Leslie LA78
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA78
Leslie LA78 - Laure, le journal intime - Période saphique, Lesbiennes & Co, suite
Ah, que c’est bon de se donner du plaisir en les regardant.
Karl continue de labourer Sophie. Il va et vient en elle, tandis que Sophie d’une main lui masse les couilles.
Je suis toujours en train de les observer mais je ne veux pas me joindre à eux, enfin pas pour le moment, alors je me branle doucement les yeux rivés à cette grandiose poitrine et sur la fabuleuse queue de Karl, ne désespérant pas me la prendre à mon tour tout à l’heure.
- Je vais jouir, dit Sophie. Lâches-toi, remplies-moi de toute ta jouissance.
- Non, je vais t’enculer d’abord !
Karl après s’être détaché de Sophie, la retourne et elle s’accroupit en levrette sur le lit, j’ai le temps de voir le membre de Karl, brillant des sécrétions de Sophie et je frémis en pensant qu’elle va se prendre ce monstre dans le cul.
Karl place le gland sur la rosette de Sophie et pousse doucement pour l’introduire en elle, Sophie se cambre et hurle en disant :
- La vache, elle est grosse !
Mais Karl arrive à lui forcer le fondement et s’introduit bien profond, le ressort et recommence. Il pistonne Sophie qui feule en disant :
- Ohhh, c’est bon, continue comme ça…
- T’es serrée comme une vierge, lui dit Karl, ça doit faire longtemps que t’as pas été prise par-là !
Il ferme les yeux, bouge de plus en plus vite le bassin, pour s’enfoncer dans les entrailles de Sophie, rentrant le plus profondément possible dans le cul de Sophie.
- Je viens, encore, je viens, j’explose ! Dit Sophie.
Et elle retombe sur le lit en hurlant de jouissance…
C’est à mon tour d’arriver à la jouissance, je referme la porte et je rejoins rapidement mon lit, pour m’allonger en sueur…
Peu de temps plus tard, on frappe à la porte communicante, je me lève et vais ouvrir, trouvant devant moi, Sophie nue et le regard hagard, qui me dit :
- Je n’arrive pas à trouver le sommeil, tu voudrais bien me tenir compagnie ?
Pour bien lui faire savoir que je ne suis pas dupe et qu’il ne faut pas me prendre pour une conne, je lui dis :
- Après les gueulements que tu as poussés quand Karl t’as baisé et enculé, tu viens me chercher pour que la petite salope de Laure y passe elle aussi. Si c’est Karl qui te le demande, dis-lui qu’il n’a qu’à avoir le courage de venir me le demander je suis disposée à me faire mettre par ce mec !
Elle me regarde en me dévisageant, le rouge aux joues, elle semble un peu hébétée, son mascara a légèrement coulé, ses lèvres sont un peu gonflées et son regard est lourd.
- Une pulsion, me dit-elle, il y a si longtemps… J’espère que tu ne m’en veux pas, mais je n’ai pas pu résister.
- Tu sais Sophie, lui dis-je, j’aime autant les femmes que les hommes et j’ai tendance à oublier que tout le monde n’est pas comme moi…
Sophie m’interrompt en posant sa main sur son bras.
- Tu m’as troublé tout à l’heure et je n’ai jamais eu de relations avec une femme, mais avec toi…
- Tu veux m’offrir à ton amant pendant que je te gouinerais ?
- Ça me ferait plaisir et ce serait nouveau pour moi !
- T’as réfléchi ? Alors attends-moi, j’arrive…
Je suis allé fouiller dans mon sac de voyage pour y prendre mon gode ceinture, en me voyant revenir, souriante, avec l’engin dans les mains, elle m’a dit :
- T’es vraiment une petite cochonne, viens m’embrasser.
- Et Karl ? Tu n’as pas peur qu’il nous observe ?
- Je m’en fiche et puis il sait pour toi et ça lui plait. Viens me donner ta bouche.
Je la prends maintenant dans les bras et ne ressens aucune résistance. Sophie appuie ses lèvres sur les miennes jusqu’à ce que je les entrouvre. Elle en profite pour glisser sa langue qui vient caresser très doucement la mienne. Nos langues tournoient, nos salives s’échangent, nos poitrines se touchent, je me frotte à elle jusqu’à la sentir frémissante et nos baisers se font de plus en plus profonds…
- Ne restez pas ainsi, venez me rejoindre !
Karl est devant nous, nu, le sexe dressé, le sourire aux lèvres, prêt à nous honorer, mais une idée à germée dans ma tête, il va regretter de m’avoir traité de petite pute de gouine et de salope, il va se souvenir de cette salope de Laure et n’en fera pas état dans la société vendredi à son retour, avec ses potes…
Je rentre lentement dans la chambre de Sophie, nue, après avoir dissimulé le gode sous un oreiller, je m’approche de Karl qui me regarde étonné que j’accepte de me faire baiser par lui.
- Alors, lui demandai-je, elle te plait la femme aux gros seins ?
Il ne dit rein, gêné par ma question et par la présence de Sophie. Mais je sens qu’il s’échauffe en regardant mon corps et de ce qu’il va faire avec, en plus, baiser une gouine, en présence d’une autre femme, le top pour un mec.
- Mais tu veux me baiser, baiser la petite gouine de la société ?
Je me colle à lui et il commence par me caresser doucement tandis que je me laisse aller dans ses bras. Sa queue gonfle et sa main s’active sur mes fesses, Sophie dans mon dos s’occupe de ma poitrine.
- Viens me sucer… Suces-moi, j’ai la queue toute raide, me dit-il, touches-la. Peut-être que tu n’as pas l’habitude ?
- T’inquiètes, j’en ai vu d’autres et je vais te surprendre ! Lui répondis-je.
- Touches-moi, t’as vu comme je suis tout dur…
Karl parle comme à lui seul, son ego l’aveugle et c’est bon pour mon projet, ne pas le laisser se douter de quoi que ce soit et se faire lascive, tendre et câline pour lui, l’emmener au bord du plaisir avant que…
Je m’accroupis et prends le membre de Karl dans ma bouche, puis après lui avoir bien fait sentir la douceur et la chaleur de ma bouche, ma langue rampe le long de la hampe de son sexe, puis ma langue tourne avec frénésie autour du gland, Karl se cambre en disant :
- Waouh ! Tu suces comme une pro, comme si tu avais fait ça depuis que t’es toute petite.
Et pendant que je m’applique à le rendre fou, il continue de parler en disant :
Sophie, elle aime le cul comme une furie, je l’ai prise tout à l’heure recto et verso, et elle a aimé, elle était déchaînée. Elle aime la bite, ça se sent…
Il est en plein délire et je crois que Sophie vient de comprendre ce que je veux faire, alors elle ne dit rein, jouant le jeu et se laissant doigter par Karl.
- Viens-me donner ta chatte maintenant. J’ai envie de te sucer un peu et puis je vais te la foutre bien au fond, dit Karl.
Je vais vers le lit, après avoir demandé à Sophie de sortir ses foulards et m’allonge sur le dos, les cuisses grandes ouvertes.
- Tu vas voir, dit Karl en fanfaronnant, la bouche d’un mec c’est bien meilleur que celui d’une femme.
Karl se penche vers moi et met son visage entre mes cuisses, il remarque que je n’ai pu me retenir et que ma chatte est trempée, alors il me dit :
- T’es qu’une petite jouisseuse, t’es toute trempée !
Il me lèche un moment, faisant naitre en moi des frissons de plaisir, et me dit :
- Allez, maintenant viens sur moi, empales-toi sur mon pieu.
Je vais réaliser mon envie de membre avant le nouveau dans ma tête, alors je lui dis:
- A la seule condition, c’est que tu le laisses attacher au lit !
- Si ce n’est que ça, vous pouvez y aller, nous dit-il sûr de lui.
En moins d’une minute, il se retrouve les poignets solidement entravés au lit, si bien qu’il ne peut plus bouger les mains, il est là sur le dos, le sexe dressé vers le plafond, attendant que je le chevauche.
L’enjambant, je m’empale sur son sexe et ressens enfin la délivrance tant espérée, j’ai un vrai sexe en moi et je ronronne de plaisir :
- Ça te plait, dit Karl, histoire d’en rajouter un peu.
A présent, je monte et descends lentement sur ce pieu de chair, à mon rythme prenant le maximum de temps et de plaisir, je me l’enfonce bien profond en moi et j’aime le sentir dans mon ventre.
Puis en regardant Sophie, je lui dis :
- Suces-moi le bout des seins, pince-les, après tu m’offriras ta chatte à ma bouche.
Sophie s’exécute, faisant monter d’un cran le plaisir en moi, je continue de me baiser sur Karl qui commence à haleter. Il me tend ses lèvres, mais je l’ignore, seul mon plaisir compte avant l’apothéose finale.
En silence je me laisse envahir par la jouissance afin de ne pas déclencher celle de Karl, puis heureuse de m’être satisfaite, je me relève et sort la queue de Karl de ma chatte, il pense que je vais lui offrir mon petit trou, alors sûr de lui une nouvelle fois, il dit :
- Ohhh, oui, donnes-moi ce petit trou et laisses-moi jouir au fond !
Mais, je le laisse ainsi, me relevant et prenant Sophie dans mes bras, je lui colle mes lèvres sur les siennes pour un baiser torride, puis lui dit :
- Aimons-nous un peu !
Sophie se laisse guider, ce sont des caresses, puis un soixante-neuf, puis une fois harnachée du gode ceinture, je baise Sophie sous les yeux de Karl. Sophie jouit, puis doucement dans l’oreille, je lui dis :
- On va enculer ce gros salopard, pour lui faire rabattre un peu son caquet.
Sophie parait heureuse du projet et me dit qu’elle est d’accord.
Alors je me suis placée entre les jambes de Karl, que Sophie a relevé pour me laisser accéder à l’anus de Karl.
Comprenant ce qui allait lui arriver, Karl a tenté de resserrer les jambes, en disant :
- Non, non pas ça, vous êtes vraiment timbrées.
- Ah oui, dis-je, toi tu encules les femmes, et t’es pas timbré, et tout à l’heure tu m’as traité de petite pute de gouine et de salope, et bien la salope elle va t’enculer avec son gode et ensuite ce sera la tour de Sophie de t’enculer, ainsi tu connaîtras ce que ça nous fait et tu pourras en parler avec tes potes.
- Tarées, vous n’êtes que deux tarées !
J’ai placé le gland du gode sur la rosette de Karl, elle était serrée et il devait en rajouter pour éviter la pénétration, mais j’avais la ferme intention de lui fourrer le gode entier au fond de son cul.
Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai poussé, il a grimacé de douleur, n’ayant même pas pris la peine de lubrifier le gode, il devait le sentir, se faire prendre à sec pour une première fois, ce n’est pas l’idéal.
A force de persévérance, le gland est entré, le faisant hurler, puis lentement je lui ai rentré le gode en entier, je l’ai enculé pendant de longues minutes, le faisant hurler et jurer à, la fois, j’ai même cru voir perler des larmes aux coins de ses yeux.
- Alors petit enculé, ça te plait de te faire défoncer le trou du cul par une petite pute de gouine, lui dis-je.
Le souffle court et manquant d’air, honteux aussi peut-être, il ne m’a pas répondu.
Alors j’ai laissé la place à Sophie, qui pour une première dans cet exercice s’en tira fort bien, prenant même un malin plaisir à enculer son enculeur
Nous l’avons laissé ainsi, l’anus entrouvert, pour nous aimer plus longuement, prenant du plaisir ensemble et nous laissant mater par Karl. Nous avons utilisées le gode sur nous et Sophie a adoré.
Puis nous sommes allées dormir dans ma chambre, laissant Karl entravé sur le lit, u gode fiché dans son cul.
Le lendemain, jeudi matin, il était toujours là, sur le lit de la chambre de Sophie, entravé au lit et le gode dans son cul. D’une voix implorante il nous a demandé :
- Détachez-moi, ça suffit maintenant !
Après avoir embrassé Sophie à pleine bouche, je lui ai dit :
- La femme de ménage s’en chargera et tu lui expliqueras par quel mystère tu t’es retrouvé attaché au lit et t’es fait sauvagement enculé par deux furies et laissé ainsi le cul godé.
Avec Sophie nous nous sommes préparées, entendant les supplications et les jurons de Karl, un petit déjeuner vite avalé, la signature du contrat et retour à Paris, heureuses et comblées, imaginant la situation dans laquelle Karl était.
Le vendredi matin, de retour au bureau, Karl n’était pas là, Sophie avait terminé sa mission, alors j’ai été demandé ma mutation dans une autre agence.
Le lundi suivant j’allais démarrer dans de nouveaux locaux et avec une nouvelle équipe…
J’ai quitté le bureau à midi, une nouvelle vie professionnelle allait commencer pour moi, mais avant, il y a eu la soirée du jeudi soir, avec Sophie, et le week-end, avec
Zahra et Layla…
A suivre…
Ah, que c’est bon de se donner du plaisir en les regardant.
Karl continue de labourer Sophie. Il va et vient en elle, tandis que Sophie d’une main lui masse les couilles.
Je suis toujours en train de les observer mais je ne veux pas me joindre à eux, enfin pas pour le moment, alors je me branle doucement les yeux rivés à cette grandiose poitrine et sur la fabuleuse queue de Karl, ne désespérant pas me la prendre à mon tour tout à l’heure.
- Je vais jouir, dit Sophie. Lâches-toi, remplies-moi de toute ta jouissance.
- Non, je vais t’enculer d’abord !
Karl après s’être détaché de Sophie, la retourne et elle s’accroupit en levrette sur le lit, j’ai le temps de voir le membre de Karl, brillant des sécrétions de Sophie et je frémis en pensant qu’elle va se prendre ce monstre dans le cul.
Karl place le gland sur la rosette de Sophie et pousse doucement pour l’introduire en elle, Sophie se cambre et hurle en disant :
- La vache, elle est grosse !
Mais Karl arrive à lui forcer le fondement et s’introduit bien profond, le ressort et recommence. Il pistonne Sophie qui feule en disant :
- Ohhh, c’est bon, continue comme ça…
- T’es serrée comme une vierge, lui dit Karl, ça doit faire longtemps que t’as pas été prise par-là !
Il ferme les yeux, bouge de plus en plus vite le bassin, pour s’enfoncer dans les entrailles de Sophie, rentrant le plus profondément possible dans le cul de Sophie.
- Je viens, encore, je viens, j’explose ! Dit Sophie.
Et elle retombe sur le lit en hurlant de jouissance…
C’est à mon tour d’arriver à la jouissance, je referme la porte et je rejoins rapidement mon lit, pour m’allonger en sueur…
Peu de temps plus tard, on frappe à la porte communicante, je me lève et vais ouvrir, trouvant devant moi, Sophie nue et le regard hagard, qui me dit :
- Je n’arrive pas à trouver le sommeil, tu voudrais bien me tenir compagnie ?
Pour bien lui faire savoir que je ne suis pas dupe et qu’il ne faut pas me prendre pour une conne, je lui dis :
- Après les gueulements que tu as poussés quand Karl t’as baisé et enculé, tu viens me chercher pour que la petite salope de Laure y passe elle aussi. Si c’est Karl qui te le demande, dis-lui qu’il n’a qu’à avoir le courage de venir me le demander je suis disposée à me faire mettre par ce mec !
Elle me regarde en me dévisageant, le rouge aux joues, elle semble un peu hébétée, son mascara a légèrement coulé, ses lèvres sont un peu gonflées et son regard est lourd.
- Une pulsion, me dit-elle, il y a si longtemps… J’espère que tu ne m’en veux pas, mais je n’ai pas pu résister.
- Tu sais Sophie, lui dis-je, j’aime autant les femmes que les hommes et j’ai tendance à oublier que tout le monde n’est pas comme moi…
Sophie m’interrompt en posant sa main sur son bras.
- Tu m’as troublé tout à l’heure et je n’ai jamais eu de relations avec une femme, mais avec toi…
- Tu veux m’offrir à ton amant pendant que je te gouinerais ?
- Ça me ferait plaisir et ce serait nouveau pour moi !
- T’as réfléchi ? Alors attends-moi, j’arrive…
Je suis allé fouiller dans mon sac de voyage pour y prendre mon gode ceinture, en me voyant revenir, souriante, avec l’engin dans les mains, elle m’a dit :
- T’es vraiment une petite cochonne, viens m’embrasser.
- Et Karl ? Tu n’as pas peur qu’il nous observe ?
- Je m’en fiche et puis il sait pour toi et ça lui plait. Viens me donner ta bouche.
Je la prends maintenant dans les bras et ne ressens aucune résistance. Sophie appuie ses lèvres sur les miennes jusqu’à ce que je les entrouvre. Elle en profite pour glisser sa langue qui vient caresser très doucement la mienne. Nos langues tournoient, nos salives s’échangent, nos poitrines se touchent, je me frotte à elle jusqu’à la sentir frémissante et nos baisers se font de plus en plus profonds…
- Ne restez pas ainsi, venez me rejoindre !
Karl est devant nous, nu, le sexe dressé, le sourire aux lèvres, prêt à nous honorer, mais une idée à germée dans ma tête, il va regretter de m’avoir traité de petite pute de gouine et de salope, il va se souvenir de cette salope de Laure et n’en fera pas état dans la société vendredi à son retour, avec ses potes…
Je rentre lentement dans la chambre de Sophie, nue, après avoir dissimulé le gode sous un oreiller, je m’approche de Karl qui me regarde étonné que j’accepte de me faire baiser par lui.
- Alors, lui demandai-je, elle te plait la femme aux gros seins ?
Il ne dit rein, gêné par ma question et par la présence de Sophie. Mais je sens qu’il s’échauffe en regardant mon corps et de ce qu’il va faire avec, en plus, baiser une gouine, en présence d’une autre femme, le top pour un mec.
- Mais tu veux me baiser, baiser la petite gouine de la société ?
Je me colle à lui et il commence par me caresser doucement tandis que je me laisse aller dans ses bras. Sa queue gonfle et sa main s’active sur mes fesses, Sophie dans mon dos s’occupe de ma poitrine.
- Viens me sucer… Suces-moi, j’ai la queue toute raide, me dit-il, touches-la. Peut-être que tu n’as pas l’habitude ?
- T’inquiètes, j’en ai vu d’autres et je vais te surprendre ! Lui répondis-je.
- Touches-moi, t’as vu comme je suis tout dur…
Karl parle comme à lui seul, son ego l’aveugle et c’est bon pour mon projet, ne pas le laisser se douter de quoi que ce soit et se faire lascive, tendre et câline pour lui, l’emmener au bord du plaisir avant que…
Je m’accroupis et prends le membre de Karl dans ma bouche, puis après lui avoir bien fait sentir la douceur et la chaleur de ma bouche, ma langue rampe le long de la hampe de son sexe, puis ma langue tourne avec frénésie autour du gland, Karl se cambre en disant :
- Waouh ! Tu suces comme une pro, comme si tu avais fait ça depuis que t’es toute petite.
Et pendant que je m’applique à le rendre fou, il continue de parler en disant :
Sophie, elle aime le cul comme une furie, je l’ai prise tout à l’heure recto et verso, et elle a aimé, elle était déchaînée. Elle aime la bite, ça se sent…
Il est en plein délire et je crois que Sophie vient de comprendre ce que je veux faire, alors elle ne dit rein, jouant le jeu et se laissant doigter par Karl.
- Viens-me donner ta chatte maintenant. J’ai envie de te sucer un peu et puis je vais te la foutre bien au fond, dit Karl.
Je vais vers le lit, après avoir demandé à Sophie de sortir ses foulards et m’allonge sur le dos, les cuisses grandes ouvertes.
- Tu vas voir, dit Karl en fanfaronnant, la bouche d’un mec c’est bien meilleur que celui d’une femme.
Karl se penche vers moi et met son visage entre mes cuisses, il remarque que je n’ai pu me retenir et que ma chatte est trempée, alors il me dit :
- T’es qu’une petite jouisseuse, t’es toute trempée !
Il me lèche un moment, faisant naitre en moi des frissons de plaisir, et me dit :
- Allez, maintenant viens sur moi, empales-toi sur mon pieu.
Je vais réaliser mon envie de membre avant le nouveau dans ma tête, alors je lui dis:
- A la seule condition, c’est que tu le laisses attacher au lit !
- Si ce n’est que ça, vous pouvez y aller, nous dit-il sûr de lui.
En moins d’une minute, il se retrouve les poignets solidement entravés au lit, si bien qu’il ne peut plus bouger les mains, il est là sur le dos, le sexe dressé vers le plafond, attendant que je le chevauche.
L’enjambant, je m’empale sur son sexe et ressens enfin la délivrance tant espérée, j’ai un vrai sexe en moi et je ronronne de plaisir :
- Ça te plait, dit Karl, histoire d’en rajouter un peu.
A présent, je monte et descends lentement sur ce pieu de chair, à mon rythme prenant le maximum de temps et de plaisir, je me l’enfonce bien profond en moi et j’aime le sentir dans mon ventre.
Puis en regardant Sophie, je lui dis :
- Suces-moi le bout des seins, pince-les, après tu m’offriras ta chatte à ma bouche.
Sophie s’exécute, faisant monter d’un cran le plaisir en moi, je continue de me baiser sur Karl qui commence à haleter. Il me tend ses lèvres, mais je l’ignore, seul mon plaisir compte avant l’apothéose finale.
En silence je me laisse envahir par la jouissance afin de ne pas déclencher celle de Karl, puis heureuse de m’être satisfaite, je me relève et sort la queue de Karl de ma chatte, il pense que je vais lui offrir mon petit trou, alors sûr de lui une nouvelle fois, il dit :
- Ohhh, oui, donnes-moi ce petit trou et laisses-moi jouir au fond !
Mais, je le laisse ainsi, me relevant et prenant Sophie dans mes bras, je lui colle mes lèvres sur les siennes pour un baiser torride, puis lui dit :
- Aimons-nous un peu !
Sophie se laisse guider, ce sont des caresses, puis un soixante-neuf, puis une fois harnachée du gode ceinture, je baise Sophie sous les yeux de Karl. Sophie jouit, puis doucement dans l’oreille, je lui dis :
- On va enculer ce gros salopard, pour lui faire rabattre un peu son caquet.
Sophie parait heureuse du projet et me dit qu’elle est d’accord.
Alors je me suis placée entre les jambes de Karl, que Sophie a relevé pour me laisser accéder à l’anus de Karl.
Comprenant ce qui allait lui arriver, Karl a tenté de resserrer les jambes, en disant :
- Non, non pas ça, vous êtes vraiment timbrées.
- Ah oui, dis-je, toi tu encules les femmes, et t’es pas timbré, et tout à l’heure tu m’as traité de petite pute de gouine et de salope, et bien la salope elle va t’enculer avec son gode et ensuite ce sera la tour de Sophie de t’enculer, ainsi tu connaîtras ce que ça nous fait et tu pourras en parler avec tes potes.
- Tarées, vous n’êtes que deux tarées !
J’ai placé le gland du gode sur la rosette de Karl, elle était serrée et il devait en rajouter pour éviter la pénétration, mais j’avais la ferme intention de lui fourrer le gode entier au fond de son cul.
Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai poussé, il a grimacé de douleur, n’ayant même pas pris la peine de lubrifier le gode, il devait le sentir, se faire prendre à sec pour une première fois, ce n’est pas l’idéal.
A force de persévérance, le gland est entré, le faisant hurler, puis lentement je lui ai rentré le gode en entier, je l’ai enculé pendant de longues minutes, le faisant hurler et jurer à, la fois, j’ai même cru voir perler des larmes aux coins de ses yeux.
- Alors petit enculé, ça te plait de te faire défoncer le trou du cul par une petite pute de gouine, lui dis-je.
Le souffle court et manquant d’air, honteux aussi peut-être, il ne m’a pas répondu.
Alors j’ai laissé la place à Sophie, qui pour une première dans cet exercice s’en tira fort bien, prenant même un malin plaisir à enculer son enculeur
Nous l’avons laissé ainsi, l’anus entrouvert, pour nous aimer plus longuement, prenant du plaisir ensemble et nous laissant mater par Karl. Nous avons utilisées le gode sur nous et Sophie a adoré.
Puis nous sommes allées dormir dans ma chambre, laissant Karl entravé sur le lit, u gode fiché dans son cul.
Le lendemain, jeudi matin, il était toujours là, sur le lit de la chambre de Sophie, entravé au lit et le gode dans son cul. D’une voix implorante il nous a demandé :
- Détachez-moi, ça suffit maintenant !
Après avoir embrassé Sophie à pleine bouche, je lui ai dit :
- La femme de ménage s’en chargera et tu lui expliqueras par quel mystère tu t’es retrouvé attaché au lit et t’es fait sauvagement enculé par deux furies et laissé ainsi le cul godé.
Avec Sophie nous nous sommes préparées, entendant les supplications et les jurons de Karl, un petit déjeuner vite avalé, la signature du contrat et retour à Paris, heureuses et comblées, imaginant la situation dans laquelle Karl était.
Le vendredi matin, de retour au bureau, Karl n’était pas là, Sophie avait terminé sa mission, alors j’ai été demandé ma mutation dans une autre agence.
Le lundi suivant j’allais démarrer dans de nouveaux locaux et avec une nouvelle équipe…
J’ai quitté le bureau à midi, une nouvelle vie professionnelle allait commencer pour moi, mais avant, il y a eu la soirée du jeudi soir, avec Sophie, et le week-end, avec
Zahra et Layla…
A suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la we chez Layla
Et ben ! On est loin de la Laure des débuts ! Super !