Leslie LA82
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie LA82
Leslie LA82 – Laure, le journal intime – L’inconnue
A cette époque, je trompais mon ennui et soignais ma peur des hommes en traînant sur des réseaux de rencontre. C’est comme cela que j’ai fait connaissance d’Erica. Femme charmante et charmeuse, elle me séduisit par sa franchise.
Rapidement, nous avons pris l’habitude de nous téléphoner assez régulièrement. Je partageais déjà depuis longtemps mes aventures entre les hommes et les femmes, et là, rapidement un trouble de plus en plus envahissant se faisait en moi lors de nos discussions.
Nous avions beaucoup de points en commun, parmi lesquels l’amour du sexe et de la sensualité, et l’amour des femmes.
Très rapidement, les conversations tournaient à la séduction, nous excitant au maximum en projetant ce que nous pourrions faire ensemble, je n’avais plus de secret pour elle, me livrant dans la confidence en lui parlant de tout ce qui me faisait jouir, et elle aussi me parlait de ses désirs.
Si bien que j’attendais ses appels avec impatience, ressentant un manque lorsque ceux-ci s’espaçaient trop. Il faut dire que la coquine savait faire monter la pression !
Connaissant mes fantasmes les plus secrets, elle usait et abusait allègrement de son pouvoir sur moi, et me poussait de plus en plus dans mes retranchements. C’est ainsi que nous en sommes arrivées, un soir où nous discutions dans la chaleur de la nuit, à basculer et faire l’amour par téléphone.
Ça n’était pas calculé, du moins de ma part, cela s’était fait naturellement, au hasard d’un silence lourd de sens et de respirations plus profondes. Elle avait trouvé les mots qui déclencheraient en moi les envies les plus folles.
« Caresses-toi… Sens-tu mes lèvres sur ta peau ?
Je te fais l’amour comme personne ne te l’a jamais fait. »
J’étais en transes, et rapidement, j’ai obtenu des orgasmes aussi fulgurants que générateurs de nouvelles envies.
Après le téléphone, ou plutôt en parallèle, nous en sommes venues à échanger des mails et c’est ainsi que je reçus un jour sa photo qui accompagnait une missive au contenu torride et sans équivoque. Je n’étais pas déçue, et n’avais plus qu’une envie, la rencontrer réellement, mettre en pratique toutes nos folies jusque-là virtuelles, sentir ses bras, sa bouche sur mon corps. Seul problème, nous vivions à plus de cent kilomètres l’une de l’autre, ce qui était loin de faciliter une rencontre spontanée.
Un jour, en rentrant chez moi, je trouvais un message sur mon répondeur téléphonique.
C’était elle, qui m’informait qu’elle devait assez prochainement, assister à un séminaire de travail à Paris. Mon cœur battait à tout rompre en entendant cela, mon esprit imaginait déjà tout ce que cela sous-entendait, et d’avance, je savais que je dirais oui à tout ce qu’elle me proposerait.
Je n’eus pas à attendre très longtemps, le soir même elle m’appelait. Son séminaire aurait lieu à la Sorbonne, tout près de chez moi, et l’occasion de nous voir enfin était trop belle pour que nous ne la saisissions pas. Par contre, je ne m’attendais pas du tout à ses exigences.
« Je t’appellerai juste avant d’arriver chez toi, ta porte ne sera pas fermée et tu seras allongée nue sur ton lit, les yeux bandés et tu prépareras quelque chose, comme des foulards, qui me permettrons de t’attacher. »
La garce… Elle n’avait pas oublié ce que j’avais pu lui confier ! Oui, j’avais ce fantasme-là qui m’excitait prodigieusement, mais de là à franchir le cap et le réaliser…
En même temps, j’avais faim d’elle et de sexe, de ses mains sur moi, de sa bouche sur ma peau. Soyons folle pour une fois, me suis-je dit. J’acceptais toutes ses volontés, y compris vestimentaires, non sans une pointe d’appréhension. Après tout, je ne la connaissais pas vraiment, rien ne me garantissait qu’elle fût équilibrée et n’allait pas abuser de son pouvoir. Cette peur contribua, durant la période d’attente, à faire monter mon excitation. Je ne me reconnaissais plus, j’en étais arrivée à dire oui aux folies proposées par une inconnue !
La veille de notre rencontre programmée, elle m’appela pour savoir si j’avais bien compris ses demandes. « Nue sur ton lit. »
Elle sentit mon envie mêlée d’appréhension, et cela sembla l’amuser énormément. Nous nous sommes quittées sur un « À demain » chargé d’émotion et de promesses.
Le jour de la rencontre était enfin là, et je me levais aux aurores. J’avais passé la nuit à me retourner, fébrile et inquiète. La journée fut longue…
Dans la soirée, après un bon bain, je préparais sur mon lit trois foulards, un pour mes yeux, deux pour mes poignets, puis regagnais le salon, attendant, nue, le cœur battant, la sonnerie du téléphone.
Il était vingt et une heures lorsque celle-ci retentit.
- Je suis là, je te donne cinq minutes pour être prête.
Cette fois nous y étions, plus moyen de reculer.
- Ma porte est ouverte, je t’attends, répondis-je d’une voix émue.
J’enfilais une paire d’escarpins, me rendit dans ma chambre où je me bandais les yeux avant de m’allonger. Mon cœur battait la chamade, je sentais les pulsations sanguines à mes tempes.
Après une attente qui me sembla très longue, j’entendis des bruits sur le palier, je continuais d’attendre sagement, le cœur battant à tout va.
Puis le grincement de la porte d’entrée se fit entendre, suivi de bruits de pas. Le silence rendait encore plus impressionnants ces quelques indices auditifs qui m’arrivaient. Malgré l’inquiétude qui était la mienne, je sentais entre mes cuisses naître une véritable fontaine. Je mouillais comme jamais, et j’en ressentis une certaine honte.
Soudain, je sus qu’elle était là, près de moi. Des effluves d’un parfum parvinrent à mes narines, c’était délicieux. Une main frôla ma jambe, remontant doucement sur le mollet, le genou, la cuisse. J’avais besoin d’entendre sa voix, mais elle s’obstinait à rester muette, L’instant était si magique qu’un rien aurait pu en briser le charme, privée de la vue, tous mes sens étaient désormais en alerte, me rendant réceptive à un point que je n’avais jamais imaginé.
Délicatement, je sentis les foulards venir enserrer mes poignets relevés au-dessus de ma tête. Puis une bouche chaude se posa sur ma cuisse, remontant doucement vers mon pubis.
A cet instant, je ressentis l’émotion d’Erica à ce moment-là, aussi bien que si j’avais pu la voir, me faisant suinter de désir…
Mes seins étaient douloureux à force de se tendre, d’espérer une caresse. Mon corps réclamait des mains inquisitrices, sollicitant des attentions que mon amante ne semblait pas pressée de m’accorder.
Lorsque nos lèvres se joignirent enfin, je devins folle. Folle d’un désir qui ne demandait qu’à exploser, folle de l’envie de pouvoir toucher moi aussi, ce corps tant convoité mais qu’il m’était même interdit de contempler.
La douceur de la langue qui me fouillait la bouche me fit complètement chavirer, m’extorquant des gémissements voluptueux.
« Fais de moi ce que tu veux. » Me dis-je, éperdue de désir.
Erica dégustait mes seins, en aspirant les tétons érigés, les mordillant, les étirant.
Sa main courait sur mon ventre frémissant, exigeant le plus violemment possible d’être pris, possédé, violé même.
J’étais devenue, un animal affamé qui réclamait son dû, ruant et gémissant que l’on assouvisse son besoin primaire.
À ce moment, elle devait être tout près de moi, quand elle m’embrassa à nouveau et j’ai senti ses cheveux caresser mon corps, le faisant frémir quelque-peu.
Elle partit à la découverte de mon corps, léchant mon ventre plat, perdant sa langue dans son nombril, mordillant mes flancs délicieusement offerts. J’aimais l’odeur animale qui se dégageait d’elle, derrière son parfum.
Elle m’électrisait totalement, accroissant encore mon désir d’être possédée.
Lorsqu’elle s’allongea sur moi, j’ai sentis la toison taillée court de son pubis sur le mien et elle me fit jouir une première fois en se frottant contre moi, pubis contre pubis…
Brusquement elle me retourna, elle avait envie de contempler mon cul, mais bientôt, ses mains partirent à la découverte de mon intimité, parcourant de ses mains toute les parties basses de mon corps. Caressant, griffant, mordant, mes fesses et mon pubis, dégustant chaque parcelle de ma peau, les replis de mon corps et mes trous intimes que je sentais s’ouvrir au fur et à mesure de ses caresses…
De ses doigts elle me pénétra la chatte, avec un d’abord, puis deux et trois pour finir, je m’ouvrais délicieusement à elle, râlant et criant de bonheur. Elle me labourait, me dilatait avec un plaisir dévorant, contemplant certainement l’effet du traitement infligé sur mon visage. Ma bouche qui laissait échapper des plaintes rauques de plus en plus soutenues, tout ceci devait la ravir.
Elle me fouillait au plus profond de mon corps, caressant le velours chaud et humide de mon intimité. Un autre doigt caressa mon œillet, me faisant sursauter et hurler de bonheur, tandis qu’elle aspirait mon clitoris qui devait pointer comme une petite bite.
- Oui… Encore ! Plus fort, plus loin ! soupirais-je.
Continuant ses caresses internes, elle devait remarquer que mon con continuait de s’ouvrir à elle, indécente béance ne demandant qu’à être comblée. Je perdis alors toute notion de bienséance et de raison et écartais encore plus les cuisses en réclamant :
- Oui, tout, je suis à toi !
Alors, le quatrième doigt vint rejoindre les trois autres dans mon con, puis forçant doucement, son pouce força mon antre afin de rejoindre ses congénères, tout en me caressant voluptueusement d’un doigt de son autre main, mon œillet palpitant.
Je coulais sur sa main et, c’est sans mal qu’elle me rentra sa main entièrement en moi…
J’étais fistée pour la première fois de ma vie, et de plus par une inconnue que je n’avais même pas vu.
À ma grande surprise, sa main fut aspirée jusqu’au poignet par ma fleur intime, elle me possédait comme jamais je n’aurais cru possible d’être possédée par quelqu’un. Mes lèves pulsaient autour d’elle, l’avalant, la suçant, et la dévorant toute entière, tandis que ses doigts continuaient leur danse infernale au fond de mon ventre.
Les yeux révulsés, je criais mon bonheur.
- Ohhh, oui, continue… Plus vite, plus fort !
Je sentis arriver le point de non-retour, juste avant que son poignet ne soit pris dans les mâchoires puissantes de l’étau de mon plaisir. Arc-boutée sur le lit, le corps secoué de spasmes violents, j’ai jouis sur sa main, laissant couler la fontaine de jouvence sur elle.
L’orgasme, cérébral d’abord puis physique, me gagnait à mon tour, me laissant sans forces, mais sa main toujours en moi, nichée dans la chaleur de mon corps alangui.
Après cette folie vint la tendresse, que mon corps rassasié réclamait, caresses tendres et baisers légers, je me détendais heureuse, saoule de l’ivresse d’un bonheur jamais atteint, quand à nouveau la tempête se déchaîna sur mon corps…
Après s’être harnachée d’un gode ceinture, elle me baisa en levrette, pendant un très long moment, me faisant jouir plusieurs fois, puis elle me sodomisa avec la même ardeur…
Elle me laissa ainsi nue, allongée sur le ventre, puis tandis qu’elle me détachait les poignets, j’entendis me dire :
La prochaine fois ce sera à ton tour de me rendre visite.
Le claquement de la porte d’entrée me fit sursauter, elle était partie…
A suivre…
A cette époque, je trompais mon ennui et soignais ma peur des hommes en traînant sur des réseaux de rencontre. C’est comme cela que j’ai fait connaissance d’Erica. Femme charmante et charmeuse, elle me séduisit par sa franchise.
Rapidement, nous avons pris l’habitude de nous téléphoner assez régulièrement. Je partageais déjà depuis longtemps mes aventures entre les hommes et les femmes, et là, rapidement un trouble de plus en plus envahissant se faisait en moi lors de nos discussions.
Nous avions beaucoup de points en commun, parmi lesquels l’amour du sexe et de la sensualité, et l’amour des femmes.
Très rapidement, les conversations tournaient à la séduction, nous excitant au maximum en projetant ce que nous pourrions faire ensemble, je n’avais plus de secret pour elle, me livrant dans la confidence en lui parlant de tout ce qui me faisait jouir, et elle aussi me parlait de ses désirs.
Si bien que j’attendais ses appels avec impatience, ressentant un manque lorsque ceux-ci s’espaçaient trop. Il faut dire que la coquine savait faire monter la pression !
Connaissant mes fantasmes les plus secrets, elle usait et abusait allègrement de son pouvoir sur moi, et me poussait de plus en plus dans mes retranchements. C’est ainsi que nous en sommes arrivées, un soir où nous discutions dans la chaleur de la nuit, à basculer et faire l’amour par téléphone.
Ça n’était pas calculé, du moins de ma part, cela s’était fait naturellement, au hasard d’un silence lourd de sens et de respirations plus profondes. Elle avait trouvé les mots qui déclencheraient en moi les envies les plus folles.
« Caresses-toi… Sens-tu mes lèvres sur ta peau ?
Je te fais l’amour comme personne ne te l’a jamais fait. »
J’étais en transes, et rapidement, j’ai obtenu des orgasmes aussi fulgurants que générateurs de nouvelles envies.
Après le téléphone, ou plutôt en parallèle, nous en sommes venues à échanger des mails et c’est ainsi que je reçus un jour sa photo qui accompagnait une missive au contenu torride et sans équivoque. Je n’étais pas déçue, et n’avais plus qu’une envie, la rencontrer réellement, mettre en pratique toutes nos folies jusque-là virtuelles, sentir ses bras, sa bouche sur mon corps. Seul problème, nous vivions à plus de cent kilomètres l’une de l’autre, ce qui était loin de faciliter une rencontre spontanée.
Un jour, en rentrant chez moi, je trouvais un message sur mon répondeur téléphonique.
C’était elle, qui m’informait qu’elle devait assez prochainement, assister à un séminaire de travail à Paris. Mon cœur battait à tout rompre en entendant cela, mon esprit imaginait déjà tout ce que cela sous-entendait, et d’avance, je savais que je dirais oui à tout ce qu’elle me proposerait.
Je n’eus pas à attendre très longtemps, le soir même elle m’appelait. Son séminaire aurait lieu à la Sorbonne, tout près de chez moi, et l’occasion de nous voir enfin était trop belle pour que nous ne la saisissions pas. Par contre, je ne m’attendais pas du tout à ses exigences.
« Je t’appellerai juste avant d’arriver chez toi, ta porte ne sera pas fermée et tu seras allongée nue sur ton lit, les yeux bandés et tu prépareras quelque chose, comme des foulards, qui me permettrons de t’attacher. »
La garce… Elle n’avait pas oublié ce que j’avais pu lui confier ! Oui, j’avais ce fantasme-là qui m’excitait prodigieusement, mais de là à franchir le cap et le réaliser…
En même temps, j’avais faim d’elle et de sexe, de ses mains sur moi, de sa bouche sur ma peau. Soyons folle pour une fois, me suis-je dit. J’acceptais toutes ses volontés, y compris vestimentaires, non sans une pointe d’appréhension. Après tout, je ne la connaissais pas vraiment, rien ne me garantissait qu’elle fût équilibrée et n’allait pas abuser de son pouvoir. Cette peur contribua, durant la période d’attente, à faire monter mon excitation. Je ne me reconnaissais plus, j’en étais arrivée à dire oui aux folies proposées par une inconnue !
La veille de notre rencontre programmée, elle m’appela pour savoir si j’avais bien compris ses demandes. « Nue sur ton lit. »
Elle sentit mon envie mêlée d’appréhension, et cela sembla l’amuser énormément. Nous nous sommes quittées sur un « À demain » chargé d’émotion et de promesses.
Le jour de la rencontre était enfin là, et je me levais aux aurores. J’avais passé la nuit à me retourner, fébrile et inquiète. La journée fut longue…
Dans la soirée, après un bon bain, je préparais sur mon lit trois foulards, un pour mes yeux, deux pour mes poignets, puis regagnais le salon, attendant, nue, le cœur battant, la sonnerie du téléphone.
Il était vingt et une heures lorsque celle-ci retentit.
- Je suis là, je te donne cinq minutes pour être prête.
Cette fois nous y étions, plus moyen de reculer.
- Ma porte est ouverte, je t’attends, répondis-je d’une voix émue.
J’enfilais une paire d’escarpins, me rendit dans ma chambre où je me bandais les yeux avant de m’allonger. Mon cœur battait la chamade, je sentais les pulsations sanguines à mes tempes.
Après une attente qui me sembla très longue, j’entendis des bruits sur le palier, je continuais d’attendre sagement, le cœur battant à tout va.
Puis le grincement de la porte d’entrée se fit entendre, suivi de bruits de pas. Le silence rendait encore plus impressionnants ces quelques indices auditifs qui m’arrivaient. Malgré l’inquiétude qui était la mienne, je sentais entre mes cuisses naître une véritable fontaine. Je mouillais comme jamais, et j’en ressentis une certaine honte.
Soudain, je sus qu’elle était là, près de moi. Des effluves d’un parfum parvinrent à mes narines, c’était délicieux. Une main frôla ma jambe, remontant doucement sur le mollet, le genou, la cuisse. J’avais besoin d’entendre sa voix, mais elle s’obstinait à rester muette, L’instant était si magique qu’un rien aurait pu en briser le charme, privée de la vue, tous mes sens étaient désormais en alerte, me rendant réceptive à un point que je n’avais jamais imaginé.
Délicatement, je sentis les foulards venir enserrer mes poignets relevés au-dessus de ma tête. Puis une bouche chaude se posa sur ma cuisse, remontant doucement vers mon pubis.
A cet instant, je ressentis l’émotion d’Erica à ce moment-là, aussi bien que si j’avais pu la voir, me faisant suinter de désir…
Mes seins étaient douloureux à force de se tendre, d’espérer une caresse. Mon corps réclamait des mains inquisitrices, sollicitant des attentions que mon amante ne semblait pas pressée de m’accorder.
Lorsque nos lèvres se joignirent enfin, je devins folle. Folle d’un désir qui ne demandait qu’à exploser, folle de l’envie de pouvoir toucher moi aussi, ce corps tant convoité mais qu’il m’était même interdit de contempler.
La douceur de la langue qui me fouillait la bouche me fit complètement chavirer, m’extorquant des gémissements voluptueux.
« Fais de moi ce que tu veux. » Me dis-je, éperdue de désir.
Erica dégustait mes seins, en aspirant les tétons érigés, les mordillant, les étirant.
Sa main courait sur mon ventre frémissant, exigeant le plus violemment possible d’être pris, possédé, violé même.
J’étais devenue, un animal affamé qui réclamait son dû, ruant et gémissant que l’on assouvisse son besoin primaire.
À ce moment, elle devait être tout près de moi, quand elle m’embrassa à nouveau et j’ai senti ses cheveux caresser mon corps, le faisant frémir quelque-peu.
Elle partit à la découverte de mon corps, léchant mon ventre plat, perdant sa langue dans son nombril, mordillant mes flancs délicieusement offerts. J’aimais l’odeur animale qui se dégageait d’elle, derrière son parfum.
Elle m’électrisait totalement, accroissant encore mon désir d’être possédée.
Lorsqu’elle s’allongea sur moi, j’ai sentis la toison taillée court de son pubis sur le mien et elle me fit jouir une première fois en se frottant contre moi, pubis contre pubis…
Brusquement elle me retourna, elle avait envie de contempler mon cul, mais bientôt, ses mains partirent à la découverte de mon intimité, parcourant de ses mains toute les parties basses de mon corps. Caressant, griffant, mordant, mes fesses et mon pubis, dégustant chaque parcelle de ma peau, les replis de mon corps et mes trous intimes que je sentais s’ouvrir au fur et à mesure de ses caresses…
De ses doigts elle me pénétra la chatte, avec un d’abord, puis deux et trois pour finir, je m’ouvrais délicieusement à elle, râlant et criant de bonheur. Elle me labourait, me dilatait avec un plaisir dévorant, contemplant certainement l’effet du traitement infligé sur mon visage. Ma bouche qui laissait échapper des plaintes rauques de plus en plus soutenues, tout ceci devait la ravir.
Elle me fouillait au plus profond de mon corps, caressant le velours chaud et humide de mon intimité. Un autre doigt caressa mon œillet, me faisant sursauter et hurler de bonheur, tandis qu’elle aspirait mon clitoris qui devait pointer comme une petite bite.
- Oui… Encore ! Plus fort, plus loin ! soupirais-je.
Continuant ses caresses internes, elle devait remarquer que mon con continuait de s’ouvrir à elle, indécente béance ne demandant qu’à être comblée. Je perdis alors toute notion de bienséance et de raison et écartais encore plus les cuisses en réclamant :
- Oui, tout, je suis à toi !
Alors, le quatrième doigt vint rejoindre les trois autres dans mon con, puis forçant doucement, son pouce força mon antre afin de rejoindre ses congénères, tout en me caressant voluptueusement d’un doigt de son autre main, mon œillet palpitant.
Je coulais sur sa main et, c’est sans mal qu’elle me rentra sa main entièrement en moi…
J’étais fistée pour la première fois de ma vie, et de plus par une inconnue que je n’avais même pas vu.
À ma grande surprise, sa main fut aspirée jusqu’au poignet par ma fleur intime, elle me possédait comme jamais je n’aurais cru possible d’être possédée par quelqu’un. Mes lèves pulsaient autour d’elle, l’avalant, la suçant, et la dévorant toute entière, tandis que ses doigts continuaient leur danse infernale au fond de mon ventre.
Les yeux révulsés, je criais mon bonheur.
- Ohhh, oui, continue… Plus vite, plus fort !
Je sentis arriver le point de non-retour, juste avant que son poignet ne soit pris dans les mâchoires puissantes de l’étau de mon plaisir. Arc-boutée sur le lit, le corps secoué de spasmes violents, j’ai jouis sur sa main, laissant couler la fontaine de jouvence sur elle.
L’orgasme, cérébral d’abord puis physique, me gagnait à mon tour, me laissant sans forces, mais sa main toujours en moi, nichée dans la chaleur de mon corps alangui.
Après cette folie vint la tendresse, que mon corps rassasié réclamait, caresses tendres et baisers légers, je me détendais heureuse, saoule de l’ivresse d’un bonheur jamais atteint, quand à nouveau la tempête se déchaîna sur mon corps…
Après s’être harnachée d’un gode ceinture, elle me baisa en levrette, pendant un très long moment, me faisant jouir plusieurs fois, puis elle me sodomisa avec la même ardeur…
Elle me laissa ainsi nue, allongée sur le ventre, puis tandis qu’elle me détachait les poignets, j’entendis me dire :
La prochaine fois ce sera à ton tour de me rendre visite.
Le claquement de la porte d’entrée me fit sursauter, elle était partie…
A suivre…
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