Leslie LA92
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Leslie LA92
Leslie LA92 – Laure, le journal intime – Sylvie, suite
Le lendemain, à huit heures, je me suis réveillée, Sylvie dormait encore près de moi, alors sans bruit, je me suis levée et je suis descendue dans la même tenue que la veille pour un petit déjeuner.
Certainement que Damien devait encore dormir, la jeunesse ne se levant pas toujours aux aurores, effectivement seule, Barbara est dans la cuisine, en pleins préparatifs du petit déjeuner. Elle propose que nous nous installions sur la terrasse pour profiter du doux soleil matinal et je la vois me regarder avec insistance, en disant :
- Tu sais, la transparence de ta liquette ne laisse aucun doute sur ce qui est dessous, Damien s’il te voit dans cette tenue vas faire une syncope.
- J’espère que ce que tu vois te plaît, car Damien, lui à apprécier hier matin !
- Alors là…
Elle me fait un sourire pour me confirmer à quel point elle apprécie, quand Damien apparaît peu après, les cheveux ébouriffés, et nous rejoint sur la terrasse. Un sourire au coin des lèvres, Barbara lui demande :
- Bonjour Damien, déjà levé ?
- Ben, j’avais mal fermé les volets et la lumière m’a réveillé.
Je vois à ses yeux, quand il regarde dans ma direction, qu’il est tout heureux de voir que je porte toujours ma chemise de nuit, comme la veille, mais comme il est face au soleil, et mal réveillé aussi, il papillonne des yeux, visiblement ébloui.
- Tiens, prends mes lunettes, dit Barbara, ainsi tu pourras regarder Laure à ta guise, qui s’est faite belle pour toi !
- Barbara ! Voyons.
Barbara rigole en me regardant, heureuse d’avoir mis le feu aux poudres.
Damien s’équipe et me regarde un bref instant, constatant certainement que je suis comme hier nue sous ma nuisette, puis sa tête se retourne vers moi, pour cette fois me regarder avec plus d’insistance.
Barbara affiche un large sourire, fière du bon coup qu’elle vient de me jouer, alors je me cambre sur ma chaise pour bien faire apparaître mes formes sous ma nuisette, légèrement provocante et regarde Barbara pour bien lui faire comprendre que j’ai bien saisi son jeu, ce qui a pour effet de la faire encore rire en me faisant un clin d’œil.
Damien la regarde avec un regard étonné, ne comprenant pas pourquoi elle se marre tant. Je continue, le reste du petit déjeuner, à jouer avec mon corps et mes jambes, je dévoile à l’occasion mon entrejambe. Damien ne sait plus où mettre ses yeux, sa tartine rate plusieurs fois sa bouche tellement son attention se porte sur moi-même.
- Alors, Laure, dit Barbara, on va se baigner ?
- L’eau ne va pas être trop froide ? Nous sommes qu’au début du printemps !
- Ne t’inquiètes pas, elle est chauffée.
- Par contre je n’ai rien prévu, pas de maillot.
- Tu sais, me dit Barbara, comme tu es habillée là ou nue, je ne vois pas grande différence, d’ailleurs ici tout le monde se baigne nu…
Je suis toute excitée par mon petit déjeuner spectacle, l’idée d’être nue devant Damien, qui sera lui aussi nu, ne me déplait pas. Je termine mon café, pendant que Barbara déjà près de la piscine se déshabille et nous apparait nue sous les rayons du soleil.
Je la regarde et mes sens ne restent insensibles bien longtemps, son corps me fait de l’effet.
Damien en me regardant arbore un large sourire, puis il me dit :
- Alors Laure, tu vas te baigner ?
- Bien sûr, dis-je en me levant.
Et aussitôt je fais passer ma nuisette par-dessus mes épaules, pour apparaitre nue aux yeux de Damien, figé sur ma nudité, je le sors de sa contemplations en lui disant :
- Alors, on y va ou on va se coucher ?
Se levant, Damien se fout à poil en me regardant et en disant :
- Laure, je t’en prie, ne sois pas odieuse et ironique, me dit-il, tu sais…
- Oui, je sais !
En disant cela je le regarde dans son début d’érection, il à un beau sexe long et épais, certainement imposant en érection, mais cela sera à vérifier plus tard, alors nous allons rejoindre Barbara qui est déjà dans l’eau, et elle nous lance :
- Elle est délicieuse, venez me rejoindre…
Nous rentrons aussitôt dans l’eau et commençons à profiter…
Antoine arrive peu après, en même temps que Sylvie, et prend son petit déjeuner avec Antoine, que je revois derrière Barbara en train de la sodomiser, si Sylvie se joint à leur ébats sexuels elle va être servie, car Antoine est bien membré, j’aurais l’occasion de le vérifier quand ils, avec Sylvie, viendrons nous rejoindre à la piscine.
Bien sûr, ils ont remarqués que nous sommes nus dans la piscine, alors avant de venir nous rejoindre, ils ne manquent pas de se mettre nus eux aussi.
D’où je suis, je ne manque pas de remarquer qu’Antoine regarde le corps de Sylvie avec intérêt, provoquant sur lui, aussi un début d’érection, effectivement il est bien membré, mais je ne peux m’empêcher de faire la comparaison avec le sexe de Damien, celui d’Antoine parait moins épais que celui de son copain, mais tout aussi long.
C’est à cet instant que Barbara se place près de moi et me dit :
- Ils ne sont pas beau ces petits hommes ?
- Je t’avoue, lui dis-je, qu’ils ont de beau corps, quant à leurs sexes, ils sont superbes, de quoi ravir la plus exigeante des femmes…
- Oui, çà tu peux le dire !
- Je sais, lui dis-je, hier soir tu avais l’air d’apprécier !
- Ah la vicieuse, tu nous as maté !
- Je n’ai pu m’en empêcher.
Sylvie, après s’être plongée dans l’eau en arrivant près de moi, ne manque pas de faire des allusions :
- Damien est toujours aussi accro, on dirait.
- Oui, je le crois.
- Surtout que je pense que tu fais tout pour bien l’exciter.
- Disons que je fais tout ce qu’il faut pour...
- Et toi ça t’excites de le voir rouler ses grands yeux sur toi ?
- Tout comme toi avec Antoine !
- Oui j’ai vu, dit Sylvie, bien équipé le cochon.
- Je ne dis pas le contraire, dis-je, tu verrais Damien, lui aussi est sacrément équipé !
Nous faisons quelques longueurs, avant de sortir et de nous allonger pour profiter du soleil matinal.
Barbara, entre temps est partie préparer le déjeuner, nous laissant seules avec les deux jeunes hommes qui ne se privent pas de nous reluquer…
Le reste de la matinée se passe ainsi, puis pendant le diner, Barbara propose à Sylvie de faire une ballade l’après-midi, Antoine est trop heureux de se voir proposer d’accompagner les jeunes femmes. Je glisse à Sylvie que de mon côté je vais faire une sieste en lui disant de ne pas me déranger, son sourire me faisant comprendre qu’elle a compris… Avant de monter, je clame bien fort :
- Je suis crevée, je vais faire une sieste…
Dans la chambre, non sans avoir laissé entrouverte la porte de la chambre, je me mets nue et me pose sur mon lit, attendant la suite des évènements…
Peu de temps plus tard, j’entends des voix dans le jardin, qui peu à peu s’éloignent, les filles et Antoine viennent certainement de partir en ballade, me laissant seule avec Damien dans la maison. A ce moment tous me sens entrent en éveil et je guette les moindres bruits qui dévoileraient la présence de Damien à la porte de la chambre.
Les jambes légèrement écartées, j’imagine Damien dans l’entrebâillement de la porte, j’imagine ses yeux fouillant mon corps, plantés sur mon sexe, cette pensée réveille mon excitation, je sens mes seins se durcir, mes bouts se tendre, mon ventre s’enflamme et mon sexe s’ouvre. Je sais que mes lèvres vont s’écarter et commencer à briller, comme si une rosée matinale venait se déposée dessus.
Soudain, j’entends du bruit derrière la porte de la chambre, certainement que Damien vient de se placer derrière et est en train de me mâter dans l’entrebâillement…
J’ai maintenant une énorme envie de me caresser, le corps, les seins et tout le reste en me sachant maintenant être observée, ça devrait être très excitant.
J’écarte un peu plus les cuisses en commençant à mes caresser les seins et sens que mes tétons sont énormes, durs et dressé vers le ciel, mes aréoles claires sont gonflées, je suis comme des braises, mais c’est le désir qui me consume…
Je caresse un sein en partant par le dessous et en finissant par le mamelon, après quelques caresses, je m’empare de mon bout pour le triturer. Sous l’effet de la décharge de plaisir, j’ouvre la bouche et j’esquisse plusieurs mouvements du bassin, jambes écartées, comme si mon sexe quémandait quelque chose.
Mes yeux se portent sur mon baise en ville, qui contient entre autre, mes jouets de plaisir qui ne me quittent jamais et que j’amène toujours en prévision d’un ou d’éventuels moments intimes avec des partenaires.
La tentation est trop forte, d’une main je fouille le sac pour saisir de mon godemichet favori, vous savez celui que j’ai acheté un jour dans une boutique spécialisée, je le suce un peu comme s’il s’agissait du membre de Damien et ensuite, le fais glisser à l’intérieur de mes cuisses, pour m’exciter encore plus, je jette un œil en direction de la porte de la chambre et constate que Damien est bien là.
Alors, j’approche le gode de mon sexe désormais en feu, le mets en marche et bêtement le premier contact des vibrations sur mes lèvres m’arrache un faible cri, qui se transforme en gémissement quand je le passe le long de mon sexe de haut en bas puis de bas en haut.
J’halète, et sans savoir vraiment comment, je me retrouve couchée sur le dos, face à la porte, les jambes toujours écartées et pendant sur le bord du lit. Le godemichet n’arrête plus de faire des allers et retours le long de mon sexe, et je mouille comme une dingue, lubrifiant abondamment maintenant le sexe factice.
Mon autre main toujours sur ma poitrine me fait hurler quand, les premières décharges de plaisir provenant de mes bouts de seins envahissent mon corps.
Cette fois, je perds tout contrôle de la réalité, shootée par la vague de plaisir qui me submerge, mes caresses sur les seins deviennent plus frénétiques et le temps est venu de laisser le gode donner la pleine puissance de son pouvoir.
Les vibrations réglées au maximum, je le fait pénétrer d’un coup en moi, profondément, tellement je suis ouverte et humide et je regarde vers la porte, en remuant la tête de gauche à droite, en jouissant.
Je donne un mouvement de va-et-vient rapide au godemichet, mon souffle s’accélère et mes gémissements suivent le rythme de l’engin, mes cuisses se crispent et je jouis encore, les yeux rivés sur la porte.
Je ressors le godemichet pour me caresser de nouveaux les lèvres et le clitoris, me laissant certainement ouverte et moins d’une minute plus tard, je jouis de nouveau brutalement sous l’effet du gland du gode frottant sur mon clito proéminent.
J’entends mon long cri me résonner aux oreilles, avant me m’affaler anéantie de plaisir sur le lit et sombrer dans le sommeil…
Je suis descendue pour souper et tout le long du repas Damien ne cesse de me regarder…
Le repas fini, Damien va se planter devant la télé, suivi d’Antoine, pendant qu’avec Barbara et Sylvie nous mettons un peu d’ordre dans la maison.
Nous finissions de ranger trois bricoles à la cuisine, quand je remarque qu’Antoine et Damien sont en grande discussion, et j’entends la voix de Barbara, à ce moment me dire :
- Je te laisse la garde de mon filleul et de la maison, ce soir avec Sylvie nous allons sortir danser avec Antoine et certainement que nous rentrerons tard dans la nuit.
- Ne t’inquiètes pas, dit Sylvie, Barbara a préparé une chambre au cas il ne faudrait pas te déranger, ce qui sera certainement le cas, et puis si tout va bien je dormirais avec Barbara.
- Et Antoine, rajoutais-je.
- Pourquoi pas, dit Barbara, cela ne faisait-il pas partie du projet…
- Sylvie croit bon de rajouter :
- Damien va te sauter dessus sitôt que nous aurons disparus !
- Ah tu crois ? Dis-je.
- Il doit bander comme un âne en pensant à toi !
Peu de temps après, les filles et Antoine partent comme prévu, me laissant seule avec Damien, après avoir refermé la porte derrière eux, je rejoins Damien devant la télé.
Au bout d’un moment je dis :
- Il est nul ce film, je vais dans ma chambre et je vais bouquiner un peu, avent de dormir.
- Comme cet après-midi ? Me demande Damien avec un air ironique.
- Cet après-midi ? Demandais-je d’un air innocent.
- Je vous ai vu, sur ton lit et, heu… vous étiez splendide !
- Ahhh, oui, tu m’as maté, coquin !
- Vous me faites craquer, dit Damien.
Puis en se rapprochant de moi, son visage se rapproche du mien et Damien dépose un baiser sur mes lèvres avant de se reculer, un peu confus.
Je lui prends la main et lui dit :
- Viens !
Et me levant je l’entraine au premier étage et le fais entrer dans ma chambre.
Dès la porte fermée, je prends Damien m’approche de Damien et me postant devant lui, je lui demande :
- Alors, maintenant que fais-tu avec une femme que tu désires près de toi ?
- Je… Humm, enfin je ne sais pas trop !
- Comment ça, tu n’as jamais été avec une femme ?
- Ben, disons des flirts, avec des filles, mais…
- Bon, soit naturel et laisses-toi aller.
Je me mets nue devant lui, et je m’approche de lui et lui pose mes lèvres sur les siennes, ma langue force ses lèvres qui s’entrouvrent et nos langues se trouvent… Le baiser est long et Damien semble apprécier.
Ses mains se posent sur mes fesses nue et son regard brille d’un feu que je commence à apprécier, la suite va certainement chaude malgré l’inexpérience de Damien.
- Vous m’avez tellement excitée depuis ton arrivée, dit-il, vous devez être certainement coquine.
- Comme tu ne peux te l’imaginer ! Dis-je.
Ses mains continuent de me caresser les fesses, mais Damien est impatient, comme tout jeune découvrant la nouveauté et une de ses mains quitte mes fesses pour venir au contact de mon sexe, Damien surpris me dit :
- Vous êtes toute trempée !
- Tu sais, c’est ainsi quand une femme est excitée !
- Vraiment ?
- Oui, vraiment !
Ses doigts caressent ma vulve, sans renter plus profondément, je le sens tendu et quelque peu maladroit, alors pour l’encourager, je lui dis :
- Humm, c’est un bon début, continues, tu me fais un bien fou.
Et là, il se lâche en disant :
- Vous avez vraiment un cul sexy !
Je pousse un petit soupir quand ses doigts se perdent dans ma raie des fesses, et me cambre pour faciliter sa caresse, tandis que l’autre continue à explorer ma chatte, je soupire à nouveau.
- Vous prenez votre pied ? Me demande-t-il.
- Pas encore, un peu, mais n’arrête pas, continue !
Je me contorsionne pour que sa main puisse avoir la place pour passer entre mes cuisses et explorer mon intimité, ses doigts sont au contact de mon sexe, mais ne vont pas plus loin, il va falloir que je l’aide et que je lui montre ce qu’il faut faire avec une femme, la nuit risque d’être longue…
A suivre…
Le lendemain, à huit heures, je me suis réveillée, Sylvie dormait encore près de moi, alors sans bruit, je me suis levée et je suis descendue dans la même tenue que la veille pour un petit déjeuner.
Certainement que Damien devait encore dormir, la jeunesse ne se levant pas toujours aux aurores, effectivement seule, Barbara est dans la cuisine, en pleins préparatifs du petit déjeuner. Elle propose que nous nous installions sur la terrasse pour profiter du doux soleil matinal et je la vois me regarder avec insistance, en disant :
- Tu sais, la transparence de ta liquette ne laisse aucun doute sur ce qui est dessous, Damien s’il te voit dans cette tenue vas faire une syncope.
- J’espère que ce que tu vois te plaît, car Damien, lui à apprécier hier matin !
- Alors là…
Elle me fait un sourire pour me confirmer à quel point elle apprécie, quand Damien apparaît peu après, les cheveux ébouriffés, et nous rejoint sur la terrasse. Un sourire au coin des lèvres, Barbara lui demande :
- Bonjour Damien, déjà levé ?
- Ben, j’avais mal fermé les volets et la lumière m’a réveillé.
Je vois à ses yeux, quand il regarde dans ma direction, qu’il est tout heureux de voir que je porte toujours ma chemise de nuit, comme la veille, mais comme il est face au soleil, et mal réveillé aussi, il papillonne des yeux, visiblement ébloui.
- Tiens, prends mes lunettes, dit Barbara, ainsi tu pourras regarder Laure à ta guise, qui s’est faite belle pour toi !
- Barbara ! Voyons.
Barbara rigole en me regardant, heureuse d’avoir mis le feu aux poudres.
Damien s’équipe et me regarde un bref instant, constatant certainement que je suis comme hier nue sous ma nuisette, puis sa tête se retourne vers moi, pour cette fois me regarder avec plus d’insistance.
Barbara affiche un large sourire, fière du bon coup qu’elle vient de me jouer, alors je me cambre sur ma chaise pour bien faire apparaître mes formes sous ma nuisette, légèrement provocante et regarde Barbara pour bien lui faire comprendre que j’ai bien saisi son jeu, ce qui a pour effet de la faire encore rire en me faisant un clin d’œil.
Damien la regarde avec un regard étonné, ne comprenant pas pourquoi elle se marre tant. Je continue, le reste du petit déjeuner, à jouer avec mon corps et mes jambes, je dévoile à l’occasion mon entrejambe. Damien ne sait plus où mettre ses yeux, sa tartine rate plusieurs fois sa bouche tellement son attention se porte sur moi-même.
- Alors, Laure, dit Barbara, on va se baigner ?
- L’eau ne va pas être trop froide ? Nous sommes qu’au début du printemps !
- Ne t’inquiètes pas, elle est chauffée.
- Par contre je n’ai rien prévu, pas de maillot.
- Tu sais, me dit Barbara, comme tu es habillée là ou nue, je ne vois pas grande différence, d’ailleurs ici tout le monde se baigne nu…
Je suis toute excitée par mon petit déjeuner spectacle, l’idée d’être nue devant Damien, qui sera lui aussi nu, ne me déplait pas. Je termine mon café, pendant que Barbara déjà près de la piscine se déshabille et nous apparait nue sous les rayons du soleil.
Je la regarde et mes sens ne restent insensibles bien longtemps, son corps me fait de l’effet.
Damien en me regardant arbore un large sourire, puis il me dit :
- Alors Laure, tu vas te baigner ?
- Bien sûr, dis-je en me levant.
Et aussitôt je fais passer ma nuisette par-dessus mes épaules, pour apparaitre nue aux yeux de Damien, figé sur ma nudité, je le sors de sa contemplations en lui disant :
- Alors, on y va ou on va se coucher ?
Se levant, Damien se fout à poil en me regardant et en disant :
- Laure, je t’en prie, ne sois pas odieuse et ironique, me dit-il, tu sais…
- Oui, je sais !
En disant cela je le regarde dans son début d’érection, il à un beau sexe long et épais, certainement imposant en érection, mais cela sera à vérifier plus tard, alors nous allons rejoindre Barbara qui est déjà dans l’eau, et elle nous lance :
- Elle est délicieuse, venez me rejoindre…
Nous rentrons aussitôt dans l’eau et commençons à profiter…
Antoine arrive peu après, en même temps que Sylvie, et prend son petit déjeuner avec Antoine, que je revois derrière Barbara en train de la sodomiser, si Sylvie se joint à leur ébats sexuels elle va être servie, car Antoine est bien membré, j’aurais l’occasion de le vérifier quand ils, avec Sylvie, viendrons nous rejoindre à la piscine.
Bien sûr, ils ont remarqués que nous sommes nus dans la piscine, alors avant de venir nous rejoindre, ils ne manquent pas de se mettre nus eux aussi.
D’où je suis, je ne manque pas de remarquer qu’Antoine regarde le corps de Sylvie avec intérêt, provoquant sur lui, aussi un début d’érection, effectivement il est bien membré, mais je ne peux m’empêcher de faire la comparaison avec le sexe de Damien, celui d’Antoine parait moins épais que celui de son copain, mais tout aussi long.
C’est à cet instant que Barbara se place près de moi et me dit :
- Ils ne sont pas beau ces petits hommes ?
- Je t’avoue, lui dis-je, qu’ils ont de beau corps, quant à leurs sexes, ils sont superbes, de quoi ravir la plus exigeante des femmes…
- Oui, çà tu peux le dire !
- Je sais, lui dis-je, hier soir tu avais l’air d’apprécier !
- Ah la vicieuse, tu nous as maté !
- Je n’ai pu m’en empêcher.
Sylvie, après s’être plongée dans l’eau en arrivant près de moi, ne manque pas de faire des allusions :
- Damien est toujours aussi accro, on dirait.
- Oui, je le crois.
- Surtout que je pense que tu fais tout pour bien l’exciter.
- Disons que je fais tout ce qu’il faut pour...
- Et toi ça t’excites de le voir rouler ses grands yeux sur toi ?
- Tout comme toi avec Antoine !
- Oui j’ai vu, dit Sylvie, bien équipé le cochon.
- Je ne dis pas le contraire, dis-je, tu verrais Damien, lui aussi est sacrément équipé !
Nous faisons quelques longueurs, avant de sortir et de nous allonger pour profiter du soleil matinal.
Barbara, entre temps est partie préparer le déjeuner, nous laissant seules avec les deux jeunes hommes qui ne se privent pas de nous reluquer…
Le reste de la matinée se passe ainsi, puis pendant le diner, Barbara propose à Sylvie de faire une ballade l’après-midi, Antoine est trop heureux de se voir proposer d’accompagner les jeunes femmes. Je glisse à Sylvie que de mon côté je vais faire une sieste en lui disant de ne pas me déranger, son sourire me faisant comprendre qu’elle a compris… Avant de monter, je clame bien fort :
- Je suis crevée, je vais faire une sieste…
Dans la chambre, non sans avoir laissé entrouverte la porte de la chambre, je me mets nue et me pose sur mon lit, attendant la suite des évènements…
Peu de temps plus tard, j’entends des voix dans le jardin, qui peu à peu s’éloignent, les filles et Antoine viennent certainement de partir en ballade, me laissant seule avec Damien dans la maison. A ce moment tous me sens entrent en éveil et je guette les moindres bruits qui dévoileraient la présence de Damien à la porte de la chambre.
Les jambes légèrement écartées, j’imagine Damien dans l’entrebâillement de la porte, j’imagine ses yeux fouillant mon corps, plantés sur mon sexe, cette pensée réveille mon excitation, je sens mes seins se durcir, mes bouts se tendre, mon ventre s’enflamme et mon sexe s’ouvre. Je sais que mes lèvres vont s’écarter et commencer à briller, comme si une rosée matinale venait se déposée dessus.
Soudain, j’entends du bruit derrière la porte de la chambre, certainement que Damien vient de se placer derrière et est en train de me mâter dans l’entrebâillement…
J’ai maintenant une énorme envie de me caresser, le corps, les seins et tout le reste en me sachant maintenant être observée, ça devrait être très excitant.
J’écarte un peu plus les cuisses en commençant à mes caresser les seins et sens que mes tétons sont énormes, durs et dressé vers le ciel, mes aréoles claires sont gonflées, je suis comme des braises, mais c’est le désir qui me consume…
Je caresse un sein en partant par le dessous et en finissant par le mamelon, après quelques caresses, je m’empare de mon bout pour le triturer. Sous l’effet de la décharge de plaisir, j’ouvre la bouche et j’esquisse plusieurs mouvements du bassin, jambes écartées, comme si mon sexe quémandait quelque chose.
Mes yeux se portent sur mon baise en ville, qui contient entre autre, mes jouets de plaisir qui ne me quittent jamais et que j’amène toujours en prévision d’un ou d’éventuels moments intimes avec des partenaires.
La tentation est trop forte, d’une main je fouille le sac pour saisir de mon godemichet favori, vous savez celui que j’ai acheté un jour dans une boutique spécialisée, je le suce un peu comme s’il s’agissait du membre de Damien et ensuite, le fais glisser à l’intérieur de mes cuisses, pour m’exciter encore plus, je jette un œil en direction de la porte de la chambre et constate que Damien est bien là.
Alors, j’approche le gode de mon sexe désormais en feu, le mets en marche et bêtement le premier contact des vibrations sur mes lèvres m’arrache un faible cri, qui se transforme en gémissement quand je le passe le long de mon sexe de haut en bas puis de bas en haut.
J’halète, et sans savoir vraiment comment, je me retrouve couchée sur le dos, face à la porte, les jambes toujours écartées et pendant sur le bord du lit. Le godemichet n’arrête plus de faire des allers et retours le long de mon sexe, et je mouille comme une dingue, lubrifiant abondamment maintenant le sexe factice.
Mon autre main toujours sur ma poitrine me fait hurler quand, les premières décharges de plaisir provenant de mes bouts de seins envahissent mon corps.
Cette fois, je perds tout contrôle de la réalité, shootée par la vague de plaisir qui me submerge, mes caresses sur les seins deviennent plus frénétiques et le temps est venu de laisser le gode donner la pleine puissance de son pouvoir.
Les vibrations réglées au maximum, je le fait pénétrer d’un coup en moi, profondément, tellement je suis ouverte et humide et je regarde vers la porte, en remuant la tête de gauche à droite, en jouissant.
Je donne un mouvement de va-et-vient rapide au godemichet, mon souffle s’accélère et mes gémissements suivent le rythme de l’engin, mes cuisses se crispent et je jouis encore, les yeux rivés sur la porte.
Je ressors le godemichet pour me caresser de nouveaux les lèvres et le clitoris, me laissant certainement ouverte et moins d’une minute plus tard, je jouis de nouveau brutalement sous l’effet du gland du gode frottant sur mon clito proéminent.
J’entends mon long cri me résonner aux oreilles, avant me m’affaler anéantie de plaisir sur le lit et sombrer dans le sommeil…
Je suis descendue pour souper et tout le long du repas Damien ne cesse de me regarder…
Le repas fini, Damien va se planter devant la télé, suivi d’Antoine, pendant qu’avec Barbara et Sylvie nous mettons un peu d’ordre dans la maison.
Nous finissions de ranger trois bricoles à la cuisine, quand je remarque qu’Antoine et Damien sont en grande discussion, et j’entends la voix de Barbara, à ce moment me dire :
- Je te laisse la garde de mon filleul et de la maison, ce soir avec Sylvie nous allons sortir danser avec Antoine et certainement que nous rentrerons tard dans la nuit.
- Ne t’inquiètes pas, dit Sylvie, Barbara a préparé une chambre au cas il ne faudrait pas te déranger, ce qui sera certainement le cas, et puis si tout va bien je dormirais avec Barbara.
- Et Antoine, rajoutais-je.
- Pourquoi pas, dit Barbara, cela ne faisait-il pas partie du projet…
- Sylvie croit bon de rajouter :
- Damien va te sauter dessus sitôt que nous aurons disparus !
- Ah tu crois ? Dis-je.
- Il doit bander comme un âne en pensant à toi !
Peu de temps après, les filles et Antoine partent comme prévu, me laissant seule avec Damien, après avoir refermé la porte derrière eux, je rejoins Damien devant la télé.
Au bout d’un moment je dis :
- Il est nul ce film, je vais dans ma chambre et je vais bouquiner un peu, avent de dormir.
- Comme cet après-midi ? Me demande Damien avec un air ironique.
- Cet après-midi ? Demandais-je d’un air innocent.
- Je vous ai vu, sur ton lit et, heu… vous étiez splendide !
- Ahhh, oui, tu m’as maté, coquin !
- Vous me faites craquer, dit Damien.
Puis en se rapprochant de moi, son visage se rapproche du mien et Damien dépose un baiser sur mes lèvres avant de se reculer, un peu confus.
Je lui prends la main et lui dit :
- Viens !
Et me levant je l’entraine au premier étage et le fais entrer dans ma chambre.
Dès la porte fermée, je prends Damien m’approche de Damien et me postant devant lui, je lui demande :
- Alors, maintenant que fais-tu avec une femme que tu désires près de toi ?
- Je… Humm, enfin je ne sais pas trop !
- Comment ça, tu n’as jamais été avec une femme ?
- Ben, disons des flirts, avec des filles, mais…
- Bon, soit naturel et laisses-toi aller.
Je me mets nue devant lui, et je m’approche de lui et lui pose mes lèvres sur les siennes, ma langue force ses lèvres qui s’entrouvrent et nos langues se trouvent… Le baiser est long et Damien semble apprécier.
Ses mains se posent sur mes fesses nue et son regard brille d’un feu que je commence à apprécier, la suite va certainement chaude malgré l’inexpérience de Damien.
- Vous m’avez tellement excitée depuis ton arrivée, dit-il, vous devez être certainement coquine.
- Comme tu ne peux te l’imaginer ! Dis-je.
Ses mains continuent de me caresser les fesses, mais Damien est impatient, comme tout jeune découvrant la nouveauté et une de ses mains quitte mes fesses pour venir au contact de mon sexe, Damien surpris me dit :
- Vous êtes toute trempée !
- Tu sais, c’est ainsi quand une femme est excitée !
- Vraiment ?
- Oui, vraiment !
Ses doigts caressent ma vulve, sans renter plus profondément, je le sens tendu et quelque peu maladroit, alors pour l’encourager, je lui dis :
- Humm, c’est un bon début, continues, tu me fais un bien fou.
Et là, il se lâche en disant :
- Vous avez vraiment un cul sexy !
Je pousse un petit soupir quand ses doigts se perdent dans ma raie des fesses, et me cambre pour faciliter sa caresse, tandis que l’autre continue à explorer ma chatte, je soupire à nouveau.
- Vous prenez votre pied ? Me demande-t-il.
- Pas encore, un peu, mais n’arrête pas, continue !
Je me contorsionne pour que sa main puisse avoir la place pour passer entre mes cuisses et explorer mon intimité, ses doigts sont au contact de mon sexe, mais ne vont pas plus loin, il va falloir que je l’aide et que je lui montre ce qu’il faut faire avec une femme, la nuit risque d’être longue…
A suivre…
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