Leslie LA62
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA62
Leslie LA62 – Laure, le journal intime - Lesbienne black
Suite à mon aventure avec Lucie, et le trio avec Alyssa, la copine black de Lucie, et l’aventure avec la métisse du magasin de lingerie, j’ai fait pendant un temps une période saphique, non pas que je sois déçue des hommes, mais juste parce que j’avais envie de relations saphiques.
Pour cela je me branchais sur internet dans l’espoir de rencontrer une fille ou de préférence une femme prête à avoir une relation avec une jeune fille comme moi. J’espérais rencontrer une femme qui puisse me donner du plaisir tout en m’apprenant, pourquoi pas, un peu plus sur les relations entre femmes...
J’avais publié sur un site de rencontre l’annonce suivante :
« Jeune fille, fraîche et innocente dans les relations lesbiennes, recherche complicité avec une femme expérimentée pour approfondir ses connaissances dans le domaine. »
Je l’avais publié sans grand espoir de réponse, me disant que pour beaucoup les clubs lesbiens étaient l’endroit idéal pour faire une rencontre et qu’une jeune fille n’avait pas beaucoup de chance d’intéresser une femme, ayant certainement autre chose à faire qu’à parfaire l’éducation d’une jeune débutante.
Mais chaque soir, en rentrant du travail, je regardais ma messagerie. Évidemment des hommes me faisaient des propositions en grand nombre, ainsi que des couples dont la femme était, soi-disant, bisexuelle, mais hélas très peu de femmes seules. Je les éliminais, soit pour leur physique, leur âge trop avancé ou parce que peu disponibles et certainement mariées.
Je recevais aussi beaucoup de propositions de dominatrices, mais même si cela pourrait peut-être m’amuser, ce n’était pas ma recherche du moment, je recherchais simplement une jeune femme célibataire et libre pour nous donner du plaisir ensemble et apprendre un peu de cette relation.
Ainsi passèrent plusieurs jours et je commençais sérieusement à désespérer, mais un jour en rentrant à la maison, j’avais le message suivant :
« Je suis une femme de vingt-sept ans, lesbienne uniquement et expérimentée, ta recherche m’intéresse, espère que tu aies le courage de me répondre et pouvoir répondre à ton attente. Je me prénomme Patricia, un mètre soixante-cinq pour cinquante et un kilos, mince, douce et très disponible. Je suis connectée tous les soirs à vingt-deux heures sur MSN, voilà mon adresse. »
Le soir même, après le repas, une bonne douche réparatrice, il est vingt-deux heures moins dix quand j’allume l’ordi. Je rentre l’adresse de Patricia mais, hélas, elle n’est pas connectée. J’en profite donc pour regarder si j’ai des messages et il est presque vingt-deux heure trente quand elle se connecte enfin…
J’ai le cœur qui s’accélère car je ne sais comment aborder la discussion.
- Bonjour, c’est Patricia.
- Bonjour, moi c’est Laure.
- Mille excuses pour ce retard, j’ai eu un petit problème d’informatique…
La conversation s’engage et nous parlons de tout sans vraiment nous décider à aborder le sujet réel de notre éventuelle rencontre future. Je prends les choses en mains en lui demandant si elle vit seule. Elle me répond affirmativement et me renvoie la question. J’aimerais bien une photo d’elle, ce qu’elle refuse, mais elle me propose de la découvrir en chair et en os demain samedi, si je suis disponible. Je lui donne donc rendez-vous chez moi pour quatorze heures et elle accepte. Nous continuons à discuter et il est une heure du matin quand nous nous souhaitons bonne nuit.
Cette matinée me semble interminable, il est midi quand je me glisse sous la douche. En m’essuyant, je me regarde dans le miroir et je contemple une jeune femme, blonde aux cheveux longs, pas mal foutue et pouvant attirer les regards. Mes seins pas trop volumineux aux larges aréoles halées et mes tétons bien dessinés, me donnent confiance, mon ventre plat, mon sexe lisse surplombant mes jambes fuselées, confirment cette confiance.
Ma peau cuivrée achève la beauté de mon corps, et il est temps de me préoccuper de ma tenue vestimentaire.
Une jupe noire avec un string noir et pour le haut un chemisier blanc sans soutien-gorge. Un maquillage léger, une goutte de parfum et me voilà prête.
Il est deux heures moins le quart quand la sonnette retentit, je me lève comme un ressort et me dirige vers la porte, très angoissée. Ma surprise est de taille quand je découvre une jeune africaine, fine avec un sourire radieux s’excusant d’être un peu en avance. Je la fais entrer, puis s’asseoir sur le canapé en lui proposant un café.
Je me dirige vers la cuisine pour préparer notre café et reprendre un peu mon calme, tellement surprise de me retrouver avec une black, décidément c’est une série…
Je reviens avec mes deux tasses, que je pose sur la table basse, et viens m’asseoir à côté de Patricia. Ses belles jambes d’ébène sortent d’une jupe blanche et sa poitrine est moulée dans un haut blanc dont les deux boutons ouverts laissent deviner la naissance. Nous sommes l’une et l’autre intimidées, mais c’est elle qui parle la première pour me demander si je ne suis pas surprise par la couleur de sa peau.
Surprise, oui je le suis, mais pas déçue par son physique. Ma réponse la rassure visiblement et elle se met à rire, laissant apparaître ses belles dents blanches qui contrastent avec la couleur de sa peau. Son parfum acidulé et sa beauté ont mis mes sens en éveil.
Une chaleur envahit mes seins et mon ventre et je sens mon sexe couler de désir, je me dis de me calmer car je ne suis peut-être pas du goût de Patricia.
J’essaie de rester naturelle tout en discutant et je dois faire un effort pour ne pas lui sauter dessus.
Le café terminé, cela me donne le prétexte de débarrasser et de retourner dans la cuisine me calmer à nouveau.
Quand je retrouve Patricia au salon, je regarde ses superbes jambes qui sont grandes ouvertes à mon regard et je remarque une petite auréole sur son string rouge.
Je sens également le regard de Patricia se poser souvent sur moi et elle remarque que mes yeux sont posés sur son intimité, et en me souriant elle me fait un clin d’œil.
Je pose ma main sur sa cuisse, douce et chaude et comme elle n’a pas de mouvement de recul, je commence à caresser lentement sa peau d’ébène. Patricia écarte encore plus les cuisses en signe d’acceptation et ferme les yeux en appuyant sa nuque sur le dossier du canapé.
Ma main glisse sur sa jambe, du genou à la naissance de son sexe, tandis que je sens mon sexe se liquéfier. J’admire ses jambes fuselées et la douceur de sa peau. Je m’enhardis en glissant ma main sur son ventre puis remonte sous son haut blanc pour atteindre ses petits seins fermes.
Patricia, comme moi, ne porte pas de soutien-gorge, ce qui me facilite le passage. Je masse ses seins et en pince les bouts, ce qui la fait soupirer. Je suis excitée, ma deuxième main rejoint la première sous son haut pour jouer et pincer ses tétons. Sa respiration s’accélère, elle écarte les cuisses et se cambre pour plaquer ses seins sur mes mains. Son excitation est palpable et son string est maintenant auréolé d’une large tâche.
Soudain Patricia remonte son haut et le jette à terre, emportée par le désir qui la gagne, mes mains peuvent maintenant parcourir sa poitrine en toute liberté, son odeur m’enivre. J’avance mes lèvres, je suce sa poitrine et en mordille les pointes, Patricia pousse un râle de plaisir et son bassin ondule. Je me redresse et sa bouche prend contact avec la mienne, je sens sa langue forcer mes lèvres et s’enrouler avec la mienne pour un long baiser fougueux, animal et tendre à la fois.
Je lui prends la main, l’invitant à me suivre dans la chambre. Je retire mon chemisier, me place derrière elle et plaque mes seins dans son dos. La chaleur de son corps se communique à ma poitrine dont les pointes se dressent. Mes mains caressent sa poitrine, descendent sur son ventre plat et glisse sous l’élastique de son string, qui bientôt jonche le sol.
En l’invitant à s’allonger, je fais voler ma jupe et mon string. Je viens me coucher sur elle, nos seins entrent en contact et nos bouches ne font qu’une. Ma bouche glisse sur son cou, ses seins, son ventre et son pubis, pendant que mes narines s’enivrent de son odeur acidulée. Je l’entends soupirer et ma progression lui fait ouvrir les cuisses. Je respire l’odeur légèrement poivrée de son sexe et écarte ses grandes lèvres noires avec mes mains pour faire apparaître son sexe rose. Je regarde un moment ce contraste de couleur très excitant qui fait monter d’un cran mon désir. Le corps de Patricia est superbe, des gouttes de sueur perlent entre ses petits seins et sur ses tempes. Ce passage à l’acte me semble tout à coup naturel.
Ma bouche prend alors possession de son intimité, je suce et aspire son jus et me délecte de ce sirop féminin. Je glisse deux doigts dans son puits de plaisir pendant que ma langue joue avec son clitoris qui grossit et durcit. Maintenant mes doigts la branlent sans ménagement. Patricia râle, soupire et crie. Sentant son orgasme proche, mes mains glissent sur sa poitrine et pincent le bout de ses seins. Patricia se raidit, son bassin ondule, ses muscles se tétanisent et un hurlement de plaisir sort de sa bouche. Elle jouit en appuyant ma tête sur son sexe et une vague de cyprine coule sur mes doigts.
La jouissance la rend encore plus belle et désirable. Je la laisse récupérer, et nous restons blotties un long moment et puis c’est elle qui se met à me caresser et m’embrasser longuement sur tout le corps. Je profite pleinement de cet instant délicieux. Mes cuisses s’écartent, mon sexe brûle de désir et je sens ma cyprine couler dans la raie de mes fesses. Sa bouche prend possession de mon sexe, aspire mon clitoris et boit mon jus abondant. Ses doigts glissent dans ma fente, je sens mon sexe fouillé et dilaté, une boule de feu me traverse le ventre pour remonter vers ma poitrine dont je pince les bouts. Patricia glisse habilement un doigt lubrifié par ma cyprine dans mon petit anneau en accélérant le rythme dans mon vagin, tout en mordillant mon clitoris.
C’est divin, un orgasme foudroyant me tétanise, mon corps se tend, ma bouche hurle mon plaisir et un voile rouge masque ma vue. Je perds connaissance quelques secondes.
Quand je reprends mes esprits, Patricia me caresse tendrement et me sourit. Des effluves de parfum et de sexe flottent dans la chambre. Nous nous embrassons tendrement en nous caressant amoureusement. Le temps semble s’être arrêté dans une délicieuse réalité.
J’aime la peau noire de Patricia, son sourire, son odeur, le goût de son sexe, cette première rencontre avec Patricia m’a bouleversée, même si je n’ai appris grand-chose, j’ai pris goût aux plaisirs saphiques.
Patricia m’a quitté peu de temps après, et je me suis endormie en pensant à Patricia et à notre après-midi d’amour. Je respire son odeur dont mes draps sont imprégnés et m’endors en rêvant à elle…
A suivre…
Suite à mon aventure avec Lucie, et le trio avec Alyssa, la copine black de Lucie, et l’aventure avec la métisse du magasin de lingerie, j’ai fait pendant un temps une période saphique, non pas que je sois déçue des hommes, mais juste parce que j’avais envie de relations saphiques.
Pour cela je me branchais sur internet dans l’espoir de rencontrer une fille ou de préférence une femme prête à avoir une relation avec une jeune fille comme moi. J’espérais rencontrer une femme qui puisse me donner du plaisir tout en m’apprenant, pourquoi pas, un peu plus sur les relations entre femmes...
J’avais publié sur un site de rencontre l’annonce suivante :
« Jeune fille, fraîche et innocente dans les relations lesbiennes, recherche complicité avec une femme expérimentée pour approfondir ses connaissances dans le domaine. »
Je l’avais publié sans grand espoir de réponse, me disant que pour beaucoup les clubs lesbiens étaient l’endroit idéal pour faire une rencontre et qu’une jeune fille n’avait pas beaucoup de chance d’intéresser une femme, ayant certainement autre chose à faire qu’à parfaire l’éducation d’une jeune débutante.
Mais chaque soir, en rentrant du travail, je regardais ma messagerie. Évidemment des hommes me faisaient des propositions en grand nombre, ainsi que des couples dont la femme était, soi-disant, bisexuelle, mais hélas très peu de femmes seules. Je les éliminais, soit pour leur physique, leur âge trop avancé ou parce que peu disponibles et certainement mariées.
Je recevais aussi beaucoup de propositions de dominatrices, mais même si cela pourrait peut-être m’amuser, ce n’était pas ma recherche du moment, je recherchais simplement une jeune femme célibataire et libre pour nous donner du plaisir ensemble et apprendre un peu de cette relation.
Ainsi passèrent plusieurs jours et je commençais sérieusement à désespérer, mais un jour en rentrant à la maison, j’avais le message suivant :
« Je suis une femme de vingt-sept ans, lesbienne uniquement et expérimentée, ta recherche m’intéresse, espère que tu aies le courage de me répondre et pouvoir répondre à ton attente. Je me prénomme Patricia, un mètre soixante-cinq pour cinquante et un kilos, mince, douce et très disponible. Je suis connectée tous les soirs à vingt-deux heures sur MSN, voilà mon adresse. »
Le soir même, après le repas, une bonne douche réparatrice, il est vingt-deux heures moins dix quand j’allume l’ordi. Je rentre l’adresse de Patricia mais, hélas, elle n’est pas connectée. J’en profite donc pour regarder si j’ai des messages et il est presque vingt-deux heure trente quand elle se connecte enfin…
J’ai le cœur qui s’accélère car je ne sais comment aborder la discussion.
- Bonjour, c’est Patricia.
- Bonjour, moi c’est Laure.
- Mille excuses pour ce retard, j’ai eu un petit problème d’informatique…
La conversation s’engage et nous parlons de tout sans vraiment nous décider à aborder le sujet réel de notre éventuelle rencontre future. Je prends les choses en mains en lui demandant si elle vit seule. Elle me répond affirmativement et me renvoie la question. J’aimerais bien une photo d’elle, ce qu’elle refuse, mais elle me propose de la découvrir en chair et en os demain samedi, si je suis disponible. Je lui donne donc rendez-vous chez moi pour quatorze heures et elle accepte. Nous continuons à discuter et il est une heure du matin quand nous nous souhaitons bonne nuit.
Cette matinée me semble interminable, il est midi quand je me glisse sous la douche. En m’essuyant, je me regarde dans le miroir et je contemple une jeune femme, blonde aux cheveux longs, pas mal foutue et pouvant attirer les regards. Mes seins pas trop volumineux aux larges aréoles halées et mes tétons bien dessinés, me donnent confiance, mon ventre plat, mon sexe lisse surplombant mes jambes fuselées, confirment cette confiance.
Ma peau cuivrée achève la beauté de mon corps, et il est temps de me préoccuper de ma tenue vestimentaire.
Une jupe noire avec un string noir et pour le haut un chemisier blanc sans soutien-gorge. Un maquillage léger, une goutte de parfum et me voilà prête.
Il est deux heures moins le quart quand la sonnette retentit, je me lève comme un ressort et me dirige vers la porte, très angoissée. Ma surprise est de taille quand je découvre une jeune africaine, fine avec un sourire radieux s’excusant d’être un peu en avance. Je la fais entrer, puis s’asseoir sur le canapé en lui proposant un café.
Je me dirige vers la cuisine pour préparer notre café et reprendre un peu mon calme, tellement surprise de me retrouver avec une black, décidément c’est une série…
Je reviens avec mes deux tasses, que je pose sur la table basse, et viens m’asseoir à côté de Patricia. Ses belles jambes d’ébène sortent d’une jupe blanche et sa poitrine est moulée dans un haut blanc dont les deux boutons ouverts laissent deviner la naissance. Nous sommes l’une et l’autre intimidées, mais c’est elle qui parle la première pour me demander si je ne suis pas surprise par la couleur de sa peau.
Surprise, oui je le suis, mais pas déçue par son physique. Ma réponse la rassure visiblement et elle se met à rire, laissant apparaître ses belles dents blanches qui contrastent avec la couleur de sa peau. Son parfum acidulé et sa beauté ont mis mes sens en éveil.
Une chaleur envahit mes seins et mon ventre et je sens mon sexe couler de désir, je me dis de me calmer car je ne suis peut-être pas du goût de Patricia.
J’essaie de rester naturelle tout en discutant et je dois faire un effort pour ne pas lui sauter dessus.
Le café terminé, cela me donne le prétexte de débarrasser et de retourner dans la cuisine me calmer à nouveau.
Quand je retrouve Patricia au salon, je regarde ses superbes jambes qui sont grandes ouvertes à mon regard et je remarque une petite auréole sur son string rouge.
Je sens également le regard de Patricia se poser souvent sur moi et elle remarque que mes yeux sont posés sur son intimité, et en me souriant elle me fait un clin d’œil.
Je pose ma main sur sa cuisse, douce et chaude et comme elle n’a pas de mouvement de recul, je commence à caresser lentement sa peau d’ébène. Patricia écarte encore plus les cuisses en signe d’acceptation et ferme les yeux en appuyant sa nuque sur le dossier du canapé.
Ma main glisse sur sa jambe, du genou à la naissance de son sexe, tandis que je sens mon sexe se liquéfier. J’admire ses jambes fuselées et la douceur de sa peau. Je m’enhardis en glissant ma main sur son ventre puis remonte sous son haut blanc pour atteindre ses petits seins fermes.
Patricia, comme moi, ne porte pas de soutien-gorge, ce qui me facilite le passage. Je masse ses seins et en pince les bouts, ce qui la fait soupirer. Je suis excitée, ma deuxième main rejoint la première sous son haut pour jouer et pincer ses tétons. Sa respiration s’accélère, elle écarte les cuisses et se cambre pour plaquer ses seins sur mes mains. Son excitation est palpable et son string est maintenant auréolé d’une large tâche.
Soudain Patricia remonte son haut et le jette à terre, emportée par le désir qui la gagne, mes mains peuvent maintenant parcourir sa poitrine en toute liberté, son odeur m’enivre. J’avance mes lèvres, je suce sa poitrine et en mordille les pointes, Patricia pousse un râle de plaisir et son bassin ondule. Je me redresse et sa bouche prend contact avec la mienne, je sens sa langue forcer mes lèvres et s’enrouler avec la mienne pour un long baiser fougueux, animal et tendre à la fois.
Je lui prends la main, l’invitant à me suivre dans la chambre. Je retire mon chemisier, me place derrière elle et plaque mes seins dans son dos. La chaleur de son corps se communique à ma poitrine dont les pointes se dressent. Mes mains caressent sa poitrine, descendent sur son ventre plat et glisse sous l’élastique de son string, qui bientôt jonche le sol.
En l’invitant à s’allonger, je fais voler ma jupe et mon string. Je viens me coucher sur elle, nos seins entrent en contact et nos bouches ne font qu’une. Ma bouche glisse sur son cou, ses seins, son ventre et son pubis, pendant que mes narines s’enivrent de son odeur acidulée. Je l’entends soupirer et ma progression lui fait ouvrir les cuisses. Je respire l’odeur légèrement poivrée de son sexe et écarte ses grandes lèvres noires avec mes mains pour faire apparaître son sexe rose. Je regarde un moment ce contraste de couleur très excitant qui fait monter d’un cran mon désir. Le corps de Patricia est superbe, des gouttes de sueur perlent entre ses petits seins et sur ses tempes. Ce passage à l’acte me semble tout à coup naturel.
Ma bouche prend alors possession de son intimité, je suce et aspire son jus et me délecte de ce sirop féminin. Je glisse deux doigts dans son puits de plaisir pendant que ma langue joue avec son clitoris qui grossit et durcit. Maintenant mes doigts la branlent sans ménagement. Patricia râle, soupire et crie. Sentant son orgasme proche, mes mains glissent sur sa poitrine et pincent le bout de ses seins. Patricia se raidit, son bassin ondule, ses muscles se tétanisent et un hurlement de plaisir sort de sa bouche. Elle jouit en appuyant ma tête sur son sexe et une vague de cyprine coule sur mes doigts.
La jouissance la rend encore plus belle et désirable. Je la laisse récupérer, et nous restons blotties un long moment et puis c’est elle qui se met à me caresser et m’embrasser longuement sur tout le corps. Je profite pleinement de cet instant délicieux. Mes cuisses s’écartent, mon sexe brûle de désir et je sens ma cyprine couler dans la raie de mes fesses. Sa bouche prend possession de mon sexe, aspire mon clitoris et boit mon jus abondant. Ses doigts glissent dans ma fente, je sens mon sexe fouillé et dilaté, une boule de feu me traverse le ventre pour remonter vers ma poitrine dont je pince les bouts. Patricia glisse habilement un doigt lubrifié par ma cyprine dans mon petit anneau en accélérant le rythme dans mon vagin, tout en mordillant mon clitoris.
C’est divin, un orgasme foudroyant me tétanise, mon corps se tend, ma bouche hurle mon plaisir et un voile rouge masque ma vue. Je perds connaissance quelques secondes.
Quand je reprends mes esprits, Patricia me caresse tendrement et me sourit. Des effluves de parfum et de sexe flottent dans la chambre. Nous nous embrassons tendrement en nous caressant amoureusement. Le temps semble s’être arrêté dans une délicieuse réalité.
J’aime la peau noire de Patricia, son sourire, son odeur, le goût de son sexe, cette première rencontre avec Patricia m’a bouleversée, même si je n’ai appris grand-chose, j’ai pris goût aux plaisirs saphiques.
Patricia m’a quitté peu de temps après, et je me suis endormie en pensant à Patricia et à notre après-midi d’amour. Je respire son odeur dont mes draps sont imprégnés et m’endors en rêvant à elle…
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Ça me rappelle inévitablement le formidable week-end avec Passy et Leslie. Bises. Benoît fidèle