Karl, debout au milieu des autres, les dépassants d’une tête avec sa toison blonde et je l’imaginais surtout nu, imberbe, avec une queue qui lui descendait jusqu’au milieu de la cuisse.
Perle surprit mon regard et, loin de s’offusquer, me sourit d’un air complice en disant :
- Et puis comme nous sommes échangistes, il passe ses ardeurs sur d’autres femmes que moi, ça me fait du repos et je vais avec d’autres moins membrés que lui…
- Et avec moi ? lui demandai-je, tu serais d’accord pour une partie de jambes en l’air.
Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas tout de suite, prenant son temps elle me dit :
- Ce n’est pas un problème, cela fait un bon bout de temps qu’il a des vues sur toi !
Alors là, c’est moi qui ne dis mot en sentant mon sexe qui palpitait déjà d’envie.
La timide Perle, faisait de l’échangisme et se faisait tirer par d’autres hommes, comme elle cachait bien son jeu, mais, en me regardant dans les yeux, elle me demanda ;
- Ça te dirait ce soir qu’on t’emmène chez nous ?
- Et comment donc, lui dis-je.
- C’est Karl qui va être content, bon, j’arrange tout et surtout tiens-toi prête !
Troublée et anxieuse à la fois, j’ai repris le cours de la soirée en ayant hâte qu’elle finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un œil en direction de Karl, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait l’air bien rempli.
Plus tard, avant que tous les invités ne fussent partis, Perle me fit un clin d’œil, signe du départ imminent, juste le temps de saluer tout le monde et me voilà dehors dans ma voiture prête à suivre Karl et Perle.
Je dois vous avouer que dès que je me suis installée dans ma voiture je n’ai pu m’empêcher de me caresser, juste pour me soulager un peu et me mettre dans de bonnes conditions.
Mais il est temps de démarrer, Karl et Perle viennent de partir et c’est fébrile que je les suis, Perle se retourne de temps en temps pour me faire un petit signe complice et vérifier si je suis toujours derrière eux.
Une demi-heure plus tard, je suis installée dans le canapé cher eux et Karl est assis en face de moi, Perle nous prépare une boisson en cuisine.
- Alors parait que tu mouilles pour moi ? me demanda-t-il.
- Parait aussi que tu bandes pour moi, lui répondis-je.
Mon sexe est déjà en feu, et de là où il était, il pouvait tout voir de mon sexe minutieusement épilé et entièrement dévoilé à ses yeux, j’avais enlevé ma petite culotte dans la voiture et ma mini-jupe était largement retroussée sur mes cuisses.
Et, sous son regard, au lieu de fermer les cuisses, comme l’aurait fait n’importe quelle femme sage, je les ai écartés encore plus, en le fixant droit dans les yeux.
Perle est arrivée entre-temps, et nous voyant elle dit :
- Mais qu’est-ce que tu regardes comme ça, espèce de cochon ? T’es en train de mater sous la jupe de ma copine !
Je mouille déjà comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va se passer.
Je me lève et remonte ma jupe sur mes reins, montrant mon minou épilé à Karl en m’approchant de lui.
Perle continue en disant :
- Allez, fais-lui un bisou pour te faire pardonner.
- Oui, embrasses mon sexe, dis-je, en posant ma main sur sa tête et en l’approchant de ma vulve brûlante.
- Et n’hésites pas à y mettre ta langue, rajoute Perle.
Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact m’électrise. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon clitoris, dressé comme un petit sexe, qu’il décapuchonne. Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me provoque une décharge de plaisir inattendue.
- C’est trop bon, continues…
Perle, la timide, a perdu tout contrôle et se montre sous un nouvel aspect, elle se dessape en vitesse et une fois nue, se place dans un fauteuil et se met à se branler en nous regardant.
Karl, à mes pieds, voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations qu’il me provoque, prend de l’assurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement d’avant en arrière. Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.
Pendant ce temps, j’ai lâché sa tête pour prendre en main ma poitrine dure aux tétons dardés par l’excitation, et j’entends près de moi Perle gémir de plaisir, je libère mes seins de la robe et commence à les pétrir sans ménagement.
Karl me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant qu’il use de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de ses doigts investigateurs. À ce rythme-là, je ne tarde pas à sentir la jouissance monter jusqu’à exploser littéralement, alors que je plaque la tête de Karl sur mon sexe pour qu’il continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes du plaisir.
Épuisée, je me laisse tomber dans le canapé et je vois Perle venir vers nous et m’enjamber pour mettre son sexe sur ma bouche en disant :
- Allez, suces-moi et fais-moi jouir pendant que mon homme se prépare avant de te prendre…
Perle ne sera pas longue à jouir sous mes coups de langue, juste le temps pour Karl de se mettre nu et de me présenter l’objet de ma convoitise.
Il me présente peu de temps après un long membre chaud et puissant et je le branle aussitôt, et constate que Perle ne m’avait pas menti, ni exagéré, il est gros, non énorme, je n’arrive pas à l’entourer entièrement de mes doigts, alors je sors ma langue au maximum et je la passe sur son gland.
Karl a fermé les yeux et gémit de plaisir.
Mes lèvres palpitent déjà à l’idée de sentir cette colonne de chair à l’intérieur, je prends l’objet en main et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur et d’une main, je soupèse ses bourses, énormes et lisses, il doit se les raser.
Ma main court le long de l’engin, et je prends le gland en bouche.
Karl gémit à la sensation de ma langue chaude sur son gland. J’essaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement grosse que je n’arrive même pas à la moitié, je suce et lèche ce gourdin comme une salope, alternant les passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue, branlant l’animal énergiquement sous les gémissements de ma proie et sous les yeux de Perle.
Je sens qu’à ce rythme, Karl ne va pas tarder à venir et c’est justement ce que je cherche, je veux qu’il explose entre mes lèvres, mais Karl se dégage et positionne son membre devant ma petite chatte, je prends son engin dans ma main et commence à frotter mon clitoris avec.
Karl recommence à gémir de plaisir et m’attrape les fesses pour imposer son rythme, alors je présente son membre à l’entrée de ma grotte.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories que j’ai pu connaître auparavant et j’appréhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifié par l’excitation que l’entrée se fait en douceur.
Je n’en reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.
Il laisse passer quelques secondes, pour m’habituer aux dimensions exceptionnelles de sa queue et se met doucement à aller et venir en moi. Il joue à me pénétrer uniquement du bout de sa hampe un moment avant de m’empaler complètement.
Mais soudain je m’entends dire :
- Prends-moi par derrière, mon salaud, je veux te sentir me défoncer le plus loin possible.
Il ne se fait pas prier et tandis que je me retourne, il se place derrière moi, sa queue à la main. Il me l’enfonce petit à petit, centimètre par centimètre, savourant sa supériorité qui lui donne accès à des plaisirs interdits. Je crois que la vision de mes fesses offertes à ses caprices l’excite encore plus.
Maintenant c’est à grands coups de boutoir qu’il me prend sans ménagement. Me tenant par les hanches, il me défonce en jurant.
Je suis surprise quand je sens son pouce s’immiscer dans ma petite rondelle et bien qu’habituée à ce genre de caresses, cela déclenche en moi un nouvel orgasme.
La pression monte de plus en plus, Karl me perfore à tout va, déclenchant de nouvelles sensations, Karl ne tarde d’ailleurs pas, lui non plus, à jouir sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long râle de plaisir.
Perle a joui en nous regardant, sous la caresse de ses doigts, elle me regarde et me demande :
- Alors heureuse ?
- Comblée, que je réponds sans un gémissement.
- Attends qu’il s’occupe de ton petit trou, me dit Perle avec un regard vicieux.
A cet instant je sais que la nuit va être longue…
A suivre…
Bon, c’est vrai que j’attire souvent les regards des hommes avec mon physique de rêve et j’avoue que cela me plaît.
Je venais de quitter mon dernier petit ami, beau gosse mais qui ne valait rien au lit et n’arrivait pas à assouvir ma libido débordante de l’époque…
Enfin ma libido tout court, car ça ne s’est pas calmé.
Mais laissez-moi plutôt vous raconter ce qui s’est passé après…
Je fus invitée à une soirée où comme d’habitude les hommes s’étaient rapidement retrouvés, un verre à la main en train de parler de leurs passions, tandis que leurs épouses, compagnes ou petites amies du moment se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant de leurs fantasmes sur les célébrités plus ou moins connues.
Moi, je m’emmerdais et j’allais d’un groupe à l’autre essayant de tuer le temps et attendre le moment opportun de tous les planter là et retrouver mon chez moi…
Cette soirée m’était pénible, ne trouvant pas ma place dans l’un, ni dans l’autre groupe.
En tout cas, je songeais sérieusement à partir et aller me coucher avant même la fin de l’apéritif, lorsqu’une conversation accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion.
Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool du petit vin d’oranges maison, avaient dévié des sempiternelles coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant, le sexe tout court et comment elles voyaient cela dans leur vie.
Lorsque je m’approchais d’une oreille attentive, je compris qu’elles en étaient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne se doutaient pas que leurs attributs étaient le centre de la conversation, décrits publiquement avec force détails et à grand renfort de gestes.
Un peu à l’écart de la discussion, je riais doucement en sirotant mon verre de vin, en observant chacune de ces femmes vanter les mérites de leurs apollons, les soupçonnant d’en rajouter un peu, voire beaucoup, sur les détails techniques.
Pour ma part, je me disais qu’il valait mieux que je n’entre pas dans la conversation, car mes expériences passées m’avaient donné d’en voir de toutes sortes, je parle de queues, et j’ai pensé que certaines femmes exagéraient sans complexe sur la taille du membre de leur compagnon.
C’est à ce moment-là que je me rendis compte, qu’isolée dans son coin, la timide Perle rougissait, et ne participait pas à la conversation, je fis donc le tour du groupe pour me rapprocher d’elle et me poser sur le transat laissé libre à ses côtés et je lui murmurais :
- Ça n’a pas l’air d’aller toi, qu’est-ce qui t’arrive ?
Perle est vraiment une amie et nous allons souvent au cinéma ensemble, quand son homme est en déplacement pour son travail.
Perle, vit avec son compagnon, Karl, un bel homme, grand et fin, blond à la peau très blanche et elle est une femme mince et blonde comme les blés, sans trop de formes, presque garçonne.
- Je ne comprends pas pourquoi parler de l’anatomie de nos hommes, comme s’il n’y avait pas de discussions plus intéressantes, me répondit-elle. Et de plus avec tous leurs gestes, cela devient vraiment indécent.
Je lui souris d’un air entendu, en demandant ;
- Nous sommes entre nous, dis-moi, ton Karl, il est comment ?
Elle se mit à rougir et n’osa pas répondre.
- Allez ! Tu ne vas pas faire ta timide avec moi, ça restera entre nous.
Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler, mais pas à tout le monde.
Timidement, elle jeta un coup d’œil circulaire pour voir si personne ne la regardait et, rapidement, m’indiqua avec ses deux mains un engin d’une bonne vingtaine de centimètres.
- Non, j’y crois pas, dis-je.
- Attends ce n’est pas le pire, me dit-elle.
Et regardant autour d’elle à nouveau, elle m’indiqua, avec ses deux mains, un diamètre trop large pour une seule main !
- Waouh, mais comment fais-tu pour t’occuper d’un tel engin ? lui demandai-je.
- Bah, j’ai un peu de mal avec la bouche, mais ça m’excite tellement, que par le bas ça passe très bien, mais je n’accepte pas la sodomie, enfin pas encore...
Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles, je ne pouvais détacher mes yeux de ses mains, qui avaient décrit un engin pareil. Soudain, je me tournais vers le groupe des garçons et je vis Karl, debout au milieu des autres, les dépassants d’une tête avec sa toison blonde et je l’imaginais surtout nu, imberbe, avec une queue qui lui descendait jusqu’au milieu de la cuisse.
Perle surprit mon regard et, loin de s’offusquer, me sourit d’un air complice en disant :
- Et puis comme nous sommes échangistes, il passe ses ardeurs sur d’autres femmes que moi, ça me fait du repos et je vais avec d’autres moins membrés que lui…
- Et avec moi ? lui demandai-je, tu serais d’accord pour une partie de jambes en l’air.
Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas tout de suite, prenant son temps elle me dit :
- Ce n’est pas un problème, cela fait un bon bout de temps qu’il a des vues sur toi !
Alors là, c’est moi qui ne dis mot en sentant mon sexe qui palpitait déjà d’envie.
La timide Perle, faisait de l’échangisme et se faisait tirer par d’autres hommes, comme elle cachait bien son jeu, mais, en me regardant dans les yeux, elle me demanda ;
- Ça te dirait ce soir qu’on t’emmène chez nous ?
- Et comment donc, lui dis-je.
- C’est Karl qui va être content, bon, j’arrange tout et surtout tiens-toi prête !
Troublée et anxieuse à la fois, j’ai repris le cours de la soirée en ayant hâte qu’elle finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un œil en direction de Karl, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait l’air bien rempli.
Plus tard, avant que tous les invités ne fussent partis, Perle me fit un clin d’œil, signe du départ imminent, juste le temps de saluer tout le monde et me voilà dehors dans ma voiture prête à suivre Karl et Perle.
Je dois vous avouer que dès que je me suis installée dans ma voiture je n’ai pu m’empêcher de me caresser, juste pour me soulager un peu et me mettre dans de bonnes conditions.
Mais il est temps de démarrer, Karl et Perle viennent de partir et c’est fébrile que je les suis, Perle se retourne de temps en temps pour me faire un petit signe complice et vérifier si je suis toujours derrière eux.
Une demi-heure plus tard, je suis installée dans le canapé cher eux et Karl est assis en face de moi, Perle nous prépare une boisson en cuisine.
- Alors parait que tu mouilles pour moi ? me demanda-t-il.
- Parait aussi que tu bandes pour moi, lui répondis-je.
Mon sexe est déjà en feu, et de là où il était, il pouvait tout voir de mon sexe minutieusement épilé et entièrement dévoilé à ses yeux, j’avais enlevé ma petite culotte dans la voiture et ma mini-jupe était largement retroussée sur mes cuisses.
Et, sous son regard, au lieu de fermer les cuisses, comme l’aurait fait n’importe quelle femme sage, je les ai écartés encore plus, en le fixant droit dans les yeux.
Perle est arrivée entre-temps, et nous voyant elle dit :
- Mais qu’est-ce que tu regardes comme ça, espèce de cochon ? T’es en train de mater sous la jupe de ma copine !
Je mouille déjà comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va se passer.
Je me lève et remonte ma jupe sur mes reins, montrant mon minou épilé à Karl en m’approchant de lui.
Perle continue en disant :
- Allez, fais-lui un bisou pour te faire pardonner.
- Oui, embrasses mon sexe, dis-je, en posant ma main sur sa tête et en l’approchant de ma vulve brûlante.
- Et n’hésites pas à y mettre ta langue, rajoute Perle.
Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact m’électrise. Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon clitoris, dressé comme un petit sexe, qu’il décapuchonne. Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me provoque une décharge de plaisir inattendue.
- C’est trop bon, continues…
Perle, la timide, a perdu tout contrôle et se montre sous un nouvel aspect, elle se dessape en vitesse et une fois nue, se place dans un fauteuil et se met à se branler en nous regardant.
Karl, à mes pieds, voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations qu’il me provoque, prend de l’assurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement d’avant en arrière. Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.
Pendant ce temps, j’ai lâché sa tête pour prendre en main ma poitrine dure aux tétons dardés par l’excitation, et j’entends près de moi Perle gémir de plaisir, je libère mes seins de la robe et commence à les pétrir sans ménagement.
Karl me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant qu’il use de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de ses doigts investigateurs. À ce rythme-là, je ne tarde pas à sentir la jouissance monter jusqu’à exploser littéralement, alors que je plaque la tête de Karl sur mon sexe pour qu’il continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes du plaisir.
Épuisée, je me laisse tomber dans le canapé et je vois Perle venir vers nous et m’enjamber pour mettre son sexe sur ma bouche en disant :
- Allez, suces-moi et fais-moi jouir pendant que mon homme se prépare avant de te prendre…
Perle ne sera pas longue à jouir sous mes coups de langue, juste le temps pour Karl de se mettre nu et de me présenter l’objet de ma convoitise.
Il me présente peu de temps après un long membre chaud et puissant et je le branle aussitôt, et constate que Perle ne m’avait pas menti, ni exagéré, il est gros, non énorme, je n’arrive pas à l’entourer entièrement de mes doigts, alors je sors ma langue au maximum et je la passe sur son gland.
Karl a fermé les yeux et gémit de plaisir.
Mes lèvres palpitent déjà à l’idée de sentir cette colonne de chair à l’intérieur, je prends l’objet en main et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur et d’une main, je soupèse ses bourses, énormes et lisses, il doit se les raser.
Ma main court le long de l’engin, et je prends le gland en bouche.
Karl gémit à la sensation de ma langue chaude sur son gland. J’essaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement grosse que je n’arrive même pas à la moitié, je suce et lèche ce gourdin comme une salope, alternant les passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue, branlant l’animal énergiquement sous les gémissements de ma proie et sous les yeux de Perle.
Je sens qu’à ce rythme, Karl ne va pas tarder à venir et c’est justement ce que je cherche, je veux qu’il explose entre mes lèvres, mais Karl se dégage et positionne son membre devant ma petite chatte, je prends son engin dans ma main et commence à frotter mon clitoris avec.
Karl recommence à gémir de plaisir et m’attrape les fesses pour imposer son rythme, alors je présente son membre à l’entrée de ma grotte.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories que j’ai pu connaître auparavant et j’appréhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifié par l’excitation que l’entrée se fait en douceur.
Je n’en reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.
Il laisse passer quelques secondes, pour m’habituer aux dimensions exceptionnelles de sa queue et se met doucement à aller et venir en moi. Il joue à me pénétrer uniquement du bout de sa hampe un moment avant de m’empaler complètement.
Mais soudain je m’entends dire :
- Prends-moi par derrière, mon salaud, je veux te sentir me défoncer le plus loin possible.
Il ne se fait pas prier et tandis que je me retourne, il se place derrière moi, sa queue à la main. Il me l’enfonce petit à petit, centimètre par centimètre, savourant sa supériorité qui lui donne accès à des plaisirs interdits. Je crois que la vision de mes fesses offertes à ses caprices l’excite encore plus.
Maintenant c’est à grands coups de boutoir qu’il me prend sans ménagement. Me tenant par les hanches, il me défonce en jurant.
Je suis surprise quand je sens son pouce s’immiscer dans ma petite rondelle et bien qu’habituée à ce genre de caresses, cela déclenche en moi un nouvel orgasme.
La pression monte de plus en plus, Karl me perfore à tout va, déclenchant de nouvelles sensations, Karl ne tarde d’ailleurs pas, lui non plus, à jouir sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long râle de plaisir.
Perle a joui en nous regardant, sous la caresse de ses doigts, elle me regarde et me demande :
- Alors heureuse ?
- Comblée, que je réponds sans un gémissement.
- Attends qu’il s’occupe de ton petit trou, me dit Perle avec un regard vicieux.
A cet instant je sais que la nuit va être longue…
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Merci pour l'histoire et la photo du sexe de Karl qui est juste magnifique ! Si je l'avais devant moi, j'aurais beaucoup de mal à résister...